COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (11/11)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (11/11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (11/11)
Pourquoi je me retrouve à frapper à la porte du manoir du major Williams ?
J’avais prévu d’en parler dans le chapitre X à Chris71.
Mais il m’est arrivé tellement de choses depuis que j’ai quitté le couvent des oiseaux où je faisais mes études que j’en suis encore à frapper sur la porte.
J’avais dix ans quand ma maman m’a placé dans cette école de bonnes sœurs et avant qu’un taxi vienne me chercher, je croyais bien que j’allais y finir mes jours comme bonne sœur.

Bonne sœur, certainement le jour de mon arrivée et de mon mariage.
Je devrais dire plutôt salope à partir du moment où j’ai compris le fonctionnement que mon « oui pour la vie » à Charles-Antoine signifiait.
Sa famille voulait cacher son travers, son homosexualité.
Ce peu d’intérêt de mon mari, même si ma nuit de noces il arrive à me pénétrer me précipité dans une débauche d’actes sexuels.
Ma plus grande découverte, c’est que j’étais promu « poule pondeuse » pour sa famille voulant plus un descendant mâle qu’une femme ayant un cerveau.
Hélas pour eux, même si je suis inculte question sexe, j’ai un cerveau qui calcule très vite.
Ça tombe bien, jusqu’à ce jour où mon beau-père voulant me faire travailler avec lui et Charles-Antoine mon mari, fait de moi sa maîtresse et qu’il m’envoie chez le major William régler un litige vieux de quelques années.
Je réussis ma mission et au-delà de ce que j’espérais, je récupère des informations qui vont me permettre de concocter un plan.
Enfin je frappe espérant mettre ce plan en place en rencontrant de nouveau le major William.
Je suis venue dans ma voiture, hors de prix, conduite par Manon mon amie d’enfance étant devenue pour moi plus qu’une simple amie et un chauffeur.
Dans mon sanctuaire à femme frigide qu’étaient ces bonnes soeurs, j’étais à l’abri des coups bas et des complots que je découvre dans ce que j’appèlerais « le monde des adultes. »
Gouines vivant sous le même toit que le mari, c’est le cas de Charles-henri avec Élisabeth sa femme et Marie-Pascale sa lesbienne de femme de compagnie.
Beau gosse, je dirais même play-boy en la personne d’Éric, le cousin de mon mari qui dès le lendemain de mes noces me fait découvrir la sodomie et par conséquent l’adultère.
À peine s’est-il donné le mal de me perforer l’anus qu’il prend sa voiture de sport et m’abandonner au milieu de cette famille de dégénérés pour retourner à Paris où il réside.
Éric est le fils du frère de Charles-Henri devenu banquier afin de conserver le domaine en une pièce, ce qui aurait été impossible s’il avait revendiqué ses droits à l’héritage familial.
Et que dire de mon mari ayant la chance d’être fils unique, il lui faut un fils pour perpétrer la lignée de la famille, « de la pompe. »
Invétéré pédé, même si le soir de nos noces il arrive à me baiser me remplissant de son divin sperme devant prétendre m’engrosser.
C’était mal connaitre Manon, qui veut m’aider à enfanter le plus tard possible.
Je découvre la pilule du lendemain et la pilule tout court me protégeant contre les calculs de nos deux familles.
Ça me permet de faire échouer les plans, celui de mon mari et ma propre famille voulant fusionner les deux domaines.
Hélas, un dilemme se présente à moi, dans son homosexualité, Charles-Antoine entraine Romuald le gentil mari de Manon dans ses jeux pervers.
Cela me met mal à l’aise, car j’ai horreur de mentir surtout à ceux que j’aime.
Pour terminer la soirée d’hier, une fois ma belle-mère ayant quitté la pièce pour rejoindre sa chambre, je rejoins les genoux de Charles avant de plonger sous la table et de le satisfaire avec ma bouche.
Lorsque je frappe à cette porte, dans mon plan, même, lui doit se contenter de ma bouche ou de mon cul, ma chatte lui étant interdite.

• Madame Marie-Antoinette, le major William vous attendait, il m’a dit de vous conduire vers lui, dès que vous vous présenterez à sa porte.

Hier, j’ai sucé mon beau-père, il m’aurait enculé, aux propos de Sylvestre, le majordome, je serais tombée le cul parterre malgré la douleur.
Je suis cet homme afin d’en savoir plus pourquoi les portes me semblent grandes ouvertes chez le major anglais.

• Entrez Marie-Antoinette, je savais que vous reviendriez, j’ai vu dans votre regard que vous vous demandiez si à part me faire sucer, j’étais encore capable de baiser une jeune salope comme vous.
• William, il est vrai que je me suis posé la question, surtout lorsque tu m’as rempli la bouche de ton sperme.
Lorsque je suis sortie, j’ai croisé la prétendue infirmière venant te soigner.
Je serais tombée de la dernière pluie, je t’aurais cru, mais lorsque j’ai vu la plaque de sa mini, « 75 », le masque est tombé.
Tu fais venir des escortes pour te satisfaire et te vider les couilles, ce que j’avais en partie déjà faite.
Hier, sache que mon mari m’a abandonné pour partir aux États-Unis retrouver un autre viticulteur pédé comme lui et dont il est tombé amoureux.
Faire venir une pute de Paris doit te couter un max alors que tu as à ta disposition une autre petite pute qui plus est ta voisine.
Combien cette fille te coute-t-elle ?
• Mille euros l’heure plus les frais de déplacement jusqu’à éjaculation.
Il faut ajouter 300 de la demi-heure supplémentaire si retard à l’éjaculation.
Ce fut le cas hier, j’ai payé deux dépassements, tu m’avais déjà si bien pompé.
Excuse de te parler comme si nous étions dans un corps de garde militaire, mais c’est l’exacte vérité.
• Je dois t’avouer quelque chose, si je suis venue, c’est que je présentais tout ce que tu me dis.
Certes, avant mon mariage, le sexe m’était inconnu, mais je me suis bien rattrapée depuis et je suis prête à sceller un pacte avec toi dès aujourd’hui.
Cette première séance te sera gratuite, à deux conditions, la première, tu me donnes 200 € par passe et surtout nous baisons avec mes capotes.
J’ai confiance en toi, mais j’ai encore plus confiance en moi, je suis sûr qu’avec les capotes comme celle-ci, je serais bien protégée.
De plus, regarde cette plaquette, depuis hier, je prends la pilule, ce qui nous protégera de toute grossesse.

Je m’approche de son fauteuil roulant, hier ses moignons m’ont fait de l’effet, aujourd’hui il me suffit de regarder et de tâter plus haut pour éviter tout retrait de mon corps.
Je le vois sonné et quelques minutes après, Sylvestre entre.

• Sylvestre, allez au coffre et ramenez-moi 200 €.
La petite Marie-Antoinette a décidé de devenir ma petite pute et je l’accepte. Sauter la bru de ce fumier de Charles-Henri, ça me fait bander et vous savez comme j’aime ça malgré mon infirmité.

Mon Dieu, que c’est bien dit, comme le major me l’a dit, on se croirait dans un corps de garde.
Vous allez me dire quel intérêt ai-je à me vendre si peu chère alors que je suis un joli petit lot, libre de tous mes mouvements et envies depuis que Charles à ma demande pendant le repas a expédié son fils en Amérique.
Là est mon plan, c’est comme les capote pourquoi être aussi intransigeante ?
Là encore est mon plan, Sylvestre ma donne mes 200 €, nous pouvons passer aux choses sérieuses.

• William, je suppose que ton lit se trouve derrière ce rideau, avec ton fauteuil tu es dans l’impossibilité de monter à l’étage.

Il fait rouler son fauteuil, je l’aide à contourner le rideau.
C’est là que je vais me faire baiser comme il a baisé la pute parisienne hier et ainsi commencé à mettre mon plan à exécution.
Il se traine sur le lit, attendant que je le rejoigne.
J’enlève la jolie robe à fleurs achetées hier avec Manon.
Mon amie m’attendant devant le perron pour me ramener vers Charles qui doit se morfondre sachant qu’à partir de ce matin ma chatte est à la disposition de son ennemie.
C’est quelques semaines plus tard que j’ai confirmation que mon plan a marché.

• Oh ! William, c’est un grand malheur qui nous arrive.

Je suis en larmes, j’ai une grande faculté à pleurer lorsque j’en ai besoin.
Ça m’a évité deux à trois fois le cachot au pensionnat lorsque je risquais de m’y retrouver.
Les bonnes sœurs prenaient pitié cette fille qui vidait des trombes d’eau en très peu de temps.

• Dis-moi, mon petit bébé, tout peut s’arranger dans la vie !
• Tu vas me prendre pour une opportuniste, je suis enceinte.
• Je te paye pour te baiser, tu dois avoir d’autres clients !
J’ai vu par la fenêtre la voiture qui t’attend devant mon perron, pour te payer un engin de ce prix, tu dois te faire enfiler par de nombreuses bites.
Va les voir et essaye de les prendre pour des pigeons comme tu veux essayer de le faire avec moi.

Pourquoi, dans mon plan, il fallait éloigner Charles-Antoine de moi et que Charles-Henri que je suce simplement avec au minimum sa bite dans mon cul ?
C’est pour le moment que je vis et ou à quelques jours après mon accouchement, il est bien obligé de reconnaitre que le test sur mon fils correspond bien à ses propres gènes.
Il est alité depuis des jours sa maladie prenant des proportions fulgurantes.
Édouard, son fils né d’une capote défectueuse en même temps que j’avais oublié de prendre ma pilule.
S’il avait contrôlé la plaque de pilules il aurait vu qu’elle était dans le même état que le jour ou je lui ai montré.
Que dire des capotes, s’il avait gardé les capotes et surtout les étuis, il aurait vu de très petits trous ?
Bien sûr c’est moi qui les ai faits d’où l’obligation de baiser avec mes propres capotes.
Mon fils va hériter du domaine que son père lui lègue avec sa maman gestionnaire de ce domaine jusqu’à sa majorité.
C’est normal, je suis une pute venue d’un couvent de bonnes soeurs.
Je voulais un contrôle ADN pour prouver la filiation entre William et Édouard, c’est son majordome sentant l’arnaque qui a déposé une plainte.
C’est l’état par l’intermédiaire d’un juge qui me donne raison entérinant définitivement les droits de mon fils sur le domaine de son père.

Il va de soi que je conduis ma voiture ayant été reçu du premier coup au permis.
J’ai bien écrasé une poule, mais elle était certainement suicidaire.
C’est du moins ce qu’en a conclu l’examinateur, belle-fille d’un homme important ça sert.
Pour le code, mon intelligence est assez forte pour que je le réussisse sans l’aide de qui vous savez, il est maire et c’est mon beau-père.
C’est mon mari qui a demandé le divorce, ce qui a permis à Charles-Henri de m’épouser après que de son côté, sa femme ayant accepté le divorce aura pu épouser Marie-Pascale.
Tous c’est arrangé avec de l’argent, le domaine étant protégé, bien sûr, à la fin de la vie de mon mari en ma faveur et celle de mon fils.
J’ai moins de vingt-cinq ans, je dirige la plus grande exploitation de vin rosé de ma région avec Romuald et Manon qui pour leur part gère le domaine du major William, paix à son âme.
Je leur ai fait un bail de quatre-vingt-dix-neuf ans qui va leur permettre de vivre de la vigne sans les soucis de remboursement de crédit.

À oui, que dire de plus, oui, Romuald enculant mon mari, ce qui me posait un problème moral !
Un jour alors que nous venions de prendre du plaisir dans mon lit avant que je me lève, c’est elle qui a rigolé en me disant que son mari enculait le mien pour être sûr de garder leurs emplois.
Ça m’a rassuré, j’évite les flammes de l’enfer en cachant à mon amie ce secret, c’est mon côté, bonne sœur qui me rattrape malgré ma nouvelle vie tumultueuse.

• Mon chéri, je suis enceinte, une petite fille, nous avons le choix du roi avant de perdre sa tête.

Notre fils grandi, il va avoir une petite sœur.

• À partir de maintenant il va falloir faire gaffe à bébé ma chérie !

Charles, tu peux te mette le doigt jusqu’au coude pour que j’arrête de baiser.
Éric a téléphoné pour que Manon prépare sa chambre, il vient passer les vacances d’été chez lui dans ses appartements.
Dire qu’à un certain moment, j’étais à deux doigts de prendre le voile.
Le destin, lorsqu’il vous rattrape, semble avoir mille tours dans son sac.

Les avis des lecteurs

Merci Cyrilloe, j'ai déjà des histoires programmé tous les deux jours sur HDS
jusq'à la mi-février et déjà d'autres textes près a être envoyés surement jusqu'en mai 2024 et j'écris toutes les nuits je dors peu

Histoire Erotique
Le pouvoir des femmes.
J'espère qu'il y aura une aussi belle aventure à nous mettre sous la pupille mon cher Chris...
Cyrille

Histoire Libertine
Bravo Marie Antoinette.



Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (11/11)
Histoire sexe : Une rose rouge
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