COLLECTION ZONE ROUGE. L’anguille (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. L’anguille (3/3)
• Jean, j’ai l’impression que nous sommes cocus tous les deux !
• Que me dis-tu là Charles, chaque fois que nos femmes vont avec d’autres mecs, nous sommes là et nous les encourageons à se faire sauter par les plus beaux mâles de la soirée.
• Justement, ça fait deux fois que nous venons dans notre club échangiste depuis notre rencontre fortuite pendant nos vacances et ce sont nos femmes entre elles qui nous font cocus.
• Comment le vois-tu, lorsqu’elles en ont assez de se faire baiser par d’autres, c’est vers nous qu’elles reviennent se donner deux fois, dix fois plus intensément qu’avant de nous faire connaître l’échangisme !
• Je te dis ça, car avant de vous rencontrer, Paola, pour rien au monde, n’aurait partagé Mamadou avec la moindre fille de la soirée.
Ça fait deux fois qu’il est là et les deux fois, j’ai vu Paola l’offrir à Sophie, la laissant se faire prendre par sa grosse queue dès qu’ils ont été ensemble.
Nos femmes s’aiment et comme Paola a su emmener ta femme vers les plaisirs féminins, regarde comme elle se glisse sous le couple pour brouter Sophie pendant que Mamadou l’enfile.
C’est la première fois que je vois ma femme avoir un tel comportement avec une autre femme, elles nous font cocus.
• Arrête de te complaire dans des idées noires, pas plus tard qu’hier, Sophie a fait l’amour avec moi, elle veut enlever son stérilet pour que nous ayons un enfant.
Si nous étions cocus, crois-tu qu’elle m’aurait demandé que nous fondions une famille !
Vous pouvez en faire de même, tu verras, ça change bien des choses.
Je vous avais quitté la veille de notre départ de l’ile où nous avions rencontré en sauvant Paola des griffes de Pedro.
Pedro ce malade que la police appelle l’anguille, leurs échappant avec l’aide de deux complices qui feignaient d’enlever des femmes en vacances pour les baisers en toute impunité.
Il arrivait en sauveur et les invitait à venir dans des villas qu’il squattait en présence de leur mari.
Ça avait été le cas le soir ou ma femme Sophie ayant décidé de se faire pardonner d’avoir eu ses règles dès notre arrivée pour notre voyage de noces avait prévu de faire l’amour sur la plage.
Sans qu’elle me le dise, lorsque j’ai vu Pedro l’a dénudé, elle était nue sous sa robe. La plage devait être notre terrain de jeu, du moins, c’est ce qu’elle m’a dit dans l’avion du retour.
Étant témoin de la tentative d’enlèvement identique contre Paola, le couple un peu plus vieux que le nôtre, nous initie au libertinage jusqu’à l’échangisme.
C’est dans leur suite, que c’est passé notre initiation, Paola faisant de Sophie une parfaite bisexuelle, car nos verges sont toujours aussi importantes que la chatte de sa nouvelle copine.
Après avoir appris ç nous éclater en couple et entre femmes, nous sommes rentrés à Paris le lendemain en avions.
Dès le samedi suivant nous avons retrouvé nos amis à qui nous avons offert le restaurant.
Eux-mêmes était rentré depuis deux jours en étant en pleine forme pour nous faire découvrir les chaudes nuits parisienne dans le club où ils avaient manifestement leurs entrées.
Grâce à eux, nous avons obtenu une carte de membre du club très fermé, sésame obligatoire pour être admis dans ce club d’habitués.
En son sein, l’élite parisienne se retrouvait pour passer un bon moment devant des coupes principalement de champagne et parler de tout sauf de la vie professionnelle des uns ou des autres Parisienne.
J’ai rapidement reconnu des artistes célèbre avec leur femme ou leur maitresse.
Peu importe, le principal est qu’ils se servaient de leur queue ou de leur chatte comme nous avons appris avec Sophie à nous servir des nôtres.
J’ai même reconnu des hommes et même une femme de télé où les intervieweurs de la veille baisaient avec l’interviewer les ayant soi-disant massacré dans le moment où ils les interrogeaient.
L’avantage, de les rencontrer et de boire un verre avec eux, facilitait le contact et que les contrats étaient plus faciles à obtenir lorsque Paola et Sophie se déchainent au milieu d’eux.
On se rencontrait dans les heures ou les jours qui suivaient et d’avoir vu leur queue défoncer nos femmes, les stylos sortaient plus facilement pour signer de lucratifs contrats.
Mais comme je l’ai dit, dans le club, nous évitons de parler bisness alors j’admire Mamadou faire jouir Sophie, que tous l’entourant l’aide à se prendre le gros bâton de son black dans la chatte.
• Mon chéri, tu as vu comme Mamadou m’as défoncé, je vous regardais, j’ai vu que vous éjaculiez avec Charles en vous masturbant et en nous regardant.
Le baiser qu’elle me donne, me fait douter des dires de Charles sur le soi-disant cocufiage de nos dames, même si celui-ci aurait lieu entre elles.
J’ai appris à connaitre Paola dans son ile avant notre retour qui après les avoir retrouvé, après leur propre retour, elle aussi semble aussi amoureux de Charles que Sophie de moi.
C’est sans capote, qu’elle est venue l’embrasser et s’empaler sur la verge familiale.
Un petit détail, Paola baise avec son mec, mais sa bouche vient embrasser celle de ma femme, me mettant le doute sur un éventuel cocufiage entre elles et nous.
L’idée de fonder une famille s’est concrétisée dans les semaines suivantes, Sophie m’a offert une paire de minis chaussons jaunes.
Elle refuse que sa doctoresse lors de l’écographie lui révèle le sexe de notre enfant.
Elle veut le découvrir à la naissance.
Je savais que la venue d’un bébé bouleverserait bien des choses.
Ça a été le cas pour nous.
Paola nous a trouvé cinq pièces dans l’appartement au-dessus de chez eux, elle veut surveiller la naissance.
Sous couvert qu’à la dernière visite, la position et le risque d’une naissance prématurée oblige Sophie à beaucoup de repos avant la naissance, elle reste souvent avec elle.
• Allez les gars vous pouvez me baiser !
Sophie, je suis leur salope avant que dans quelques mois tu puisses reprendre nos jeux érotiques.
Paola, pour nous satisfaire, Charles et moi, accepte la double pénétration, c’est moi qui en ce moment l’encule, laissant loin les soupçons de cocufiage de nos femmes.
Qu’en est-il de ma proposition à Charles qu’eux aussi fondent une famille ?
• Quelle horreur, j’adore les enfants mais chez les autres, je refuse que mon corps soit déformé par une grossesse !
Ce fut net et sans bavure, elle a préféré perdre son pucelage anal, ce que Charles s’est empressé de faire, elle lui refusait ce plaisir depuis si longtemps.
Une femme enceinte regardant son homme baiser d’autres libertines, ça nous a choqué les uns et les autres.
C’est à l’étage de nos amis, devant le feu de la cheminée, que Paola nous offre le plaisir de sentir nos queues se frotter au travers du périnée de cette grande baiseuse qu’est Paola.
• Mes amis, il y a deux ans, en vacances, j’ai appris qu’une amie d’enfance était décédée, deux mois plus tôt, sur l’île où nous sommes rencontrées.
Depuis, je regarde le journal local sur Internet, je vous ai traduit l’article qui vient d’être publié parlant de l’anguille.
« Bla-bla-bla, il a été arrêté par l’inspecteur Luigi après une passionnante chasse à l’homme.
Bla-bla-bla, c’est au domaine de son père qu’il a été arrêté, alors qu’il était venu faire le plein de bouteilles de vin blanc, lui servant à droguer ses victimes.
Ils sont trois, Pedro, Juan Carlos et Ludovic, un allemand complice des deux autres à avoir été arrêté suite à l’interpellation de ce trio de violeurs en série.
Chacun leur tour, ils jouaient le rôle du sauveur de ces dames avant de les entrainer vers des villas, toutes très luxurieuses ou après les avoir drogués, ils abusaient de leur candeur. »
• Le reste était du bla-bla de journalistes mes amis.
Voilà, la boucle est bouclée, à un petit détail.
Pedro est bouclé, mais nous aussi sexuellement, Sophie dès la naissance est devenue mère et à ce titre refuse de me suivre dans le club où j’avais le plaisir de la voir se faire prendre par Mamadou.
Paola et Charles y vont toujours, hier c’était le cas.
Notre amie est revenue déçue de sa soirée, Mamadou a été expulsé car il était sans papier.
Le nombre d’étrangers en situation irrégulière est très important et peu sont renvoyés d’où ils venaient.
Hélas, pour Mamadou, le couperet est tombé et il est reparti vers son Afrique natale.
• Chéri, Paola pleure, tu peux te lever pour lui donner un biberon, elle m’a épuisé toute la journée.
Voilà la triste fin de mes soirées libertines, mais je pense que vous êtes nombreux à subir ou avoir subi ce genre de situation et que je suis loin d’être l’exception qui confirme la règle.
• Que me dis-tu là Charles, chaque fois que nos femmes vont avec d’autres mecs, nous sommes là et nous les encourageons à se faire sauter par les plus beaux mâles de la soirée.
• Justement, ça fait deux fois que nous venons dans notre club échangiste depuis notre rencontre fortuite pendant nos vacances et ce sont nos femmes entre elles qui nous font cocus.
• Comment le vois-tu, lorsqu’elles en ont assez de se faire baiser par d’autres, c’est vers nous qu’elles reviennent se donner deux fois, dix fois plus intensément qu’avant de nous faire connaître l’échangisme !
• Je te dis ça, car avant de vous rencontrer, Paola, pour rien au monde, n’aurait partagé Mamadou avec la moindre fille de la soirée.
Ça fait deux fois qu’il est là et les deux fois, j’ai vu Paola l’offrir à Sophie, la laissant se faire prendre par sa grosse queue dès qu’ils ont été ensemble.
Nos femmes s’aiment et comme Paola a su emmener ta femme vers les plaisirs féminins, regarde comme elle se glisse sous le couple pour brouter Sophie pendant que Mamadou l’enfile.
C’est la première fois que je vois ma femme avoir un tel comportement avec une autre femme, elles nous font cocus.
• Arrête de te complaire dans des idées noires, pas plus tard qu’hier, Sophie a fait l’amour avec moi, elle veut enlever son stérilet pour que nous ayons un enfant.
Si nous étions cocus, crois-tu qu’elle m’aurait demandé que nous fondions une famille !
Vous pouvez en faire de même, tu verras, ça change bien des choses.
Je vous avais quitté la veille de notre départ de l’ile où nous avions rencontré en sauvant Paola des griffes de Pedro.
Pedro ce malade que la police appelle l’anguille, leurs échappant avec l’aide de deux complices qui feignaient d’enlever des femmes en vacances pour les baisers en toute impunité.
Il arrivait en sauveur et les invitait à venir dans des villas qu’il squattait en présence de leur mari.
Ça avait été le cas le soir ou ma femme Sophie ayant décidé de se faire pardonner d’avoir eu ses règles dès notre arrivée pour notre voyage de noces avait prévu de faire l’amour sur la plage.
Sans qu’elle me le dise, lorsque j’ai vu Pedro l’a dénudé, elle était nue sous sa robe. La plage devait être notre terrain de jeu, du moins, c’est ce qu’elle m’a dit dans l’avion du retour.
Étant témoin de la tentative d’enlèvement identique contre Paola, le couple un peu plus vieux que le nôtre, nous initie au libertinage jusqu’à l’échangisme.
C’est dans leur suite, que c’est passé notre initiation, Paola faisant de Sophie une parfaite bisexuelle, car nos verges sont toujours aussi importantes que la chatte de sa nouvelle copine.
Après avoir appris ç nous éclater en couple et entre femmes, nous sommes rentrés à Paris le lendemain en avions.
Dès le samedi suivant nous avons retrouvé nos amis à qui nous avons offert le restaurant.
Eux-mêmes était rentré depuis deux jours en étant en pleine forme pour nous faire découvrir les chaudes nuits parisienne dans le club où ils avaient manifestement leurs entrées.
Grâce à eux, nous avons obtenu une carte de membre du club très fermé, sésame obligatoire pour être admis dans ce club d’habitués.
En son sein, l’élite parisienne se retrouvait pour passer un bon moment devant des coupes principalement de champagne et parler de tout sauf de la vie professionnelle des uns ou des autres Parisienne.
J’ai rapidement reconnu des artistes célèbre avec leur femme ou leur maitresse.
Peu importe, le principal est qu’ils se servaient de leur queue ou de leur chatte comme nous avons appris avec Sophie à nous servir des nôtres.
J’ai même reconnu des hommes et même une femme de télé où les intervieweurs de la veille baisaient avec l’interviewer les ayant soi-disant massacré dans le moment où ils les interrogeaient.
L’avantage, de les rencontrer et de boire un verre avec eux, facilitait le contact et que les contrats étaient plus faciles à obtenir lorsque Paola et Sophie se déchainent au milieu d’eux.
On se rencontrait dans les heures ou les jours qui suivaient et d’avoir vu leur queue défoncer nos femmes, les stylos sortaient plus facilement pour signer de lucratifs contrats.
Mais comme je l’ai dit, dans le club, nous évitons de parler bisness alors j’admire Mamadou faire jouir Sophie, que tous l’entourant l’aide à se prendre le gros bâton de son black dans la chatte.
• Mon chéri, tu as vu comme Mamadou m’as défoncé, je vous regardais, j’ai vu que vous éjaculiez avec Charles en vous masturbant et en nous regardant.
Le baiser qu’elle me donne, me fait douter des dires de Charles sur le soi-disant cocufiage de nos dames, même si celui-ci aurait lieu entre elles.
J’ai appris à connaitre Paola dans son ile avant notre retour qui après les avoir retrouvé, après leur propre retour, elle aussi semble aussi amoureux de Charles que Sophie de moi.
C’est sans capote, qu’elle est venue l’embrasser et s’empaler sur la verge familiale.
Un petit détail, Paola baise avec son mec, mais sa bouche vient embrasser celle de ma femme, me mettant le doute sur un éventuel cocufiage entre elles et nous.
L’idée de fonder une famille s’est concrétisée dans les semaines suivantes, Sophie m’a offert une paire de minis chaussons jaunes.
Elle refuse que sa doctoresse lors de l’écographie lui révèle le sexe de notre enfant.
Elle veut le découvrir à la naissance.
Je savais que la venue d’un bébé bouleverserait bien des choses.
Ça a été le cas pour nous.
Paola nous a trouvé cinq pièces dans l’appartement au-dessus de chez eux, elle veut surveiller la naissance.
Sous couvert qu’à la dernière visite, la position et le risque d’une naissance prématurée oblige Sophie à beaucoup de repos avant la naissance, elle reste souvent avec elle.
• Allez les gars vous pouvez me baiser !
Sophie, je suis leur salope avant que dans quelques mois tu puisses reprendre nos jeux érotiques.
Paola, pour nous satisfaire, Charles et moi, accepte la double pénétration, c’est moi qui en ce moment l’encule, laissant loin les soupçons de cocufiage de nos femmes.
Qu’en est-il de ma proposition à Charles qu’eux aussi fondent une famille ?
• Quelle horreur, j’adore les enfants mais chez les autres, je refuse que mon corps soit déformé par une grossesse !
Ce fut net et sans bavure, elle a préféré perdre son pucelage anal, ce que Charles s’est empressé de faire, elle lui refusait ce plaisir depuis si longtemps.
Une femme enceinte regardant son homme baiser d’autres libertines, ça nous a choqué les uns et les autres.
C’est à l’étage de nos amis, devant le feu de la cheminée, que Paola nous offre le plaisir de sentir nos queues se frotter au travers du périnée de cette grande baiseuse qu’est Paola.
• Mes amis, il y a deux ans, en vacances, j’ai appris qu’une amie d’enfance était décédée, deux mois plus tôt, sur l’île où nous sommes rencontrées.
Depuis, je regarde le journal local sur Internet, je vous ai traduit l’article qui vient d’être publié parlant de l’anguille.
« Bla-bla-bla, il a été arrêté par l’inspecteur Luigi après une passionnante chasse à l’homme.
Bla-bla-bla, c’est au domaine de son père qu’il a été arrêté, alors qu’il était venu faire le plein de bouteilles de vin blanc, lui servant à droguer ses victimes.
Ils sont trois, Pedro, Juan Carlos et Ludovic, un allemand complice des deux autres à avoir été arrêté suite à l’interpellation de ce trio de violeurs en série.
Chacun leur tour, ils jouaient le rôle du sauveur de ces dames avant de les entrainer vers des villas, toutes très luxurieuses ou après les avoir drogués, ils abusaient de leur candeur. »
• Le reste était du bla-bla de journalistes mes amis.
Voilà, la boucle est bouclée, à un petit détail.
Pedro est bouclé, mais nous aussi sexuellement, Sophie dès la naissance est devenue mère et à ce titre refuse de me suivre dans le club où j’avais le plaisir de la voir se faire prendre par Mamadou.
Paola et Charles y vont toujours, hier c’était le cas.
Notre amie est revenue déçue de sa soirée, Mamadou a été expulsé car il était sans papier.
Le nombre d’étrangers en situation irrégulière est très important et peu sont renvoyés d’où ils venaient.
Hélas, pour Mamadou, le couperet est tombé et il est reparti vers son Afrique natale.
• Chéri, Paola pleure, tu peux te lever pour lui donner un biberon, elle m’a épuisé toute la journée.
Voilà la triste fin de mes soirées libertines, mais je pense que vous êtes nombreux à subir ou avoir subi ce genre de situation et que je suis loin d’être l’exception qui confirme la règle.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La réalité d'un changement dans la parentalité....
Savoir être patient pour les 10 prochaines années pour peut-être relancer son couple
Cyrille
Savoir être patient pour les 10 prochaines années pour peut-être relancer son couple
Cyrille
Merci j'aime les fins souvent dure à trouver pour finir une histoire
J'ai écrit 7 chapitres sur l'éloge de la fessée, mais la fin est difficile à trouver dans le 8ème...
J'ai écrit 7 chapitres sur l'éloge de la fessée, mais la fin est difficile à trouver dans le 8ème...
Fin surprenante mais réaliste