COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (11/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (11/11)
• Un moment vous l’avez cru coupable, je connais ma femme et la déontologie qui est la sienne, j’ai lu que c’était un élève qui avait été poignardé avec un tournevis.
Une nouvelle fois, je me retrouve en terrain glissant, dois-je en dire plus au risque de compromettre de nouveau Marie ayant été légère avec ce petit con de Laurent ?
Comme je sais le faire, j’attaque afin de mettre en porte-à-faux celui qui me pose ces questions embarrassantes.
• Marie avait des informations et elle me les a confiées, mais elles sont dans le dossier et il m’est impossible d’en parler malgré que celui-ci soit provisoirement refermé.
Nous nous sommes rapprochées et c’est pourquoi nous sommes allées à Chagny au restaurant, c’est là qu’elle a abusé de la bouteille.
Vous m’avez dit que vous reveniez du Mali, qui ment, Marie m’a dit qu’elle avait fait croire que vous étiez au Mali alors que vous étiez à Chalon !
• Vous m’avez dit être inspectrice de police, je vois bien là votre esprit toujours en éveil, lorsque deux éléments sont discordants.
• Alors expliquez-vous ?
• Il y a six mois, nous nous sommes fâchés Marie et moi lorsqu’elle a cru savoir qu’il lui était impossible d’avoir des enfants.
Elle m’a quitté et j’ai vite compris que c’était la femme de ma vie, mais le destin en a décidé autrement alors je m’étais mis en tête de la retrouver.
Hélas, mon unité a réellement été envoyée au Mali en renfort de troupes en difficulté sur le terrain.
Regardez comme je suis bronzé, j’en reviens juste.
Je sais une chose que Marie ignore, le labo a envoyé une lettre d’excuses, des analyses ayant été malencontreusement croisées, Marie comme moi nous pouvons avoir des enfants.
J’ai reçu cette lettre via le service des armées et après avoir su où elle était, je suis venu dès que j’ai pu.
J’allais prendre congé, ayant fini de jouer les infirmières, lorsque Marie ouvre ses yeux.
• J’ai tout entendu, vous êtes des amours tous les deux.
Avant que j’aie le temps de réagir, elle se redresse, me prend dans ses bras et m’embrasse sans équivoque devant Luc.
Gardant l’initiative, dans un même mouvement elle alpage son mari et lui aussi a droit à un baiser passionné.
Depuis mon voyage à Tourcoing suis-je vouée aux amours en trio, je veux le croire lorsqu’en même temps qu’elle l’embrasse, elle défait la ceinture de Luc sortant sa verge.
Je comprends l’invitation, elle m’offre en cadeau de ma bienveillance envers elle son mari revenu de nulle part.
Quand je la prends en main, c’est en adulte consentant, les uns et les autres que nous nous retrouvons nus et partants pour ce qui pourrait être considéré comme une partie carrée.
Chatte de rousse, naturelle, lorsque je l’avais couché avant l’intervention intempestive du jeune Laurent, j’avais eu le temps de constater qu’aucune teinture des cheveux permettait à Marie de nous tromper sur sa couleur.
Le nez dans sa vulve, les fesses légèrement surélevées, Luc me prend en levrette pour mon plus grand plaisir.
J’ai du mal à m’exprimer car le bougre est viril et me pilonne avec force et vigueur, ce qui est normal pour un viril militaire même si c’est en civile qu’il s’est présenté à moi.
J’ai du mal à penser, mais je pense tout de même à celles qui vont mettre des commentaires sur mes confidences, car une nouvelle fois, je fais cocu Jules.
Comme je l’ai dit, je subis les évènements et rien pour dire que lorsqu’il était au Japon, lui aussi a écorné notre contrat de mariage.
Merde aux refroidit du cul, les glaces et mon voyage à Tourcoing m’ont démontré que j’aime le sexe en tout bien tout honneur et entre adultes consentants.
Je jouis sous les coups de verge de Luc alors qu’elle s’envoie en l’air sous mes coups de langue.
Lorsqu’il me quitte, afin qu’à son tour, il se couche sur sa femme et l’emmancher d’un grand coup de sa bite, je me lève discrètement, je récupère mes affaires et c’est dans l’entrée que je quitte ce couple à nouveau réuni.
Dehors, l’air est frais, je rejoins mon chez-moi, la maison est vide, Jules a dû sortir pour aller promener les enfants.
Luc a pris le temps de mettre une capote lorsqu’il me baisait, mais je sens le besoin de me nettoyer alors je me fais couler un bain avant leur retour.
• Maman, on t’aime, tu nous as fait des crêpes pour notre quatre-heures, tu es la plus merveilleuse des mamans.
Oui bons, évitons les clichés de la maman affectueuse, je suis une salope qui en prenant un bain croit se laver de tous ces débordements depuis que j’ai cédé à Fred, on sait dans quelles circonstances.
• Commissaire, je peux vous parler !
• Entrez Martine, vous avez gagné le droit chaque fois que vous le désirerez de le faire après avoir si promptement résolu notre affaire et en plus sans la moindre dépense pour mon budget assez serré.
J’avais été mis au courant par Yollande des dépenses inconsidérées que voulait faire votre nouvel adjoint, tenez-le, à l’œil celui-là.
Fred était loin d’être une lumière, mais lui, il détient le pompon en incompétence.
Yollande m’a dit qu’il pensait plus à la gaudriole qu’à résoudre nos affaires, heureusement que je vous ai.
• Justement commissaire, je viens vous voir après la petite sauterie où vous nous aviez invité.
• Oui, j’ai trouvé étrange que vous partiez si vite, nos amis n’étaient pas de votre goût !
• Oh ! que non, Anatole, mais Jules m’avait demandé de lui faire une course avant son retour et j’avais carrément zappé.
• C’est la première fois que vous m’appelé par mon petit nom, j’espère que je dois ne rien voir d’ironiques dans votre bouche.
Anatole, c’est dur à porter surtout lorsque l’on est petit.
• Justement, « petit », c’est le but de ma visite, ce matin.
• Vous savez, on ne peut rien vous cacher, pourtant Fred m’avait promis d’éviter de parler de ce qu’il avait vu, un soir ou il revenait de mission et que j’ignorais qu’il allait revenir.
• Si je suis partie l’autre soir aussi rapidement, c’est après avoir discuté avec votre femme dans la cuisine.
Elle a des doutes, sur Yollande et sur vous !
Il est vrai que Fred m’a mis au courant pour elle et vous, un soir de pleine lune ou vos sens vous échappent.
• Moquez-vous, Martine, vous qui êtes la fidélité même envers Jules votre mari.
Deux choses l’une, il se fiche de ma gueule sachant mes infidélités ou est-il naïf ?
À la manière dont il prononce ces mots, la naïveté est sa source première, pourtant il est là pour diriger une équipe d’enquêteurs.
• Fred étant au loin, on peut l’écarter, il y a une taupe au sein de notre commissariat, j’ai essayé d’en savoir plus, mais sans succès auprès d’elle.
• Claude, il a pu apprendre des choses et veut me faire chanter !
• Non, il a des défauts, mais je crois qu’il vise une autre cible, il est réglo dans notre métier.
• Je vous fais confiance, il va de soi que je vous écarte de toute suspicion qu’auriez-vous à gagner, j’ai voulu vous persuader que vous pourriez fare un bon commissaire de police, mais vous avez choisi votre famille à votre carrière.
• Je suis bien comme je suis, la solution, c’est vous commissaire, avez-vous fait des promesses à quelqu’un ou quelqu’une et elle se sentirait toute puissante !
• Non, pourquoi aurais-je promis quelque chose à quelqu’un qui se retournerait contre moi ?
J’ai bien une idée, je me souviens de certaines conversations entendues dans les toilettes du commissariat.
• Yollande, que faite vous, j’aimerais mieux vous connaitre, je crois que nous sommes un peu loin l’une de l’autre !
Yollande, ma piste principale, est-ce que c’est car nous sommes un peu chaudes du cul l’une et l’autre que je mets en doute cette femme !
Je suis assise à la terrasse de l’un des cafés restaurants sur la place circulaire de Beaune.
Un coup de Klaxon, c’est Claude qui passe au volant de sa voiture de sport découverte profitant de la chaleur qui frappe notre région.
Ça confirme mes dires au commissaire disculpant mon adjoint, à ses côtés je vois Lauriane, l’employé du lycée de Marie la proviseure, que je l’ai vue la draguer au commissariat.
Voiture, siège passager cheveu au vent, nul doute qu’il a réussi à la choper ou qu’il est en train de le faire.
Grand bien leur face, de mon côté on m’interpelle.
• Martine, tu as demandé à me voir, c’est à quel sujet ?
• Assieds-toi et dit si tu es d’accord, réponds à ma question, mais avant je t’offre à boire ?
Je t’ai invité à venir me rencontrer en terrain neutre, c’est normal que je t’offre une boisson.
• Un thé froid, tu as raison, il fait si chaud, mais pourquoi se voir en terrain neutre ?
• Je vais être directe, il y a une taupe au commissariat, quelqu’un qui a des intentions malsaines envers d’autres personnes ?
• Je nage complètement en quoi cela me concerne-t-il ?
• Tu as été la maitresse de Fred mon adjoint, grand bien te fasse.
• Si tu veux être directe, moi aussi je vais l’être.
Avant de nous quitter pour le Nord de la France, Fred a dit à Sylvie qu’il avait enfin réussi à te baiser, oui, j’ai été la maîtresse de Fred, mais toi aussi.
• Parfais, un partout, mais en réussissant l’examen de commissaire, il t’échappait, il était célibataire et tu espérais qu’il t’épouse.
• N’importe quoi, moi l’épouse de ce coureur de jupons, j’ai des vues bien plus hautes que ça.
• Tu viens en partie de te découvrir, à moi aussi dernièrement il m’a fait des confidences, Lupin !
• Qu’est-ce que Lupin vient à voir dans cette affaire ?
• Tu aspires à être madame Lupin, femme du commissariat de police de Beaune !
• Madame Lupin, tu déconnes, il a une petite...
• Bite, tu viens de te trahir, tu sais qu’il est en handicapé côté queue et tu lui as fait croire qu’il était le meilleur coup de la terre, manque de bol, lui tu as su le séduire, mais madame était un obstacle.
Comment as-tu fait pour lui mettre la puce à l’oreille sur l’infidélité de son mari, la lettre anonyme ?
• Elle ne le mérite pas, tu as vu comment elle est guidée, une vraie bourgeoise dans ses tailleurs toujours bien ajustés, je la haïs, oui c’est vrai, je veux prendre sa place, Anatole j’en ai fait un toutou, j’aboie et il vient me manger dans la main.
• Je vois, j’ai trouvé la taupe, je te dirais bien de prendre tes cliques et tes claques et de te barrer, mais je vais faire autre chose pour le bien de notre commissariat.
Tu vois cette arme que je porte sous ma veste à la ceinture de mon jean.
Si tu continues à faire ce genre de saloperie, un jour nettoyant cette arme, afin qu’elle soit toujours propre, malencontreusement une balle aura été oubliée dans la chambre du canon et le coup passa si après que ta jolie petite gueule volera en morceaux.
J’ai cédé à Fred malgré que j’aime mon mari, sache donc que j’aime énormément prendre des risques, est tu prête à en faire autant avec ta jolie petite tête !
J’ignore si un jour, lors d’une enquête, j’aurais l’occasion de proposer de nouveau une partie de jambes en l’air avec Christine, seul l’avenir en déciderait.
Au commissariat tout est calme, Yolande a terminé ses conneries au détriment d’Anatole qui se remet mal de sa rupture avec sa maîtresse.
Quant à elle, à radio cancan, elle aurait des vues sur un célèbre avocat du coin, célibataire lui.
Elle se verrait bien devenir madame Yolande de la Raperière, épouse de Benoit portant présentement ce nom et finir avec lui au barreau de Paris.
Une nouvelle fois, je me retrouve en terrain glissant, dois-je en dire plus au risque de compromettre de nouveau Marie ayant été légère avec ce petit con de Laurent ?
Comme je sais le faire, j’attaque afin de mettre en porte-à-faux celui qui me pose ces questions embarrassantes.
• Marie avait des informations et elle me les a confiées, mais elles sont dans le dossier et il m’est impossible d’en parler malgré que celui-ci soit provisoirement refermé.
Nous nous sommes rapprochées et c’est pourquoi nous sommes allées à Chagny au restaurant, c’est là qu’elle a abusé de la bouteille.
Vous m’avez dit que vous reveniez du Mali, qui ment, Marie m’a dit qu’elle avait fait croire que vous étiez au Mali alors que vous étiez à Chalon !
• Vous m’avez dit être inspectrice de police, je vois bien là votre esprit toujours en éveil, lorsque deux éléments sont discordants.
• Alors expliquez-vous ?
• Il y a six mois, nous nous sommes fâchés Marie et moi lorsqu’elle a cru savoir qu’il lui était impossible d’avoir des enfants.
Elle m’a quitté et j’ai vite compris que c’était la femme de ma vie, mais le destin en a décidé autrement alors je m’étais mis en tête de la retrouver.
Hélas, mon unité a réellement été envoyée au Mali en renfort de troupes en difficulté sur le terrain.
Regardez comme je suis bronzé, j’en reviens juste.
Je sais une chose que Marie ignore, le labo a envoyé une lettre d’excuses, des analyses ayant été malencontreusement croisées, Marie comme moi nous pouvons avoir des enfants.
J’ai reçu cette lettre via le service des armées et après avoir su où elle était, je suis venu dès que j’ai pu.
J’allais prendre congé, ayant fini de jouer les infirmières, lorsque Marie ouvre ses yeux.
• J’ai tout entendu, vous êtes des amours tous les deux.
Avant que j’aie le temps de réagir, elle se redresse, me prend dans ses bras et m’embrasse sans équivoque devant Luc.
Gardant l’initiative, dans un même mouvement elle alpage son mari et lui aussi a droit à un baiser passionné.
Depuis mon voyage à Tourcoing suis-je vouée aux amours en trio, je veux le croire lorsqu’en même temps qu’elle l’embrasse, elle défait la ceinture de Luc sortant sa verge.
Je comprends l’invitation, elle m’offre en cadeau de ma bienveillance envers elle son mari revenu de nulle part.
Quand je la prends en main, c’est en adulte consentant, les uns et les autres que nous nous retrouvons nus et partants pour ce qui pourrait être considéré comme une partie carrée.
Chatte de rousse, naturelle, lorsque je l’avais couché avant l’intervention intempestive du jeune Laurent, j’avais eu le temps de constater qu’aucune teinture des cheveux permettait à Marie de nous tromper sur sa couleur.
Le nez dans sa vulve, les fesses légèrement surélevées, Luc me prend en levrette pour mon plus grand plaisir.
J’ai du mal à m’exprimer car le bougre est viril et me pilonne avec force et vigueur, ce qui est normal pour un viril militaire même si c’est en civile qu’il s’est présenté à moi.
J’ai du mal à penser, mais je pense tout de même à celles qui vont mettre des commentaires sur mes confidences, car une nouvelle fois, je fais cocu Jules.
Comme je l’ai dit, je subis les évènements et rien pour dire que lorsqu’il était au Japon, lui aussi a écorné notre contrat de mariage.
Merde aux refroidit du cul, les glaces et mon voyage à Tourcoing m’ont démontré que j’aime le sexe en tout bien tout honneur et entre adultes consentants.
Je jouis sous les coups de verge de Luc alors qu’elle s’envoie en l’air sous mes coups de langue.
Lorsqu’il me quitte, afin qu’à son tour, il se couche sur sa femme et l’emmancher d’un grand coup de sa bite, je me lève discrètement, je récupère mes affaires et c’est dans l’entrée que je quitte ce couple à nouveau réuni.
Dehors, l’air est frais, je rejoins mon chez-moi, la maison est vide, Jules a dû sortir pour aller promener les enfants.
Luc a pris le temps de mettre une capote lorsqu’il me baisait, mais je sens le besoin de me nettoyer alors je me fais couler un bain avant leur retour.
• Maman, on t’aime, tu nous as fait des crêpes pour notre quatre-heures, tu es la plus merveilleuse des mamans.
Oui bons, évitons les clichés de la maman affectueuse, je suis une salope qui en prenant un bain croit se laver de tous ces débordements depuis que j’ai cédé à Fred, on sait dans quelles circonstances.
• Commissaire, je peux vous parler !
• Entrez Martine, vous avez gagné le droit chaque fois que vous le désirerez de le faire après avoir si promptement résolu notre affaire et en plus sans la moindre dépense pour mon budget assez serré.
J’avais été mis au courant par Yollande des dépenses inconsidérées que voulait faire votre nouvel adjoint, tenez-le, à l’œil celui-là.
Fred était loin d’être une lumière, mais lui, il détient le pompon en incompétence.
Yollande m’a dit qu’il pensait plus à la gaudriole qu’à résoudre nos affaires, heureusement que je vous ai.
• Justement commissaire, je viens vous voir après la petite sauterie où vous nous aviez invité.
• Oui, j’ai trouvé étrange que vous partiez si vite, nos amis n’étaient pas de votre goût !
• Oh ! que non, Anatole, mais Jules m’avait demandé de lui faire une course avant son retour et j’avais carrément zappé.
• C’est la première fois que vous m’appelé par mon petit nom, j’espère que je dois ne rien voir d’ironiques dans votre bouche.
Anatole, c’est dur à porter surtout lorsque l’on est petit.
• Justement, « petit », c’est le but de ma visite, ce matin.
• Vous savez, on ne peut rien vous cacher, pourtant Fred m’avait promis d’éviter de parler de ce qu’il avait vu, un soir ou il revenait de mission et que j’ignorais qu’il allait revenir.
• Si je suis partie l’autre soir aussi rapidement, c’est après avoir discuté avec votre femme dans la cuisine.
Elle a des doutes, sur Yollande et sur vous !
Il est vrai que Fred m’a mis au courant pour elle et vous, un soir de pleine lune ou vos sens vous échappent.
• Moquez-vous, Martine, vous qui êtes la fidélité même envers Jules votre mari.
Deux choses l’une, il se fiche de ma gueule sachant mes infidélités ou est-il naïf ?
À la manière dont il prononce ces mots, la naïveté est sa source première, pourtant il est là pour diriger une équipe d’enquêteurs.
• Fred étant au loin, on peut l’écarter, il y a une taupe au sein de notre commissariat, j’ai essayé d’en savoir plus, mais sans succès auprès d’elle.
• Claude, il a pu apprendre des choses et veut me faire chanter !
• Non, il a des défauts, mais je crois qu’il vise une autre cible, il est réglo dans notre métier.
• Je vous fais confiance, il va de soi que je vous écarte de toute suspicion qu’auriez-vous à gagner, j’ai voulu vous persuader que vous pourriez fare un bon commissaire de police, mais vous avez choisi votre famille à votre carrière.
• Je suis bien comme je suis, la solution, c’est vous commissaire, avez-vous fait des promesses à quelqu’un ou quelqu’une et elle se sentirait toute puissante !
• Non, pourquoi aurais-je promis quelque chose à quelqu’un qui se retournerait contre moi ?
J’ai bien une idée, je me souviens de certaines conversations entendues dans les toilettes du commissariat.
• Yollande, que faite vous, j’aimerais mieux vous connaitre, je crois que nous sommes un peu loin l’une de l’autre !
Yollande, ma piste principale, est-ce que c’est car nous sommes un peu chaudes du cul l’une et l’autre que je mets en doute cette femme !
Je suis assise à la terrasse de l’un des cafés restaurants sur la place circulaire de Beaune.
Un coup de Klaxon, c’est Claude qui passe au volant de sa voiture de sport découverte profitant de la chaleur qui frappe notre région.
Ça confirme mes dires au commissaire disculpant mon adjoint, à ses côtés je vois Lauriane, l’employé du lycée de Marie la proviseure, que je l’ai vue la draguer au commissariat.
Voiture, siège passager cheveu au vent, nul doute qu’il a réussi à la choper ou qu’il est en train de le faire.
Grand bien leur face, de mon côté on m’interpelle.
• Martine, tu as demandé à me voir, c’est à quel sujet ?
• Assieds-toi et dit si tu es d’accord, réponds à ma question, mais avant je t’offre à boire ?
Je t’ai invité à venir me rencontrer en terrain neutre, c’est normal que je t’offre une boisson.
• Un thé froid, tu as raison, il fait si chaud, mais pourquoi se voir en terrain neutre ?
• Je vais être directe, il y a une taupe au commissariat, quelqu’un qui a des intentions malsaines envers d’autres personnes ?
• Je nage complètement en quoi cela me concerne-t-il ?
• Tu as été la maitresse de Fred mon adjoint, grand bien te fasse.
• Si tu veux être directe, moi aussi je vais l’être.
Avant de nous quitter pour le Nord de la France, Fred a dit à Sylvie qu’il avait enfin réussi à te baiser, oui, j’ai été la maîtresse de Fred, mais toi aussi.
• Parfais, un partout, mais en réussissant l’examen de commissaire, il t’échappait, il était célibataire et tu espérais qu’il t’épouse.
• N’importe quoi, moi l’épouse de ce coureur de jupons, j’ai des vues bien plus hautes que ça.
• Tu viens en partie de te découvrir, à moi aussi dernièrement il m’a fait des confidences, Lupin !
• Qu’est-ce que Lupin vient à voir dans cette affaire ?
• Tu aspires à être madame Lupin, femme du commissariat de police de Beaune !
• Madame Lupin, tu déconnes, il a une petite...
• Bite, tu viens de te trahir, tu sais qu’il est en handicapé côté queue et tu lui as fait croire qu’il était le meilleur coup de la terre, manque de bol, lui tu as su le séduire, mais madame était un obstacle.
Comment as-tu fait pour lui mettre la puce à l’oreille sur l’infidélité de son mari, la lettre anonyme ?
• Elle ne le mérite pas, tu as vu comment elle est guidée, une vraie bourgeoise dans ses tailleurs toujours bien ajustés, je la haïs, oui c’est vrai, je veux prendre sa place, Anatole j’en ai fait un toutou, j’aboie et il vient me manger dans la main.
• Je vois, j’ai trouvé la taupe, je te dirais bien de prendre tes cliques et tes claques et de te barrer, mais je vais faire autre chose pour le bien de notre commissariat.
Tu vois cette arme que je porte sous ma veste à la ceinture de mon jean.
Si tu continues à faire ce genre de saloperie, un jour nettoyant cette arme, afin qu’elle soit toujours propre, malencontreusement une balle aura été oubliée dans la chambre du canon et le coup passa si après que ta jolie petite gueule volera en morceaux.
J’ai cédé à Fred malgré que j’aime mon mari, sache donc que j’aime énormément prendre des risques, est tu prête à en faire autant avec ta jolie petite tête !
J’ignore si un jour, lors d’une enquête, j’aurais l’occasion de proposer de nouveau une partie de jambes en l’air avec Christine, seul l’avenir en déciderait.
Au commissariat tout est calme, Yolande a terminé ses conneries au détriment d’Anatole qui se remet mal de sa rupture avec sa maîtresse.
Quant à elle, à radio cancan, elle aurait des vues sur un célèbre avocat du coin, célibataire lui.
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