COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison II (18/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison II (18/20)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je sens intuitivement qu’avec les hommes, depuis le début de ma vie, tout va de travers, de mon père inconnu pour moi à Bob mon beau-père qui m’a prostitué, rien ne colle.
Alors quand je rencontre Abby infirmière de son état, que j’ai failli tuer en balançant mon beau-père du 10ème étage tombant à quelques centimètres de sa tête, je décide de lui faire confiance.
Je lui dis que c’est moi qui l’ai balancé.
Elle encaisse sans sembler étonné.
- Comment as-tu fait ?
- Comme je te l’ai dit, il m’a conduit chez le sénateur, qui a essayé de me baiser afin d’apprécier la marchandise qu’ils allaient mettre sur le marché californien ayant atteint mes 18 ans.
Dès que j’ai été nue il m’a flatté la croupe comme si j’étais une vache que son fermier voulait vendre à un maquignon.
Comme le sénateur a aimé la marchandise présentée, il a demandé à Bob de partir fumer sur sa terrasse lui offrant une bouteille de whisky.
Je me suis mise à la tâche et après que le sénateur eut déchargé, il s’est endormi rattrapé par la fatigue.
- C’était normal à son âge.
- Tu as raison, je suis allée faire pipi et me laver la chatte dans son bidet.
J’ignorais où elle était.
Je suis passée par la salle à manger, la fenêtre était ouverte, j’ai vu mon souteneur sirotant son verre debout devant la rambarde.
Je me suis approchée sans bruit en me baissant pour éviter que l’on ne me voie, je suis venu derrière lui.
Il a dû t’entendre arriver car il s’est penché.
J’ai saisi l’opportunité, je lui ai saisi les chevilles, j’ai tiré vers le haut et dans l’état où il était il a basculé.
- Tu as failli me tuer.
- J’aurai pleuré toutes les larmes de mon corps ma petite chatte.
Malgré l’aveu que je viens de lui faire, Abby me reprend dans ses bras et un grand éclat de rire nous plie en deux.
- Tu as eu peur.
- Dans ces moments-là, je peux t’assurer qu’on agit, nos pensées sont en partie bloquées.
Prestement, je suis retournée près du sénateur que j’ai réveillé sûr que la police allait venir voir si c’était de cet appartement qu’un homme était tombé.
C’est Tex qui a frappé et vu les circonstances et une lettre d’un médecin de ton hôpital lui confirmant qu’il était atteint du virus du sida.
Il l’avait certainement contracté en se piquant avec des seringues car il se droguait.
Il avait entraîné maman dans ses débordements en la faisant picoler et elle aussi ce piquer.
Cette lettre fait qu’il a conclu qu’il s’était balancé dans le vide pour éviter de souffrir.
- Si je comprends bien quand nous avons fait l’amour, tu étais peut-être infectée ?
C’est avec des accents de peur qu’Abby me dit ces mots.
- J’ai perdu Cassidy, il est hors de question que je te perde.
Ce coup-là, c’est mon cou que je tranche !
- Crois-tu que je t’aurais fait prendre le moindre risque, quand j’ai su le risque qu’on m’avait fait courir, j’ai immédiatement fait faire un contrôle à l’hôpital ?
Appel le médecin du service qui s’est occupé de maman, il te confirmera comme il l’a fait pour moi que je suis séronégative.
Je suis passée au travers où ils se sont contaminés après la dernière fois où il m’a baisé.
- Tu me rassures, je vais te dire, tu as bien fait, il t’a baisé, t’a obligée à tapiner pendant deux ans avant que tu lui fasses son affaire.
À ta place je l’aurais fait dans la première année, ton secret est devenu mon secret.
- Merci et c’est pour cela que j’ai accepté de me marier avec le grand boss.
- Le mariage a lieu quand.
- Dans quatre jours, mardi après-midi à 14 heures à la mairie et après à l’église.
Le sénateur est d’origine italienne et malgré son peu de considération pour les femmes, comme il m’avait dit accepter ce que je lui demanderais j’ai la chance qu’il respecte sa parole.
- As-tu pensé à ta robe ?
- Les événements se sont bousculés et je pense que je vais remettre la tenue de pute que j’avais en entrant chez toi comme elle est blanche.
- Non, on va jouer le jeu jusqu’au bout.
Je vais t’offrir quelque chose, nous avons la même taille bien qu’à cause de mon âge je suis un peu plus ronde.
Elle se lève, fait glisser la glace de son placard à vêtement et sort une robe blanche de mariée.
- C’est la robe que je devais porter et que j’avais acheté comme le veut la tradition sans que Cassidy la voie pour le jour de notre mariage.
J’ai failli la brûler, mais je me souviens qu’une petite voix m’a dit de la garder, essaye là je te l’offre.
Il est minuit quand je me lève à mon tour et qu’après l’avoir prise dans mes bras pour une nouvelle fois l’embrasser, j’essaye la robe jusqu’aux chaussures à talons hauts parfaites.
Elle m’a ceintré la taille avec des épingles de nourrice et refait l’ourlet trop haut de 3 centimètres.
- Je vais la reprendre et l’ajuster à tes mesures.
J’ai une machine à coudre car j’adorais faire des affaires à Cassidy.
Son traitement était très onéreux et grevait notre budget sans compter qu’au fil du temps sa silhouette changeait et que j’avais tout à refaire.
- Merci, tu seras mon témoin nous partirons ensemble dans la limousine que le sénateur met à ma disposition.
Je crois que je vais me la faire offrir si en prime il me laisse le chauffeur qui m’a conduite l’autre jour.
- Tu veux qu’il te saute, tu as flaché sur lui.
Excuse-moi Claudia, je t’ai dit que tu serais libre et que je réfreindrais ma jalousie !
Ça a été pareille avec Cassidy, elle était loin d’être assez vaillante pour aller draguer mais quand nous sortions ensemble, il suffisait d’un regard vers une autre pour que ma jalousie l’emporte.
Elle est morte alors que nous avions eu une crise de couple à cause de moi.
Alors mon bébé si la queue de ce garçon fait partie de tes fantasmes, je t’aiderais à l’assouvir dès que nous en aurons l’occasion.
- Et toi que mettras-tu pour mon mariage madame mon témoin.
- Viens choisir, nous aurons vite fait le tour, je me focalisais sur les affaires de Cassidy et je m’oubliais quelque peu.
Nous allons dans l’armoire.
- Ça non, ça non, surtout pas, horrible je me demande pourquoi je la garde, oui cela peut être mais je vais avoir l’air d’un boudin.
- Tu rigoles toi un boudin, une vamp, une fille fatale plutôt regarde-moi qui ai eu des centaines de bites à ma disposition, j’ai attendu ma 18e année pour goûter aux chattes des femmes.
Hier Marina et aujourd’hui la femme la plus belle que j’ai eu la chance de rencontrer.
J’ai une idée, attends.
Je fais le chemin inverse vers la porte d’entrée et je ramasse toutes mes affaires.
- Met ça.
- Je vais avoir l’air d’une pute surtout que la jupette en cuir va me serrer au maximum.
- Tu seras très belle, tu seras ma pute blanche pour la journée.
Je suis sûr que les paparazzi qui vont photographier mon mariage seront persuadés que cette jolie fille qui signe les registres comme témoin s’ils connaissent mon histoire est une péripatéticienne avec laquelle j’ai tapiné.
- Je suis rouge de honte, attends, je vais l’essayer.
Déjà nue en cinq minutes elle est habillée, je serais un mec je lui mettrais ma main au cul.
- Tu vois, elle te va très bien, la jupe est assez souple pour y mettre ton gros cul.
Au pardon ton joli petit cul, combien prenez-vous mademoiselle ?
- Pourquoi me poses-tu cette question ?
- Regarde-toi dans la glace, tous les hommes vont vouloir te sauter, fait les payer, au moins que cela nous rapporte.
- Méchante tu te moques de moi.
- Aller, viens que je t’enlève tout ça, je t’aime en pute mais je te préfère nue.
Je crois que ta chatte veut que je te la fiste, c’est le mot que tu as employé si je me souviens bien.
C’est ainsi que j’ai moi-même le plaisir de lui ôter un à un ces petits vêtements pour la pousser sur le lit où elle semble avoir plaisir à s’allonger me montrant sa chatte d’une façon aussi obscène que moi tout à l’heure.
J’approche ma bouche et dès que je la touche un premier jet de sa cyprine arrose mon visage.
Mes lèvres étaient à moitié fermées pour capter son bouton, les trois autres longs jets atteignent le centre de ma bouche mais je manque de m’étouffer tellement ils sont fournis.
L’orage passé j’avance ma main et j’entre un et deux et mes cinq doigts bien repliés que je tourne et qui glissent sans aucun problème tellement le terrain est trempé.
C’est incroyable l’accélération des choses, vous prenez une décision qui aurait pu ruiner votre vie et vous vous retrouvez la main entièrement enfoncée dans la chatte de votre nouvelle amie.
Tout cela en moins de huit jours, écrivez cela dans un roman et personne ne pourra le croire, pourtant…
Je sens intuitivement qu’avec les hommes, depuis le début de ma vie, tout va de travers, de mon père inconnu pour moi à Bob mon beau-père qui m’a prostitué, rien ne colle.
Alors quand je rencontre Abby infirmière de son état, que j’ai failli tuer en balançant mon beau-père du 10ème étage tombant à quelques centimètres de sa tête, je décide de lui faire confiance.
Je lui dis que c’est moi qui l’ai balancé.
Elle encaisse sans sembler étonné.
- Comment as-tu fait ?
- Comme je te l’ai dit, il m’a conduit chez le sénateur, qui a essayé de me baiser afin d’apprécier la marchandise qu’ils allaient mettre sur le marché californien ayant atteint mes 18 ans.
Dès que j’ai été nue il m’a flatté la croupe comme si j’étais une vache que son fermier voulait vendre à un maquignon.
Comme le sénateur a aimé la marchandise présentée, il a demandé à Bob de partir fumer sur sa terrasse lui offrant une bouteille de whisky.
Je me suis mise à la tâche et après que le sénateur eut déchargé, il s’est endormi rattrapé par la fatigue.
- C’était normal à son âge.
- Tu as raison, je suis allée faire pipi et me laver la chatte dans son bidet.
J’ignorais où elle était.
Je suis passée par la salle à manger, la fenêtre était ouverte, j’ai vu mon souteneur sirotant son verre debout devant la rambarde.
Je me suis approchée sans bruit en me baissant pour éviter que l’on ne me voie, je suis venu derrière lui.
Il a dû t’entendre arriver car il s’est penché.
J’ai saisi l’opportunité, je lui ai saisi les chevilles, j’ai tiré vers le haut et dans l’état où il était il a basculé.
- Tu as failli me tuer.
- J’aurai pleuré toutes les larmes de mon corps ma petite chatte.
Malgré l’aveu que je viens de lui faire, Abby me reprend dans ses bras et un grand éclat de rire nous plie en deux.
- Tu as eu peur.
- Dans ces moments-là, je peux t’assurer qu’on agit, nos pensées sont en partie bloquées.
Prestement, je suis retournée près du sénateur que j’ai réveillé sûr que la police allait venir voir si c’était de cet appartement qu’un homme était tombé.
C’est Tex qui a frappé et vu les circonstances et une lettre d’un médecin de ton hôpital lui confirmant qu’il était atteint du virus du sida.
Il l’avait certainement contracté en se piquant avec des seringues car il se droguait.
Il avait entraîné maman dans ses débordements en la faisant picoler et elle aussi ce piquer.
Cette lettre fait qu’il a conclu qu’il s’était balancé dans le vide pour éviter de souffrir.
- Si je comprends bien quand nous avons fait l’amour, tu étais peut-être infectée ?
C’est avec des accents de peur qu’Abby me dit ces mots.
- J’ai perdu Cassidy, il est hors de question que je te perde.
Ce coup-là, c’est mon cou que je tranche !
- Crois-tu que je t’aurais fait prendre le moindre risque, quand j’ai su le risque qu’on m’avait fait courir, j’ai immédiatement fait faire un contrôle à l’hôpital ?
Appel le médecin du service qui s’est occupé de maman, il te confirmera comme il l’a fait pour moi que je suis séronégative.
Je suis passée au travers où ils se sont contaminés après la dernière fois où il m’a baisé.
- Tu me rassures, je vais te dire, tu as bien fait, il t’a baisé, t’a obligée à tapiner pendant deux ans avant que tu lui fasses son affaire.
À ta place je l’aurais fait dans la première année, ton secret est devenu mon secret.
- Merci et c’est pour cela que j’ai accepté de me marier avec le grand boss.
- Le mariage a lieu quand.
- Dans quatre jours, mardi après-midi à 14 heures à la mairie et après à l’église.
Le sénateur est d’origine italienne et malgré son peu de considération pour les femmes, comme il m’avait dit accepter ce que je lui demanderais j’ai la chance qu’il respecte sa parole.
- As-tu pensé à ta robe ?
- Les événements se sont bousculés et je pense que je vais remettre la tenue de pute que j’avais en entrant chez toi comme elle est blanche.
- Non, on va jouer le jeu jusqu’au bout.
Je vais t’offrir quelque chose, nous avons la même taille bien qu’à cause de mon âge je suis un peu plus ronde.
Elle se lève, fait glisser la glace de son placard à vêtement et sort une robe blanche de mariée.
- C’est la robe que je devais porter et que j’avais acheté comme le veut la tradition sans que Cassidy la voie pour le jour de notre mariage.
J’ai failli la brûler, mais je me souviens qu’une petite voix m’a dit de la garder, essaye là je te l’offre.
Il est minuit quand je me lève à mon tour et qu’après l’avoir prise dans mes bras pour une nouvelle fois l’embrasser, j’essaye la robe jusqu’aux chaussures à talons hauts parfaites.
Elle m’a ceintré la taille avec des épingles de nourrice et refait l’ourlet trop haut de 3 centimètres.
- Je vais la reprendre et l’ajuster à tes mesures.
J’ai une machine à coudre car j’adorais faire des affaires à Cassidy.
Son traitement était très onéreux et grevait notre budget sans compter qu’au fil du temps sa silhouette changeait et que j’avais tout à refaire.
- Merci, tu seras mon témoin nous partirons ensemble dans la limousine que le sénateur met à ma disposition.
Je crois que je vais me la faire offrir si en prime il me laisse le chauffeur qui m’a conduite l’autre jour.
- Tu veux qu’il te saute, tu as flaché sur lui.
Excuse-moi Claudia, je t’ai dit que tu serais libre et que je réfreindrais ma jalousie !
Ça a été pareille avec Cassidy, elle était loin d’être assez vaillante pour aller draguer mais quand nous sortions ensemble, il suffisait d’un regard vers une autre pour que ma jalousie l’emporte.
Elle est morte alors que nous avions eu une crise de couple à cause de moi.
Alors mon bébé si la queue de ce garçon fait partie de tes fantasmes, je t’aiderais à l’assouvir dès que nous en aurons l’occasion.
- Et toi que mettras-tu pour mon mariage madame mon témoin.
- Viens choisir, nous aurons vite fait le tour, je me focalisais sur les affaires de Cassidy et je m’oubliais quelque peu.
Nous allons dans l’armoire.
- Ça non, ça non, surtout pas, horrible je me demande pourquoi je la garde, oui cela peut être mais je vais avoir l’air d’un boudin.
- Tu rigoles toi un boudin, une vamp, une fille fatale plutôt regarde-moi qui ai eu des centaines de bites à ma disposition, j’ai attendu ma 18e année pour goûter aux chattes des femmes.
Hier Marina et aujourd’hui la femme la plus belle que j’ai eu la chance de rencontrer.
J’ai une idée, attends.
Je fais le chemin inverse vers la porte d’entrée et je ramasse toutes mes affaires.
- Met ça.
- Je vais avoir l’air d’une pute surtout que la jupette en cuir va me serrer au maximum.
- Tu seras très belle, tu seras ma pute blanche pour la journée.
Je suis sûr que les paparazzi qui vont photographier mon mariage seront persuadés que cette jolie fille qui signe les registres comme témoin s’ils connaissent mon histoire est une péripatéticienne avec laquelle j’ai tapiné.
- Je suis rouge de honte, attends, je vais l’essayer.
Déjà nue en cinq minutes elle est habillée, je serais un mec je lui mettrais ma main au cul.
- Tu vois, elle te va très bien, la jupe est assez souple pour y mettre ton gros cul.
Au pardon ton joli petit cul, combien prenez-vous mademoiselle ?
- Pourquoi me poses-tu cette question ?
- Regarde-toi dans la glace, tous les hommes vont vouloir te sauter, fait les payer, au moins que cela nous rapporte.
- Méchante tu te moques de moi.
- Aller, viens que je t’enlève tout ça, je t’aime en pute mais je te préfère nue.
Je crois que ta chatte veut que je te la fiste, c’est le mot que tu as employé si je me souviens bien.
C’est ainsi que j’ai moi-même le plaisir de lui ôter un à un ces petits vêtements pour la pousser sur le lit où elle semble avoir plaisir à s’allonger me montrant sa chatte d’une façon aussi obscène que moi tout à l’heure.
J’approche ma bouche et dès que je la touche un premier jet de sa cyprine arrose mon visage.
Mes lèvres étaient à moitié fermées pour capter son bouton, les trois autres longs jets atteignent le centre de ma bouche mais je manque de m’étouffer tellement ils sont fournis.
L’orage passé j’avance ma main et j’entre un et deux et mes cinq doigts bien repliés que je tourne et qui glissent sans aucun problème tellement le terrain est trempé.
C’est incroyable l’accélération des choses, vous prenez une décision qui aurait pu ruiner votre vie et vous vous retrouvez la main entièrement enfoncée dans la chatte de votre nouvelle amie.
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