COLLECTION ZONE ROUGE. La jeune bourge. Saison II. Fin de l’histoire (6/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. La jeune bourge. Saison II. Fin de l’histoire (6/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. La jeune bourge. Saison II. Fin de l’histoire (6/6)
J’ai pris les rênes de la banque.
Certes, je suis sans grande expérience, mais avec l’aide des assistants et surtout mes assistantes, comme papa le dit dans son testament, je suis en capacité d’y arriver.

• Les filles, suivez-moi dans mes appartements.

Pour la première fois, je prends l’ascenseur jusqu’au dernier étage où sont nos appartements.
Un autre ascenseur donnant, sur une porte parallèle, nous permet de sortir sans passer par la banque.
J’avais obligation de passer par là.
C’est Rodolphe et papa qui ont conçu ces locaux partant d’un terrain nu lorsqu’ils ont décidé d’augmenter leurs activités.

• Voici ma chambre, mais venez, celle voisine était celle de maman qui a dû la libérer et désormais sera la mienne.
La vue sur Paris y est plus belle.
Maman voulait toujours ce qu’il y a de plus beau et dépensait sans compter pour tout s’offrir.
• Tu as toujours grandi dans de tels murs, tu as de la chance !
• Une cage dorée, les filles, pleines de contrainte que vous ignorez.
Si je m’étais laissé faire, cela aurait été jusqu’à mon mariage qui m’aurait été imposé.
Votre vie est pleine d’aventure, la mienne pleine de contraintes.
Maintenant que je dirige, je peux tous éviter et vivre ma vie.
Aline enlève tes affaires, fais-nous voir la beauté de ton corps.

En lui donnant cet ordre, je prends Jennifer par sa taille et elle pose sa tête sur mon épaule.

• Vous êtes !
• Des amies très intimes et je souhaite que tu le deviennes aussi.
As-tu un ami ?
• J’avais, il m’a quitté il y a trois jours pour une fille ayant un gros cul.
• L’envie des hommes est bien différente des nôtres, une femme leur fait du gringe, belle ou laide, il faut qu’il se la fasse.
• Allez, montre-nous comme nous allons nous montrer.

Jennifer se souvenant certainement que j’ai parlé de rousses et de leurs odeurs comprend que je veux contrôler avec Aline si cela est vrai.
Je commence à la dévêtir sous le regard plein d’intérêt d’Aline.

• Jennifer, elle semble hésitante, va l’aider pendant que moi-même je me dénude, je veux vous voir ensemble.

Deux femmes se broutant, suis-je voyeuse ?
Deux femmes que je domine, je comprends à ce moment le pouvoir de l’argent.
Je comprends mieux pourquoi des jeunes filles pleines d’inexpériences, mais de beauté presque parfaite, cèdent à des hommes comme mon père, comme moi, j’ai cédé à Rodolphe.
Jennifer et maintenant Aline, espère s’élever dans l’échelle sociale, moi je voulais devenir dominatrice.
Rousse naturelle, un moment j’ai eu peur qu’elle se teigne en rousse et que sa chatte soit épilée comme les nôtres.
Super, c’est une vraie.
Jennifer, l’embrasse, pleine d’expérience de nos ébats et la renverse sur le lit que notre bonne a dû changer comme tous les jours.
Dans ses délires dépensiers, maman refusait de dormir deux jours dans les mêmes draps et pour nous aussi.
Elle sait instinctivement ce que je veux et alors qu’elle embrasse Aline sur sa bouche lui caressant sa poitrine très belle, je m’approche de cette toison me faisant fort envie.

• Laisse toi faire, la belle Véronique est extrêmement douce, comme seule une femme est capable de l’être.
Ça va te changer des hommes souvent brusques et qui pensent principalement à nous enfoncer leur verge.

Se faire offrir une autre femme, j’aime beaucoup, devenant par là même le même genre de bourgeoise que maman.
L’odeur est forte et ma langue écartant les poils trouve son clitoris qui s’enflamme.
Il s’enflamme au point ou trois grands jets de cyprine inondent mon visage.
Jennifer à mon cri d’étonnement a levé la tête et mes deux amies me regardent le sourire aux lèvres.

• Excuse Véronique, c’est la première fois que ça m’arrive.
• Une femme fontaine, Véronique, j’en ai entendu parlé, c’est la première que je vois.
• Moi aussi, je découvre que je suis ce type de femme, ta bouche m’a tellement bien titillé le clito que tu as déclenché pour la première fois ce déferlement de ma cyprine.
• Les filles, je vais me doucher et changer de tailleur, j’en ai partout.

Je me douche délaissant ma baignoire.
Là encore marque de grande bourgeoisie, une chambre, une salle de bains.
Une salle de bains, automatiquement avec baignoire et douche.
C’est ainsi que Rodolphe et papa concevaient le luxe de la grande bourgeoisie.
Des femmes à leurs bottes et des salles de bains afin de laver leur queue.
Il va falloir que je recommence à faire les boutiques, je suis dans l’obligation de remettre mon tailleur de l’accueil.
Lorsque je quitte la chambre, les deux filles sont en 69 se suçant l’une l’autre.
Jennifer va-t-elle avoir la même surprise que moi.
Je rejoins mon bureau ou je retrouve la carte de maître Benoît.

• Benoît, es-tu libre demain midi, je t’invite au restaurant avant de t’emmener découvrir une surprise.
Libère toi l’après-midi.

Voilà, le repas se passe de façon fort agréable, jusqu’à sa main qui se pose sur la mienne.
Notre regard ayant scellé notre destin lorsqu’il m’a amené la lettre de mon père se concrétise par cette main, mais aussi par la fin d’après-midi.
Entre-temps, le café gourmand précurseur de notre gourmandise commune ingurgitée, c’est en taxi que je le conduis à l’étude de maître Albert.
Les cartons prêts à être emportés montrent que j’avais raison quant aux contenus de l’armoire forte.
Albert avait de nombreux secrets cachés.
Rendez-vous est pris entre eux pour le lundi suivant.
Repartant, il m’aide à faire chauffer ma carte bleue comme savait le faire maman.
C’est chez lui, dans ce lieu mal famé que je me donne à lui de tout l’amour qui a éclos en moi.
À partir de ce moment alors que j’ai les cuisses bien écartées ayant mon premier vrai orgasme, je sépare ma vie en deux parties.
La dominée par un homme bien qu’il me doive tout et la femme d’affaires dans ses tailleurs de couleurs chatoyantes.

Ça fait trois mois que je dirige notre banque, les résultats, bien aidés par mes amies avec qui je passe des soirées chaudes de temps en temps, m’aide à ce qu’ils soient excellents.
Si j’ai compris quelque chose de mon aventure m’ayant permis de prendre la succession de papa surtout pour garder notre banque dans le giron familial, c’est qu’il fallait toujours avoir un coup d’avance.
En récupérant la boîte m’ayant permis de trouver les papiers que papa cachait, j’ai pu contrer Rodolphe qui comme un requin attendait pour me spolier de mes parts d’héritage.
Quand j’ai placé Aline auprès de lui comme secrétaire, je l’ai chargé de me rendre compte dès qu’elle s’apercevrait de la moindre tentatrice de me nuire.
Un soir, elle m’a annoncé qu’il avait fait d’elle sa maîtresse.
Il avait perdu sa garçonnière dont je gardais les clefs et où nous nous retrouvions avec les deux filles pour des soirées arrosées et des léchages de chattes démentes.
Pour pimenter notre jeu, j’ai fait venir par Internet des godes donc certains avec ceintures.
Nous nous amusions comme des folles au petit train dans la campagne.
Si des voisins nous entendaient, ils devaient se demander ce que voulait dire nos Tchou, tchou.

Je voulais éviter de devenir bourge, mais quand Benoît s’est agenouillé me présentant la bague que j’étais sûr de toujours refusé, je l’ai presque violé la nuit suivante.
Pour garder mon indépendance le plus longtemps possible, j’ai prétexté vivre ma jeunesse le plus longtemps possible.
C’est un humble toutou fidèle à sa maîtresse et si quand je le sors, c’est main dans la main, il sait bien que c’est un collier pour chiens imaginaire que je lui ai attaché autour du cou.

• Véronique, vite, j’ignore ce qui arrive à Rodolphe, il dit gree, gree, gree.

Papa, c’était un infarctus, lui c’est une attaque cérébrale.
Par charité humaine, nous l’installons dans ma garçonnière avec une infirmière à demeure.

• Benoît, je viens te voir, si tu as des viagers intéressants qui te sont proposés, parle m’en, j’aurais peut-être quelques fonds à invertir.

Le fisc vient de me rendre une partie de l’argent rapatrié de Suisse moins les impôts et une amende, mais il en reste encore une bonne partie.

En ce moment, je roule vers Megève pour une quinzaine de ski dans notre chalet pour les fêtes de fin d’année.
Je suis au volant de la Ferrari de Rodolphe, que dans son état, il est bien incapable de conduire.
Mes deux petites femelles me suivent dans la voiture de Jennifer qu’elle s’est offerte avec les liasses d’euros dont je lui ai fait cadeau.
À mes côtés, celui qui partage ma vie et qui me fait l’amour sans grande fioriture.
Je vais lui faire un cadeau dont je suis sûr, seul, même pas l’idée de l’avoir.
Je vais lui offrir mes deux jeunes salopes.

Baiser à trois contre un, je pense qu’il va apprécier.
Une bourge prendrait-elle une même initiative !

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