COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison V (40/43)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison V (40/43)
Les choses avances, j’ai enfin réussi à rejoindre mon mari qui n’a pas bougé d’un yotta dans son lit.
Avec Fred, plutôt grâce à Fred, deux mystères ont été élucidés.
Mon viol dans le souterrain et le coffre-fort pillé des lingots et du cash qui s’y trouvait.
C’était une seule et même personne, Johnny Belle Gueule.
Il avait tout pour entrer dans ma nouvelle organisation qui lui aurait apporté fortune mais son avidité l’a trahie même si j’ai aimé sa belle queue.
La vie devant se poursuivre, la mort de Trevor m’oblige à changer mes plans.
Sans regret de ma part, car ce bellâtre ne méritait pas la petite chatte de mon amie.
Il m’a été utile à un moment de mes aventures, mais il a été le seul point négatif de mon plan.
Si Bill le noir à la Buick que j’ai sucée pour le remercier ne m’avait pas ramassé dans la rue le long du lac, je serais les mains entravées dans le commissariat où Tex officie.
Cristopher prévenu de ce que je vais demander à Abby de faire, je la recherche, elle m’a dit qu’elle finissait juste le temps que je vois mon mari.
Le médecin qui dans d’autres circonstances m’aurait certainement plu, me demande de prendre une décision qui risque de changer ma vieSoit de laisser brancher pépère ou le désolidariser de sa machine qui l’aide à respirer et qui le nourrit.
Il a une petite chance que ses poumons continuent à fonctionner mais il faudra toujours le nourrir comme en ce moment.
J’ai 48 heures pour décider, nous verrons cela plus tard.
- Abby, j’ai encore la main sur toi, tu sors, tu vas à ma voiture, mon chauffeur Cristopher t’ouvrira la portière et tu le suivras jusqu’au garage.
Un gage est un gage et je sais que tu l’honoreras autant qu’il t’honorera.
Il le mérite, c’est en partie grâce à lui si j’ai échappé au putain de flic cette nuit.
- Je vais respecter ma parole, mais dis-moi, il ne t’aurait pas plu !
- Ne cherche pas à me troubler, file le rejoindre.
Attention il est vierge.
- Zodiac ou verge.
- Les deux certainement.
Un baiser et elle se dirige vers la sortie.
Au moment où elle vient de passer la porte à ouverture automatique, elle se retourne et m’envoie un baiser.
C’est le moment que je choisis pour m’écrouler, sans rien avoir prémédité je le jure.
- Laissez-moi passer, Madame, regardez-moi.
Portez là dans mon bureau sur ma table d’auscultation.
Je me sens trimbalé par des mains plus douces que celle de Johnny dans mon tunnel.
- Posé là, vous semblez bien aller, votre pouls est normal.
Rythme cardiaque aussi.
- Geneviève, allez me chercher le nécessaire pour que je contrôle sa glycémie, ce malaise ressemble à un manque de sucre.
Je vois l’infirmière partir revenir rapidement.
Le médecin me pique le doigt.
- 0,64, c’est ça vous êtes en hypoglycémie, il y a longtemps que vous avez mangé.
À part le sperme de Bill au matin et celui de Johnny dans l’atelier, je n’ai rien mangé.
- Geneviève, allez chercher des barres chocolatées et un café au distributeur à madame, prenez ce billet pour payer.
- Oui docteur Alain !
Aussi rapide que pour la glycémie, elle revient avec ce que le médecin lui a demandé.
Il m’aide à m’asseoir, j’ai les jambes pendantes, je mange les deux barres entrecoupées de cafés.
L’infirmière est repartie à sa tache, le médecin s’assoit à sa table de travail.
- Je vois que vous avez repris des couleurs, vous allez pouvoir repartir dans quelques minutes.
Je me lève, m’approchant de son bureau.
Il me regarde étonner.
- Comment puis-je vous remercier docteur Alain !
- Ce n’est rien, je n’ai fait que mon travail.
- Mais pour le café et les friandises.
- Un sourire et tout sera dit, le principal c’est qu’une jolie fille ait recouvré la santé.
- Et vous docteur, vous avez la santé.
Je suis sur son côté, ma main se pose sur sa poitrine et descend le long de son corps pour trouver une verge qui réagit immédiatement.
- Et votre mari ?
- Il est bien là ou il est, il m’a fait louper ma nuit de noce, peut-être pourrais-tu le remplacer.
- Attends, je vais fermer mon bureau à clef.
Je ne perds pas de temps, je défais mon jean que j’aide à tomber au sol.
Il revient en enlevant sa blouse.
- J’aime les femmes, mais toi tu n’es pas banal, je me demandais comment une aussi jeune femme que toi avait pu épouser ton débris.
Je comprends mieux, tu sais ce que tu veux.
Je détache le cordon de son pantalon.
Une nouvelle fois je me retrouve avec une belle bite dans ma bouche.
Très peu de temps car il est très viril.
Je m’assoie sur son bureau ayant le temps de voir que mes fesses reposent sur un bloc permettant de faire des ordonnances.
Il détache mon chemisier et me caresse les seins, voilà un mâle qui c’est s’occuper d’une femme.
Ma chatte semble l’intéresser mais mes seins aussi, sa langue avant de venir me lécher la vulve, me prends la bouche que je lui abandonne sans le moindre retrait de mon corps.
- Tu es prête, je vais te donner ta nuit de noce, je vois que tu es une gourmande.
Il sait jouer avec son corps et dans la position où je suis, il finit par sortir de moi et m’aide à me retourner.
Ce sont mes seins qui frottent sur le bloc d’ordonnance, les malades risquent de le trouver froissé si je continue à le caresser avec les pointes de mes mamelons.
Un moment je me trouve à deux doigts de me demander de m’enculer, mais je n’ose pas ça reste un médecin et toute ma jeune vie, maman me disait de respecter ces hommes de science.
Ce qu’elle ignorait, c’est qu’à Vegas, j’étais là-bas lors d’un congrès de médecin et en trois jours, j’en ai accroché huit, six et douze à mon tableau de chasse.
Bob l’éponge mon beau-père avait été content de moi, je lui ai fait gagner un max de fric.
Ce qu’il ignorait, c’est qu’un médecin des pompiers viendrait constater que sa chute avait été mortelle après que je l’ai précipité dans le vide.
Il choisit ma chatte de nouveau et m’apporte un orgasme rapidement.
Je n’ai pas eu ma nuit de noce mais j’ai eu une bite en moi dans la journée suivante sans compter mes fellations.
J’ignore combien d’années je vivrais, mais je compte bien dire à mes petits-enfants qu’il faut aimer le sexe.
Il décharge, se retire, je me redresse, il arrache une ordonnance et se frotte la queue avec alors que j’allais la nettoyer avec ma bouche.
- Parfait Claudia, Abby m’a dit comment tu t’appelais.
C’est une gouine pure et dure, tu fricotes avec elle.
S’il savait qu’en ce moment elle est au garage et j’espère se faisant défoncer par la verge de mon petit chauffeur.
Je respect ma petite salope et je me garde bien de faire le moindre commentaire.
- On se revoit dans deux jours, prend soin de ton mari, voilà ma carte avec mon numéro de portable, appelle en cas de besoin.
- Voici le miens, fait en autant surtout si tu as des nouvelles à me donner de mon mari.
- Demain je ne suis pas de service, ok pour dans deux jours, merci du bon moment.
Dire qu’il y a peu, sa bite m’aurait rapporté du fric une pute comme moi lui aurait coûté quelques centaines de dollars, là c’est du plaisir que j’ai pris, prise par ce beau gosse.
Lorsque j’arrive dehors, je repère Tex dans sa voiture banalisée, quand il me voit, il fait celui qui regarde ailleurs.
Je me prends le droit d’aller à lui.
J’ouvre la portière et je m’assieds à ses côtés.
- Tu t’es remis de ta déception, Tex, j’ai demandé à mon équipe, du moins ceux que j’ai croisés, aucun ne sait où ce lingot se trouve.
Fred était au courant que la compta du sénateur avait été informatisé mais ignore où le sénateur a pu la cacher.
Je sors de sa chambre, s’il y en a un qui aura du mal à parler, c’est bien lui.
Le médecin m’a demandé de prendre une décision si on le débranche ou pas au risque qu’il meurt.
- J’ai nettement l’impression que tu me prends pour un con.
Si ton mari meurt, je pense que je demanderais au procureur de l’État de t’inculper pour avoir usé ce pauvre homme.
- Fais-le, on va se marrer, tu as dû déjà passer pour un con au commissariat.
Trevor nous a dit que tu te vantais partout que tu blouserais le sénateur.
En ce moment, même là où il est, il doit bien se foutre de ta gueule.
Chauffeur emmené moi au restaurant ou travaillait ma mère et ou tu m’avais emmené avant de me baiser…
Avec Fred, plutôt grâce à Fred, deux mystères ont été élucidés.
Mon viol dans le souterrain et le coffre-fort pillé des lingots et du cash qui s’y trouvait.
C’était une seule et même personne, Johnny Belle Gueule.
Il avait tout pour entrer dans ma nouvelle organisation qui lui aurait apporté fortune mais son avidité l’a trahie même si j’ai aimé sa belle queue.
La vie devant se poursuivre, la mort de Trevor m’oblige à changer mes plans.
Sans regret de ma part, car ce bellâtre ne méritait pas la petite chatte de mon amie.
Il m’a été utile à un moment de mes aventures, mais il a été le seul point négatif de mon plan.
Si Bill le noir à la Buick que j’ai sucée pour le remercier ne m’avait pas ramassé dans la rue le long du lac, je serais les mains entravées dans le commissariat où Tex officie.
Cristopher prévenu de ce que je vais demander à Abby de faire, je la recherche, elle m’a dit qu’elle finissait juste le temps que je vois mon mari.
Le médecin qui dans d’autres circonstances m’aurait certainement plu, me demande de prendre une décision qui risque de changer ma vieSoit de laisser brancher pépère ou le désolidariser de sa machine qui l’aide à respirer et qui le nourrit.
Il a une petite chance que ses poumons continuent à fonctionner mais il faudra toujours le nourrir comme en ce moment.
J’ai 48 heures pour décider, nous verrons cela plus tard.
- Abby, j’ai encore la main sur toi, tu sors, tu vas à ma voiture, mon chauffeur Cristopher t’ouvrira la portière et tu le suivras jusqu’au garage.
Un gage est un gage et je sais que tu l’honoreras autant qu’il t’honorera.
Il le mérite, c’est en partie grâce à lui si j’ai échappé au putain de flic cette nuit.
- Je vais respecter ma parole, mais dis-moi, il ne t’aurait pas plu !
- Ne cherche pas à me troubler, file le rejoindre.
Attention il est vierge.
- Zodiac ou verge.
- Les deux certainement.
Un baiser et elle se dirige vers la sortie.
Au moment où elle vient de passer la porte à ouverture automatique, elle se retourne et m’envoie un baiser.
C’est le moment que je choisis pour m’écrouler, sans rien avoir prémédité je le jure.
- Laissez-moi passer, Madame, regardez-moi.
Portez là dans mon bureau sur ma table d’auscultation.
Je me sens trimbalé par des mains plus douces que celle de Johnny dans mon tunnel.
- Posé là, vous semblez bien aller, votre pouls est normal.
Rythme cardiaque aussi.
- Geneviève, allez me chercher le nécessaire pour que je contrôle sa glycémie, ce malaise ressemble à un manque de sucre.
Je vois l’infirmière partir revenir rapidement.
Le médecin me pique le doigt.
- 0,64, c’est ça vous êtes en hypoglycémie, il y a longtemps que vous avez mangé.
À part le sperme de Bill au matin et celui de Johnny dans l’atelier, je n’ai rien mangé.
- Geneviève, allez chercher des barres chocolatées et un café au distributeur à madame, prenez ce billet pour payer.
- Oui docteur Alain !
Aussi rapide que pour la glycémie, elle revient avec ce que le médecin lui a demandé.
Il m’aide à m’asseoir, j’ai les jambes pendantes, je mange les deux barres entrecoupées de cafés.
L’infirmière est repartie à sa tache, le médecin s’assoit à sa table de travail.
- Je vois que vous avez repris des couleurs, vous allez pouvoir repartir dans quelques minutes.
Je me lève, m’approchant de son bureau.
Il me regarde étonner.
- Comment puis-je vous remercier docteur Alain !
- Ce n’est rien, je n’ai fait que mon travail.
- Mais pour le café et les friandises.
- Un sourire et tout sera dit, le principal c’est qu’une jolie fille ait recouvré la santé.
- Et vous docteur, vous avez la santé.
Je suis sur son côté, ma main se pose sur sa poitrine et descend le long de son corps pour trouver une verge qui réagit immédiatement.
- Et votre mari ?
- Il est bien là ou il est, il m’a fait louper ma nuit de noce, peut-être pourrais-tu le remplacer.
- Attends, je vais fermer mon bureau à clef.
Je ne perds pas de temps, je défais mon jean que j’aide à tomber au sol.
Il revient en enlevant sa blouse.
- J’aime les femmes, mais toi tu n’es pas banal, je me demandais comment une aussi jeune femme que toi avait pu épouser ton débris.
Je comprends mieux, tu sais ce que tu veux.
Je détache le cordon de son pantalon.
Une nouvelle fois je me retrouve avec une belle bite dans ma bouche.
Très peu de temps car il est très viril.
Je m’assoie sur son bureau ayant le temps de voir que mes fesses reposent sur un bloc permettant de faire des ordonnances.
Il détache mon chemisier et me caresse les seins, voilà un mâle qui c’est s’occuper d’une femme.
Ma chatte semble l’intéresser mais mes seins aussi, sa langue avant de venir me lécher la vulve, me prends la bouche que je lui abandonne sans le moindre retrait de mon corps.
- Tu es prête, je vais te donner ta nuit de noce, je vois que tu es une gourmande.
Il sait jouer avec son corps et dans la position où je suis, il finit par sortir de moi et m’aide à me retourner.
Ce sont mes seins qui frottent sur le bloc d’ordonnance, les malades risquent de le trouver froissé si je continue à le caresser avec les pointes de mes mamelons.
Un moment je me trouve à deux doigts de me demander de m’enculer, mais je n’ose pas ça reste un médecin et toute ma jeune vie, maman me disait de respecter ces hommes de science.
Ce qu’elle ignorait, c’est qu’à Vegas, j’étais là-bas lors d’un congrès de médecin et en trois jours, j’en ai accroché huit, six et douze à mon tableau de chasse.
Bob l’éponge mon beau-père avait été content de moi, je lui ai fait gagner un max de fric.
Ce qu’il ignorait, c’est qu’un médecin des pompiers viendrait constater que sa chute avait été mortelle après que je l’ai précipité dans le vide.
Il choisit ma chatte de nouveau et m’apporte un orgasme rapidement.
Je n’ai pas eu ma nuit de noce mais j’ai eu une bite en moi dans la journée suivante sans compter mes fellations.
J’ignore combien d’années je vivrais, mais je compte bien dire à mes petits-enfants qu’il faut aimer le sexe.
Il décharge, se retire, je me redresse, il arrache une ordonnance et se frotte la queue avec alors que j’allais la nettoyer avec ma bouche.
- Parfait Claudia, Abby m’a dit comment tu t’appelais.
C’est une gouine pure et dure, tu fricotes avec elle.
S’il savait qu’en ce moment elle est au garage et j’espère se faisant défoncer par la verge de mon petit chauffeur.
Je respect ma petite salope et je me garde bien de faire le moindre commentaire.
- On se revoit dans deux jours, prend soin de ton mari, voilà ma carte avec mon numéro de portable, appelle en cas de besoin.
- Voici le miens, fait en autant surtout si tu as des nouvelles à me donner de mon mari.
- Demain je ne suis pas de service, ok pour dans deux jours, merci du bon moment.
Dire qu’il y a peu, sa bite m’aurait rapporté du fric une pute comme moi lui aurait coûté quelques centaines de dollars, là c’est du plaisir que j’ai pris, prise par ce beau gosse.
Lorsque j’arrive dehors, je repère Tex dans sa voiture banalisée, quand il me voit, il fait celui qui regarde ailleurs.
Je me prends le droit d’aller à lui.
J’ouvre la portière et je m’assieds à ses côtés.
- Tu t’es remis de ta déception, Tex, j’ai demandé à mon équipe, du moins ceux que j’ai croisés, aucun ne sait où ce lingot se trouve.
Fred était au courant que la compta du sénateur avait été informatisé mais ignore où le sénateur a pu la cacher.
Je sors de sa chambre, s’il y en a un qui aura du mal à parler, c’est bien lui.
Le médecin m’a demandé de prendre une décision si on le débranche ou pas au risque qu’il meurt.
- J’ai nettement l’impression que tu me prends pour un con.
Si ton mari meurt, je pense que je demanderais au procureur de l’État de t’inculper pour avoir usé ce pauvre homme.
- Fais-le, on va se marrer, tu as dû déjà passer pour un con au commissariat.
Trevor nous a dit que tu te vantais partout que tu blouserais le sénateur.
En ce moment, même là où il est, il doit bien se foutre de ta gueule.
Chauffeur emmené moi au restaurant ou travaillait ma mère et ou tu m’avais emmené avant de me baiser…
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