COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (4/5)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (4/5)
• Voilà, Robert, mission accomplie, voici des photos montrant les travers du couple Loréal.
• Mais c’est parfait, elle est foutue, inutile que je te demande comment tu t’es procuré ces clichés !
Je reconnais bien ton cul lorsque Ludovic Loréal te baise sans que pour autant ton visage ne soit visible.
• Savoir et voir leur travers doit te suffire pour que tu me donnes ce que tu m’avais promis si je t’apportais la réalité sur la vie sexuelle de ce couple.
Des cliches comment ai-je fait ?
Permettez que je garde pour moi la manière dont une pute comme je le suis devenue pour le bien d’Olaf mon souteneur, obtienne ce qui lui permet de réussir.
Olaf, mais aussi Robert Lyon, inspecteur principal à Dijon qui avait validé mon infiltration alors qu’il est l’un des utilisateurs des filles d’Olaf.
Je peux toucher dans mes mains le fric convenu, ce que Lyon fait sans plus de commentaires.
Je peux simplement vous dire ce qu’il y avait dans le paquet dans du papier-cadeau avec un beau ruban offert à Françoise.
Lorsque je suis arrivée, Ludovic m’a ouvert et je l’ai retrouvé dans leur salon.
Je l’ai embrassé chastement, je venais de me faire admettre en leur sein où j’espérais qu’elle se lâcherait.
• Que m’as-tu offert, c’est rare que l’on me fasse des cadeaux !
Qu’est-ce ce petit objet comme un gros suppositoire, avec une petite queue à sa base ?
• Ludovic, tu dois savoir pourquoi je suis là, Françoise m’a expliqué son refus de t’appartenir après la naissance de vos jumelles.
• Oui et je le déplore, j’aime ma femme et qu’elle me refuse et m’offre des…
• Des putes comme moi, ça doit te déplaire.
• Tout à fait, j’ai un haut rang dans ce département et elle aussi à Paris, au début j’ai cru qu’elle avait un amant et qu’elle se réservait pour lui.
J’ai payé un détective et j’ai su qu’il n’en était rien, j’aspire à ce qu’elle redevienne comme avant, même si elle était très peu portée sur le sexe.
• Vous allez faire deux choses, toi Françoise, fais entrer ma boule de Geisha, dans ta chatte.
À l’évocation des geishas, la vision de Jules sa main sous le kimono d’une jeune fille, même Geisha des temps modernes au Japon, me revient devant les yeux.
Même si là-bas, c’est légal pour l’âge, si la photo est vraie, comment pourrai-je lui pardonner ce geste obscène et surtout mon imagination étant débordante qui me dit que Jules s’arrête à ce simple geste.
Des doigts, mal placés, que fais-je lorsque ma chatte est bien chaude, je suce, on sait que j’aime beaucoup sucer.
Non, c’est impossible mon cerveau refuse de penser à plus, c’est tout de même le père de mes enfants.
Je frissonne, rien qu’à y penser, mais revenons à mon cadeau à Françoise, je me suis perdu dans mes pensées les plus sombres.
• Toi Ludovic donne moi ton portable, je vais te mettre une application qui te permettra de radiocommander la boule que Françoise vient de se mettre dans le vagin.
Ludovic me tend son portable qu’il a pris sur leur buffet, je fais le nécessaire et j’appuie là où ça fait du bien.
Je le sais lorsque je l’ai récupéré, j’ai moi-même chargé l’application, j’ai aussi placé la boule dans ma chatte et dès son démarrage je me suis cassé en deux.
• Martine, ton truc est diabolique, ah ! ah ! ah !
Françoise arrache carrément la boule en tirant sur la partie réception du système.
• C’est de ma faute, je l’ai essayée lorsque je l’ai récupéré et avant de l’arrêter, j’ai poussé sur le plus au maxi.
Comme toi, j’ai tenu cinq secondes me tordant dans un orgasme, que même la bite de mes clients est dans l’impossibilité de m’amener.
J’ai mis sur stop, oubliant que lors du redémarrage le système avait gardé en mémoire l’intensité.
Autre chose, soit sans crainte, je l’ai nettoyée avec de l’eau de Cologne, elle est propre comme lorsque je l’ai sorti de son étui.
Ludovic, appui sur moins et Françoise tu peux le remettre, ton mari va me baiser, je suis venue pour ça.
Il pourra pendant qu’il me fait jouir avec sa queue te faire retourner au plaisir sans jamais te toucher.
Voilà comment je peux donner les photos à Robert, célant l’avenir du couple.
Sur l’une d’elles, je me fais prendre en levrette et derrière moi on voit clairement Ludovic jouer avec sa queue dirigée, moi je le sais, j’y étais, vers ma chatte et après mon trou du cul.
Dans le même temps, Françoise sur une photo, Françoise jouissant des impulsions que son mari lui inflige sans pour autant aller au maxi.
Deux dernières photos, n’y tenant plus, j’ai doublement réussi la mission, ils sont morts lorsque Robert lui montera les photos et ayant arraché mon jouet, on voit clairement que Françoise pour la première fois se fait sodomiser.
Enfin moi je le sais pour la première fois, la boule de geisha l’ayant si profondément déstabilisé c’est elle qui prend la queue de son mari pour la diriger vers son anus sur la première.
La deuxième, alors que son visage et son cul sont bien dans le champ, on voit qu’elle se fait enfiler jusqu’aux couilles de Ludovic.
Résultat, quelques jours plus tard, j’ai quitté Besançon et je suis retournée à Beaune.
Je reçois un courrier venant de Dijon, avec un article parlant de la démission de Françoise Loréal.
Cette dernière dirigeait l’institut des hautes études françaises et son remplacement par Séverine Lyon, femme d’un inspecteur principale de la police de Dijon en Côte d’Or.
Solidaire de sa femme et souhaitant rester près d’elle, Ludovic Loréal à lui aussi démissionner de ses hautes responsabilités en Bourgogne Franche-Comté.
À ce jour, le poste est vacant, le ministère cherchant un autre haut fonctionnaire pour le remplacer à ce poste de haute servitude.
Voilà, je sais tout ceci est pourri dans ce monde de pourri, mais si j’étais un homme, je dirais que je m’en bas la queue, mon bas de laine continue à grossir.
• Marc, demande à Martine de venir me voir, j’ai du courrier pour elle.
Marc, c’est une valeur sur, je le manipule comme une vraie marionnette.
Fred est con et est capable de faire foirer un de mes plans par connerie.
C’est loin d’être le cas de celui à qui j’ai permis de réussir à devenir inspecteur débutant.
• Oui, commissaire, tu m’as fait demander !
• Arrête avec ce « commissaire », j’ai reçu cette enveloppe à ton nom et aussi une autre au mien amener par porteur.
J’ignore ce qu’il y a dans la tienne, mais comme dans la mienne, ce sont des ordres pour une mission en Allemagne pour toi, je dois te faciliter la tâche au maximum.
Dans la tienne ce doit être le détail de ce que tu vas y faire.
• Merci je retourne dans mon bureau pour voir de quoi il ressort.
• Tu viendras me dire, Martine, dire que c’est en déconnant avec Lupin que tu es devenue une personne importante.
La pute, inutile d’attendre pour savoir que l’organisation m’envoie me faire sauter chez les teutons.
Certes ils ont déconné, mais ils ont cent fois, mille fois bien fait, ma cagnotte commence à gonfler.
Je sais, vous qui connaissez mes aventures au service de la morale ou de la vertu, vous demandez qu’elle mouche m’a piqué !
Je pense que la lame lors de la messe noire, m’ayant par chance effleurée y est pour beaucoup.
Avant, mon avenir m’importait peu, maintenant que j’apprécie les grosses coupures qui comme je l’ai dit me mouille la chatte chaque fois que j’en prends dans mes mains.
Dans la pochette un billet d’avion pour Berlin en first classe au départ de Lyon avec escale à Paris Charles de Gaulle avec arriver à Berlin à 15 heures 20.
Dans l’Airbus, je fais rapidement celle qui dort, j’ai comme voisin un gros ventru qui se voit déjà me faire visiter la ville.
Lorsqu’il me propose de m’occuper de moi, je constate que c’est un homme du cru, son accent, me montrant ses origines teutonnes.
• J’ai oublié de vous dire, cher monsieur, je suis une pute et je vais rencontrer un client dans un hôtel à Berlin.
Il me paye 3 000 € pour une nuit avec lui, si tu veux surenchérir !
De l’autre côté, une jeune femme qui entend ma repartie et qui souris.
Si elle savait que je suis réellement une pute, je suis sûr que son petit sourire narquois disparaitrait.
Pour me calmer les nerfs étant peut rassurer en avion, je tourne mon Pandora.
Même pour cette mission comme fille d’Olaf, j’ai gardé avec moi ce que je considère comme mon porte-bonheur, ce bracelet offert par ma gentille fifille.
À la sortie, un homme avec une casquette de chauffeur brandi d’une main, une pancarte avec marquer « Martine Durant. »
Crime de sa part, j’ai envie de lui arracher les yeux Durand avec un « D » pas un « T ».
De l’autre « Solène Delabard, » je me fais bousculer par la fille qui souriait de ma repartie.
Delabard, avec un « D, » inversion ce qui serait drôle et si son nom s’écrivait avec à sa fin la lettre « T. »
• Solène !
• Martine !
• Suivez-moi, je dois vous conduire à votre hôtel, une suite vous attend.
Inutile de cacher qui je suis, Solène non plus.
C’est évident, deux escortes, deux places d’avion, du moins, la deuxième de Paris où Solène est montée en même temps que le gros homme ventripotent.
• Helmut, merci d’être venu nous chercher, nous allons conduire ces dames à leur hôtel, j’ai principalement rendez-vous avec Martine, j’ai hâte de voir ses performances comme pute.
C’est ce qui s’appelle avoir tout faux…
• Mais c’est parfait, elle est foutue, inutile que je te demande comment tu t’es procuré ces clichés !
Je reconnais bien ton cul lorsque Ludovic Loréal te baise sans que pour autant ton visage ne soit visible.
• Savoir et voir leur travers doit te suffire pour que tu me donnes ce que tu m’avais promis si je t’apportais la réalité sur la vie sexuelle de ce couple.
Des cliches comment ai-je fait ?
Permettez que je garde pour moi la manière dont une pute comme je le suis devenue pour le bien d’Olaf mon souteneur, obtienne ce qui lui permet de réussir.
Olaf, mais aussi Robert Lyon, inspecteur principal à Dijon qui avait validé mon infiltration alors qu’il est l’un des utilisateurs des filles d’Olaf.
Je peux toucher dans mes mains le fric convenu, ce que Lyon fait sans plus de commentaires.
Je peux simplement vous dire ce qu’il y avait dans le paquet dans du papier-cadeau avec un beau ruban offert à Françoise.
Lorsque je suis arrivée, Ludovic m’a ouvert et je l’ai retrouvé dans leur salon.
Je l’ai embrassé chastement, je venais de me faire admettre en leur sein où j’espérais qu’elle se lâcherait.
• Que m’as-tu offert, c’est rare que l’on me fasse des cadeaux !
Qu’est-ce ce petit objet comme un gros suppositoire, avec une petite queue à sa base ?
• Ludovic, tu dois savoir pourquoi je suis là, Françoise m’a expliqué son refus de t’appartenir après la naissance de vos jumelles.
• Oui et je le déplore, j’aime ma femme et qu’elle me refuse et m’offre des…
• Des putes comme moi, ça doit te déplaire.
• Tout à fait, j’ai un haut rang dans ce département et elle aussi à Paris, au début j’ai cru qu’elle avait un amant et qu’elle se réservait pour lui.
J’ai payé un détective et j’ai su qu’il n’en était rien, j’aspire à ce qu’elle redevienne comme avant, même si elle était très peu portée sur le sexe.
• Vous allez faire deux choses, toi Françoise, fais entrer ma boule de Geisha, dans ta chatte.
À l’évocation des geishas, la vision de Jules sa main sous le kimono d’une jeune fille, même Geisha des temps modernes au Japon, me revient devant les yeux.
Même si là-bas, c’est légal pour l’âge, si la photo est vraie, comment pourrai-je lui pardonner ce geste obscène et surtout mon imagination étant débordante qui me dit que Jules s’arrête à ce simple geste.
Des doigts, mal placés, que fais-je lorsque ma chatte est bien chaude, je suce, on sait que j’aime beaucoup sucer.
Non, c’est impossible mon cerveau refuse de penser à plus, c’est tout de même le père de mes enfants.
Je frissonne, rien qu’à y penser, mais revenons à mon cadeau à Françoise, je me suis perdu dans mes pensées les plus sombres.
• Toi Ludovic donne moi ton portable, je vais te mettre une application qui te permettra de radiocommander la boule que Françoise vient de se mettre dans le vagin.
Ludovic me tend son portable qu’il a pris sur leur buffet, je fais le nécessaire et j’appuie là où ça fait du bien.
Je le sais lorsque je l’ai récupéré, j’ai moi-même chargé l’application, j’ai aussi placé la boule dans ma chatte et dès son démarrage je me suis cassé en deux.
• Martine, ton truc est diabolique, ah ! ah ! ah !
Françoise arrache carrément la boule en tirant sur la partie réception du système.
• C’est de ma faute, je l’ai essayée lorsque je l’ai récupéré et avant de l’arrêter, j’ai poussé sur le plus au maxi.
Comme toi, j’ai tenu cinq secondes me tordant dans un orgasme, que même la bite de mes clients est dans l’impossibilité de m’amener.
J’ai mis sur stop, oubliant que lors du redémarrage le système avait gardé en mémoire l’intensité.
Autre chose, soit sans crainte, je l’ai nettoyée avec de l’eau de Cologne, elle est propre comme lorsque je l’ai sorti de son étui.
Ludovic, appui sur moins et Françoise tu peux le remettre, ton mari va me baiser, je suis venue pour ça.
Il pourra pendant qu’il me fait jouir avec sa queue te faire retourner au plaisir sans jamais te toucher.
Voilà comment je peux donner les photos à Robert, célant l’avenir du couple.
Sur l’une d’elles, je me fais prendre en levrette et derrière moi on voit clairement Ludovic jouer avec sa queue dirigée, moi je le sais, j’y étais, vers ma chatte et après mon trou du cul.
Dans le même temps, Françoise sur une photo, Françoise jouissant des impulsions que son mari lui inflige sans pour autant aller au maxi.
Deux dernières photos, n’y tenant plus, j’ai doublement réussi la mission, ils sont morts lorsque Robert lui montera les photos et ayant arraché mon jouet, on voit clairement que Françoise pour la première fois se fait sodomiser.
Enfin moi je le sais pour la première fois, la boule de geisha l’ayant si profondément déstabilisé c’est elle qui prend la queue de son mari pour la diriger vers son anus sur la première.
La deuxième, alors que son visage et son cul sont bien dans le champ, on voit qu’elle se fait enfiler jusqu’aux couilles de Ludovic.
Résultat, quelques jours plus tard, j’ai quitté Besançon et je suis retournée à Beaune.
Je reçois un courrier venant de Dijon, avec un article parlant de la démission de Françoise Loréal.
Cette dernière dirigeait l’institut des hautes études françaises et son remplacement par Séverine Lyon, femme d’un inspecteur principale de la police de Dijon en Côte d’Or.
Solidaire de sa femme et souhaitant rester près d’elle, Ludovic Loréal à lui aussi démissionner de ses hautes responsabilités en Bourgogne Franche-Comté.
À ce jour, le poste est vacant, le ministère cherchant un autre haut fonctionnaire pour le remplacer à ce poste de haute servitude.
Voilà, je sais tout ceci est pourri dans ce monde de pourri, mais si j’étais un homme, je dirais que je m’en bas la queue, mon bas de laine continue à grossir.
• Marc, demande à Martine de venir me voir, j’ai du courrier pour elle.
Marc, c’est une valeur sur, je le manipule comme une vraie marionnette.
Fred est con et est capable de faire foirer un de mes plans par connerie.
C’est loin d’être le cas de celui à qui j’ai permis de réussir à devenir inspecteur débutant.
• Oui, commissaire, tu m’as fait demander !
• Arrête avec ce « commissaire », j’ai reçu cette enveloppe à ton nom et aussi une autre au mien amener par porteur.
J’ignore ce qu’il y a dans la tienne, mais comme dans la mienne, ce sont des ordres pour une mission en Allemagne pour toi, je dois te faciliter la tâche au maximum.
Dans la tienne ce doit être le détail de ce que tu vas y faire.
• Merci je retourne dans mon bureau pour voir de quoi il ressort.
• Tu viendras me dire, Martine, dire que c’est en déconnant avec Lupin que tu es devenue une personne importante.
La pute, inutile d’attendre pour savoir que l’organisation m’envoie me faire sauter chez les teutons.
Certes ils ont déconné, mais ils ont cent fois, mille fois bien fait, ma cagnotte commence à gonfler.
Je sais, vous qui connaissez mes aventures au service de la morale ou de la vertu, vous demandez qu’elle mouche m’a piqué !
Je pense que la lame lors de la messe noire, m’ayant par chance effleurée y est pour beaucoup.
Avant, mon avenir m’importait peu, maintenant que j’apprécie les grosses coupures qui comme je l’ai dit me mouille la chatte chaque fois que j’en prends dans mes mains.
Dans la pochette un billet d’avion pour Berlin en first classe au départ de Lyon avec escale à Paris Charles de Gaulle avec arriver à Berlin à 15 heures 20.
Dans l’Airbus, je fais rapidement celle qui dort, j’ai comme voisin un gros ventru qui se voit déjà me faire visiter la ville.
Lorsqu’il me propose de m’occuper de moi, je constate que c’est un homme du cru, son accent, me montrant ses origines teutonnes.
• J’ai oublié de vous dire, cher monsieur, je suis une pute et je vais rencontrer un client dans un hôtel à Berlin.
Il me paye 3 000 € pour une nuit avec lui, si tu veux surenchérir !
De l’autre côté, une jeune femme qui entend ma repartie et qui souris.
Si elle savait que je suis réellement une pute, je suis sûr que son petit sourire narquois disparaitrait.
Pour me calmer les nerfs étant peut rassurer en avion, je tourne mon Pandora.
Même pour cette mission comme fille d’Olaf, j’ai gardé avec moi ce que je considère comme mon porte-bonheur, ce bracelet offert par ma gentille fifille.
À la sortie, un homme avec une casquette de chauffeur brandi d’une main, une pancarte avec marquer « Martine Durant. »
Crime de sa part, j’ai envie de lui arracher les yeux Durand avec un « D » pas un « T ».
De l’autre « Solène Delabard, » je me fais bousculer par la fille qui souriait de ma repartie.
Delabard, avec un « D, » inversion ce qui serait drôle et si son nom s’écrivait avec à sa fin la lettre « T. »
• Solène !
• Martine !
• Suivez-moi, je dois vous conduire à votre hôtel, une suite vous attend.
Inutile de cacher qui je suis, Solène non plus.
C’est évident, deux escortes, deux places d’avion, du moins, la deuxième de Paris où Solène est montée en même temps que le gros homme ventripotent.
• Helmut, merci d’être venu nous chercher, nous allons conduire ces dames à leur hôtel, j’ai principalement rendez-vous avec Martine, j’ai hâte de voir ses performances comme pute.
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