COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (1/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (1/11)
• Entre et ferme la porte afin que nous soyons tranquilles !
• Je suis venue, mais c’est la dernière fois, j’ai pris conscience des risques que nous prenons à nous retrouver chaque fois que nous le pouvons au fond de cette cave.
• Ça c’est facile, souvient toi, c’est toi qui as flaché sur moi et qui as tout mis en place pour que nous soyons tranquilles tellement tu avais envie que je te baise.
Soulève ta jupe, je veux voir si tu as suivi mes ordres !
• Regarde, je l’ai fait, mais je crois que l’on prend trop de risques, pourtant si tu savais combien j’ai envie de toi !
Je suis amoureuse et j’ai envie de me blottir dans tes bras après que tu m’aies fait merveilleusement l’amour.
• C’est bien, soulève encore un peu plus, que ta chatte est belle, tient, je sors ma queue, viens me sucer, mais marche en rampant.
• Je t’en supplie, je sais que nous avons tourné une vidéo montrant la salope que je suis, mais efface là et rends-moi ma liberté !
• La vidéo, tu étais prête à tout ce jour-là, je refusais de coucher avec toi, mais tu m’as emmené ici où tu avais tout préparé pour que je te saute et que je fasse de toi une pute, ma pute.
Souvient toi, « oui je suis ta petite pute », c’est bien toi et non une autre qui me disait ces mots !
• Bien, tu as raison, je te suce une dernière fois, tu as vu j’ai suivi ton ordre de ramper jusqu’à toi.
• La dernière fois, tu rigoles, parle pour toi, tu m’as voulu, tu m’as eu, mais ta vidéo je saurais m’en servir pour te faire redescendre ici autant de foi que je le désirerais.
On a plein de jeux à pratiquer ensemble, avoir la chance de tenir au bout de sa queue une si belle rousse, dont la chatte sent la marée, pourquoi te rendrais-je ta liberté ?
• Car je suis une femme mariée ayant eu un moment de folie que tu as su satisfaire.
Si mon mari apprend que je me fais sauter au fond de cette cave sordide sur un matelas aussi sordide, je risque de le perdre, il partirait avec mes enfants sans parler de mon travail.
• Le matelas, parlons-en, c’est toi qui l’as amené afin que nous puissions baiser autrement que debout la porte refermée comme nous l’avons fait la première fois.
C’est bien, continue, tu suces divinement, j’ai bien fait d’accepter que tu me dépucelles, salope.
Tu aimes être un peu forcée, j’adore ton jeu de la pucelle effarouchée, tu sais très bien qu’ici nous sommes tranquilles, qui viendraient nous déranger !
Oui, oui, le bout de ma verge et redescend jusqu’à mes couilles.
Putain tu les mets entières dans ta bouche.
Attends, tu vas me faire une gorge profonde et après je te sucerais l’abricot, tu aimes que l’on te suce l’abricot, un, ma belle salope !
J’aime te traiter de salope, il faut l’être pour prendre les risques que tu prends !
Elle libère ma queue, de la bave coule de sa bouche, je la récupère et je me sers de mon pouce pour la remettre dans la bouche de cette chienne à quatre pattes devant moi.
Elle me suce le pouce avant de retourner à ma bite.
Nous sommes sur le matelas, le jour où nous sommes venues et que j’ai vu qu’elle avait été jusque-là pour que je la défonce, je suis devenue le roi du pétrole.
• Arrête, amène ta chatte sur ma bouche, j’ai envie de boire ton jus, c’est un très bon fortifiant pour un jeune homme de mon âge.
Ma salope, me libère se met à ramper sur moi.
Je m’allonge et sa chatte, que j’ai déjà dit ayant la même couleur que sa chevelure rousse vient se poser sur mes lèvres.
Je sors ma langue et je la passe tous le long de sa fente, avant elle, j’ignorais que les chattes avaient de si grandes lèvres, j’insiste jusqu’à trouver son clito.
Il y a un mois lorsqu’elle m’a attiré dans la chaufferie et m’a fait entrer dans ce petit réduit, j’étais surpris, mais malgré mon manque d’expérience, j’ai vite profité de la situation.
J’ai accepté de la baiser, contre une vidéo que j’ai tourné avec mon mobile et qui me sert de monnaie d’échange pour continuer nos jeux dont je raffole.
Confidence, lorsque je parle de son jus, malgré mon jeune âge, bientôt dix-huit et mon pucelage, j’ai regardé de nombreux pornos et je connais les femmes fontaines, elle en fait partie.
• Tu veux toujours arrêté, demande-le-moi, et je te laisse partir !
• Oui, non, non, non, oui c’est la dernière, mais non prend moi, je veux encore sentir ta verge en moi.
• Tiens, j’aime les salopes comme toi, une nouvelle fois, je vais te baiser jusqu’à mercredi prochain où je t’attendrais à 15 heures, cette fois, je t’avais fait choisir, entre te faire sodomiser ou te promener la chatte à l’air.
Tu as accepté cette deuxième solution et je t’en remercie de l’avoir fait.
La prochaine fois, je te propose de te faire un tatouage, avec une tête de mort sur l’épaule où au choix te faire percer les seins, qu’est-ce que tu choisis ?
• Tu es fou, mon mari, que dira-t-il lorsqu’il verra que je me suis fait faire l’un ou l’autre, c’est trop visible lorsque je serais dans notre lit !
• Encore une fois, c’est toi qui m’as dit que tu te soumettrais à mes quatre volontés la première fois pour que je baise avec toi, souviens-toi, j’étais retissant pour toi et ton couple.
Tu te démerdes, tu trouves un motif, à Dijon il y a un tatoueur poseur de piercing, lequel tu choisis, ton épaule ou tes seins, sinon tu sais ce que va recevoir ton mari !
• Tu es mon beau salopard, mais j’aime que tu me lances des défis, je me ferais percer les seins, je lui dirais que c’est pour lui que je l’ai fait.
• En attendant suce, il va falloir y aller.
Cette salope a une bouche à faire des pipes, j’adore sa langue qui masse ma verge.
• Mets-toi à quatre pattes, je vais te baiser et me vider les couilles, tu es...
Dis-moi ?
• Une putain, ta putain, tu as raison, je serais là les seins percés mercredi, je t’aime.
Je quitte Laurent mon amant, mon cupidon, mon ange blond la première, la chatte dégoulinante de son sperme.
Les autres fois, j’avais ma petite culotte pour me nettoyer, aujourd’hui après son défi, j’ai la chatte à l’air sous ma robe qui dégouline de son sperme mélangé à ma mouille.
Je quitte le local et traversant la chaufferie, je remonte à l’étage en faisant très attention à rejoindre les classes sans être vu.
Deux jours plus tard, pendant mon week-end le samedi, j’ai prétexté une course et je suis allée me faire poser des piercings sur le bout des seins.
Lorsque je suis rentrée, j’ai fait voir à Serge mon mari que j’étais passé devant une boutique de piercing et que j’avais eu la vision de mes seins transpercés pour lui, seulement pour lui et que j’avais sauté le pas.
J’étais un peu anxieuse au début, ça c’est bien passé, j’en ai profité pour me refuser à lui, la douleur étant forte, je restais ainsi fidèle à mon amant.
Dans une heure malgré les risques, je vais rejoindre Laurent, malgré les risques, je suis folle de ce garçon croisé un jour dans le couloir.
Un regard et moi si fidèle il a fallu que je baise avec lui, c’était une pulsion plus forte que la morale.
• Madame, la proviseure, c’est un grand malheur !
• Que vous arrive-t-il Bertrand, vous vous êtes blessé, vous avez les mains et les vêtements, couvert de sang.
• C’est dans un petit local au fond de la chaufferie, ou était rangé du vieux matériel.
Je suis passé devant et j’ai entendu des râles, j’ai ouvert, il était là couché sur un vieux matelas un tournevis planté dans la poitrine.
C’est mon tournevis qui se trouvait dans ma boîte à outils que quelqu’un lui a plantés dans le corps.
Il est mort dans mes bras en me disant un nom, ou du moins le début, Laure...
Mon dieu Laurent, Laurent a été tué sur le matelas où nous nous couchions et où je devais le rejoindre.
Oui, je sais, je suis Marie, la proviseure de ce lycée et j’ai trahi ma fonction en baisant avec l’un de nos élèves.
• Il a dit Laure... , alors Laurent est vivant, qui a reçu un coup de tournevis dans la poitrine ?
• Non, le grand, l’élève roux, Valentin, je crois qu’il s’appelait par ce nom !
Je m’appelle Martine Durand avec un « D » à la fin, je suis inspecteur de police au commissariat de Beaune en Côte d’Or.
Vous me connaissez, c’est moi qui ai résolu l’affaire sado-maso de l’hôtel restaurant « Les Grands Crus » sur la route des vins entre Beaune et Chagny en Saône et Loire.
Le matelas avait parlé et ici dans ce lycée il semble qu’un matelas soit aussi une preuve du meurtre d’un jeune homme de dix-sept ans, élèves dans ce lycée où nous venons d’arriver.
• Claude, fait des photos de la scène de crime.
Après tu iras au-devant des inspecteurs du judiciaire de Dijon, que j’ai prévenu.
Je regarde si j’ai du réseau, au fond de cette cave de ce lycée, je vois que ça passe mal.
Je vous avais quitté baisant avec Fred mon adjoint dans la chambre de cet hôtel rempli de glaces jusqu’au plafond.
J’ai souvent résisté à ses avances, il avait même eu le toupet de m’inviter à déjeuner voulant m’entrainer dans ses jeux érotiques et ainsi cocufiant Jules mon mari que j’ai épousé et avec qui j’ai eu Alexandre onze ans et Charlotte cinq ans.
Les meurtres sont rares dans nos petites communes, mes enfants comme moi ont un an de plus.
Fred Leroy a qui je cède, non, que j’entraine dans mes débauches en baisant dans cet hôtel et cette chambre plus que spéciale, m’a quitté.
Contre toute attente, à part sa manière de me baiser hors pair, Jules pourrait prendre des cours, Fred a été reçu à son concours de commissaire.
Il a été nommé à Tourcoing près de Lille et je l’ai au téléphone de temps en temps.
Lui, c’est la drogue son principal souci, Lille comme toutes les métropoles sont propices à ce genre de trafic.
Depuis que j’ai été sa maîtresse, quelque temps avant qu’il me quitte, nous sommes très libres dans nos rapports sur le sexe.
Il y a un mois, il est tombé sur celle qu’il fuyait comme la peste, une jeune gendarmette qui le tient par les couilles.
Lucie, c’est le nom qu’il m’a donné, a décidé qu’il allait l’épouser et ce grand con est en train de se laisser faire.
Mais bon c’est son affaire, après quatre, non, cinq coups tirés avec lui et surtout son départ je suis revenue à la bite familiale et à l’élevage de mes enfants.
Je sais, Beaune se trouve dans les vignes à la campagne, et il est bizarre de parler « d’élevage, » mais je dois reconnaître que je suis loin d’être une mère attentionnée plus intéressée par mon travail que ma famille.
Avec Fred et surtout la chambre aux glaces, lorsque l’on y a goutté, c’est difficile de s’en passer.
• Madame l’inspectrice, puis-je vous parlez dans mon bureau !
J’ai horreur que l’on me dise « inspectrice », je suis un inspecteur de police, mes rapports avec madame, le proviseur commence mal...
• Je suis venue, mais c’est la dernière fois, j’ai pris conscience des risques que nous prenons à nous retrouver chaque fois que nous le pouvons au fond de cette cave.
• Ça c’est facile, souvient toi, c’est toi qui as flaché sur moi et qui as tout mis en place pour que nous soyons tranquilles tellement tu avais envie que je te baise.
Soulève ta jupe, je veux voir si tu as suivi mes ordres !
• Regarde, je l’ai fait, mais je crois que l’on prend trop de risques, pourtant si tu savais combien j’ai envie de toi !
Je suis amoureuse et j’ai envie de me blottir dans tes bras après que tu m’aies fait merveilleusement l’amour.
• C’est bien, soulève encore un peu plus, que ta chatte est belle, tient, je sors ma queue, viens me sucer, mais marche en rampant.
• Je t’en supplie, je sais que nous avons tourné une vidéo montrant la salope que je suis, mais efface là et rends-moi ma liberté !
• La vidéo, tu étais prête à tout ce jour-là, je refusais de coucher avec toi, mais tu m’as emmené ici où tu avais tout préparé pour que je te saute et que je fasse de toi une pute, ma pute.
Souvient toi, « oui je suis ta petite pute », c’est bien toi et non une autre qui me disait ces mots !
• Bien, tu as raison, je te suce une dernière fois, tu as vu j’ai suivi ton ordre de ramper jusqu’à toi.
• La dernière fois, tu rigoles, parle pour toi, tu m’as voulu, tu m’as eu, mais ta vidéo je saurais m’en servir pour te faire redescendre ici autant de foi que je le désirerais.
On a plein de jeux à pratiquer ensemble, avoir la chance de tenir au bout de sa queue une si belle rousse, dont la chatte sent la marée, pourquoi te rendrais-je ta liberté ?
• Car je suis une femme mariée ayant eu un moment de folie que tu as su satisfaire.
Si mon mari apprend que je me fais sauter au fond de cette cave sordide sur un matelas aussi sordide, je risque de le perdre, il partirait avec mes enfants sans parler de mon travail.
• Le matelas, parlons-en, c’est toi qui l’as amené afin que nous puissions baiser autrement que debout la porte refermée comme nous l’avons fait la première fois.
C’est bien, continue, tu suces divinement, j’ai bien fait d’accepter que tu me dépucelles, salope.
Tu aimes être un peu forcée, j’adore ton jeu de la pucelle effarouchée, tu sais très bien qu’ici nous sommes tranquilles, qui viendraient nous déranger !
Oui, oui, le bout de ma verge et redescend jusqu’à mes couilles.
Putain tu les mets entières dans ta bouche.
Attends, tu vas me faire une gorge profonde et après je te sucerais l’abricot, tu aimes que l’on te suce l’abricot, un, ma belle salope !
J’aime te traiter de salope, il faut l’être pour prendre les risques que tu prends !
Elle libère ma queue, de la bave coule de sa bouche, je la récupère et je me sers de mon pouce pour la remettre dans la bouche de cette chienne à quatre pattes devant moi.
Elle me suce le pouce avant de retourner à ma bite.
Nous sommes sur le matelas, le jour où nous sommes venues et que j’ai vu qu’elle avait été jusque-là pour que je la défonce, je suis devenue le roi du pétrole.
• Arrête, amène ta chatte sur ma bouche, j’ai envie de boire ton jus, c’est un très bon fortifiant pour un jeune homme de mon âge.
Ma salope, me libère se met à ramper sur moi.
Je m’allonge et sa chatte, que j’ai déjà dit ayant la même couleur que sa chevelure rousse vient se poser sur mes lèvres.
Je sors ma langue et je la passe tous le long de sa fente, avant elle, j’ignorais que les chattes avaient de si grandes lèvres, j’insiste jusqu’à trouver son clito.
Il y a un mois lorsqu’elle m’a attiré dans la chaufferie et m’a fait entrer dans ce petit réduit, j’étais surpris, mais malgré mon manque d’expérience, j’ai vite profité de la situation.
J’ai accepté de la baiser, contre une vidéo que j’ai tourné avec mon mobile et qui me sert de monnaie d’échange pour continuer nos jeux dont je raffole.
Confidence, lorsque je parle de son jus, malgré mon jeune âge, bientôt dix-huit et mon pucelage, j’ai regardé de nombreux pornos et je connais les femmes fontaines, elle en fait partie.
• Tu veux toujours arrêté, demande-le-moi, et je te laisse partir !
• Oui, non, non, non, oui c’est la dernière, mais non prend moi, je veux encore sentir ta verge en moi.
• Tiens, j’aime les salopes comme toi, une nouvelle fois, je vais te baiser jusqu’à mercredi prochain où je t’attendrais à 15 heures, cette fois, je t’avais fait choisir, entre te faire sodomiser ou te promener la chatte à l’air.
Tu as accepté cette deuxième solution et je t’en remercie de l’avoir fait.
La prochaine fois, je te propose de te faire un tatouage, avec une tête de mort sur l’épaule où au choix te faire percer les seins, qu’est-ce que tu choisis ?
• Tu es fou, mon mari, que dira-t-il lorsqu’il verra que je me suis fait faire l’un ou l’autre, c’est trop visible lorsque je serais dans notre lit !
• Encore une fois, c’est toi qui m’as dit que tu te soumettrais à mes quatre volontés la première fois pour que je baise avec toi, souviens-toi, j’étais retissant pour toi et ton couple.
Tu te démerdes, tu trouves un motif, à Dijon il y a un tatoueur poseur de piercing, lequel tu choisis, ton épaule ou tes seins, sinon tu sais ce que va recevoir ton mari !
• Tu es mon beau salopard, mais j’aime que tu me lances des défis, je me ferais percer les seins, je lui dirais que c’est pour lui que je l’ai fait.
• En attendant suce, il va falloir y aller.
Cette salope a une bouche à faire des pipes, j’adore sa langue qui masse ma verge.
• Mets-toi à quatre pattes, je vais te baiser et me vider les couilles, tu es...
Dis-moi ?
• Une putain, ta putain, tu as raison, je serais là les seins percés mercredi, je t’aime.
Je quitte Laurent mon amant, mon cupidon, mon ange blond la première, la chatte dégoulinante de son sperme.
Les autres fois, j’avais ma petite culotte pour me nettoyer, aujourd’hui après son défi, j’ai la chatte à l’air sous ma robe qui dégouline de son sperme mélangé à ma mouille.
Je quitte le local et traversant la chaufferie, je remonte à l’étage en faisant très attention à rejoindre les classes sans être vu.
Deux jours plus tard, pendant mon week-end le samedi, j’ai prétexté une course et je suis allée me faire poser des piercings sur le bout des seins.
Lorsque je suis rentrée, j’ai fait voir à Serge mon mari que j’étais passé devant une boutique de piercing et que j’avais eu la vision de mes seins transpercés pour lui, seulement pour lui et que j’avais sauté le pas.
J’étais un peu anxieuse au début, ça c’est bien passé, j’en ai profité pour me refuser à lui, la douleur étant forte, je restais ainsi fidèle à mon amant.
Dans une heure malgré les risques, je vais rejoindre Laurent, malgré les risques, je suis folle de ce garçon croisé un jour dans le couloir.
Un regard et moi si fidèle il a fallu que je baise avec lui, c’était une pulsion plus forte que la morale.
• Madame, la proviseure, c’est un grand malheur !
• Que vous arrive-t-il Bertrand, vous vous êtes blessé, vous avez les mains et les vêtements, couvert de sang.
• C’est dans un petit local au fond de la chaufferie, ou était rangé du vieux matériel.
Je suis passé devant et j’ai entendu des râles, j’ai ouvert, il était là couché sur un vieux matelas un tournevis planté dans la poitrine.
C’est mon tournevis qui se trouvait dans ma boîte à outils que quelqu’un lui a plantés dans le corps.
Il est mort dans mes bras en me disant un nom, ou du moins le début, Laure...
Mon dieu Laurent, Laurent a été tué sur le matelas où nous nous couchions et où je devais le rejoindre.
Oui, je sais, je suis Marie, la proviseure de ce lycée et j’ai trahi ma fonction en baisant avec l’un de nos élèves.
• Il a dit Laure... , alors Laurent est vivant, qui a reçu un coup de tournevis dans la poitrine ?
• Non, le grand, l’élève roux, Valentin, je crois qu’il s’appelait par ce nom !
Je m’appelle Martine Durand avec un « D » à la fin, je suis inspecteur de police au commissariat de Beaune en Côte d’Or.
Vous me connaissez, c’est moi qui ai résolu l’affaire sado-maso de l’hôtel restaurant « Les Grands Crus » sur la route des vins entre Beaune et Chagny en Saône et Loire.
Le matelas avait parlé et ici dans ce lycée il semble qu’un matelas soit aussi une preuve du meurtre d’un jeune homme de dix-sept ans, élèves dans ce lycée où nous venons d’arriver.
• Claude, fait des photos de la scène de crime.
Après tu iras au-devant des inspecteurs du judiciaire de Dijon, que j’ai prévenu.
Je regarde si j’ai du réseau, au fond de cette cave de ce lycée, je vois que ça passe mal.
Je vous avais quitté baisant avec Fred mon adjoint dans la chambre de cet hôtel rempli de glaces jusqu’au plafond.
J’ai souvent résisté à ses avances, il avait même eu le toupet de m’inviter à déjeuner voulant m’entrainer dans ses jeux érotiques et ainsi cocufiant Jules mon mari que j’ai épousé et avec qui j’ai eu Alexandre onze ans et Charlotte cinq ans.
Les meurtres sont rares dans nos petites communes, mes enfants comme moi ont un an de plus.
Fred Leroy a qui je cède, non, que j’entraine dans mes débauches en baisant dans cet hôtel et cette chambre plus que spéciale, m’a quitté.
Contre toute attente, à part sa manière de me baiser hors pair, Jules pourrait prendre des cours, Fred a été reçu à son concours de commissaire.
Il a été nommé à Tourcoing près de Lille et je l’ai au téléphone de temps en temps.
Lui, c’est la drogue son principal souci, Lille comme toutes les métropoles sont propices à ce genre de trafic.
Depuis que j’ai été sa maîtresse, quelque temps avant qu’il me quitte, nous sommes très libres dans nos rapports sur le sexe.
Il y a un mois, il est tombé sur celle qu’il fuyait comme la peste, une jeune gendarmette qui le tient par les couilles.
Lucie, c’est le nom qu’il m’a donné, a décidé qu’il allait l’épouser et ce grand con est en train de se laisser faire.
Mais bon c’est son affaire, après quatre, non, cinq coups tirés avec lui et surtout son départ je suis revenue à la bite familiale et à l’élevage de mes enfants.
Je sais, Beaune se trouve dans les vignes à la campagne, et il est bizarre de parler « d’élevage, » mais je dois reconnaître que je suis loin d’être une mère attentionnée plus intéressée par mon travail que ma famille.
Avec Fred et surtout la chambre aux glaces, lorsque l’on y a goutté, c’est difficile de s’en passer.
• Madame l’inspectrice, puis-je vous parlez dans mon bureau !
J’ai horreur que l’on me dise « inspectrice », je suis un inspecteur de police, mes rapports avec madame, le proviseur commence mal...
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excellente histoire ! j'ai adoré !