COLLECTION ZONE ROUGE. La soirée de la remontada (3/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. La soirée de la remontada (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. La soirée de la remontada (3/3)
La soirée que j’appèlerais de la remontada ayant eu lieu depuis quelque temps lorsque faisant pipi sur ce test de grossesse, le verdict est sans appel, je suis enceinte.
Si Serge dès le lendemain de cette soirée orgiaque, mais m’ayant laissé de bons souvenirs, principalement sexuels, lui fait profil bas.
L’appartement remis en ordre, nous sommes partis vers notre futur sans plus nous poser de questions.
Ce que je présentais s’avérait exact, il était tellement bourré que lorsqu’il est arrivé dans la cuisine, il m’a offert à ses copains sans se poser plus de questions.
Me sentant, moi aussi fautive, surtout lorsque je croise « la poutre » dans mon école où j’ai répit les cours à mes élèves, certes, je regarde sa braguette de temps en temps.
Par accord silencieux, on se garde bien de reparler de ce qui s’est passé, d’ailleurs Serge aussi semble avoir oublié si à un certain moment il a été lucide.
C’est un samedi, on sonne à notre porte.
Serge est parti pour le week-end en avion, chez ses parents, son père ayant été souffrant au cours de la semaine.

• Bonjours Sandrine, j’ai quelque chose à te dire.

Albert, c’est lui qui est devant moi, je suis en peignoir, je sais que, dessous je suis nue, profitant de ce que je suis seule pour faire un gros ménage de printemps.

• Que me veux-tu, Serge m’a dit que vendredi au stade il vous avait dit qu’il partait pour Bordeaux voir son père souffrant.
• Ça, je le sais, mais ce qu’il ignore c’est que j’ai entendu les jumeaux parler alors qu’il se croyait seul.
Salope, pendant que je m’étais endormi, ils se foutaient de ma gueule, car il paraît qu’avec Bruno ils t’ont défoncé.
• Et tu viens demander ton dû, tu viens pour que j’écarte mes cuisses et que tu me baises !
Attends, je reviens.
• Ou tu vas, moi aussi j’ai bien le droit à ton joli petit cul.

Je vais dans mon salon, là où se trouve mon tapis persan.

• Je vois, tu veux que je te prenne là où ils ont dit t’avoir sauté, mets-toi à quatre pattes.
Pourquoi prends-tu ton portable ?
• J’appelle Serge pour qu’il me donne l’autorisation de baiser avec toi sur mon tapis persan.
• Tu es folle, il va me casser la gueule !
• Il faut assumer dans la vie, j’ai juré fidélité à mon mari et je veux son accord pour me faire prendre en levrette sr mon tapi.
Tiens, ça sonne dit lui ce que tu as à dire !

Je vois Albert décontenancer, mais il prend mon portable.

• L’autre soir, j’ai oublié mon mouchoir, je suis passé pour voir si c’est vous qui l’aviez ?
Bon, bon séjour.

Il me repasse mon portable.

• Dommage, tu viens de laisser passer ta chance de m’avoir, fiche-moi le camp, mais avant regarde ce que tu viens de louper pauvre dégénéré.

En même temps de l’ordre que je lui donne, j’ouvre mon peignoir, montrant les merveilles qu’il protégeait.
Il fait demi-tour et j’entends la porte claquée.
La situation aurait pu mal tourné, mais mon à propos m’a été bénéfique.
Je sens ma mouille dégouliner de plaisir à la situation que je viens de vivre.
Je cherche avec quoi me satisfaire, lorsque ce con a sonné je passais le plumeau attrape-poussières sur les meubles.
Je m’affale sur mon canapé sans autre forme de procès, je me l’introduis côté plumeau dans le vagin.
Plusieurs allers et retours et étant seul, je hurle de plaisir.

La vie a repris son cours, une nouvelle fois j’ai pardonnée à celui dont j’ai l’impression que dans sa saoulerie je me suis livrée à ses copains rapidement rattrapés par son contentement.
J’avais bien entamé le processus avec la poutre, mais lorsqu’il nous a surpris baisant sur le carrelage de la cuisine avec la poutre, je crois que ce nom m’a autant marqué que celui de la remontada.
La poutre donc, mais qu’il leur a proposé de continuer de me baiser devant lui sur mon tapis persan et continué à pouvoir voir son match.

• Geneviève, j’ai un retard de règle, Serge doit venir faire son examen dans trois jours, tu peux nous recevoir !

À 13 heures 30 elle nous reçoit, elle a sa première cliente à 14 heures.
Je suis anxieuse à plus d’un titre, j’ai fauté le soir de la remontada sans capote.
Je sais inutile de me le faire remarquer, mais ce qui est fait est fait et l’harmonie dans notre couple est revenue.

• J’ignore, comment vous avez fait, mais Serge j’annule votre examen, il sera inutile de te masturber dans une fiole, Sandrine est enceinte.

Devrais-je lui dire, que la poutre et l’un des jumeaux ont pu surplanter sa défaillance en spermatozoïde, mais il me regarde avec tant d’amour que je me tais ?
Et s’il était bien conscient qu’il s’est fait aider par ses copains pour que nous obtenions cette grossesse surtout en demandant à ses copains de le faire sans capote.
Dois-je dévoiler ce qu’une remontada nous avais apporté surtout que partout dès qu’une chose est remontante, on emploie ce mot qui commence à me saouler ?

• Voyons voir, au point où tu en es de ta grossesse, quelquefois on peut arriver sans grande certitude à savoir le sexe de l’enfant.
Merde !
• Que vois-tu, as-tu décelé une anomalie ?
• Non, mais regardez sur mon écran, un et deux cœurs, tu attends des jumeaux.
Attends, je tourne un peu, j’ai cru apercevoir autre chose.
Merde !
• Là, tu m’angoisses, que se passe-t-il, l’un des enfants a-t-il un problème ?
• Reste calme, un, deux et trois, Serge tu es un homme qui ignore la force de tes spermatozoïdes, vous attendez des triplés !

Lorsque l’on sort de chez mon amie, c’est un autre homme que j’ai à mon bras.
Quand il dira à ses collègues qu’il a fait trois enfants d’un coup à sa femme, il passera pour un surhomme, pourquoi le détromper.
Les doutes que j’ai sur sa paternité, je les garde pour moi, ce sera mon secret à vie.
Heureusement, je me souviens du début de notre conversation sur les grosses et grandes verges.
J’étais persuadé que seuls les Africains en avaient des grandes et grosses lorsqu’il m’a parlé de la poutre.
Africains, plutôt les noires.
Quelle angoisse je développerais en apprenant que j’en attends trois si Bruno avait été martiniquais ou toutes autres îles ou les habitants son noir.

Est-ce ma grossesse ou un coup de chance un poste se libérant à Bordeaux dans un lycée de la ville ?
Serge est muté pour la rentrée prochaine.
C’est en ambulance que je rejoins Bordeaux et la petite villa où nous allons vivre avec nos trois enfants.

La vie rapidement devient cauchemar, pire que celle après la remontada.
Accouché, j’ai souffert, surtout de trois, par les voies naturelles, mais j’ai supporté.
Les couches aidées par ma mère ou ma belle-mère venant souvent à la maison ou je suis en congé parental et pour terminer leurs premiers pas.
Je manque de craquer quelquefois aussi, c’est sur la plage de Biscarrosse que dès les premiers beaux jours, je rejoins ma belle-mère.

Trois ans, mes deux filles et notre fils prunelle des yeux de son père, dont je sais dès la naissance de qui il tient, vu la zigounette présentée aux jeunes infirmières.
Trois ans, jouant sur la plage et qu’il faut surveiller comme le lait sur le feu, ils sont prompts à faire des bêtises.
Une semaine que je suis là et où je me suis caressée cette nuit, depuis nos trois enfants Serge semblant distant avec moi ?
Certes, nous faisons de nouveau l’amour avec contraception, mais a-t-il peur de me remettre enceinte avec une telle force ayant entrainé la naissance de nos enfants ?
S’il savait ce que je sais.

Depuis trois jours que nous sommes sur la plage, j’ai remarqué les allées et venues de deux Africains, certainement des immigrés passés par le Maroc et l’Espagne.
Je dois avouer quelque chose, je regarde fixement son entrejambe sous son pantalon de survêtement.
J’en suis certaine, c’est une « poutre » qu’il possède.
Poutre et noire, ça me fait envie.
Avant de venir sur la plage, comme tous les matins je suis allée faire quelques courses au supermarché du coin.
La boîte de capotes que j’ai posées entre les légumes pour les enfants fait se lever les yeux de la caissière.
Mais dès que j’ai rejoint ma chambre, trois ou quatre sur la boîte de vingt se retrouvent au fond de mon sac de plage.

• Maman, puis-je vous confiez les enfants pendant deux petites heures, j’ai des courses à faire.
• Mais oui ma fille, s’il fait trop chaud, je les ramènerais à la maison, part tranquille.

À quelques dizaines de mètres de nous, la poutre noire s’avance seule cette fois.
Deux choses le reste à faire, trouver, comment l’aborder et ou trouver un coin tranquille pour lui faire une remontada de ce que j’ai détecté dans son pantalon.

• Madame, t’as pas dix balles, j’ai faim.

La première démarche est réussie, c’est Youssef qui a trouvé la solution.
La deuxième, c’est facile, il squat une vieille maison certainement secondaire et c’est là qu’il m’entraine.
La remontada, je la fais moi-même, en le suçant et en prenant son gland XXL comme la capote que je lui enfile.
Je sais, je suis protégée par ma contraception, mais deux protections val mieux qu’une.
Les maladies, mais aussi trois petits chocolats à la maison, trois petits blancs nous suffisent à Serge et à moi.
Par compte, cette verge que j’ai réussi à faire remonter, je me la réserve.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Toujours des surprises dans tes merveilleux récits...
Merci Chris

Cyrille



Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. La soirée de la remontada (3/3)
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