COLLECTION ZONE ROUGE. Le champ de courses (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Le champ de courses (1/1)
• Allez, allez, allez, Bourrin vas-y.
Vas-y, oui, vas-y.
Quand je dis, vas-y, ce n’est pas parce que je suis en train de me faire défoncer par Louis mon mari que j’appellerais Bourrin, mais parce que je profite de ce qu'il travaille de nuit pour venir aux courses en nocturne de Vincennes.
Il y a deux ans que le démon m’habite, j’ai commencé comme tout un chacun à jouer à des jeux de grattage, vite dépassé dans mes attentes d’adrénaline, car passer le moment où je gratte, mais le temps où je constate si j’ai gagné ou perdu étant trop court.
J’ai joué au loto, l’attente du tirage me faisait mouiller, mais là encore dès les deux premiers numéros sortis, je savais que si je gagnais, c’étaient des sommes dérisoires.
Il y a eu l’Amigo dans les cafés, je passais le matin et je cochais le chiffre 20 qui représente le nombre de tirages ayant lieu toutes les 5 minutes que l’on peut jouer, mais là encore, quand je repassais et que mon ticket me donnait la somme que j’avais gagnée, j’étais moite quelques minutes.
Et puis il y a eu le champ de courses de Vincennes, quand Louis a commencé dans son nouveau boulot, que nous avons déménagé à Joinville le pont, le champ de courses se trouvant à peu de kilomètres de notre nouvel appartement que j’ai trouvé le bonheur.
En regardant les résultats du loto, je suis tombée sur la page des courses, je n’avais jamais essayé, n’y connaissant rien, j’ai vu que le soir, il y avait nocturne.
Ce soir, je décide au dernier moment quand Louis part prendre son poste de gardien dans une entreprise dans laquelle il passe douze heures, je m’y rends à pied et c’est là que je rencontre le Baron.
Le Baron, c’est le seul nom que je connais de lui, il a la quarantaine et porte beau, il règne sur une partie du champ de courses ou sans le vouloir, je me suis installé, il voit rapidement que je m’intéresse, sans bien comprendre les codes.
Il me propose son aide, rapidement, je comprends que les familles entraînant les chevaux savent s’entendre pour que chacun ait de quoi vivre.
Bourrin fini quatrième, je l’avais joué gagnant et placé.
• Marine, quel cheval joues-tu dans la troisième ?
Je lui donne mon papier préparé avant de venir.
• Pas mal, tu mets 100 € sur Barracuda, mais ils vont le mettre à la faute, il est engagé la semaine prochaine dans une course à fort gain, sa cote va tomber par son déclassement aujourd’hui et sa cote va leur permettre de ramasser, car ils savent mettre de l’argent au bon moment.
• C’est de la magouille, merci de m’avoir fait voir les cousins et cousines qui se protègent les unes des autres.
À l’arrivée Barracuda, hors course, comme me l’a dit le Baron, je note de jouer 1 000 € la semaine suivante.
Comme de juste ma guigne du moment, me poursuit, il gêne son concurrent et est mis hors course par les commissaires.
Pourtant, il a tenu la tête tout le parcours, jusqu’au moment où le 3 est venu à sa hauteur, je criais.
Yes, Yes, Yes pour finir par un dernier grand YES et pour finir par un très grand MERDE.
Résultat une dette alors que j’espérais me refaire et d’éviter d’avouer à Louis, mes déboires aux courses, l’ardoise commence à monter, mais le Baron semble disposé à me prêter des sommes toujours plus importantes.
Mon insouciance n’a d’égale que ma connerie d’ignorer qu’un jour ou l’autre, je devrais regarder la vérité en face.
J’ai un sursis, car Bécassine, une jument de trois ans me rapporte quelques milliers d’euros, mais cette euphorie est de courte durée, car je reperds presque 5 000 €.
• Marine, ton mari est-il au boulot demain soir ?
• Oui, pourquoi ?
• J’ai un service à te demander.
• Je ferais tout pour t’être agréable.
• Une camionnette va venir te chercher chez toi dès que Louis ton mari partira, tu rejoindras un endroit inconnu de toi les yeux bandés et je serais là pour te recevoir.
Je trouve ces précautions bizarres, mais il faut savoir respecter ses promesses.
• Dois-je m’habiller de façon spéciale ?
• Non, tu verras ce que tu auras à faire est très simple.
Je suis à l’heure, une camionnette s’arrête, les portes arrière s’ouvrent, deux hommes me font monter comme prévu, me bandent les yeux et nous redémarrons.
Nous roulons très longtemps, je pose des questions sans avoir de réponses.
• Que vais-je avoir à faire ?
Quand nous nous arrêtons, chaque homme me prend un bras, jusqu’au moment où on m’enlève le bandeau.
Je suis dans une pièce où le Baron m’attend.
• Tu vois la fille qui travaille ici en temps normal est là pour sucer les bites de mes clients, regarde ces trous dans le mur, quand un sexe apparaît, tu le masturbes.
Quand il sera assez bandé, tu le prendras dans ta bouche jusqu’à lui faire sortir son sperme, ici mes filles sont bien traitées si elles travaillent proprement, tu pourras recracher le maximum de sperme dans ce bol, tu vas travailler 6 heures et j’effacerais 20 € par client satisfait de ta dette.
• Tu veux que je me prostitue !
• On peut dire cela, mais c’est pour me rendre service, comme je t’ai rendu service chaque fois que tu perds, je vais faire entrer mes clients, il y en a déjà qui attendent.
Il part, j’attends trois minutes, sur le mur devant moi parmi les nombreux trous une bite apparaît, je me mets à genoux comme je le fais fréquemment avec Louis, il aime que je lui fasse une fellation.
Je fais comme le Baron m’a dit, la masturbation est facile, une queue étant une queue, mais quand il s’agit de le prendre dans ma bouche, j’ai une petite répulsion.
Par les trous à ce moment, je comprends que l’on entend ce qui se dit dans la pièce.
• Lave-toi la queue avec de l’aseptisant, la dame qui va te sucer à droit au respect.
Je prends en bouche la verge qui est déjà à ma disposition, le garçon qui était derrière devait venir de temps en temps et avait une grande envie, car je récupère un max de sperme en recrachant dans le bol.
À peine terminé, le trou voisin est investi, je le masturbe prenant sa verge dans ma main, j’ai pris de l’assurance, lui malaxant les couilles que j’aie du mal à prendre dans ma main.
La verge qui se tend est d'une taille jamais vue pour moi, avant Louis, j’avais eu quelques aventures dont celle avec mon cousin qui m’avait dépucelé, pendant les six heures, je vois et suce plus de bites que de petits poids dans les boîtes que j’ouvre, Louis en raffolant.
J’exagère un peu, mais au bas mot, c'est une soixantaine de verges que je soulage, chaque fois, je remplis le bol, malgré que j’avale une grande quantité de sperme.
• Alors Marine, ça n’a pas été trop dur, les filles qui passent ici disent toutes que c’est fastidieux, mais que c’est de l’argent facilement gagné.
De mon côté, je surveillais surtout l’hygiène, voilà ton ardoise déduit des 1 200 € que tu viens de gagner.
• Si tu acceptes, déduit seulement 600 € et donne-m'en 600 en liquide, il y a course cette après-midi à Vincennes, j’ai eu un tuyau à l’épicerie et je suis sûr que mon cheval va gagner à 30 contre 1.
Il me les donne, rectifie le solde de ma dette, au bout de la nuit la camionnette me dépose devant chez moi, je me couche sagement, quand Louis rentre, il ne s’aperçoit de rien.
Je le retrouve au champ de courses, bien sûr, mon cheval était un tuyau percé et je perds tous mes gains.
• Baron, mon mari travaille ce soir, la camionnette pourrait-elle venir me chercher.
• Impossible, la fille que tu as remplacée est là ce soir, le système fonctionne pour un mec à la fois, mais si tu es partante, j’ai un autre boulot où tu pourrais gagner 3 000 € pour les mêmes six heures, pour ce travail, j’ai toujours une place qui te serait réservée.
• Envoie la camionnette, je prends la place, tu m’expliqueras, je te fais confiance.
Comme la première fois, on m’emmène et après avoir roulé sans ne rien voir, je suis en contact avec mon suborneur, hier, il a compris que je suis prête à tout pour assouvir mon vice du jeu et effacer ma dette.
Je suis conduit dans une chambre, il y a seulement un lit, les quelques mots qu’il m’a dits au champ de courses, me reviennent au cerveau, je sais ce que je vais devoir faire pour continuer à me désendetter.
• Tu as compris, je le vois à ta façon de me regarder, es-tu d’accord.
• Comment te refuser même si demain matin, je serais devenu ta pute, j’ai accepté de sucer ces hommes pourquoi ne pas me faire baiser ?
• Enlève tes fringues, ici pas de préliminaires, ils bandent ou ils ne bandent pas, on s’en fout quand ils seront dans ta chambre, ils auront payé, tu écartes tes jambes, ils te pénètrent et au suivant, chaque fois, tu gagnes 100 €, plus vite, tu les expédies, plus tu gagnes, on y va ?
• C’est parti, tu ne veux pas me sauter le premier !
• Je n’ai pas d’argent à perdre, on verra un jour prochain, si j’ai envie de toi, je suis marié et fidèle à ma femme.
C’est ainsi que ma vie évolue, je me fais 20 clients ce premier soir, j’ai un peu la chatte en feu, mais les 2 000 € que je touche vont me permettre d’assouvir mon vice.
Au fil des jours suivants, je rembourse mes dettes, mais j’assouvis aussi mon appétit de luxure, je suis la meilleure gagneuse du Baron et est-ce la décision que j’ai prise de franchir le pas de devenir une fille de joie, mais presque tous les jours mes chevaux sont à l’arrivée.
Est-ce pour autant que je délaisse la camionnette, que nenni, j’ai une nouvelle passion, le poker sur Internet, j’aime faire tapis, perdant d’un coup un nombre incalculable de bites pour rembourser le Baron.
Vas-y, oui, vas-y.
Quand je dis, vas-y, ce n’est pas parce que je suis en train de me faire défoncer par Louis mon mari que j’appellerais Bourrin, mais parce que je profite de ce qu'il travaille de nuit pour venir aux courses en nocturne de Vincennes.
Il y a deux ans que le démon m’habite, j’ai commencé comme tout un chacun à jouer à des jeux de grattage, vite dépassé dans mes attentes d’adrénaline, car passer le moment où je gratte, mais le temps où je constate si j’ai gagné ou perdu étant trop court.
J’ai joué au loto, l’attente du tirage me faisait mouiller, mais là encore dès les deux premiers numéros sortis, je savais que si je gagnais, c’étaient des sommes dérisoires.
Il y a eu l’Amigo dans les cafés, je passais le matin et je cochais le chiffre 20 qui représente le nombre de tirages ayant lieu toutes les 5 minutes que l’on peut jouer, mais là encore, quand je repassais et que mon ticket me donnait la somme que j’avais gagnée, j’étais moite quelques minutes.
Et puis il y a eu le champ de courses de Vincennes, quand Louis a commencé dans son nouveau boulot, que nous avons déménagé à Joinville le pont, le champ de courses se trouvant à peu de kilomètres de notre nouvel appartement que j’ai trouvé le bonheur.
En regardant les résultats du loto, je suis tombée sur la page des courses, je n’avais jamais essayé, n’y connaissant rien, j’ai vu que le soir, il y avait nocturne.
Ce soir, je décide au dernier moment quand Louis part prendre son poste de gardien dans une entreprise dans laquelle il passe douze heures, je m’y rends à pied et c’est là que je rencontre le Baron.
Le Baron, c’est le seul nom que je connais de lui, il a la quarantaine et porte beau, il règne sur une partie du champ de courses ou sans le vouloir, je me suis installé, il voit rapidement que je m’intéresse, sans bien comprendre les codes.
Il me propose son aide, rapidement, je comprends que les familles entraînant les chevaux savent s’entendre pour que chacun ait de quoi vivre.
Bourrin fini quatrième, je l’avais joué gagnant et placé.
• Marine, quel cheval joues-tu dans la troisième ?
Je lui donne mon papier préparé avant de venir.
• Pas mal, tu mets 100 € sur Barracuda, mais ils vont le mettre à la faute, il est engagé la semaine prochaine dans une course à fort gain, sa cote va tomber par son déclassement aujourd’hui et sa cote va leur permettre de ramasser, car ils savent mettre de l’argent au bon moment.
• C’est de la magouille, merci de m’avoir fait voir les cousins et cousines qui se protègent les unes des autres.
À l’arrivée Barracuda, hors course, comme me l’a dit le Baron, je note de jouer 1 000 € la semaine suivante.
Comme de juste ma guigne du moment, me poursuit, il gêne son concurrent et est mis hors course par les commissaires.
Pourtant, il a tenu la tête tout le parcours, jusqu’au moment où le 3 est venu à sa hauteur, je criais.
Yes, Yes, Yes pour finir par un dernier grand YES et pour finir par un très grand MERDE.
Résultat une dette alors que j’espérais me refaire et d’éviter d’avouer à Louis, mes déboires aux courses, l’ardoise commence à monter, mais le Baron semble disposé à me prêter des sommes toujours plus importantes.
Mon insouciance n’a d’égale que ma connerie d’ignorer qu’un jour ou l’autre, je devrais regarder la vérité en face.
J’ai un sursis, car Bécassine, une jument de trois ans me rapporte quelques milliers d’euros, mais cette euphorie est de courte durée, car je reperds presque 5 000 €.
• Marine, ton mari est-il au boulot demain soir ?
• Oui, pourquoi ?
• J’ai un service à te demander.
• Je ferais tout pour t’être agréable.
• Une camionnette va venir te chercher chez toi dès que Louis ton mari partira, tu rejoindras un endroit inconnu de toi les yeux bandés et je serais là pour te recevoir.
Je trouve ces précautions bizarres, mais il faut savoir respecter ses promesses.
• Dois-je m’habiller de façon spéciale ?
• Non, tu verras ce que tu auras à faire est très simple.
Je suis à l’heure, une camionnette s’arrête, les portes arrière s’ouvrent, deux hommes me font monter comme prévu, me bandent les yeux et nous redémarrons.
Nous roulons très longtemps, je pose des questions sans avoir de réponses.
• Que vais-je avoir à faire ?
Quand nous nous arrêtons, chaque homme me prend un bras, jusqu’au moment où on m’enlève le bandeau.
Je suis dans une pièce où le Baron m’attend.
• Tu vois la fille qui travaille ici en temps normal est là pour sucer les bites de mes clients, regarde ces trous dans le mur, quand un sexe apparaît, tu le masturbes.
Quand il sera assez bandé, tu le prendras dans ta bouche jusqu’à lui faire sortir son sperme, ici mes filles sont bien traitées si elles travaillent proprement, tu pourras recracher le maximum de sperme dans ce bol, tu vas travailler 6 heures et j’effacerais 20 € par client satisfait de ta dette.
• Tu veux que je me prostitue !
• On peut dire cela, mais c’est pour me rendre service, comme je t’ai rendu service chaque fois que tu perds, je vais faire entrer mes clients, il y en a déjà qui attendent.
Il part, j’attends trois minutes, sur le mur devant moi parmi les nombreux trous une bite apparaît, je me mets à genoux comme je le fais fréquemment avec Louis, il aime que je lui fasse une fellation.
Je fais comme le Baron m’a dit, la masturbation est facile, une queue étant une queue, mais quand il s’agit de le prendre dans ma bouche, j’ai une petite répulsion.
Par les trous à ce moment, je comprends que l’on entend ce qui se dit dans la pièce.
• Lave-toi la queue avec de l’aseptisant, la dame qui va te sucer à droit au respect.
Je prends en bouche la verge qui est déjà à ma disposition, le garçon qui était derrière devait venir de temps en temps et avait une grande envie, car je récupère un max de sperme en recrachant dans le bol.
À peine terminé, le trou voisin est investi, je le masturbe prenant sa verge dans ma main, j’ai pris de l’assurance, lui malaxant les couilles que j’aie du mal à prendre dans ma main.
La verge qui se tend est d'une taille jamais vue pour moi, avant Louis, j’avais eu quelques aventures dont celle avec mon cousin qui m’avait dépucelé, pendant les six heures, je vois et suce plus de bites que de petits poids dans les boîtes que j’ouvre, Louis en raffolant.
J’exagère un peu, mais au bas mot, c'est une soixantaine de verges que je soulage, chaque fois, je remplis le bol, malgré que j’avale une grande quantité de sperme.
• Alors Marine, ça n’a pas été trop dur, les filles qui passent ici disent toutes que c’est fastidieux, mais que c’est de l’argent facilement gagné.
De mon côté, je surveillais surtout l’hygiène, voilà ton ardoise déduit des 1 200 € que tu viens de gagner.
• Si tu acceptes, déduit seulement 600 € et donne-m'en 600 en liquide, il y a course cette après-midi à Vincennes, j’ai eu un tuyau à l’épicerie et je suis sûr que mon cheval va gagner à 30 contre 1.
Il me les donne, rectifie le solde de ma dette, au bout de la nuit la camionnette me dépose devant chez moi, je me couche sagement, quand Louis rentre, il ne s’aperçoit de rien.
Je le retrouve au champ de courses, bien sûr, mon cheval était un tuyau percé et je perds tous mes gains.
• Baron, mon mari travaille ce soir, la camionnette pourrait-elle venir me chercher.
• Impossible, la fille que tu as remplacée est là ce soir, le système fonctionne pour un mec à la fois, mais si tu es partante, j’ai un autre boulot où tu pourrais gagner 3 000 € pour les mêmes six heures, pour ce travail, j’ai toujours une place qui te serait réservée.
• Envoie la camionnette, je prends la place, tu m’expliqueras, je te fais confiance.
Comme la première fois, on m’emmène et après avoir roulé sans ne rien voir, je suis en contact avec mon suborneur, hier, il a compris que je suis prête à tout pour assouvir mon vice du jeu et effacer ma dette.
Je suis conduit dans une chambre, il y a seulement un lit, les quelques mots qu’il m’a dits au champ de courses, me reviennent au cerveau, je sais ce que je vais devoir faire pour continuer à me désendetter.
• Tu as compris, je le vois à ta façon de me regarder, es-tu d’accord.
• Comment te refuser même si demain matin, je serais devenu ta pute, j’ai accepté de sucer ces hommes pourquoi ne pas me faire baiser ?
• Enlève tes fringues, ici pas de préliminaires, ils bandent ou ils ne bandent pas, on s’en fout quand ils seront dans ta chambre, ils auront payé, tu écartes tes jambes, ils te pénètrent et au suivant, chaque fois, tu gagnes 100 €, plus vite, tu les expédies, plus tu gagnes, on y va ?
• C’est parti, tu ne veux pas me sauter le premier !
• Je n’ai pas d’argent à perdre, on verra un jour prochain, si j’ai envie de toi, je suis marié et fidèle à ma femme.
C’est ainsi que ma vie évolue, je me fais 20 clients ce premier soir, j’ai un peu la chatte en feu, mais les 2 000 € que je touche vont me permettre d’assouvir mon vice.
Au fil des jours suivants, je rembourse mes dettes, mais j’assouvis aussi mon appétit de luxure, je suis la meilleure gagneuse du Baron et est-ce la décision que j’ai prise de franchir le pas de devenir une fille de joie, mais presque tous les jours mes chevaux sont à l’arrivée.
Est-ce pour autant que je délaisse la camionnette, que nenni, j’ai une nouvelle passion, le poker sur Internet, j’aime faire tapis, perdant d’un coup un nombre incalculable de bites pour rembourser le Baron.
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