COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison V (39/43)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison V (39/43) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(39.0 / 10)

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COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison V (39/43)
Attaquée dans le tunnel entre mon appartement à la suite de mon mariage avec le sénateur et le garage que nous possédons où vivent nos deux chauffeurs Fred et Cristopher, je retrouve Johnny Belle Gueule et Cent pour Cent pendu par les poignets.
Je me suis étonnée qu’un homme seul arrive à maîtriser deux mecs dans la force de l’âge pour les pendre dans l’atelier.
Fred m’a expliqué que lorsqu’il est revenu par le tunnel, les deux garçons fumaient à la porte du garage.
Il leur a mis son arme devant eux les faisans prendre l’ascenseur.
Arrivé dans l’atelier, Fred a sorti les menottes du tiroir ou il les range.
Le plus difficile c’était d’éviter que Johnny s’énerve.
C’est Cent pour Cent qui l’a pendu se laissant lui-même attacher sans présenter la moindre trace de velléité de rébellion.
Après de nombreuses fellations l’amenant à cracher du sang, Johnny Belle Gueule a craché le morceau après avoir craché tous son sperme.
Je récupère tout ce qui se trouvait dans le coffre du sénateur.

- Fred, je ne veux plus voir ces deux hommes devant moi, faite ce qu’il faut afin que je ne les voie plus.

Je parle à l’oreille de Fred qui acquiesce.
Sans qu’ils puissent l’entendre, je donne l’ordre à Fred de les mettre au frais sans attenter à leur vie.
Je veux que les violences s’arrêtent dans l’organisation, j’ai ma petite idée pour ça, ne suis-je pas une stratège hors pair depuis que j’ai balancé Bob l’éponge pour un saut de l’ange sans retour possible.

- Fred, connaissant votre sens de l’organisation, vous devez avoir un coffre ici.
- Oui, dans le bureau où je vous ai conduit tout à l’heure.

Nous remontons laissant Johnny nous insulter et Cent pour Cent à ses larmes.
C’est à ce moment que je vois qu’il a pissé dans son pantalon, une vraie tarlouse.

- Fred, chez le sénateur, je t’ai expliqué que la clef USB se trouvait chez Bill et sa vieille Buick.
Voilà comment le contacter, il a mérité mieux qu’une petite pipe au fond d’une impasse.
- Poupette, vous êtes impayable, vous semblez la reine des pipeuses de bites.
Excusez patronne de vous avoir manqué de respect, ça ne se reproduira pas.
- Ce n’est pas grave Fred, surtout venant de vous, mais dites-moi, je vois une photo au-dessus du coffre, c’est vous quand vous étiez jeune ?
- Oui, je présentais bien.
- Toujours Fred, vous présentez bien encore, mais dit moi qui ai cette jeune femme près de vous, j’ai l’impression de l’avoir déjà vu !
- C’est ma femme, il est sûr que vous la connaissez, Martha qui tient votre hôtel à Vegas.
- Martha, bien sûr et vous êtes séparé pour vivre à des milliers de kilomètres.
- Non, je vais la voir chaque fois que je vais au ranch en Arizona ranger des papiers ou tout ce dont nous avons de trop dans notre bisness journalier.
Cette salle fortifiée que nous avons construite est une véritable caserne d’Ali Baba.
Tous les livres de comptes depuis le début de nos aventures avec le sénateur.
Tex se mangerait les couilles s’il savait tout ce dont il pourrait nous inculper.
En plus, la cache du sénateur c’est Fort Knox, lingots et monnaie de tous les pays où nous avons développé des affaires.
Le liquide c’est un peu le problème, les banques Miguel s’en méfiaient et surtout des impôts.
Nous avons eu une lourde perte en Europe au passage à l’Euro.
Il a fallu échanger les billets de ceux qui étaient entrés dans l’euro pour la monnaie unique.
Faire le plein de nos voitures pour dix euros, donnant de grosses coupures récupérant des petites coupures en euros, sans compter le risque que nous avons pris pour passer des sacs de bagages à main peu contrôlé ça a été une sinécure.
Patronne, j’espère que vous trouverez une idée pour régler ce problème.
La pièce est grande, mais nous risquons de manquer de place dans le futur.
- Vous me parliez de Martha votre femme.
- Oui, c’est la première fille que j’ai fait travailler, une bonne gagneuse, dommage que le temps faisant son œuvre, les clients la faisaient de moins en moins monter.
Avec l’appétit qu’elle avait pour la bouffe de moins en moins pour le sexe, nous lui avons confié l’hôtel où nous entreposons les filles avant qu’elles aillent tapiner dans les salles de jeux.
- Et vous avez toujours des rapports sexuels, pardon je m’égare.
- Sans problème, dès le début de notre relation, un jour où j’étais légèrement bourré et elle aussi, je l’ai épousé dans une de ces nombreuses maisons transformées en temple bien connu des gens du monde entiers.
Elle aimait baiser, j’aimais baiser et elle aimait baiser avec ses clients qui nous rapportaient du fric.
Chaque fois que nous sommes ensemble, nous sommes deux tornades qui se rencontrent, tout vol dans la pièce.
Surtout après car nous avons de tel caractère que cinq minutes après que je l’ai fait jouir et que j’ai déchargé nous nous écharpons pour un rien.
Les choses sont bien comme ça.

Les choses dans la vie sont bizarres, j’ignore qu’elle est mon avenir surtout depuis que j’ai épousé pépère, d’ailleurs pour éviter de passer pour une épouse indigne, il est temps de retourner à l’hôpital.
Quand je descends, je vais pour me rendre dans le service qui s’occupe de mon mari.

- Claudia, tu m’as manqué, c’est la première fois que tu es absente à un virage de ma vie.
Tu sais…- Oui ma chérie, Trevor est mort, il a eu un accident, Tex le policier a reçu un coup de téléphone.
Pourquoi sembles-tu tant abattu ?
- J’avais intériorisé que ce garçon ferait de moi une femme bisexuelle comme toi, maintenant c’est impossible.
- Impossible n’est pas américain, n’avons-nous pas marché sur la Lune.
Surtout avec un garçon qui courait après la première chatte passant à ta portée.
Attends, tu me dois un gage, il est toujours valable, dans combien de temps penses-tu terminer ton service.
- Dans une demi-heure, tu me ramènes !
- Je vais voir Miguel et en ressortant, je te dirais ce que tu feras pour rentrer dans les clous de ton gage, je te retrouve ici.

Situation stationnaire, je lui tiens la main quand son médecin entre, on l’a prévenue que j’étais là.

- Bonjour madame, j’ai été prévenu de votre arrivée, il faut que vous preniez une décision.
Du fait de la loi, vous êtes la seule à pouvoir décider, étant son épouse légitime.
- Laquelle ?
- Laisser brancher votre mari, mais je peux vous dire que sa situation est irréversible.
Certaines fonctions vitales sont encore en service, comme son cœur ses reins et son foie.
Ses poumons fonctionnent grâce à cette machine, mais peuvent très bien être alimentés par de l’air en bouteille.
Pour le nourrir, ces poches reliant son bras lui seront nécessaires.
Une infirmière devra être à son chevet 24 heures sur 24.
Si vous le laissez ici, les frais seront énormes bien plus importants que si vous le ramenez chez vous.
L’autre fin possible si vous acceptez de le débrancher c’est que son corps réagisse mal et qu’il décède.
Il y a une grande probabilité que tout s’arrête.
- Je peux vous demander 24 heures de réflexion !
- Deux jours même si vous le voulez, je ferais le nécessaire pour que l’hôpital ne vous facture pas ces deux jours supplémentaires.

En disant cela cet homme beau gosse devant faire des UV où pratiquant intensément la plage me tient la main plus que de raison.
Aurait-il des vues sur mon petit cul ?
Une chose me revient en mémoire, je parlais de mes rapports avec des hommes, la chatte d’Abby ne semblant pas me suffire.
N’a-t-elle pas parlé de bisexualité.

- Merci docteur pour votre proposition généreuse, je vous rappelle dans 48 heures.

Je récupère ma main, j’ai envie de lui mettre la main au paquet pour voir ce qu’il a sous sa blouse, je me contente de lui taper sur l’épaule comme un vieux copain le ferait.
Je prends mon portable.

- Cristopher, je sais que vous êtes puceau, ne me dite pas non, je vous envoie Abby mon amie.
Emmenez là chez vous au garage et baisez là, non, aucun problème, elle sera partante.
Non, c’est un ordre à moins qu’elle ne soit pas à votre goût.
Ça vous tente alors allez y, je vous l’envoie, faites la montée et au garage vous verrez qu’elle écartera ses cuisses.
Non, ce n’est pas une salope, c’est une femme qui a besoin d’une bonne bite.
Comme la nuit dernière vous m’avez sorti une grosse épine du pied en vous trompant de lit, permettant au flic de croire que j’avais passé la nuit dedans étant chaud.
Vous avez gagné une première chatte à baiser…

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