COLLECTION ZONE ROUGE. « Laura Sexe » star du porno. (4/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. « Laura Sexe » star du porno. (4/4)
À la veille de tourner mon premier film porno, moi qui étais venue à Paris pour percer dans le cinéma classique, je suis à deux doigts, non, à une bite de subir ma première sodomie.
• Tu me dis que je suis le premier à te prendre le petit, Laura !
Si Armand l’apprend il sera vert de rage, lui qui se vante de toutes vous avoir déniaisés.
Il pousse un dernier coup, je sens ses couilles taper mes fesses.
Tout ça pour ça, c’est rentré comme dans du beurre.
• À toi Badou, oui, c’est ça écarte bien tes pommes d’amour que je te pointe.
J’ai rarement vu un joufflu aussi beau.
Vous me gattez.
À son tour, mon amie, à la base venue à Marie-Galante en Guadeloupe pour jouer les potiches en secouant un éventail au-dessus du lit de la vedette Brigitte de France, se fait enculer.
C’est John notre réalisateur qui est à la manœuvre.
Je suis étonnée d’apprendre que cette grande artiste qui doit être arrivée en France se faire opérer le pied après sa chute à notre arrivée, passait à la casserole comme nous nous y passons.
Le cul plein de sperme, il rejoint sa chambre et nous laisse dormir avec l’air frais de la climatisation venir nous caresser les parties ayant été chauffé à blanc.
Dire que sans tous ces événements, nous crèverions de chaud à l’étage supérieur.
• Coupé, on la refait.
Armand, c’est une perle que tu as dans tes bras, arrête de faire ton gros bourrin.
Si tu avais appris et débité ton texte sans inverser les phrases, ça aurait été bon dès la première prise.
• Oui, Laura sexe est une perle, elle me fait perdre mes moyens tellement sa chatte joue juste sur ma queue.
On recommence, je me concentre.
Quatre fois, quatre fois, il a fallu recommencer, car il avait du mal avec son texte.
La troisième, c’est moi qui fais le boute-en-train avec ma bouche, Josy et Jessica refusant toute fellation même hors caméra.
Pour ma part, chaque fois que j’entends « couper », la prise est bonne dès la première fois.
Le lendemain, c’est Fred, l’acteur dont j’avais oublié le nom, qui a une panne avec Lily Suce la mère de famille.
Moi Ondine devenue Laura Sexe, j’ai quelques scrupules à étaler mon cul au monde entier.
Comment peut-elle, elle et son mari en faire autant au risque que lorsqu’ils seront adolescents les bambins se masturbent devant les images de leur mère se faisant turbiner sa turbine à chocolat !
Turbine à chocolat, c’est là une formule apprise dans les livres pour désigner nos trous du cul.
• Je veux bien essayer de faire rebander Fred.
C’est d’une petite voix que Josy demande à John le droit de devenir boute-en-train.
Je comprends que même si ce tournage est loin d’être le premier pour elle, en temps normal, elle est bien loin de l’action.
Faire des retouches de maquillage sur ma chatte ou sur celle de Badou, notre cyprine brillant au tournage, est tout autre que d’avoir deux acteurs et actrices.
Se faire défoncer les parties intimes ponctuées pendant des heures, d’« action », « couper », « action », « bravo », à quelques centimètres de leurs yeux.
Tant bien que mal, le film avance, malgré la climatisation j’ai du mal à dormir.
Demain c’est la dernière scène, la plus difficile à tourner avec Beau Serge, l’esclave noir échappé d’une plantation de canne à sucre et me rencontrant me cour après et me sexe là encore par la chatte et par le cul.
On voit le côté homo de John dont j’apprends la réputation de privilégier les scènes sodomites aux pénétrations vaginales.
J’ai déjà filmé la scène ou je monte vers la maison revenant d’un hypothétique match de tennis, la propriété étant sans court de tennis, raquette sous le bras.
En construire un avait été envisagé, mais la maison étant classée, l’autorisation d’en construire un, a été refusée.
Au cinéma, surtout porno, on fait semblant.
Armand, qui je le rappelle joue mon mari, est descendu à la plage se baigner ayant emmené Badou, il vient de jouer, lui aussi seul contre nous deux.
Là encore, la scène est dans la boîte et chacun d’eux touchera son cachet pour sa prestation.
Cent mille francs pour mon amie, les scènes lesbiennes que je joue avec elle se sont faites en une prise, ce qui m’a permis de jouir à chaque fois sous la langue de cette petite salope.
C’est loin d’être le cas avec Armand qui à chaque fois fait appel au boute-en-train.
Heureusement, Josy est vite rejointe par Jessica qui comme sa copine bave en aérant nos chattes en fusions.
J’ai du vague à l’âme, que vais-je trouver en arrivant en France, ma carrière s’arrêtera à ces cinq films qui me sont promis sur mon contrat.
On verra bien, j’ai pris ma décision de tourner ce porno en toute connaissance de cause et le chèque que je vais toucher, va me permettre d’éviter de revenir au pays la queue basse.
Queue basse, une bite, aimerais-je avoir une bite pour défoncer mon amie Badou ?
• On a du vague à l’âme Ondine, j’ai vu toutes les scènes que tu as tournées au cours de notre séjour.
Tu es la meilleure des actrices que j’ai vues jouer en 20 ans de carrière derrière mes fourneaux et plus d’une centaine de films, tu iras loin dans ce métier.
Les acteurs ignorent la chance qu’ils ont de faire l’amour avec toi.
C’est Boris le cuistot qui est derrière moi la clope au bec qu’il écrase sous la semelle de ses chaussures.
J’ai mis un peignoir en soie, fourni par JohnIl veut poser sa main sur la rambarde surplombant cette végétation luxuriante.
Quel âge à cet homme, je l’ignore, mais il me touche, surtout que depuis le début et surtout mon acceptation, tous m’appellent Laura, oubliant « sexe ».
Je la prends et la glisse sur mon sein qui frisonne malgré la chaleur.
Mon peignoir tombe au sol et je sens sa queue toucher mes fesses qui immédiatement s’enflamment.
Il le suffit d’écarter mes jambes et il me prend la chatte.
Ça le change des sodomies.
Par déformation professionnelle, j’attends le « coupé » sans qu’il arrive.
C’est un magnifique orgasme qui me traverse, le premier depuis que je suis devenue actrice porno.
Il jouit, lui aussi et après un temps passer les mains appuyées sur la rambarde.
Le jour commence à poindre, seul le son roque de sa voix cassée par de trop nombreuses cigarettes me dit que c’est avec notre vieux cuistot que je viens de faire l’amour.
• Bon les enfants, c’est notre dernière prise, on va faire un essai à vide avant que nos techniciennes vous fabriquent votre terrain de jeu.
La bauge à cochon sauvage.
Arrivant près de la maison Laura, tu vois Alfred que tu sais être l’esclave noir échappé, ton mari t’ayant prévenu que ses hommes courent après lui.
Vous tombez dans la boue et la dernière scène de sexe aura lieu.
Trois fois, je cours, avant que des repères soient mis où je dois m’écrouler dans la boue.
Beau Serge me rattrape, m’arrachant ma culotte me fourre son sexe se vengeant par son intermédiaire de son sexe dans mon cul, une nouvelle fois, de celui qui le contraignait à l’esclavage.
Quatre prises sont nécessaires malgré les repères.
Chaque fois je suis maculé de boue que les techniciens ont fabriquée en amenant des dizaines de litres d’eau de la mer, qu’ils ont versée au sol pour faire de la boue.
Au préalable, il devait se servir d’eau de pluie récupérée dans la citerne attenante à la maison, mais la sécheresse générale sur la planète les a obligés à aller chercher des tonneaux d’eau de mer.
Chaque fois on doit me nettoyer en me versant de l’eau tiède sur le corps ainsi que Beau Serge.
À la dernière prise, il faut que Josy aille dans ma valise chercher une de mes petites culottes.
Elle avait prévu assez de tenues de tennis, mais les sous-vêtements pas assez.
Hier au soir, j’ai joui sous les coups de boutoir de Boris, le cuistot.
Avec beau Serge, c’est mon anus qui pour la première fois éclate de plaisir quand il me prend sauvagement.
Voilà, il y a trois ans que j’ai tourné, non, sauvée, « Black and White », mon premier film porno.
Trois ans que ma vie a changés, même dans mon village quand j’y retourne.
Même maman est fière de sa fille ayant percé, c’est le cas de le dire, dans ce milieu si fermé.
Dès mon retour, quand le film a été monté, John nous a invités à une projection privée.
J’ai vu à l’écran mon regard filmé par le cameraman montrant très nettement ma jouissance malgré la boue sur mon visage en me faisant sodomiser.
Que sont-ils tous devenus ?
Le film est devenu un événement comme l’était Emmanuelle.
Il y a 2 ans, en 1985, qu’elle a été enlevée de l’affiche de ce cinéma des Champs Élysées quand mon visage est placardé en gros sur sa devanture.
Quelques mois après, j’ai tourné un remake porno de « portier de nuit » avec Charlotte Rampling dans la version soft en 1974.
Je joue le rôle de Charlotte alors que le médecin diabolique a été remplacé par Brigitte de France, remise de sa fracture et qui me torture.
Nous partageons l’affiche à traitement égal pour le tournage et la place sur l’affiche.
Trois ans ou en plus des sept films que j’ai tournés sans comptabiliser les petits films dits amateurs que peuvent se payer des gens friqués avec l’une des deux vedettes des productions de l’Enfer.
Je sais, ces films sont à deux doigts de faire de nous des putes, mais comment refuser plus de 400 000 francs, l’heure de tournage.
Mon mari, Grégory, fils de Marc, mon producteur qui a accepté de prendre des risques, sans m’avoir vu, pour que je tourne mon premier film, m’accompagne pour prendre l’avion pour Marie Galante.
Il y a six mois que je l’ai épousé et que nous vivons dans cinq pièces donnant sur l’Élysée, faubourg Saint-Honoré.
À mon mariage, maman a eu du mal à entrer chez Dior pour sa tenue de cérémonie.
Elle voulait aller au prisunic du coin, chez nous, trouvant que c’était du fric bêtement dépensé.
Il est vrai qu’elle ignore combien mon cul me rapporte, même si elle sait que c’est lui qui me fait vivre.
Je marche vers l’avion prenant le temps de signer des autographes, pas comme Brigitte qui est déjà dans l’avion.
Nous allons tourner la suite de « Black and White ».
Parmi les acteurs, Armand brille par son absence.
Ses pannes d’érection devenant de plus en plus problématiques pour mon beau-père, il a arrêté de tourner.
Dans le scénario que j’ai lu acceptant les scènes, en faisant quelques modifications à la marge, mais primordiale pour moi.
La première scène qui sera projetée sera la mise en terre de mon mari défunt étant mort dans la révolution des esclaves avec à leur tête Alfred joué par Beau Serge.
Je l’ai revu dans deux autres de mes films longs métrages et quelques-uns des amateurs surtout des hommes offrant à leurs femmes souvent sur le retour, un couple de hardeurs qui les lèches et qui les défonces.
Dois-je dire la fin de cette saison II de « Black and White » ?
Oui, je finirais par épouser l’esclave noir au nez et à la barbe de ma tante jouée par Brigitte de France.
Badou est là, ce sera ma confidente qui aura partagé ma vie pendant toutes ses épreuves.
Elle aussi aura marié le bras droit d’Alfred dans sa lutte pour leur indépendance.
Encore une chose, Boris, du moins mon histoire bien réelle sur la terrasse sera dans la saison II.
J’aurais un rapport avec un jeune cuistot embauché venant de France et dont les arrière-grands-parents ont été vraiment esclaves.
• Madame, vous allez louper l’avion.
• Merci, j’arrive, je me dois à mon public !
Blond aux yeux bleus, ce steward, si j’en ai la possibilité, je profiterais de ce voyage, surtout si mon mari dort, pour m’échapper vers les toilettes de l’avion sucer ma énième bite.
• Tu me dis que je suis le premier à te prendre le petit, Laura !
Si Armand l’apprend il sera vert de rage, lui qui se vante de toutes vous avoir déniaisés.
Il pousse un dernier coup, je sens ses couilles taper mes fesses.
Tout ça pour ça, c’est rentré comme dans du beurre.
• À toi Badou, oui, c’est ça écarte bien tes pommes d’amour que je te pointe.
J’ai rarement vu un joufflu aussi beau.
Vous me gattez.
À son tour, mon amie, à la base venue à Marie-Galante en Guadeloupe pour jouer les potiches en secouant un éventail au-dessus du lit de la vedette Brigitte de France, se fait enculer.
C’est John notre réalisateur qui est à la manœuvre.
Je suis étonnée d’apprendre que cette grande artiste qui doit être arrivée en France se faire opérer le pied après sa chute à notre arrivée, passait à la casserole comme nous nous y passons.
Le cul plein de sperme, il rejoint sa chambre et nous laisse dormir avec l’air frais de la climatisation venir nous caresser les parties ayant été chauffé à blanc.
Dire que sans tous ces événements, nous crèverions de chaud à l’étage supérieur.
• Coupé, on la refait.
Armand, c’est une perle que tu as dans tes bras, arrête de faire ton gros bourrin.
Si tu avais appris et débité ton texte sans inverser les phrases, ça aurait été bon dès la première prise.
• Oui, Laura sexe est une perle, elle me fait perdre mes moyens tellement sa chatte joue juste sur ma queue.
On recommence, je me concentre.
Quatre fois, quatre fois, il a fallu recommencer, car il avait du mal avec son texte.
La troisième, c’est moi qui fais le boute-en-train avec ma bouche, Josy et Jessica refusant toute fellation même hors caméra.
Pour ma part, chaque fois que j’entends « couper », la prise est bonne dès la première fois.
Le lendemain, c’est Fred, l’acteur dont j’avais oublié le nom, qui a une panne avec Lily Suce la mère de famille.
Moi Ondine devenue Laura Sexe, j’ai quelques scrupules à étaler mon cul au monde entier.
Comment peut-elle, elle et son mari en faire autant au risque que lorsqu’ils seront adolescents les bambins se masturbent devant les images de leur mère se faisant turbiner sa turbine à chocolat !
Turbine à chocolat, c’est là une formule apprise dans les livres pour désigner nos trous du cul.
• Je veux bien essayer de faire rebander Fred.
C’est d’une petite voix que Josy demande à John le droit de devenir boute-en-train.
Je comprends que même si ce tournage est loin d’être le premier pour elle, en temps normal, elle est bien loin de l’action.
Faire des retouches de maquillage sur ma chatte ou sur celle de Badou, notre cyprine brillant au tournage, est tout autre que d’avoir deux acteurs et actrices.
Se faire défoncer les parties intimes ponctuées pendant des heures, d’« action », « couper », « action », « bravo », à quelques centimètres de leurs yeux.
Tant bien que mal, le film avance, malgré la climatisation j’ai du mal à dormir.
Demain c’est la dernière scène, la plus difficile à tourner avec Beau Serge, l’esclave noir échappé d’une plantation de canne à sucre et me rencontrant me cour après et me sexe là encore par la chatte et par le cul.
On voit le côté homo de John dont j’apprends la réputation de privilégier les scènes sodomites aux pénétrations vaginales.
J’ai déjà filmé la scène ou je monte vers la maison revenant d’un hypothétique match de tennis, la propriété étant sans court de tennis, raquette sous le bras.
En construire un avait été envisagé, mais la maison étant classée, l’autorisation d’en construire un, a été refusée.
Au cinéma, surtout porno, on fait semblant.
Armand, qui je le rappelle joue mon mari, est descendu à la plage se baigner ayant emmené Badou, il vient de jouer, lui aussi seul contre nous deux.
Là encore, la scène est dans la boîte et chacun d’eux touchera son cachet pour sa prestation.
Cent mille francs pour mon amie, les scènes lesbiennes que je joue avec elle se sont faites en une prise, ce qui m’a permis de jouir à chaque fois sous la langue de cette petite salope.
C’est loin d’être le cas avec Armand qui à chaque fois fait appel au boute-en-train.
Heureusement, Josy est vite rejointe par Jessica qui comme sa copine bave en aérant nos chattes en fusions.
J’ai du vague à l’âme, que vais-je trouver en arrivant en France, ma carrière s’arrêtera à ces cinq films qui me sont promis sur mon contrat.
On verra bien, j’ai pris ma décision de tourner ce porno en toute connaissance de cause et le chèque que je vais toucher, va me permettre d’éviter de revenir au pays la queue basse.
Queue basse, une bite, aimerais-je avoir une bite pour défoncer mon amie Badou ?
• On a du vague à l’âme Ondine, j’ai vu toutes les scènes que tu as tournées au cours de notre séjour.
Tu es la meilleure des actrices que j’ai vues jouer en 20 ans de carrière derrière mes fourneaux et plus d’une centaine de films, tu iras loin dans ce métier.
Les acteurs ignorent la chance qu’ils ont de faire l’amour avec toi.
C’est Boris le cuistot qui est derrière moi la clope au bec qu’il écrase sous la semelle de ses chaussures.
J’ai mis un peignoir en soie, fourni par JohnIl veut poser sa main sur la rambarde surplombant cette végétation luxuriante.
Quel âge à cet homme, je l’ignore, mais il me touche, surtout que depuis le début et surtout mon acceptation, tous m’appellent Laura, oubliant « sexe ».
Je la prends et la glisse sur mon sein qui frisonne malgré la chaleur.
Mon peignoir tombe au sol et je sens sa queue toucher mes fesses qui immédiatement s’enflamment.
Il le suffit d’écarter mes jambes et il me prend la chatte.
Ça le change des sodomies.
Par déformation professionnelle, j’attends le « coupé » sans qu’il arrive.
C’est un magnifique orgasme qui me traverse, le premier depuis que je suis devenue actrice porno.
Il jouit, lui aussi et après un temps passer les mains appuyées sur la rambarde.
Le jour commence à poindre, seul le son roque de sa voix cassée par de trop nombreuses cigarettes me dit que c’est avec notre vieux cuistot que je viens de faire l’amour.
• Bon les enfants, c’est notre dernière prise, on va faire un essai à vide avant que nos techniciennes vous fabriquent votre terrain de jeu.
La bauge à cochon sauvage.
Arrivant près de la maison Laura, tu vois Alfred que tu sais être l’esclave noir échappé, ton mari t’ayant prévenu que ses hommes courent après lui.
Vous tombez dans la boue et la dernière scène de sexe aura lieu.
Trois fois, je cours, avant que des repères soient mis où je dois m’écrouler dans la boue.
Beau Serge me rattrape, m’arrachant ma culotte me fourre son sexe se vengeant par son intermédiaire de son sexe dans mon cul, une nouvelle fois, de celui qui le contraignait à l’esclavage.
Quatre prises sont nécessaires malgré les repères.
Chaque fois je suis maculé de boue que les techniciens ont fabriquée en amenant des dizaines de litres d’eau de la mer, qu’ils ont versée au sol pour faire de la boue.
Au préalable, il devait se servir d’eau de pluie récupérée dans la citerne attenante à la maison, mais la sécheresse générale sur la planète les a obligés à aller chercher des tonneaux d’eau de mer.
Chaque fois on doit me nettoyer en me versant de l’eau tiède sur le corps ainsi que Beau Serge.
À la dernière prise, il faut que Josy aille dans ma valise chercher une de mes petites culottes.
Elle avait prévu assez de tenues de tennis, mais les sous-vêtements pas assez.
Hier au soir, j’ai joui sous les coups de boutoir de Boris, le cuistot.
Avec beau Serge, c’est mon anus qui pour la première fois éclate de plaisir quand il me prend sauvagement.
Voilà, il y a trois ans que j’ai tourné, non, sauvée, « Black and White », mon premier film porno.
Trois ans que ma vie a changés, même dans mon village quand j’y retourne.
Même maman est fière de sa fille ayant percé, c’est le cas de le dire, dans ce milieu si fermé.
Dès mon retour, quand le film a été monté, John nous a invités à une projection privée.
J’ai vu à l’écran mon regard filmé par le cameraman montrant très nettement ma jouissance malgré la boue sur mon visage en me faisant sodomiser.
Que sont-ils tous devenus ?
Le film est devenu un événement comme l’était Emmanuelle.
Il y a 2 ans, en 1985, qu’elle a été enlevée de l’affiche de ce cinéma des Champs Élysées quand mon visage est placardé en gros sur sa devanture.
Quelques mois après, j’ai tourné un remake porno de « portier de nuit » avec Charlotte Rampling dans la version soft en 1974.
Je joue le rôle de Charlotte alors que le médecin diabolique a été remplacé par Brigitte de France, remise de sa fracture et qui me torture.
Nous partageons l’affiche à traitement égal pour le tournage et la place sur l’affiche.
Trois ans ou en plus des sept films que j’ai tournés sans comptabiliser les petits films dits amateurs que peuvent se payer des gens friqués avec l’une des deux vedettes des productions de l’Enfer.
Je sais, ces films sont à deux doigts de faire de nous des putes, mais comment refuser plus de 400 000 francs, l’heure de tournage.
Mon mari, Grégory, fils de Marc, mon producteur qui a accepté de prendre des risques, sans m’avoir vu, pour que je tourne mon premier film, m’accompagne pour prendre l’avion pour Marie Galante.
Il y a six mois que je l’ai épousé et que nous vivons dans cinq pièces donnant sur l’Élysée, faubourg Saint-Honoré.
À mon mariage, maman a eu du mal à entrer chez Dior pour sa tenue de cérémonie.
Elle voulait aller au prisunic du coin, chez nous, trouvant que c’était du fric bêtement dépensé.
Il est vrai qu’elle ignore combien mon cul me rapporte, même si elle sait que c’est lui qui me fait vivre.
Je marche vers l’avion prenant le temps de signer des autographes, pas comme Brigitte qui est déjà dans l’avion.
Nous allons tourner la suite de « Black and White ».
Parmi les acteurs, Armand brille par son absence.
Ses pannes d’érection devenant de plus en plus problématiques pour mon beau-père, il a arrêté de tourner.
Dans le scénario que j’ai lu acceptant les scènes, en faisant quelques modifications à la marge, mais primordiale pour moi.
La première scène qui sera projetée sera la mise en terre de mon mari défunt étant mort dans la révolution des esclaves avec à leur tête Alfred joué par Beau Serge.
Je l’ai revu dans deux autres de mes films longs métrages et quelques-uns des amateurs surtout des hommes offrant à leurs femmes souvent sur le retour, un couple de hardeurs qui les lèches et qui les défonces.
Dois-je dire la fin de cette saison II de « Black and White » ?
Oui, je finirais par épouser l’esclave noir au nez et à la barbe de ma tante jouée par Brigitte de France.
Badou est là, ce sera ma confidente qui aura partagé ma vie pendant toutes ses épreuves.
Elle aussi aura marié le bras droit d’Alfred dans sa lutte pour leur indépendance.
Encore une chose, Boris, du moins mon histoire bien réelle sur la terrasse sera dans la saison II.
J’aurais un rapport avec un jeune cuistot embauché venant de France et dont les arrière-grands-parents ont été vraiment esclaves.
• Madame, vous allez louper l’avion.
• Merci, j’arrive, je me dois à mon public !
Blond aux yeux bleus, ce steward, si j’en ai la possibilité, je profiterais de ce voyage, surtout si mon mari dort, pour m’échapper vers les toilettes de l’avion sucer ma énième bite.
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