COLLECTION ZONE ROUGE. Ma petite sœur (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Ma petite sœur (1/1)
• Louis, peux-tu me rendre service ?
• C'est sûr, sœurette, tout ce que tu voudras.
Si je savais quand je lui donne cette réponse, dans quelle galère Marie me propulse.
• Merci, tu sais que papa voit d’un mauvais œil que je sors seule le soir, il a toujours peur qu’il m’arrive un mauvais coup quand un de mes copains me ramène.
Tu sais que même si nous sommes majeurs, il veut être le seul maître à bord dans sa maison, tant que nous nous serons sous sa dépendance, j’ai toujours en tête sa formule, « le jour où nous pisserons seules, nous ferons ce que nous voudrons. ».
• Il a raison sur certains côtés, il faut toujours que tu le provoques.
• Tu as raison, nous avons le même caractère, ça finit par faire des étincelles.
Puis-je compter sur toi ?
• Ou veux-tu aller ?
• Des copains organisent une soirée à l’opposé de la ville, il faudrait que tu m’y conduises, nous pourrions rentrer au petit matin, s’il sait que tu es avec moi et surtout que tu lui demandes, il acceptera.
• Vu sous cet angle, je vais peut-être revoir ma position, que comptes-tu faire jusqu’au petit matin ?
• Je suis majeur, ça me regarde, toi tu pourras trouver une de mes copines qui acceptera de passer un moment avec toi et améliorer ta sexualité.
• Ma sexualité, regarde plutôt la tienne.
• Il est puceau, il est puceau à 22 ans.
• 21 et ½ pas 22 et pour le sexe, j’ai le temps.
• Tu ignores ce qui est bon, bien, voyons les réseaux sociaux, Véronique, son mail, voilà.
Mon frère Louis est un puceau, je l’envoie où tu demandes à papa pour la soirée.
Elle voit que je ma détermination à refuser de l’aider est forte.
• Ce qui est bien avec les mails, c’est que l’on peut les envoyer sur plusieurs comptes à la fois, voyons voir, à qui dire que tu es puceau dans mes contacts ?
Tiens, pourquoi pas Adrienne, le prof de Français que nous avons eu tous les deux, tu as toujours été secrètement amoureux d’elle, elle va apprécier, tient je vais ajouter que tu as une petite bite, on va rire, tu seras grillé auprès de toutes ces femmes.
J’ai son Email, elle me l’avait donné pour que je lui envoie un devoir un jour où j’avais été malade.
Un, deux, attention, je vais faire comme papa, à trois, j’envoie.
On recommence, ce sera la dernière, un, deux.
• C’est bon tu as gagné, je vais demander à papa, promet que tu m’écouteras.
• Juré, craché, tu peux compter sur moi, je serais sage comme une image, je te présenterais à Mathilde, elle m’a dit qu’elle en pinçait pour toi.
C’est comme cela que je me retrouve avec ma sœur devant le portail en ferronnerie massive en banlieue.
Des dizaines de garçons et de filles sont là à discuter, nous entrons dans une salle ou une jeune femme récupère ma veste et mes clefs de voiture, nous les récupérerons avant de partir après avoir soufflé dans un Alcootest électronique.
Par la fenêtre, je vois que deux garçons gèrent un barbecue, deux couples attendent d’être servis, Deux couples ou deux garçons ou deux filles car je remarque rapidement que les couples semblent se faire et se défaire au gré des rencontres.
• Mathilde, tu es là, je te présente Louis mon frère, Louis voici Mathilde, essayez de passer une bonne soirée, j’ai quelqu’un qui m’attend.
Nous faisons la queue pour avoir une côtelette, je vais chercher deux cocktails de jus de fruits, Mathilde est comme moi, elle évite l’alcool, mieux, jamais d’alcool dans son corps sain, comme moi.
Au bout d’un moment Mathilde qui me parle de ses études afin de devenir avocate, me demande si je sais où sont les toilettes, je l’accompagne afin de me renseigner, ayant moi besoin de m’isoler.
Elle entre, j’attends dans le couloir, la porte voisine est restée entrouverte, Marie, la petite Marie se trouve sur un lit la bite d’un mec dans la bouche, elle le pompe en le masturbant, la verge entrante entièrement au fond de sa gorge.
Je vois le mec se tendre avançant son bassin en avant, ma sœur semble aimer quand il éjacule, je la vois avalée son sperme.
Mathilde sort des toilettes.
• Louis, je t’attends en bas, c’est inutile que je sois là pour faire ce que tu as à faire.
Quand je sors, je jette un œil dans la chambre, Marie est partie avant que je lui dise ce que je pense de son comportement.
Je retrouve Mathilde qui continue à me parler de ses études, de son mariage futur, de ses enfants qu’elle veut avoir.
C’est à ce moment que je vois Marie passer avec deux gars se dirigeant vers le parc, je suis intrigué, que va telle encore faire !
Je laisse Mathilde sur un banc, dans la nuit qui commence à tomber, je suis l’allée, sur une pelouse très bien entretenue, elle est là, entièrement nue, ainsi que les deux mecs, l'un est couché et ma sœur, celle que j’ai couvée quand elle était petite empêchant quiconque de l’embêter se comporte comme une salope.
Elle est empalée sur la bite du gars pendant que l’autre vient se placer dans son anus, il pousse en avant d’un coup et ma sœur hurle plus de plaisirs que de douleurs.
Comme dans la chambre, j’ai l’impression d’être un mateur envers ma sœur, mais ces trois corps qui se donnent du plaisir a tendance à me faire réagir, je pars en courant retrouver Mathilde jeune fille plus sérieuse que ma sœur.
• Alors les amoureux ça va bien, Mathilde lâche toi, je t’ai amené mon frère qui est un peu coincé comme toi, profite en maintenant que feras-tu quand tu auras une flopée de mouflets, après que l'on t'eut mis la bagouse au doigt, il faudrait être fou pour être ton mari.
• Marie arrête, je t’ai vu dans la chambre et au fond du parc, ce que tu fais est dégoûtant, tu m’avais promis d’être sage.
• Et tu m’as cru, je fais ce que je veux de mon cul, Mathilde bouches-toi les oreilles, tu risques de rougir, j’ai adoré boire le sperme du gars et j’ai adoré me faire prendre en double pénétration.
Si vous saviez ce que j’ai fait dans les chiottes du lycée avec la plupart des mecs qui étaient dans mon cours, vous seriez offusqués, j’aime le sexe et le sexe m’aime, excusez, je vais prendre une douche, j’ai du sperme sur les fesses et sur ma chatte.
Frangin soit sans crainte, je suis une fille responsable, toujours avec capote, mais j’aime que mes amants les enlèvent et déchargent leur sperme sur ma peau, j’adore l’étaler sur mon corps ou dans ma bouche.
Elle part, sans plus de remords, je suis piégé, elle le sait, je vois mal aller dire à notre père que sa petite fille chérie se comporte comme une dévergondée.
Mathilde fait celle qui est sourde, nous buvons du jus de fruits sur notre banc restant de longue, même très longues minutes sans se dire un mot.
Autour de nous, je vois les couples se former et se déformer au fil des envies de chacun, plusieurs d’entre eux restent nue après s’être isolés, le jardinier va s’amuser, les capotes doivent joncher les buissons.
Je vois Marie dans la même tenue, plusieurs fois se rapprochant de garçons avec lesquels elle va vers la maison ou vers le parc, elle va même avec un noir qui en a une très grande.
Je le vois, il était passé avec une petite blonde déjà dénudée, il est impressionnant.
La copine de Mathilde vient la rechercher pour rentrer, plusieurs fois, je l’ai vu avoir le même comportement que ma sœur.
J’embrasse Mathilde sur la joue.
• Donne-moi ton numéro de téléphone, j’aimerais que l’on se revoie.
Je le mémorise, les chiffres et moi aucun problème, je fais des études pour être expert-comptable, ma spécialité, dans une liste de plusieurs milliers de chiffres découvrir des doublons dans une comptabilité.
Regardons, 2 fois 10 000 €, impossibles de dire doublons, mais 53 225 deux fois dans un même exercice, c’est hautement improbable, il suffit de comparer les factures ou les notes de frais pour confondre les faux en écriture.
• On rentre, je suis fourbu, Mathilde est partie, tu l’as déflorée, vous avez échangé vos pucelages.
Inutile de répondre, surtout que dans la voiture, elle somnole.
• Super soirée, tu me ramèneras.
• Tu as folle, je t’ai vu aller avec 5 à 6 hommes différents.
• Tu te trombe 12 mecs et une femme, j’adore leur brouter la chatte surtout celle-là, son mari me sodomisait pendant que nous nous faisions un 69.
13 hommes et femmes, comme le jour de ma naissance.
• Marie tait toi.
Inutile, de lui demander de se taire elle dort.
Les années ont passé.
• Mathilde, vous êtes prêt pour partir à l’église baptiser Louise.
• Oui, va m’attendre dans la voiture.
J’ai épousé Mathilde à la fin de mes études, je suis entré à la Cour des comptes comme contrôleur, Mathilde travaille dans un grand cabinet d’avocats parisien, nous habitons sur les bords de Marne avec nos trois enfants.
Léa est née pile neuf mois après notre mariage, nous avons pour habitude de penser que nous l’avons conçue pendant notre nuit de noce ou nous nous sommes dépucelés mutuellement.
Un an après Léon est venu nous rejoindre avant que Louise soit un léger accident, mais quel bonheur qu’elle soit venue rejoindre notre famille.
Mauvaise nouvelle, papa est parti et maman a arrêté sa vie, elle plane dans l’époque où il était là et où nous sommes venues au monde avec Marie, nous l’avons placée dans une maison spécialisée et nous allons régulièrement la voir avec ma sœur.
Ma sœur Marie, elle va être la marraine de Louise, Mathilde qui réprouve sa vie a toujours refusé qu’une pute soit la marraine de notre fille.
Pourquoi je dis pute, elle dit escorte girl, elle sillonne le monde en se faisant payer très chères ses prestations, ce que j’ai vu deux trois fois ou je l’ai accompagné dans ses soirées de débauches, m’a fait voir la salope qu’elle était capable d’être ?
Je comprends qu’elle réussisse dans ce métier, si c’en est un, je vous laisse, j’ai réussi à ce que ma femme accepte qu’elle soit la marraine pour notre dernière, elle arrive dans sa voiture de sport rouge avec un cheval comme emblème.
Elle a son éternel short ras la fente qu’elle porte l’été.
• Salut frangin, comment va ta femme, toujours autant coincée.
• C'est sûr, sœurette, tout ce que tu voudras.
Si je savais quand je lui donne cette réponse, dans quelle galère Marie me propulse.
• Merci, tu sais que papa voit d’un mauvais œil que je sors seule le soir, il a toujours peur qu’il m’arrive un mauvais coup quand un de mes copains me ramène.
Tu sais que même si nous sommes majeurs, il veut être le seul maître à bord dans sa maison, tant que nous nous serons sous sa dépendance, j’ai toujours en tête sa formule, « le jour où nous pisserons seules, nous ferons ce que nous voudrons. ».
• Il a raison sur certains côtés, il faut toujours que tu le provoques.
• Tu as raison, nous avons le même caractère, ça finit par faire des étincelles.
Puis-je compter sur toi ?
• Ou veux-tu aller ?
• Des copains organisent une soirée à l’opposé de la ville, il faudrait que tu m’y conduises, nous pourrions rentrer au petit matin, s’il sait que tu es avec moi et surtout que tu lui demandes, il acceptera.
• Vu sous cet angle, je vais peut-être revoir ma position, que comptes-tu faire jusqu’au petit matin ?
• Je suis majeur, ça me regarde, toi tu pourras trouver une de mes copines qui acceptera de passer un moment avec toi et améliorer ta sexualité.
• Ma sexualité, regarde plutôt la tienne.
• Il est puceau, il est puceau à 22 ans.
• 21 et ½ pas 22 et pour le sexe, j’ai le temps.
• Tu ignores ce qui est bon, bien, voyons les réseaux sociaux, Véronique, son mail, voilà.
Mon frère Louis est un puceau, je l’envoie où tu demandes à papa pour la soirée.
Elle voit que je ma détermination à refuser de l’aider est forte.
• Ce qui est bien avec les mails, c’est que l’on peut les envoyer sur plusieurs comptes à la fois, voyons voir, à qui dire que tu es puceau dans mes contacts ?
Tiens, pourquoi pas Adrienne, le prof de Français que nous avons eu tous les deux, tu as toujours été secrètement amoureux d’elle, elle va apprécier, tient je vais ajouter que tu as une petite bite, on va rire, tu seras grillé auprès de toutes ces femmes.
J’ai son Email, elle me l’avait donné pour que je lui envoie un devoir un jour où j’avais été malade.
Un, deux, attention, je vais faire comme papa, à trois, j’envoie.
On recommence, ce sera la dernière, un, deux.
• C’est bon tu as gagné, je vais demander à papa, promet que tu m’écouteras.
• Juré, craché, tu peux compter sur moi, je serais sage comme une image, je te présenterais à Mathilde, elle m’a dit qu’elle en pinçait pour toi.
C’est comme cela que je me retrouve avec ma sœur devant le portail en ferronnerie massive en banlieue.
Des dizaines de garçons et de filles sont là à discuter, nous entrons dans une salle ou une jeune femme récupère ma veste et mes clefs de voiture, nous les récupérerons avant de partir après avoir soufflé dans un Alcootest électronique.
Par la fenêtre, je vois que deux garçons gèrent un barbecue, deux couples attendent d’être servis, Deux couples ou deux garçons ou deux filles car je remarque rapidement que les couples semblent se faire et se défaire au gré des rencontres.
• Mathilde, tu es là, je te présente Louis mon frère, Louis voici Mathilde, essayez de passer une bonne soirée, j’ai quelqu’un qui m’attend.
Nous faisons la queue pour avoir une côtelette, je vais chercher deux cocktails de jus de fruits, Mathilde est comme moi, elle évite l’alcool, mieux, jamais d’alcool dans son corps sain, comme moi.
Au bout d’un moment Mathilde qui me parle de ses études afin de devenir avocate, me demande si je sais où sont les toilettes, je l’accompagne afin de me renseigner, ayant moi besoin de m’isoler.
Elle entre, j’attends dans le couloir, la porte voisine est restée entrouverte, Marie, la petite Marie se trouve sur un lit la bite d’un mec dans la bouche, elle le pompe en le masturbant, la verge entrante entièrement au fond de sa gorge.
Je vois le mec se tendre avançant son bassin en avant, ma sœur semble aimer quand il éjacule, je la vois avalée son sperme.
Mathilde sort des toilettes.
• Louis, je t’attends en bas, c’est inutile que je sois là pour faire ce que tu as à faire.
Quand je sors, je jette un œil dans la chambre, Marie est partie avant que je lui dise ce que je pense de son comportement.
Je retrouve Mathilde qui continue à me parler de ses études, de son mariage futur, de ses enfants qu’elle veut avoir.
C’est à ce moment que je vois Marie passer avec deux gars se dirigeant vers le parc, je suis intrigué, que va telle encore faire !
Je laisse Mathilde sur un banc, dans la nuit qui commence à tomber, je suis l’allée, sur une pelouse très bien entretenue, elle est là, entièrement nue, ainsi que les deux mecs, l'un est couché et ma sœur, celle que j’ai couvée quand elle était petite empêchant quiconque de l’embêter se comporte comme une salope.
Elle est empalée sur la bite du gars pendant que l’autre vient se placer dans son anus, il pousse en avant d’un coup et ma sœur hurle plus de plaisirs que de douleurs.
Comme dans la chambre, j’ai l’impression d’être un mateur envers ma sœur, mais ces trois corps qui se donnent du plaisir a tendance à me faire réagir, je pars en courant retrouver Mathilde jeune fille plus sérieuse que ma sœur.
• Alors les amoureux ça va bien, Mathilde lâche toi, je t’ai amené mon frère qui est un peu coincé comme toi, profite en maintenant que feras-tu quand tu auras une flopée de mouflets, après que l'on t'eut mis la bagouse au doigt, il faudrait être fou pour être ton mari.
• Marie arrête, je t’ai vu dans la chambre et au fond du parc, ce que tu fais est dégoûtant, tu m’avais promis d’être sage.
• Et tu m’as cru, je fais ce que je veux de mon cul, Mathilde bouches-toi les oreilles, tu risques de rougir, j’ai adoré boire le sperme du gars et j’ai adoré me faire prendre en double pénétration.
Si vous saviez ce que j’ai fait dans les chiottes du lycée avec la plupart des mecs qui étaient dans mon cours, vous seriez offusqués, j’aime le sexe et le sexe m’aime, excusez, je vais prendre une douche, j’ai du sperme sur les fesses et sur ma chatte.
Frangin soit sans crainte, je suis une fille responsable, toujours avec capote, mais j’aime que mes amants les enlèvent et déchargent leur sperme sur ma peau, j’adore l’étaler sur mon corps ou dans ma bouche.
Elle part, sans plus de remords, je suis piégé, elle le sait, je vois mal aller dire à notre père que sa petite fille chérie se comporte comme une dévergondée.
Mathilde fait celle qui est sourde, nous buvons du jus de fruits sur notre banc restant de longue, même très longues minutes sans se dire un mot.
Autour de nous, je vois les couples se former et se déformer au fil des envies de chacun, plusieurs d’entre eux restent nue après s’être isolés, le jardinier va s’amuser, les capotes doivent joncher les buissons.
Je vois Marie dans la même tenue, plusieurs fois se rapprochant de garçons avec lesquels elle va vers la maison ou vers le parc, elle va même avec un noir qui en a une très grande.
Je le vois, il était passé avec une petite blonde déjà dénudée, il est impressionnant.
La copine de Mathilde vient la rechercher pour rentrer, plusieurs fois, je l’ai vu avoir le même comportement que ma sœur.
J’embrasse Mathilde sur la joue.
• Donne-moi ton numéro de téléphone, j’aimerais que l’on se revoie.
Je le mémorise, les chiffres et moi aucun problème, je fais des études pour être expert-comptable, ma spécialité, dans une liste de plusieurs milliers de chiffres découvrir des doublons dans une comptabilité.
Regardons, 2 fois 10 000 €, impossibles de dire doublons, mais 53 225 deux fois dans un même exercice, c’est hautement improbable, il suffit de comparer les factures ou les notes de frais pour confondre les faux en écriture.
• On rentre, je suis fourbu, Mathilde est partie, tu l’as déflorée, vous avez échangé vos pucelages.
Inutile de répondre, surtout que dans la voiture, elle somnole.
• Super soirée, tu me ramèneras.
• Tu as folle, je t’ai vu aller avec 5 à 6 hommes différents.
• Tu te trombe 12 mecs et une femme, j’adore leur brouter la chatte surtout celle-là, son mari me sodomisait pendant que nous nous faisions un 69.
13 hommes et femmes, comme le jour de ma naissance.
• Marie tait toi.
Inutile, de lui demander de se taire elle dort.
Les années ont passé.
• Mathilde, vous êtes prêt pour partir à l’église baptiser Louise.
• Oui, va m’attendre dans la voiture.
J’ai épousé Mathilde à la fin de mes études, je suis entré à la Cour des comptes comme contrôleur, Mathilde travaille dans un grand cabinet d’avocats parisien, nous habitons sur les bords de Marne avec nos trois enfants.
Léa est née pile neuf mois après notre mariage, nous avons pour habitude de penser que nous l’avons conçue pendant notre nuit de noce ou nous nous sommes dépucelés mutuellement.
Un an après Léon est venu nous rejoindre avant que Louise soit un léger accident, mais quel bonheur qu’elle soit venue rejoindre notre famille.
Mauvaise nouvelle, papa est parti et maman a arrêté sa vie, elle plane dans l’époque où il était là et où nous sommes venues au monde avec Marie, nous l’avons placée dans une maison spécialisée et nous allons régulièrement la voir avec ma sœur.
Ma sœur Marie, elle va être la marraine de Louise, Mathilde qui réprouve sa vie a toujours refusé qu’une pute soit la marraine de notre fille.
Pourquoi je dis pute, elle dit escorte girl, elle sillonne le monde en se faisant payer très chères ses prestations, ce que j’ai vu deux trois fois ou je l’ai accompagné dans ses soirées de débauches, m’a fait voir la salope qu’elle était capable d’être ?
Je comprends qu’elle réussisse dans ce métier, si c’en est un, je vous laisse, j’ai réussi à ce que ma femme accepte qu’elle soit la marraine pour notre dernière, elle arrive dans sa voiture de sport rouge avec un cheval comme emblème.
Elle a son éternel short ras la fente qu’elle porte l’été.
• Salut frangin, comment va ta femme, toujours autant coincée.
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