COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (6/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (6/11)
C’est incroyable comme ma vie s’est accélérée en si peu de temps.
Je me croyais faite pour finir none dans le couvent dont une partie est une école pour filles de bonne famille.
Je savais que maman m’ayant élevé seule trimant pendant des heures dans notre domaine viticole pour que j’aie la meilleure éducation possible et que je préserve ce que l’on appelle mon petit capital dans notre milieu un peu bourgeois.
Lorsqu’un taxi est venu me chercher avec armes et bagages, j’ignorais que je passais à dix-neuf ans d’un monde d’insouciance exempt de toute question principalement sur le sexe à un monde où tout semble sexe.
À mon arrivée, j’étais attendu par plusieurs adultes, ma maman et les parents de Charles-Antoine et tout ayant été préparé, même ma robe par tous ces adultes.
Je me suis retrouvé devant monsieur le maire au château et devant le curé dans la petite chapelle près du château.
Pour le maire, c’était facile, Charles-Henri a été réélu pour la sixième fois depuis qu’il a remplacé son père.
Le curé, une grosse enveloppe pour les pauvres de notre paroisse, dans une petite ville viticole, j’ai beau cherché, si j’avais cent balles à donner à un clodo, je devrais faire des kilomètres pour en trouver un.
J’ai dit dans le chapitre précédent que grâce à l’ordinateur récupéré officiellement pour épauler Charles-Henri, mon beau-père, j’avais découvert des films me montrant des femmes faisant des horreurs à certains moments.
J’ai même lu des histoires sur le site HDS où certaines d’entre elles évoquent leurs turpitudes.
L’ordi je l’ai sur mon lit, mais lorsque je reviens dans ma chambre après avoir été la maîtresse de mon beau-papa, je retrouve Manon, qui m’aide à prendre un bain.
Des chattes j’en ai vu à la pension pour jeunes filles, nous prenions des douches communes, mais des chattes rousses, c’est la première que je vois.
Je dis « des », je dois dire une, celle de manon qui s’étant mis nue enjambe le rebord de ma baignoire me montrant sa fente rose avec des grandes lèvres très brunes.
Elle veut se placer derrière moi, j’avance un peu et lorsqu’elle s’assied, je sens ses seins venir se coller à mon dos.
• Alors, raconte, comment a-t-il attaqué, soit sans crainte, c’est ton beau-père qui m’a dépucelé lorsqu’il m’a fait passer mon examen d’embauche.
• Je croyais que c’était Romuald, tu es pourtant aussi jeune que moi !
• Oui, mais moi, j’ai fait les vendanges, presque à l’âge de dix-sept ans.
Le dernier soir, tes beaux-parents étaient là lors de la fête de fin de vendange.
Ton beau-père m’a invité à danser pendant que ta belle-mère en faisait de même avec sa pintade.
• Sa pintade ?
• Oui, toi c’était la none, la gouine de ta belle-mère cette année-là avait fait faire par Yollande la coiffeuse du village, un maiche rouge qui lui arrivait sur l’œil.
C’est Romuald qui lui a trouvé ce nom.
Ce soir-là, ton beau-père m’a fait sentir la belle bite vue tout à l’heure et nous sommes montés dans son bureau, il m’a dépucelé sur le bureau voisin du sien.
• Ce bureau, c’est celui qu’il m’a donné en même temps qu’il me donnait un ordinateur.
Ou t’as main va-t-elle ?
• Vérifier, si ton mari a bien ouvert le passage et aussi faire sortir le sperme de ton beau-père, dit, tu as une contraception !
• Non, et ça m’ennuie, ils veulent que j’aie le plus rapidement possible un fils, mais moi je pense avoir le temps et découvrir tout ce qu’ils m’ont caché pendant des années.
Ah, ça recommence, tu sais, j’ai eu un orgasme avec mon beau-père pour la première fois de ma vie, je suis entré dans le monde dont on parlait, celui des salopes.
• Je t’arrête tout de suite, tu as découvert que tu avais un sexe et que c’était plaisant de s’en servir.
Je dis un sexe, je devrais dire des organes génitaux, ils sont là pour que tu t’en serves.
• Oui, mais j’ai crié, on aurait pu m’entendre et quelqu’un aurait pu le dire à mon mari !
J’avais fermé la porte, mais, là aussi, on aurait pu venir voir mon beau-père et me trouver assise sur sa queue dans son fauteuil !
• Tu es passionnante dans la découverte de ta sexualité, si dans ce château, il y a un endroit très sûr, c’est le bureau du patron.
Moi aussi je crie chaque fois qu’il me fait sauter sur ses genoux, mais il y a des années, que des travaux d’insonorisation ont été faits.
C’était sous couvert de garder les secrets qui se disaient qu’ils les ont fait effectuer.
En plus, tu dois savoir, qu’il savait déjà qu’il allait essayer de te baiser et lorsque tu es entré, il a appuyé sur un petit bouton sous son bureau bloquant la porte.
Il a pu te défoncer autant qu’il en avait envie.
Quant à ta contraception, dès que mes doigts auront terminé leur travail, je vais aller dans mon placard, j’ai plusieurs choses, une pilule du lendemain.
Comme ça si tu as été prise dès ta première fois ou aujourd’hui avec Charles-Henri, ça va tout nettoyer.
Pour le reste, comme c’est moi qui t’apporte le petit déjeuner, discrètement je te donnerais la pilule et ainsi fini les soucis de grossesses.
Dans ton couvent, aviez-vous des visites gynécologiques ?
• Oui, une femme médecin venait tous les ans et elle nous examinait.
Certaines d’entre nous disaient que s’étaient pour voir si notre petit capital était bien toujours là.
Mais tu sais, j’étais très respectueuse des règles, sinon nous allions au cachot.
• Tu étais dans une vraie prison, je vais t’aider à rattraper le temps.
• Et ton mari ?
• Et le tient, tu es une sacrée cochonne d’avoir baisé avec ton beau-papa.
À l’évocation d’être une cochonne, une nouvelle fois les couilles et la verge de mon taureau me reviennent en mémoire et les doigts de Manon, m’apportent mon premier orgasme prodigué par une autre femme.
La liste de mes turpitudes s’allonge, même les femmes veulent me faire avancer dans ma sexualité.
Quand je dis avancé, j’ai l’impression de le faire au grand galop.
Manon me quitte et revient avec la pilule dite du lendemain.
• Je peux te fournir en pilule, j’ai une copine au planning familiale, mais je sais qu’il vaut mieux que tu sois vu par ma gynéco, tu verras, elle est formidable.
Veux-tu que je te prenne un rendez-vous ?
• Oui, à part demain matin où je dois aller faire du sport, je peux me libérer.
• Je sais que pour t’absenter, il te suffira de faire une petite fellation à ton beau-père, il sera très conciliant.
• C’est comme ça que tu pratiques quand tu as besoin d’un congé ?
• Un congé, non, mais une petite augmentation, ça peut être utile.
Je plaisantais pour toi comme pour moi.
Je te quitte à demain matin, 8 heures, café avec des biscottes beurrées, si tu es sage, je te mettrais un petit pot de confiture d’abricots.
• Veux-tu que dans un an, j’ai un gros cul surtout si je dois avoir des grossesses ?
• Rassure-toi, on va faire ce qu’il faut pour t’éviter ça !
• Le gros cul ou les grossesses ?
• Les deux, ma belle, bon Romuald m’attend à notre voiture.
Manon partie, je m’allonge et je démarre l’ordinateur...
Mince, mon portable, je me suis assoupi, mais je sais bien des choses sur les hommes et le sexe.
Je dois constater une chose lorsque j’analyse ce que j’ai vu et lu comme je l’ai dit sur HDS.
Marie-Antoinette, de none est devenue une vraie salope.
Je dois dire, que de le découvrir, je me mets en paix avec moi-même.
Sans le savoir j’aurais pu devenir une pute et ça dans mon triptyque, c’était l’enfer assuré.
Mon portable donc me réveil.
• Marie-Antoinette, ou êtes-vous, la famille vous attend pour passer à table, êtes-vous malade ?
• Je m’étais assoupi sur mon lit, peux-tu dire à tous que j’arrive dans deux minutes.
Je mets ma jupette, mes baskets, je change de chemisier, mais j’ai aimé avoir les seins libres, je me rends dans la salle à manger où tous sont déjà assis à table.
Je vais m’assoir à la place qui m’est dévolue à côté de mon mari.
Je me penche et je l’embrasse sur le bord des lèvres, je vais pour m’asseoir.
• Marie-Antoinette, comment peux-tu te présenter devant la famille dans une tenue de fille dévergondée.
En te baissant pour embrasser ton mari, tu as montré à tous une partie de tes seins, dans notre famille c’est indécent.
Éric, notre neveu est un jeune homme bien élevé, mais je l’ai vue regarder fixement vers toi.
Pour clore le tableau, ta jupe est si mini qu’on pourrait croire que tu fais partie de ces filles qui montrent leurs fesses et se promène sans petite culotte.
Retourne immédiatement dans ta chambre passer une de tes tenues habituelles et que nous avons ramenée avec Manon avant ton mariage.
• Assez Élisabeth, Marie-Antoinette, tu vas rester à table, pour une fois qu’il y a un mouvement de fraîcheur dans cette maison.
Je vous interdis vous et votre guenon de refuser à notre bru d’être une jeune femme et surtout d’être belle.
Marie-Pascale, se sachant visée en se faisant traiter de guenon se lève, jette sa serviette sur son assiette et veux quitter la salle.
• Je vous ordonne de vous rassoir immédiatement.
Ici s’est encore-moi qui commande, même si depuis des années vous pouvez penser que vos rapports intimes avec ma femme vous donnent des droits supérieurs aux autres personnes de mon personnel.
C’est encore ma famille qui vous paye tous les mois pour bouffer la chatte de ma femme dans ces tenues d’un autre âge.
Et arrêter de vous tenir à table comme si vous aviez un balai dans le cul, ça fait des années que ça m’indispose.
Je pique le nez dans mon assiette, les mots, mais aussi le ton de mon beau-père est glaçant pour celle qui les reçoit.
Mais avant j’ai le temps de voir qu’Éric est à deux doigts de pouffer de rire.
Le rire est communicatif, je prends ma serviette et je plonge mon visage dedans faisant penser que je vais pleurer.
Mon premier repas dans ma nouvelle maison commence bien.
Si ma belle-maman savait qu’elle a raison, ma petite culotte rose ayant disparu, et comme j’étais en retard, j’aurais perdu trop de temps à en chercher une autre.
Quand je baisse mes yeux, ma jupe est remontée et Charles-Antoine à mes côtés peut voir la blondeur de son épouse...
Je me croyais faite pour finir none dans le couvent dont une partie est une école pour filles de bonne famille.
Je savais que maman m’ayant élevé seule trimant pendant des heures dans notre domaine viticole pour que j’aie la meilleure éducation possible et que je préserve ce que l’on appelle mon petit capital dans notre milieu un peu bourgeois.
Lorsqu’un taxi est venu me chercher avec armes et bagages, j’ignorais que je passais à dix-neuf ans d’un monde d’insouciance exempt de toute question principalement sur le sexe à un monde où tout semble sexe.
À mon arrivée, j’étais attendu par plusieurs adultes, ma maman et les parents de Charles-Antoine et tout ayant été préparé, même ma robe par tous ces adultes.
Je me suis retrouvé devant monsieur le maire au château et devant le curé dans la petite chapelle près du château.
Pour le maire, c’était facile, Charles-Henri a été réélu pour la sixième fois depuis qu’il a remplacé son père.
Le curé, une grosse enveloppe pour les pauvres de notre paroisse, dans une petite ville viticole, j’ai beau cherché, si j’avais cent balles à donner à un clodo, je devrais faire des kilomètres pour en trouver un.
J’ai dit dans le chapitre précédent que grâce à l’ordinateur récupéré officiellement pour épauler Charles-Henri, mon beau-père, j’avais découvert des films me montrant des femmes faisant des horreurs à certains moments.
J’ai même lu des histoires sur le site HDS où certaines d’entre elles évoquent leurs turpitudes.
L’ordi je l’ai sur mon lit, mais lorsque je reviens dans ma chambre après avoir été la maîtresse de mon beau-papa, je retrouve Manon, qui m’aide à prendre un bain.
Des chattes j’en ai vu à la pension pour jeunes filles, nous prenions des douches communes, mais des chattes rousses, c’est la première que je vois.
Je dis « des », je dois dire une, celle de manon qui s’étant mis nue enjambe le rebord de ma baignoire me montrant sa fente rose avec des grandes lèvres très brunes.
Elle veut se placer derrière moi, j’avance un peu et lorsqu’elle s’assied, je sens ses seins venir se coller à mon dos.
• Alors, raconte, comment a-t-il attaqué, soit sans crainte, c’est ton beau-père qui m’a dépucelé lorsqu’il m’a fait passer mon examen d’embauche.
• Je croyais que c’était Romuald, tu es pourtant aussi jeune que moi !
• Oui, mais moi, j’ai fait les vendanges, presque à l’âge de dix-sept ans.
Le dernier soir, tes beaux-parents étaient là lors de la fête de fin de vendange.
Ton beau-père m’a invité à danser pendant que ta belle-mère en faisait de même avec sa pintade.
• Sa pintade ?
• Oui, toi c’était la none, la gouine de ta belle-mère cette année-là avait fait faire par Yollande la coiffeuse du village, un maiche rouge qui lui arrivait sur l’œil.
C’est Romuald qui lui a trouvé ce nom.
Ce soir-là, ton beau-père m’a fait sentir la belle bite vue tout à l’heure et nous sommes montés dans son bureau, il m’a dépucelé sur le bureau voisin du sien.
• Ce bureau, c’est celui qu’il m’a donné en même temps qu’il me donnait un ordinateur.
Ou t’as main va-t-elle ?
• Vérifier, si ton mari a bien ouvert le passage et aussi faire sortir le sperme de ton beau-père, dit, tu as une contraception !
• Non, et ça m’ennuie, ils veulent que j’aie le plus rapidement possible un fils, mais moi je pense avoir le temps et découvrir tout ce qu’ils m’ont caché pendant des années.
Ah, ça recommence, tu sais, j’ai eu un orgasme avec mon beau-père pour la première fois de ma vie, je suis entré dans le monde dont on parlait, celui des salopes.
• Je t’arrête tout de suite, tu as découvert que tu avais un sexe et que c’était plaisant de s’en servir.
Je dis un sexe, je devrais dire des organes génitaux, ils sont là pour que tu t’en serves.
• Oui, mais j’ai crié, on aurait pu m’entendre et quelqu’un aurait pu le dire à mon mari !
J’avais fermé la porte, mais, là aussi, on aurait pu venir voir mon beau-père et me trouver assise sur sa queue dans son fauteuil !
• Tu es passionnante dans la découverte de ta sexualité, si dans ce château, il y a un endroit très sûr, c’est le bureau du patron.
Moi aussi je crie chaque fois qu’il me fait sauter sur ses genoux, mais il y a des années, que des travaux d’insonorisation ont été faits.
C’était sous couvert de garder les secrets qui se disaient qu’ils les ont fait effectuer.
En plus, tu dois savoir, qu’il savait déjà qu’il allait essayer de te baiser et lorsque tu es entré, il a appuyé sur un petit bouton sous son bureau bloquant la porte.
Il a pu te défoncer autant qu’il en avait envie.
Quant à ta contraception, dès que mes doigts auront terminé leur travail, je vais aller dans mon placard, j’ai plusieurs choses, une pilule du lendemain.
Comme ça si tu as été prise dès ta première fois ou aujourd’hui avec Charles-Henri, ça va tout nettoyer.
Pour le reste, comme c’est moi qui t’apporte le petit déjeuner, discrètement je te donnerais la pilule et ainsi fini les soucis de grossesses.
Dans ton couvent, aviez-vous des visites gynécologiques ?
• Oui, une femme médecin venait tous les ans et elle nous examinait.
Certaines d’entre nous disaient que s’étaient pour voir si notre petit capital était bien toujours là.
Mais tu sais, j’étais très respectueuse des règles, sinon nous allions au cachot.
• Tu étais dans une vraie prison, je vais t’aider à rattraper le temps.
• Et ton mari ?
• Et le tient, tu es une sacrée cochonne d’avoir baisé avec ton beau-papa.
À l’évocation d’être une cochonne, une nouvelle fois les couilles et la verge de mon taureau me reviennent en mémoire et les doigts de Manon, m’apportent mon premier orgasme prodigué par une autre femme.
La liste de mes turpitudes s’allonge, même les femmes veulent me faire avancer dans ma sexualité.
Quand je dis avancé, j’ai l’impression de le faire au grand galop.
Manon me quitte et revient avec la pilule dite du lendemain.
• Je peux te fournir en pilule, j’ai une copine au planning familiale, mais je sais qu’il vaut mieux que tu sois vu par ma gynéco, tu verras, elle est formidable.
Veux-tu que je te prenne un rendez-vous ?
• Oui, à part demain matin où je dois aller faire du sport, je peux me libérer.
• Je sais que pour t’absenter, il te suffira de faire une petite fellation à ton beau-père, il sera très conciliant.
• C’est comme ça que tu pratiques quand tu as besoin d’un congé ?
• Un congé, non, mais une petite augmentation, ça peut être utile.
Je plaisantais pour toi comme pour moi.
Je te quitte à demain matin, 8 heures, café avec des biscottes beurrées, si tu es sage, je te mettrais un petit pot de confiture d’abricots.
• Veux-tu que dans un an, j’ai un gros cul surtout si je dois avoir des grossesses ?
• Rassure-toi, on va faire ce qu’il faut pour t’éviter ça !
• Le gros cul ou les grossesses ?
• Les deux, ma belle, bon Romuald m’attend à notre voiture.
Manon partie, je m’allonge et je démarre l’ordinateur...
Mince, mon portable, je me suis assoupi, mais je sais bien des choses sur les hommes et le sexe.
Je dois constater une chose lorsque j’analyse ce que j’ai vu et lu comme je l’ai dit sur HDS.
Marie-Antoinette, de none est devenue une vraie salope.
Je dois dire, que de le découvrir, je me mets en paix avec moi-même.
Sans le savoir j’aurais pu devenir une pute et ça dans mon triptyque, c’était l’enfer assuré.
Mon portable donc me réveil.
• Marie-Antoinette, ou êtes-vous, la famille vous attend pour passer à table, êtes-vous malade ?
• Je m’étais assoupi sur mon lit, peux-tu dire à tous que j’arrive dans deux minutes.
Je mets ma jupette, mes baskets, je change de chemisier, mais j’ai aimé avoir les seins libres, je me rends dans la salle à manger où tous sont déjà assis à table.
Je vais m’assoir à la place qui m’est dévolue à côté de mon mari.
Je me penche et je l’embrasse sur le bord des lèvres, je vais pour m’asseoir.
• Marie-Antoinette, comment peux-tu te présenter devant la famille dans une tenue de fille dévergondée.
En te baissant pour embrasser ton mari, tu as montré à tous une partie de tes seins, dans notre famille c’est indécent.
Éric, notre neveu est un jeune homme bien élevé, mais je l’ai vue regarder fixement vers toi.
Pour clore le tableau, ta jupe est si mini qu’on pourrait croire que tu fais partie de ces filles qui montrent leurs fesses et se promène sans petite culotte.
Retourne immédiatement dans ta chambre passer une de tes tenues habituelles et que nous avons ramenée avec Manon avant ton mariage.
• Assez Élisabeth, Marie-Antoinette, tu vas rester à table, pour une fois qu’il y a un mouvement de fraîcheur dans cette maison.
Je vous interdis vous et votre guenon de refuser à notre bru d’être une jeune femme et surtout d’être belle.
Marie-Pascale, se sachant visée en se faisant traiter de guenon se lève, jette sa serviette sur son assiette et veux quitter la salle.
• Je vous ordonne de vous rassoir immédiatement.
Ici s’est encore-moi qui commande, même si depuis des années vous pouvez penser que vos rapports intimes avec ma femme vous donnent des droits supérieurs aux autres personnes de mon personnel.
C’est encore ma famille qui vous paye tous les mois pour bouffer la chatte de ma femme dans ces tenues d’un autre âge.
Et arrêter de vous tenir à table comme si vous aviez un balai dans le cul, ça fait des années que ça m’indispose.
Je pique le nez dans mon assiette, les mots, mais aussi le ton de mon beau-père est glaçant pour celle qui les reçoit.
Mais avant j’ai le temps de voir qu’Éric est à deux doigts de pouffer de rire.
Le rire est communicatif, je prends ma serviette et je plonge mon visage dedans faisant penser que je vais pleurer.
Mon premier repas dans ma nouvelle maison commence bien.
Si ma belle-maman savait qu’elle a raison, ma petite culotte rose ayant disparu, et comme j’étais en retard, j’aurais perdu trop de temps à en chercher une autre.
Quand je baisse mes yeux, ma jupe est remontée et Charles-Antoine à mes côtés peut voir la blondeur de son épouse...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Chris pour cette belle suite 👍🏼👍🏼👍🏼
Cyrille
Cyrille