COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (9/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Une sacrée salope (9/11)
• Chers amis, j’ai le plaisir en ce soir de fête pour Christine et pour moi, pour ceux qui la croisent pour la première fois, de vous présenter Martine, comment dire, Martine, inspecteur ou inspectrice en cheffe de notre commissariat ?
Avec Claude son nouvel adjoint, ils viennent de résoudre, de main de maître, une enquête sur le crime dont vous avez dû entendre parler dans le Bien Public notre journal régional.
C’est de façon continue que les participants à la petite sauterie d’Anatole Lupin mon commissaire, m’applaudissent me faisant presque rougir de honte.
• C’est à votre bon vouloir commissaire, l’un ou l’autre ça m’ira parfaitement, le principal c’est que vous soyez satisfait de nous et surtout de vos supérieurs.
Eh oui, je suis faux cul à mes heures, Jules m’a quitté pour rejoindre ses japonaises et moi je viens rendre l’invitation de Christine la femme de Lupin qu’elle nous a faite lors de notre rencontre au restaurant non loin des hospices de notre ville de Beaune.
Il est mignon notre commissaire, hors de son costume trois-pièces qu’il porte régulièrement au commissariat, surtout avec son tablier ou il est marqué « Chef » sur son ventre, le faisant ressortir et sa grande fourchette à viande à la main.
Christine elle, est égale à elle-même, femme de classe comme je l’ai déjà dit.
Elle est en robe d’été sans bretelles, ses seins la maintenant en place grâce à leurs rondeurs.
Pour ma part, je suis aussi en robe d’été à fleurs.
Il est rare que je porte des robes, je suis plutôt jeans et baskets, pour jouer au gendarme et au voleur ce que je faisais avec mon frère lorsque nous étions adolescents, c’est plus facile.
J’étais ce que l’on appelle un garçon manqué et il va de soi que j’étais le gendarme et mon frère le voleur.
Je lui courrais après, je le plaquais au sol lui passant des colliers d’électricien que je volais dans l’atelier de mon père hurlant régulièrement lorsqu’ils les retrouvaient coupés à la pince afin que lorsque nous étions bien crottés, je le libère.
Ce qui est bien maintenant, c’est que maintenant lorsque j’ai un cas comme Laurent le petit con qui s’est vanté devant moi de sauter sa proviseure, c’est qu’il est resté toute la journée les mains libre sur son banc à attendre mon bon vouloir afin que je lui dise de partir.
J’ai fini la journée dans le bureau de Claude à relire son rapport afin de voir si tout collait surtout la participation indirecte au meurtre de Marie à cause du matelas.
Lorsque j’en suis ressortie la porte du commissariat étant à droite, j’ai failli l’oublier au risque qu’il reste des heures supplémentaires avant que le gardien de la paix de service de nuit m’appelle pour me demander ce qu’il faisait là.
Après ces jeux, c’est donc, la police nationale que j’ai intégrée lorsque j’ai été en âge.
Pour ceux qui l’ignorent, les gendarmes comme Lucie la gendarmette m’ayant initié aux plaisirs lesbiens sont des militaires alors que la police nationale, dépend du ministère de l’Intérieur et reste des civils.
La discipline militaire aurais-je pu la supporter, j’en doute énormément.
Je suis donc en robe et en regardant deux jeunes femmes en short court, je me demande pourquoi ai-je été sur la retenue et ne pas les avoir imités.
J’en porte aussi, Jules dont j’ai une pensée aime que j’en mette lorsque je suis avec lui les rares fois où nous faisons des courses ensemble.
Il aime que je fasse saliver les mâles qui nous croisent comme s’il aimait exhiber la femme qui lui appartient en leur montant seulement mon joli petit cul.
• Martine, pouvez-vous venir m’aider en cuisine pendant que mon mari joue les maîtres-queux devant son barbecue, dernière génération et nos invités ?
Suis-je sauvage en société ou prends-je cette demande comme une invitation, je suis ses fesses elles aussi roulant à la vitesse de son pas avec l’envie de leur présenter ma main.
Dans la cuisine elle se retourne et je manque d’arriver dans ses bras, mes mains se portent toutes seules vers sa taille, elle me repousse.
• Non Martine, j’ai bien vu dès votre premier regard, vous faite partie des femmes non insensibles aux autres femmes, mais je tiens à rester fidèle à Anatole comme je l’ai dit lors de mon serment de mariage.
• Pourtant à tes regards, j’ai ressenti la même chose malgré le peu d’expérience que j’ai dans ce domaine !
• Je vais vous avouer une partie de ma vie.
Je viens d’une famille que l’on peut appeler rigoriste, catho de nos têtes jusqu’à nos pieds.
Un jour, je devais avoir une quinzaine d’années, ma mère m’a surpris de façon équivoque avec une copine de classe dans ma chambre.
Au lieu de garder cela pour elle, sous-couvert qu’un mensonge, même par omission, était péché mortel, dès le retour de mon père le soir, elle lui a dit.
Une semaine plus tard, je me retrouvais en internat au sein d’un collège de bonnes sœurs, en pension complète.
Les confidences de cette femme me vont droit au cœur, surtout la suite.
• Ce qu’ignoraient mes parents, c’est qu’au milieu de ce monde entièrement peuplé de femmes, les rapports lesbiens étaient secrets, mais bien présents.
• Et tu as replongé, j’espère pour ton plus grand plaisir.
• Oui, mais avec sœur Murielle fraichement ordonnée, elle nous gardait depuis quelques jours et j’ai vite vu que j’étais loin du lui être insensible.
• Comment as-tu fait, c’est elle ou toi qui avais fait le premier pas ?
• Ensemble, pourquoi ce soir-là, me suis-je levée pour me rendre aux toilettes ?
Certains diront que c’était la vision, ou la main du très haut, voulant me montrer ma vraie nature.
Sœur Murielle avait une ronde à faire et c’est à ce moment que nous nous sommes croisées.
Elle m’a pris la main et nous sommes rentrées dans l’endroit qui lui était réservé pour la nuit.
Cinq minutes, assises sur le bord de son lit toutes les deux en chemise de nuit à nous regarder, c’est à ce moment que sœur Manuelle la mère supérieure nous a trouvé.
• Faisait-elle une ronde elle aussi ?
• Je l’ignore et je l’ignorerai toujours, ce qui est sûr c’est qu’elle a appelé mes parents.
• Et ils t’ont viré, tu t’es retrouvée à la rue !
• Chez eux, virer leur fille risquant de mal tourné, j’allais avoir dix-huit ans, la seule solution qu’ils leur restaient, c’était de me marier le plus vite possible afin que si je tourne mal ce soit mon époux qui soit celui qui n’aurait pas été à la hauteur de sa tâche de mâle dominant.
• Tu as relativement eu de la chance de tomber sur le commissaire Lupin, il y a pire comme époux !
• Martine vous êtes mariée vous aussi, sexuellement êtes-vous satisfaite ?
• Oui, j’ai un mari qui a su me montrer le chemin des plaisirs partagés !
• Vous avez de la chance, sans vous en dire trop, ce sont nos parents qui nous ont présentés sans me dire qu’Anatole avait un léger problème.
Permettez-moi de garder ce détail pour moi, j’ai confiance en vous, mais une indiscrétion risquerait de mettre son autorité au sein de son commissariat en porte-à-faux.
Je comprends à demi-mot qu’elle me confirme les dire de Fred sur la bite de son mari.
• Je vais vous dire pourquoi je vous ai invité ce soir.
Bien sûr par amitié pour vous, mais pour vous poser une question ?
• Si je peux te répondre Christine, ce sera avec plaisir.
C’est à ce moment que je prends conscience que depuis que je l’ai rencontré, Christine me vouvoie alors que je la tutoie.
• Ce que je vais vous demander, c’est de femme mariée à femme mariée que je vais le faire, soyez-en persuadée.
Je m’attends à une question fondamentale, mais lorsqu’elle se lance, je me souviens de mes heures de catéchismes où Juda a renié Jésus par trois fois avant de le livrer à sa croix.
Du moins c’est ce que j’ai retenue de cet épisode du monde nous ayant conduit à ce que nous sommes aujourd’hui.
• Mon mari a-t-il une liaison avec une certaine Yolande ?
Juda, reniement, ma réponse est direct et rapide, laissant peu de place à la suspicion.
Est-ce mon libertinage avec Fred puis Lucie, avec Jules j’ai su lui cacher et la baise dans la galerie des glaces et la découverte de ma bi-sexualité qui me fait répondre ce qui suit !
• Yolande et Lupin, pardon, ton mari, qui a pu te mettre une telle idée dans la tête.
Certes Yolande est ce que l’on appelle une cuisse légère, mais aux derniers ragots d’un commissariat, elle a trompé son mari avec Fred dont ton mari a parlé lorsqu’il a dit que tu prenais les eaux à Aix.
Je peux t’assurer qu’à aucun moment, il a manqué de respect à la moindre femme présente au sein de notre commissariat.
Juda et la rapidité de la réponse à sa question, elle est à deux doigts de me prendre dans ses bras.
Mais je sens que le poids de son éducation pèse tellement qu’elle se reprend rapidement et reste celle qui souffre, mais l’assume.
• Martine, vous me soulagez d’un grand poids, si vous aviez confirmé ces mensonges venus à mes oreilles, j’aurais été la femme la plus malheureuse du monde.
Rejoignons mes invités, je vais vous faire une autre confidence, j’ai été à deux doigts de vous prendre dans mes bras.
Fait le, profite de l’instant comme je le fais depuis qu’une première fois, j’ai trompée Jules !
Hélas, je manque encore d’assurance comme en a eu Lucie en se dénudant et montant sur son lit dernièrement à Tourcoing.
• Bibiche te voilà avec Martine, je suis satisfait que tu aies sympathisé avec mon inspectrice, c’est une femme extraordinaire.
Que vous reste-t-il à faire après un tel éloge, m’éclipser, le reste des invités étant loin des critères qui sont les nôtres à Jules et à moi.
Rentré chez moi, je constate piteusement que j’ai pris une veste, la parole divine étant supérieure aux envies de certains sur cette terre.
J’étais sans idée de la religion en allant chez Lupin et Christine, j’en ressors athée. Lorsque seule dans mon grand lit, je me masturbe le clitoris, je pense que c’est dans un pensionnat pour jeunes filles de bonne famille que devant sœur Murielle, je le fais...
Avec Claude son nouvel adjoint, ils viennent de résoudre, de main de maître, une enquête sur le crime dont vous avez dû entendre parler dans le Bien Public notre journal régional.
C’est de façon continue que les participants à la petite sauterie d’Anatole Lupin mon commissaire, m’applaudissent me faisant presque rougir de honte.
• C’est à votre bon vouloir commissaire, l’un ou l’autre ça m’ira parfaitement, le principal c’est que vous soyez satisfait de nous et surtout de vos supérieurs.
Eh oui, je suis faux cul à mes heures, Jules m’a quitté pour rejoindre ses japonaises et moi je viens rendre l’invitation de Christine la femme de Lupin qu’elle nous a faite lors de notre rencontre au restaurant non loin des hospices de notre ville de Beaune.
Il est mignon notre commissaire, hors de son costume trois-pièces qu’il porte régulièrement au commissariat, surtout avec son tablier ou il est marqué « Chef » sur son ventre, le faisant ressortir et sa grande fourchette à viande à la main.
Christine elle, est égale à elle-même, femme de classe comme je l’ai déjà dit.
Elle est en robe d’été sans bretelles, ses seins la maintenant en place grâce à leurs rondeurs.
Pour ma part, je suis aussi en robe d’été à fleurs.
Il est rare que je porte des robes, je suis plutôt jeans et baskets, pour jouer au gendarme et au voleur ce que je faisais avec mon frère lorsque nous étions adolescents, c’est plus facile.
J’étais ce que l’on appelle un garçon manqué et il va de soi que j’étais le gendarme et mon frère le voleur.
Je lui courrais après, je le plaquais au sol lui passant des colliers d’électricien que je volais dans l’atelier de mon père hurlant régulièrement lorsqu’ils les retrouvaient coupés à la pince afin que lorsque nous étions bien crottés, je le libère.
Ce qui est bien maintenant, c’est que maintenant lorsque j’ai un cas comme Laurent le petit con qui s’est vanté devant moi de sauter sa proviseure, c’est qu’il est resté toute la journée les mains libre sur son banc à attendre mon bon vouloir afin que je lui dise de partir.
J’ai fini la journée dans le bureau de Claude à relire son rapport afin de voir si tout collait surtout la participation indirecte au meurtre de Marie à cause du matelas.
Lorsque j’en suis ressortie la porte du commissariat étant à droite, j’ai failli l’oublier au risque qu’il reste des heures supplémentaires avant que le gardien de la paix de service de nuit m’appelle pour me demander ce qu’il faisait là.
Après ces jeux, c’est donc, la police nationale que j’ai intégrée lorsque j’ai été en âge.
Pour ceux qui l’ignorent, les gendarmes comme Lucie la gendarmette m’ayant initié aux plaisirs lesbiens sont des militaires alors que la police nationale, dépend du ministère de l’Intérieur et reste des civils.
La discipline militaire aurais-je pu la supporter, j’en doute énormément.
Je suis donc en robe et en regardant deux jeunes femmes en short court, je me demande pourquoi ai-je été sur la retenue et ne pas les avoir imités.
J’en porte aussi, Jules dont j’ai une pensée aime que j’en mette lorsque je suis avec lui les rares fois où nous faisons des courses ensemble.
Il aime que je fasse saliver les mâles qui nous croisent comme s’il aimait exhiber la femme qui lui appartient en leur montant seulement mon joli petit cul.
• Martine, pouvez-vous venir m’aider en cuisine pendant que mon mari joue les maîtres-queux devant son barbecue, dernière génération et nos invités ?
Suis-je sauvage en société ou prends-je cette demande comme une invitation, je suis ses fesses elles aussi roulant à la vitesse de son pas avec l’envie de leur présenter ma main.
Dans la cuisine elle se retourne et je manque d’arriver dans ses bras, mes mains se portent toutes seules vers sa taille, elle me repousse.
• Non Martine, j’ai bien vu dès votre premier regard, vous faite partie des femmes non insensibles aux autres femmes, mais je tiens à rester fidèle à Anatole comme je l’ai dit lors de mon serment de mariage.
• Pourtant à tes regards, j’ai ressenti la même chose malgré le peu d’expérience que j’ai dans ce domaine !
• Je vais vous avouer une partie de ma vie.
Je viens d’une famille que l’on peut appeler rigoriste, catho de nos têtes jusqu’à nos pieds.
Un jour, je devais avoir une quinzaine d’années, ma mère m’a surpris de façon équivoque avec une copine de classe dans ma chambre.
Au lieu de garder cela pour elle, sous-couvert qu’un mensonge, même par omission, était péché mortel, dès le retour de mon père le soir, elle lui a dit.
Une semaine plus tard, je me retrouvais en internat au sein d’un collège de bonnes sœurs, en pension complète.
Les confidences de cette femme me vont droit au cœur, surtout la suite.
• Ce qu’ignoraient mes parents, c’est qu’au milieu de ce monde entièrement peuplé de femmes, les rapports lesbiens étaient secrets, mais bien présents.
• Et tu as replongé, j’espère pour ton plus grand plaisir.
• Oui, mais avec sœur Murielle fraichement ordonnée, elle nous gardait depuis quelques jours et j’ai vite vu que j’étais loin du lui être insensible.
• Comment as-tu fait, c’est elle ou toi qui avais fait le premier pas ?
• Ensemble, pourquoi ce soir-là, me suis-je levée pour me rendre aux toilettes ?
Certains diront que c’était la vision, ou la main du très haut, voulant me montrer ma vraie nature.
Sœur Murielle avait une ronde à faire et c’est à ce moment que nous nous sommes croisées.
Elle m’a pris la main et nous sommes rentrées dans l’endroit qui lui était réservé pour la nuit.
Cinq minutes, assises sur le bord de son lit toutes les deux en chemise de nuit à nous regarder, c’est à ce moment que sœur Manuelle la mère supérieure nous a trouvé.
• Faisait-elle une ronde elle aussi ?
• Je l’ignore et je l’ignorerai toujours, ce qui est sûr c’est qu’elle a appelé mes parents.
• Et ils t’ont viré, tu t’es retrouvée à la rue !
• Chez eux, virer leur fille risquant de mal tourné, j’allais avoir dix-huit ans, la seule solution qu’ils leur restaient, c’était de me marier le plus vite possible afin que si je tourne mal ce soit mon époux qui soit celui qui n’aurait pas été à la hauteur de sa tâche de mâle dominant.
• Tu as relativement eu de la chance de tomber sur le commissaire Lupin, il y a pire comme époux !
• Martine vous êtes mariée vous aussi, sexuellement êtes-vous satisfaite ?
• Oui, j’ai un mari qui a su me montrer le chemin des plaisirs partagés !
• Vous avez de la chance, sans vous en dire trop, ce sont nos parents qui nous ont présentés sans me dire qu’Anatole avait un léger problème.
Permettez-moi de garder ce détail pour moi, j’ai confiance en vous, mais une indiscrétion risquerait de mettre son autorité au sein de son commissariat en porte-à-faux.
Je comprends à demi-mot qu’elle me confirme les dire de Fred sur la bite de son mari.
• Je vais vous dire pourquoi je vous ai invité ce soir.
Bien sûr par amitié pour vous, mais pour vous poser une question ?
• Si je peux te répondre Christine, ce sera avec plaisir.
C’est à ce moment que je prends conscience que depuis que je l’ai rencontré, Christine me vouvoie alors que je la tutoie.
• Ce que je vais vous demander, c’est de femme mariée à femme mariée que je vais le faire, soyez-en persuadée.
Je m’attends à une question fondamentale, mais lorsqu’elle se lance, je me souviens de mes heures de catéchismes où Juda a renié Jésus par trois fois avant de le livrer à sa croix.
Du moins c’est ce que j’ai retenue de cet épisode du monde nous ayant conduit à ce que nous sommes aujourd’hui.
• Mon mari a-t-il une liaison avec une certaine Yolande ?
Juda, reniement, ma réponse est direct et rapide, laissant peu de place à la suspicion.
Est-ce mon libertinage avec Fred puis Lucie, avec Jules j’ai su lui cacher et la baise dans la galerie des glaces et la découverte de ma bi-sexualité qui me fait répondre ce qui suit !
• Yolande et Lupin, pardon, ton mari, qui a pu te mettre une telle idée dans la tête.
Certes Yolande est ce que l’on appelle une cuisse légère, mais aux derniers ragots d’un commissariat, elle a trompé son mari avec Fred dont ton mari a parlé lorsqu’il a dit que tu prenais les eaux à Aix.
Je peux t’assurer qu’à aucun moment, il a manqué de respect à la moindre femme présente au sein de notre commissariat.
Juda et la rapidité de la réponse à sa question, elle est à deux doigts de me prendre dans ses bras.
Mais je sens que le poids de son éducation pèse tellement qu’elle se reprend rapidement et reste celle qui souffre, mais l’assume.
• Martine, vous me soulagez d’un grand poids, si vous aviez confirmé ces mensonges venus à mes oreilles, j’aurais été la femme la plus malheureuse du monde.
Rejoignons mes invités, je vais vous faire une autre confidence, j’ai été à deux doigts de vous prendre dans mes bras.
Fait le, profite de l’instant comme je le fais depuis qu’une première fois, j’ai trompée Jules !
Hélas, je manque encore d’assurance comme en a eu Lucie en se dénudant et montant sur son lit dernièrement à Tourcoing.
• Bibiche te voilà avec Martine, je suis satisfait que tu aies sympathisé avec mon inspectrice, c’est une femme extraordinaire.
Que vous reste-t-il à faire après un tel éloge, m’éclipser, le reste des invités étant loin des critères qui sont les nôtres à Jules et à moi.
Rentré chez moi, je constate piteusement que j’ai pris une veste, la parole divine étant supérieure aux envies de certains sur cette terre.
J’étais sans idée de la religion en allant chez Lupin et Christine, j’en ressors athée. Lorsque seule dans mon grand lit, je me masturbe le clitoris, je pense que c’est dans un pensionnat pour jeunes filles de bonne famille que devant sœur Murielle, je le fais...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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Quelle imagination incroyable...
Tu sais tenir en haleine dans tes histoires...
Merci Chris
Tu sais tenir en haleine dans tes histoires...
Merci Chris