COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison I (4/10)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison I (4/10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison I (4/10)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
J’ai tué mon beau-père qui était aussi mon souteneur en le faisant plonger depuis la terrasse d’un ancien sénateur en lui soulevant les molets ?
Dans l’état d’ébriété où il était, profiter de son poids pour le déséquilibrer et le faire s’écraser sur le trottoir, ça a été un jeu d’enfant.

J’arrive à rejoindre le Sénateur homme de 91 ans que je viens de faire jouir en bonne pute, créée par celui que je viens de trucider.

En se réveillant, me voyant entre ses jambes, quand la police arrive, il me couvre sans le moindre soupçon de ce que j’ai fait.
Un point tarabustent l’inspecteur les cigarettes de drogue que Bob avait sur lui et qu’ils ont trouvé dans sa poche.
J’ai encore quelques peurs même si l’inspecteur semble craindre le Sénateur.

• J’en reviens tout de même aux cigarettes de drogue.
Il était seul à fumer chez vous, fumiez-vous peut-être avec lui mademoiselle ?
• Non, maman oui, il lui tendait souvent une boîte, mais il le faisait seulement quand ils étaient seuls.
Je le sais car je les ai vus une fois ou deux en passant devant la porte de leur chambre mal fermée.
• Votre explication doit être la bonne.
Sénateur, nous avons constaté qu’il se droguait avec des produits plus dangereux que les joints.
Il avait de nombreuses piqûres surtout entre les doigts de pieds.
Souvent les toxicos se piquent à cet endroit pour cacher à leur proche leur addiction.
Pour finir et avant de vous laisser mademoiselle, une équipe est partie chez votre mère, j’aimerais que vous veniez nous rejoindre d’ici une heure.

Je suis contente qu’il parte, je suis à deux doigts de craquer.
Je viens d’apprendre que mon Bob me baisait alors qu’il était cocaïnomane.
J’ai souvent entendu que ceux qui se piquaient attrapaient le sida.
Or, j’ai baisé avec lui sans être protégé.
Je suis majeur, je vais aller dans un centre de détection de la maladie pour contrôler discrètement si je suis positive.
Le Sénateur raccompagne l’inspecteur après qu’il m’eut salué.

• Après ces premières constatations, je vais orienter mon rapport vers le suicide monsieur le Sénateur, c’est plus qu’évident.
La femme qui a failli le prendre sur le dos à regarder d’où il pouvait être tombé et n’a vu aucune personne regardant par-dessus votre balcon malgré la nuit tombante.
Si vous saviez le nombre de tueurs qui se font prendre en voulant voire si leur victime était bien morte en se penchant une fraction de seconde.
Elles se font voir des gens en bas ou de l’immeuble d’en face par un voisin fumant sa clope sur le balcon.
Chez vous, la deuxième solution est à proscrire, car j’ai constaté qu’en face il y a un joli parc.
• C’est pour cela que j’ai acheté cet appartement craignant les vis-à-vis inspecteur.
De plus, je savais que j’allais balancer mon compagnon de guerre par-dessus mon balcon.
• J’aime votre ironie, je connais votre réputation Sénateur, je sais que vous avez assez de ressource pour que si vous aviez besoin de vous débarrasser de lui, cela se produise autre part que depuis votre balcon.
Adieu.

Quand la porte est refermée, l’inspecteur parti, le Sénateur me rejoint.
Je lui saute au cou.

• Tu as l’air bien joyeuse Poupette, c’est pourtant ton beau-père qui est mort.
Il te baisait.
• Non, c’était mon Mac m’obligeant pour la première fois à venir me prostituer chez vous.

Je me remets à pleurer.

• Il m’a frappé, car je refusais de venir ici et a menacé de faire tapiner ma mère si je refusais.

Hollywood me voila, surtout quand il me prend dans les bras pour me cajoler, comme on le fait avec son enfant ayant de la peine.

• Soit sereine, je vais te protéger.
• Avant que je parte, je voudrais aller dans votre chambre.
• Ma chambre est un endroit privé aucune femme n’en a franchi la porte.
Je les ai toutes toujours baisés dans mon salon ou dans mon bureau quand j’étais actif, toi ça été mon bureau.
• Ou est-elle ?
• Viens.

Il me prend la main me conduisant dans un couloir qui doit donner de l’autre côté de l’immeuble son appartement couvrant tout le dernier étage,
• Entre que je te déshabille, tu es si belle, tu auras été le soleil de la fin de ma vie.

J’enlève seulement ma culotte, je me couche sur le lit les jambes bien écartées, lui montrant mon sexe que je rase depuis que Bob me faisait travailler.
Il faut savoir cacher quelques pans de ma vie si je veux atteindre le but que je me suis fixé bien éloigner de celui que maman espérait quand elle m’a emmené défiler la première fois.

• Suce-moi vieux salaud, je sens que je t’aime malgré notre différence d’âge.
Je te promets que si tu me protèges tu vas passer encore de bons moments dans ta vie, je saurais te faire avoir envie de vivre bien plus vieux.

J’ai réussi à ce qu’il me pénètre une fois, mais je crains que mon pépère n’ait atteint le sommet de ce qu’il est capable de faire à son âge aussi s’il me suce ce sera moi qui jouirais avant de rentrer chez moi.
Il avance sa bouche ou de nombreuses dents lui manques, dire que je viens de lui mettre ma langue dans sa bouche.
Mais on n’a rien sans rien et je me satisfais d’espérer à une vie meilleure dans les jours prochains.
Si la bite de celui qui j’espère va devenir mon mentor est inefficace pour me satisfaire, il sait très bien se servir de sa langue sur mon bouton.
Il me faut quelques minutes pour décoller en faisant attention d’éviter de faire comme Bob et rejoindre le trottoir.

• Pépère, tu permets que je t’appelle pépère.
• Oui je t’appelle bien Poupette, alors que je viens d’apprendre que ton prénom est Claudia.
• Pépère, tu m’as promis que si je te demande ce que je veux tu me l’accorderais.
• Bien sûr, je suis peut-être un vieux saligaud, mais je respecte toujours ma parole que souhaites-tu ?
• Que tu m’épouses.

Je lui dis tellement vite craignant de reculer au dernier moment de demander d’épouser ce fossile qui me faut répéter.

• J’aimerais que l’on se marie, comme cela je me sentirai protégé.

J’ai un instant peur que son cœur lâche et que je perde tout.
Ayant repris son souffle je suis pendu à ses lèvres attendant sa réponse.

• Tu as raison Poupette on va se marier.
Mon putain de neveu et sa petite pétasse perdront mon héritage et tu en profiteras.
J’appelle mes avocats pour qu’il prépare le contrat qui les exclura, car étant ma femme tu seras héritière.
• Fais-leur mettre qu’en cas ou tu me donnerais une descendance que ce serait elle qui hériterait.

En disant ces mots, j’espère lui faire comprendre que pour moi c’est lui que j’épouse et non son argent.

• Tu sais à mon âge, je me vois mal te faire des enfants.
File et revient vite, va voir ta maman, elle doit avoir appris pour Bob.

Je remets mes vêtements et je m’apprête à partir.

• Revient vite, je t’ai appelé un taxi, tiens voilà de l’argent, demain je prépare tout pour la cérémonie.
Tu vas pouvoir aller commander ta robe blanche, même si nous avons donné un petit coup de canif au contrat.

J’embrasse Pépère.

• J’ai passé la meilleure soirée de ma vie, je rentre consoler maman.
• Je fais avancer ma voiture, mon chauffeur va te ramener.

De retour à la maison, l’immense limousine de pépère me dépose.
Des bandes m’interdisant de passer me barrent le chemin.

• Claudia venez, mes enquêteurs fouillent la maison, votre maman est dans le salon.

J’entre, maman est prostrée dans un des fauteuils, une feuille de papier à la main.

• Ma chérie, je vais mourir, Bob se droguait et m’a peut-être donné un virus, regarde cette lettre, elle me confirme que je suis infectée.

Le ciel me tombe sur la tête, je viens de gagner le GRAL et le perdre en ayant accepté de baiser avec mon beau-père…

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