COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (2/11)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (2/11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (2/11)
• Madame l’inspectrice, puis-je vous parlez dans mon bureau !

La proviseure du lycée de Beaune où j’ai été appelé m’interpelle alors que je remonte de la cave.
Nous attendons les agents de la criminelle de Dijon à qui j’ai déjà eu affaire dans le passé sur le meurtre de la morte de la chambre aux glaces et que j’ai magnifiquement résolues.

La belle femme qui est devant moi m’interpelle, j’en suis même à me demander si sa chevelure rousse est naturelle ou est-ce une teinture pour qu’elle soit aussi flamboyante ?
Je suis à deux doigts d’éclater de rire, j’ai horreur que l’on m’appelle « madame l’inspectrice » alors que je viens de dire « madame la proviseure. »
Si je tiens à mon titre « d’inspecteur », elle aussi préfère-t-elle peut-être son titre « de proviseur » sans « e ».

• Excusez un instant, je reçois un appel !
• Oui, monsieur le commissaire, je suis au lycée sur l’affaire du jeune homme que vous m’avez confiée, j’attends la criminelle pour qu’ils s’occupent des prélèvements.
Oui, il est décédé, c’est bien un homicide, on tombe rarement sur un tournevis tout seul planté dans sa poitrine et que l’on se retrouve mort sur le dos.
Il faut que je vienne, vous avez une mission à me confier !

Claude, mon jeune inspecteur, fraichement sortie de l’école de police a remplacé Fred devenu commissaire, contre toute attente, nommé à Tourcoing dans le nord.
J’ai profité de cette nouvelle situation pour revenir à mon serment de fidélité à Jules mon époux et comme je l’ai dit à l’élevage de mes enfants.

• Claude, un instant, le commissaire Lupin me demande au commissariat, madame la proviseure à quelque chose à me dire, va avec elle et écoute ce qu’elle a à te dire.
Je fais l’allée et le retour, pas d’impaire, je sais que c’est ton premier meurtre, j’ai pleinement confiance en toi.
Les clefs sont-elles sur le nouveau véhicule ?
• Oui, vous pouvez me faire confiance.
• Madame, excuser, mon commissaire m’appelle, ça semble urgent, Claude mon adjoint va vous suivre, vous lui direz ce que vous vouliez me dire, je reviens.

Je vois le regard de la proviseure se fermer, je suis à deux doigts de la suivre, mais je connais trop le caractère de mon commissaire lorsqu’il demande à nous voir, je tourne les talons et je rejoins le commissariat.

• Martine, vous partez en mission à Tourcoing pour quelques heures !
• À Tourcoing ?
• Oui, mon collègue, le commissaire Leroy m’a appelé, il sollicite votre aide sur une affaire qu’il suit et m’a demandé expressément que ce soit vous qui veniez l’aider.
Lorsqu’il était en poste ici avec vous, il m’a rendu un petit service et vous comprendrez que je lui renvoie l’ascenseur, vous en feriez de même à ma place.
Prenez la vieille Renault, je l’ai fait préparer, elle est bringuebalante, mais le moteur est gonflé et en parfait état.
Passez chez vous prévenir votre mari et prendre un bagage si vous le désirez, voici l’adresse à programmer sur votre portable.
Je sais le nouveau véhicule possède un GPS intégré, mais c’est le seul que je dois garder à la brigade.

Un ordre est un ordre, surtout si c’est pour rendre un service à Fred, Lupin lui étant redevable.
Je passe chez moi, un sac deux culottes, je vérifie que j’ai ma carte de police et mon arme, je laisse un mot à Jules pour son retour et qu’il s’occupe des enfants jusqu’à mon retour.
Je prends la route, dès que je suis sur l’autoroute, Lupin m’ayant dit que le moteur était gonflé, je mets le gyrophare et j’appuie sur le champignon.
J’aime rouler vite, je suis en mission pourquoi s’en priver !
Je me fais peur une à deux fois dans des virages, la voiture étant légère, mais je jouis de rouler à des pointes de 180.
Il est 16 heures quand j’arrête la voiture devant le commissariat de Tourcoing ou je demande Fred.
Parti vers onze heures, avec un arrêt pour pipi et café, j’ai battu tous les records sur la distance pour la police nationale.
C’est drôle de les entendre tous parler de Fred mon amant grand couillon dans la vie et dans son boulot, mais passé maître dans l’art de baiser une femme.

• Martine, te voilà, c’est parfait, viens, suis-moi !
• Martin, tu dis à Serge que je suis chez moi on me dérange seulement en cas d’extrême problème.
Martine, prend tes affaires et donne tes clefs à Martin !
Fais le nécessaire pour que la voiture de mon amie soit en état de retourner en Bourgogne après qu’elle m’ait enlevé une épine du pied.

C’est au policier de service à l’accueil que Fred s’adresse, les choses vont trop vite pour moi, mais en mission, je suis en mission et je tiens à réussir cette dernière, semblant importante pour mon propre commissaire.
Nous montons dans la voiture de Fred après que j’ai récupéré mon sac de voyage.
Je vois mon amant regarder sa montre, sommes-nous en retard, mais pour où et pourquoi, le mieux c’est de lui demander ?

• Fred, qu’as-tu à me demander, quel service je peux te rentre dans ton travail.

Nous nous arrêtons devant une maison, il appuie sur une télécommande et rentre dans un jardin.

• Voilà pourquoi j’ai demandé à Lupin de venir m’aider, je lui ai caché une partie de mon problème personnel.
Viens par là, tu es toujours aussi bandante, j’ai envie et besoin de toi !
Je t’ai dit que j’avais une copine, Lucie, une gendarmette, je l’ai croisé au commissariat pour une affaire touchant la police nationale et la gendarmerie.
Tu sais que j’aime les femmes, mais là c’est une sangsue que j’ai dans mes bras.
Elle va rentrer et elle va nous trouver dans notre lit.
Je la connais, elle est tellement possessive qu’elle va me quitter ce que je n’arrive pas à faire directement par moi-même.
• Fred, tu es malade, tu te sers des moyens de la police pour me faire tirer un coup avec toi et rendre jalouse ta copine afin qu’elle te quitte !
• Je t’en conjure à genoux, j’avais aussi envie de te retrouver, tu es la seule femme que j’aurais pu épouser, si tu avais été libre.

Je craque, moi aussi la bite de Fred est toujours dans ma mémoire, on pourrait se demander pourquoi je lui ai cédé, alors qu’avec Jules mon mari, celui qui m’a offert mais deux beaux enfants, j’ai de rares choses à lui reprocher.
Quel intérêt avais-je à figurer sur son tableau de chasse à part les glaces dans cette chambre me faisant mouiller de m’y voir me faisant baiser.
Fred me prend dans ses bras et une nouvelle fois, faible femme, je le laisse m’embrasser.
Au fond de moi, la situation m’amuse et je sais Lupin redevable d’avoir été aidé même s’il doit ignorer les motifs fallacieux de Fred.
Au bout d’un moment, c’est naturellement que je me retrouve nue une nouvelle fois.
Dans la chambre où il m’a emmené, aucune glace pour augmenter mon plaisir.
C’est vrai qu’à Beaune nous avons baisé plusieurs fois à des endroits plus qu’insolites, hélas, il a fallu remettre les clefs de l’hôtel dans les pièces à conviction.
À y bien y regarder, lorsque mon amant est nu, c’est la première fois que je vois sa queue flasque reposer sur son ventre, lui ferais-je moins défet que les fois où nous avons fait sauvagement l’amour.

• Excuse, c’est la première fois que j’ai une panne au démarrage Martine, quand je te dis que Lucie me suce la sève et qu’il faut que je m’en sépare.

Aux grands mots les grands remèdes, je prends sa queue en main et je le pompe allégement.
J’ai un faible résultat.

• Eh bien, mon salopard, je vois que tu bandes mou, tu me présenteras ton amie, je rendre chez moi et je trouve mon mec en train de se faire sucer par une autre.
• Bibiche, c’est Martine, mon ancienne collègue de Beaune dont je t’ai parlé, elle était de passage à Tourcoing et est venue nous saluer.
Tu sais, c’est elle qui a commencé.

Lucie, la copine qui devait nous prendre en flagrent délit et se tirer sans demander son reste, je connaissais Fred sous bien des aspects, mais poltron comme il me le montre c’est la première fois.
Lucie est revêtue en tenue de gendarmette, elle détache son ceinturon le posant sur sa chaise.
En voyant son pétard, je prends conscience des risques que Fred m’a fait prendre si nous étions tombées sur une fêlée de la gâchette, je serais présentement avec une balle entre les deux yeux.
Au contraire, elle ôte son pantalon et enlève sa chemisette bleue m’apparaissant en petite culotte et soutien-gorge affriolant.
Si je sors intact de cette aventure, je jure de regarder différemment toutes les gendarmettes que je croiserais, je les imaginerais avec des petits sous-vêtements roses avec de jolis foufous.

• Fred enfin un peu de changement dans la routine de notre couple, en venant ce soir, j’étais prête à te dire que je te quittais, mais m’amener cette jolie salope dans mon lit, tu viens de te surpasser.

Lucie monte sur le lit défaisant son soutien-gorge pigeonnant et vient carrément me les lettre sous le nez.
Ma langue change de cible, c’est la pointe d’un magnifique sein qui se retrouve dans ma bouche pour la première fois de ma vie.
Je prends la bite de Fred en main, imité par Lucie, il est flasque mais il y a de la place pour deux.
Surtout que la bouche de la gendarmette rejoint la mienne et que là encore pour la première fois j’embrasse la bouche d’une belle salope.
Lorsque je dis première fois, dans ce que je sens venir des rapports entre Fred et Lucie, lui qui croyait se libérer de l’emprise qu’elle avait sur lui, je sens qu’après l’adultère qu’il m’a fait connaitre, je vais apprendre à aimer une femme pour une femme.
En venant à Tourcoing pour rendre un service à mon commissaire envers Fred, j’ignorais que je ferais la découverte aimer la langue de cette jeune femme se promenant sur ma propre langue.
Dans mon adolescence, j’ai bien eu des penchants lesbiens après la sollicitation de Geneviève une amie de collège, mais c’était resté à la forme d’une simple impression...

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