COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (5/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand.  Les filles d’Olaf (5/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (5/5)
Dans l’avion qui me conduit à Berlin, je fais la connaissance de deux personnes.
Solène et Rudolf.
Solène, j’apprends son nom sur la pancarte brandi d’une main par Helmut le chauffeur à notre disposition et Rudolf lorsque Helmut s’adresse à l’homme à qui j’ai dit venir faire la pute.
Je dis Rudolf, je devrais dire, monsieur Rudolf, allemand que je pensais rentrant au pays avec son accent caractéristique.
La limousine que conduit Helmut nous permet de nous installer moi à côté de Rudolf, Solène sur la banquette d’en face, tellement le paquebot est grand, une glace nous séparant d’Helmut notre chauffeur.
Je vois Berlin, défiler autour de nous et la main de Rudolf se poser sur ma cuisse dénudée, je porte mon ensemble short, débardeur et petit boléro.
Je suis enclin à le rembarrer, mais un imper par temps de prestation, c’est largement suffisant, autant rester discrète.
Lorsque l’on connaît les propensions à Olaf de faire prendre des bains, surtout dans les eaux froides à des dizaines de mille des côtes, il faut savoir composer.
Ce n’est pas mon Pandora offert par ma fille Charlotte qui m’aidera à rester en vie.
Ce bijou sans grande valeur reste mon meilleur porte-bonheur depuis qu’elle me l’a offert pour la fête des mères et me l’a attaché à mon poignet dans ma vie d’avant.
Bref l’une de mes tenues lorsque je représente les filles d’Olaf afin de gagner rapidement un maximum de gros soussous.
Hôtel central, nous descendons, Rudolf reste dans la limousine, ça me rassure, bien que le sexe et moi, ça se passe plutôt bien, surtout depuis que je fais la pute.
J’ai le temps d’entendre l’ordre qu’il donne à Helmut.

• Helmut, bring mich zu meinem Hotel.

La réponse est surprenante, j’ai compris « hôtel. ».

• Ja, Reichsführer !

« Fureur, machin chose. »
Un vent froid me passe dans le dos.
Cette partie du mot de fureur, c’est la première fois que je l’entends dans la bouche d’un Allemand, j’avais entendu dire que des sections paramilitaires s’étaient réveillées dans ce pays au fil des années.
Mais de là en côtoyer une j’ai une boule à l’estomac qui vient me tarauder.

Mais bon voyage tout de même, assez rapide et un peu fatigant, une soirée de repos sera la bienvenue.

• Mesdames, voici votre chambre, un repas vous sera servi à 20 heures ici même, installez-vous confortablement vous recevrez vos instructions en temps utile.
Dans les penderies vous trouverez les robes du soir que vous aurez à porter lors de la soirée réservée à nos invités de marque.

Comment ne pas repenser au grade que semble avoir Rudolf ?
Si un groupe adorateur d’Hitler, s’est réveillé dans ce pays si proche de nous, autant redoubler de prudence, dans quel panier de crabes ai-je mis les pieds ?
La responsable qui nous accompagne en tailleur noir, chignon et chemisier blanc est la copie conforme des teutonnes que l’on voit dans les films avec des seins comme de véritables obus prêts à éclater les boutons qui les retiennent.
Il ne lui manque que le calot porté un peu penché sur sa tête comme on en voit dans les films sur la Seconde Guerre mondiale et vous avez une Greta, adoratrice de son aimée fureur en chair et en os.

• Dis-moi Solène, côté gauche ou côté droit, moi peu m’importe.
• Pour moi aussi, je prends le gauche, ils ont déposé ma valise au bout du lit de ce côté.
Dis-moi aussi, y a-t-il longtemps que tu fais partie des filles d’Olaf ?
• Quatre ans, à ce jour j’étais plutôt enclin à travailler en Angleterre près d’hommes ou de femmes de la City.
Mais hélas, depuis le Brexit, bien des portes se sont fermées, je pense que c’est pour cela que je me retrouve avec toi à Berlin, c’est la première fois que l’on m’envoie en Allemagne.

J’ai appris à me méfier de l’entourage qui a été mis en place par Olaf, à travers les pays puisque je découvre que Rudolf en voisin de voyage était certainement là pour surveiller que tout se passait bien pendant le voyage.
Sans oublier les signes qui montrent que nous sommes revenus des années en arrière avec les groupes paramilitaires.
Une interrogation tout de même, l’âge d’Helmut, quarante, quarante-cinq, plus les soixante-dix, cent dix à cent quinze ans, il est bien conservé pour son âge.
Celle que je viens de prendre pour une, Greta, pas plus de trente ans.
Plus toujours ses soixante-dix, le siècle, alors qu’elle semble toujours être baisable, je dois faire fausse route, mais je décide de rester sur mes gardes.
Pour finir, mes interrogations, à ce que me dévoile Solène et à ce que nous vivons en nous rendons à Berlin, les filles d’Olaf, semblent être une organisation internationale.
Ça me fait envisager plus de gains que si ses filles n’avaient agi que dans l’hexagone, ça renforce mon bon choix de les avoir rejointes.

Solène, sans plus de pudeur, fait tomber ses affaires rapidement m’apparaissant dans sa parfaite nudité, la chatte épilée.
On sait que j’apprécie les femmes, je l’ai quelquefois prouvée.
Elle est nue, se déplaçant vers la salle d’eau avec grâce, c’est vraiment une jolie femme.
Je me dénude moi aussi et je décide de tester jusqu’à ou je peux aller pour mettre cette jolie pute dans ma poche.
Au passage, je vois la marque du fer à rougir sur sa fesse droite.
Ça me rassure, je vois mal une femme dépendante d’Olaf se laisser bruler comme moi j’ai accepté de le faire pour être l’une des responsables de notre souteneur, c’est bien une simple pute comme moi.
Lorsque j’entre l’eau coule sur son corps dans une douche, dite à l’italienne.
La salle d’eau est assez grande pour y mettre une baignoire, une douche spacieuse et un double lavabo.
Sur le premier, je remarque les produits dont je me sers chez moi, je savais déjà qu’Olaf avait fait visiter ma maison.
Cela me le confirme, bien que ce soit un peu con, sur celui de Solène, je repère des produits de grandes marques genre Dior ou Jean-Paul Gaultier.
Je m’y connais mal en vêtements de luxe, j’en déduis que dans sa malle, ces mêmes marques composent la majorité de ses vêtements.
Je suis enclin à vouloir m’acheter les mêmes en me rendant dans la capitale, mais je me contenterais de continuer à me vêtir à Beaune, mes chevaux étant mon but principal en me prostituant.
Deviendrais-je coquette, moi comme je l’ai dit, suis plutôt baskets et jeans.
J’arrive derrière elle, elle a un savon en main, je le prends manquant de le faire tomber au risque de lui faire le coup de la savonnette et je commence à lui savonner le corps.
Si je dois m’en ramasser une, c’est maintenant où comme on dit dans les mariages « taisez-vous à jamais. »

• Tu as la peau douce, j’adore les peaux des femmes !
Comparés à celles des hommes, seules leurs bites m’intéressent.

Nous nous faisons face et c’est tout naturellement que nous nous embrassons frottant nos corps l’un à l’autre afin de bien étaler le savon sur l’une et l’autre.
La savonnette est un atout majeur dans mon jeu lorsque je la glisse entre nos deux corps enlacés, je trouve la nudité de sa vulve et je la fais entrer entre ses grandes lèvres.
Non seulement elle mouille, mais son clito semble exacerbé chaque fois qu’un de m’est doigts le touche.
J’adore le goût de sa bouche, j’ai appris à aimer embrasser les femmes, la langue de ma congénère est de loin la plus efficace qu’il m’ait été donné de connaitre.
Ses clients ou clientes, doivent en avoir pour leur argent avec cette jolie fille d’Olaf.
Les colombes tatouées sur sa fesse que je caresse avec mon savon et aussi subrepticement par mon doigt, me réconfortent.
J’ai bien affaire à une de ses putes.
Qui irait se faire bruler le cul, alors qu’un simple tatouage indélébile à l’eau pourrait faire l’affaire.
Ses doigts, non son pouce vient au contact de ma propre chatte, c’est bon et c’est là aussi très doux.
Je me surprends à fléchir sur mes jambes lorsqu’un grand plaisir balaye mon corps.
Nos bouches écrasent mes cris de jouissance.
Je suis surprise moi-même, je viens de devenir dépendante de cette jeune femme qui est plus jeune que moi.
Pour me certifier que c’est elle qui me domine, elle récupère la savonnette, la pose dans le présentoir et se saisissant du pommeau de douche commence à nous rincer.
Là encore elle me domine, lorsqu’elle dirige le jet sur mes grandes lèvres qu’elle écarte de son autre main.
Nous sommes les yeux dans les yeux et son petit sourire ironique me font comprendre qu’elle aussi sait que, je suis à elle alors que c’est moi qui suis venue la rejoindre sous sa douche.
L’eau coupée, elle pose la douchette et ferme l’eau avant de sortir de l’espace pour nous sécher avec une serviette.
Retour vers la chambre et surtout le lit.

• Attends, je reviens.

Solène va vers la commode près de l’entrée et cherche dans son sac à main.
Elle est de dos, je vois son joli petit cul.
C’est beau d’être jeune bien que nous n’ayons pas beaucoup d’écart d’âge.
Je la vois prendre la carte magnétique de la serrure d’entrée, que la réceptionniste a posée, elle aussi sur cette commode après nous avoir ouverts.
Elle revient vers moi me montrant son côté face très charmant après m’avoir montré son côté pile.
Elle a en mains, une petite glace et un tube qu’elle me tend.

• Tient prend ça, ça décuplera ton plaisir.
• Tu es folle, de la coke, pas touches à cette saloperie.
• Tu te trompes, c’est festif, tu verras, ça décuplera ton plaisir, une petite ligne de temps en temps, justes pour planer un peu, ai-je l’air d’une toxico ?

C’est à ce moment, lorsque je prends le petit tube en main que l’on frappe à la porte de notre chambre.

• Ihr Essen, meine Damen.
• Quand allons-nous intervenir ou avoir besoin de nous ?
• Ich spreche kein Französisch.
Pas parler Französisch.

Nous non plus, on n’est pas avancé, attendons, nous verrons bien lorsqu’ils auront besoin de nos fesses.
En attendant, j’avance mon nez près de la glace et des quatre lignes que Solène a tirées avec la carte magnétique…

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