COMMENT J'AI PERDU MA VIRGINITÉ
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2018 dans la catégorie Pour la première fois
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COMMENT J'AI PERDU MA VIRGINITÉ
J'ai perdu ma virginité avec la meilleure amie de ma mère, Christèle. Christèle s'était séparée de son mari après avoir découvert qu’il la trompait. À l'époque, Christèle avait 43 ans et elle était encore très attirante avec ses cheveux blond vénitien, ses formes pulpeuses, sa peau laiteuse, sa poitrine opulente et son giron accueillant. Elle avait des hanches larges avec un petit ventre rond, et des fesses qui gonflaient ses pantalons. Christèle a logé chez nous pendant environ trois mois, le temps que son mari quitte leur maison et déménage ses affaires.
Un jour, elle est entrée dans la salle de bain sans frapper, juste comme je sortais de la douche, et elle m'a détaillé des pieds à la tête. Son regard s'est fixé un court instant sur ma virilité, puis elle m'a regardé droit dans les yeux, m'a souri avec une petite mimique qui semblait dire: "Hum, intéressant!"Je n'ai pas grand chose à dire sur moi, adolescent dégingandé, un peu gauche, mais sous la douche à l'école, j'étais toujours celui qu'on lorgnait à cause de la grande longueur de son sexe, même au repos.
Lorsque Christèle a regagné ses pénates, elle a demandé à ma mère si elle pouvait "m'emprunter" pour une journée car elle avait beaucoup de rangement et de modifications à apporter à sa maison. Ma mère a offert mes services et le samedi matin, elle m'a déposée chez Christèle vers 8H. Christèle débarrassait son sous-sol pour le transformer en bureau et avait besoin d'aide pour monter des affaires jusqu'au grenier. Je me suis rapidement rendu compte qu'elle n'avait pas beaucoup besoin d'aide car elle était largement aussi forte que moi. C'était en juillet et il faisait chaud. Seules les chambres étaient climatisées donc il faisait chaud et étouffant dans la maison. Le sous-sol étant plus frais, travailler en bas n’était pas mal, mais lorsque nous avons transporté les affaires dans l'escalier, nous avons commencé à transpirer.
Pour accéder au grenier, il fallait passer par un trou dans le plafond de l'étage, il n’y avait pas d'escalier, donc nous avons dû monter une échelle depuis le garage pour y accéder. Nous sommes tombés d'accord pour empiler les affaires sur le palier, puis Christèle tiendrait l’échelle en place pendant que je transporterai les affaires et les empilerai dans le grenier.
Alors que nous avions monté les choses inutiles sur le palier, nous avons fait une pause pour nous rafraîchir. De toutes les amies de ma mère, Christèle était ma préférée, quand elle me serrait dans ses bras pour m'embrasser, je me blottissais entre ses énormes seins, contre son corps chaud et pulpeux.
Nous avons discuté de banalités pendant que nous nous reposions, puis elle a commencé à me demander si j'avais une petite amie. J'ai dit que non et elle a dit que c'était dommage par rapport à ce qu'elle avait vu. Je savais exactement de quoi elle parlait, car depuis ce fameux jour ou elle m'avait surpris sortant de la douche, elle était devenue mon fantasme préféré quand je me masturbais.
J'imaginais qu'au lieu de sortir de la salle de bain ce jour-là, elle avait refermé la porte et que nous avions fait tout ce que mon petit cerveau pervers pouvait imaginer. Je rougis à cette pensée et elle m’a assuré qu’elle ne voulait pas me gêner, que je n’avais certainement pas de quoi avoir honte et que la plupart des hommes donneraient cher pour avoir un appareil comme le mien.
J'ai juste pu bafouiller un remerciement inintelligible et voyant mon malaise, elle m'a suggéré de retourner au travail. Elle m'a serré fort dans ses bras pour m'embrasser chastement sur le front, mais mon sexe déjà en pleine croissance s'est tendu brusquement, et je sais qu'elle l'a senti pousser contre son ventre.
Ce matin-là, je m'étais habillé en "sale" pour travailler. J'avais mis un short en flanelle sans rien dessous pour être confortable, et un sweater en coton. Des affaires pour transpirer, se salir, sans précautions particulières.
Je grimpais à l’échelle, malhabile, les bras chargés de cartons, quand j’ai senti la main de Christèle se poser à l'intérieur de ma cuisse.
J'étais encore en semi-érection depuis notre discussion et notre câlin, et mon short trop ample lui offrait une vision imprenable sur le petit chose et les deux orphelines. Quand j'ai senti sa main me caresser, je me suis figé. Le temps que je réagisse, sa main avait glissé plus haut, caressant mes bourses, puis s'emparant de ma verge raidissante.
Je baissai les yeux vers elle, elle fixait mon anatomie intime, puis leva les yeux vers moi, les joues rouges et les yeux brillants de convoitise. Mes jambes avaient du mal à me porter, et je me suis appuyé contre l'échelle, les bras chargés de cartons.
Elle m'a regardé droit dans les yeux pour me demander si c'était agréable et si ça me plaisait. Je hochai la tête et sentis sa main s'enrouler autour de ma bite et commencer à me caresser. Elle m'a demandé si quelqu'un m'avait déjà fait ça avant et je secouais négativement la tête. Ma bouche était si sèche que je ne pouvais plus parler. Elle m'a sourit et m'a dit de me détendre et de profiter.
Elle sortit ma verge de mon short et l'a saisit à deux mains pour me caresser. Je tremblais comme une feuille. Dans un ultime effort, j'ai tendu les bras au-dessus de ma tête pour balancer les cartons au grenier, par le trou, en vrac. Ma bite est devenue chaude et humide, j'ai baissé les yeux, surpris, elle m'avait pris en bouche et me suçait.
Ma bite tressautait dans sa bouche. Elle l'a relâchée, a fait glisser mon short jusqu'à mes pieds puis, levant une jambe puis l'autre, me l'a ôté. À nouveau, se hissant sur ses orteils, elle a glissé ma verge dans sa bouche. Je m'étais déjà branlé souvent, mais rien de comparable avec la douceur de cette bouche gourmande qui s'emparait de ma virilité.
La tête me tournait et j'ai appuyé mon front contre le barreau de l'échelle. Sentant mon émoi, elle a accéléré le mouvement de sa bouche le long de ma hampe. Je suis venu presque immédiatement. J'ai essayé de l’avertir mais elle ne m’a pas entendu ou n’a pas voulu se retirer car elle a pris ma décharge dans sa bouche et a avalé chaque goutte.
Elle a continué à me sucer jusqu'à ce que je ramollisse puis, alors qu'elle frottait le gland contre ses lèvres, elle leva les yeux vers moi et me demanda si cela me plaisait. Je n'avais pas de mots pour lui dire combien j'aimais ce qu'elle m'avait fait et je ressemblais à un imbécile. Elle m'a assuré qu’elle appréciait autant que moi, mais que ça devait rester notre secret et que nous pourrions le refaire si j'étais capable de me taire. J'ai volontiers accepté et elle a dit qu'il était temps pour ma première leçon d'anatomie.
Elle m'a pris par la main et m'a entraîné dans la salle de bains. Nous nous sommes déshabillés entièrement pour prendre une douche ensemble. Elle était magnifique, sa peau laiteuse luisait de transpiration, ses seins lourds attiraient mon regard, de même que sa chatte soigneusement épilée au-dessus de laquelle flottait un petit duvet roux.
Elle m'a expliqué les différentes parties de son corps en accordant une attention particulière à sa chatte et à son clitoris. Elle a écarté avec deux doigts ses grandes lèvres pour me montrer les détails de sa chatte. Elle m'a demandé de la laver. J'ai insisté longuement sur les parties de son corps qu'elle me désignait, puis elle a ri en disant qu'elle n'était pas si sale que ça et j'allais l'user à frotter autant.
Ensuite, elle m'a lavé. Bien sûr, j'ai été de nouveau raide. Elle a dit qu’elle avait oublié à quel vitesse un jeune homme retrouvait la forme.
Elle s'est laissée tomber à genoux pour recommencer à me sucer. Elle prenait son temps, me léchait, surtout le frein, cette petite peau si sensible qui relie le prépuce au gland. Elle m'a gobé les couilles, l'une après l'autre, les suçant longuement, m'a léché la tige, avant de l'engouffrer jusqu'au fond de sa gorge, jusqu'à ce que son nez vienne en appui contre mon pubis. La tête me tournait tellement c'était délicieux et j'ai dû m'appuyer contre la paroi de la douche. Heureusement, j'ai pu résister un peu plus longtemps et encore une fois, elle a avalé tout mon sperme.
Nous nous sommes séché mutuellement et je pensais que la récréation était terminée. Mais elle m'a pris par la main pour me conduire à sa chambre, me disant en riant que nous allions passer aux travaux pratiques.
Elle s'est allongée sur le dos, jambes repliées, cuisses ouvertes, et m'a demandé de m'installer entre ses jambes. Puis elle m'a donné la première des nombreuses leçons sur la meilleure manière de manger une chatte. Elle m'a demandé de commencer par embrasser et lécher l'intérieur de ses cuisses en remontant lentement jusqu'à l'orée de sa chatte, puis de faire courir ma langue sur ses lèvres en les grignotant tendrement, de les sucer en les étirant avec mes lèvres, faisant glisser ma langue entre elles et la poussant à l'intérieur de sa fente humide.
Tout le temps, elle me guidait en me disant quoi faire et comment faire. Après avoir longuement léché avec ma langue tout le long de sa chatte juteuse, elle m'a guidé vers son clitoris. Là, elle m'a demandé de faire de petits cercles autour de son clitoris avec la pointe de ma langue, puis de faire des va-et-vient dessus.
À ce moment-là, elle a commencé à avoir du mal à parler, elle respirait bruyamment en gémissant, ses hanches se soulevaient, avec sa main elle appuyait ma tête contre sa chatte. Comme elle devenait très animée, j'avais plus de mal à la lécher.
Son clitoris était grand et tout dur sous ma langue, c’était comme si elle avait une petite verge. Donc, sans sa directive, j'ai sucé avec mes lèvres son clitoris comme elle le faisait précédemment avec mon gland. Elle a commencé à trembler, elle a serré ma tête entre ses cuisses charnues, elle a appuyé fort sur ma nuque en poussant un long feulement.
Sa chatte est devenue liquide et elle m'a crié: "N'arrête pas, surtout ne t'arrêtes pas!"Elle a jouit sur mon visage. Elle n’a pas giclé mais elle était vraiment très juteuse.
Elle a écarté les cuisses, m'a attrapé sous les aisselles pour me hisser sur elle et, pour me remercier, j'ai reçu mon premier vrai baiser. Ses lèvres étaient soyeuses et douces et elle m'a dit de desserrer les lèvres pour faciliter l'accès de sa langue.
Nous nous sommes embrassés longtemps, jouant avec nos langues, pendant qu'elle caressait mon dos et mes fesses. Je pressais ma bite dure contre son bas-ventre.
Leçon suivante, elle m'a dit. Elle me retourna, j'étais sur le dos et elle chevauchait mes hanches. Elle m'a demandé si j'étais vierge. J'ai dit oui et elle a dit plus pour longtemps. Elle glissa sa main sous elle et prenant appui sur l'autre, elle attrapa ma queue, puis elle glissa sur elle sa chatte juteuse.
Je la sentais onduler des hanches d'avant en arrière, frottant mon gland dans sa fente ruisselante. Soudain, mon sexe s'enfonça dans une sensation de chaleur humide la plus incroyable que j'aie jamais connue.
Puis elle s'est laissée glisser et j'ai perdu ma virginité tandis que sa chatte humide et brûlante glissait autour de ma bite jusqu'à ce que je sois au fond de son vagin. Elle gémissait en ondulant du bassin, ses muscles vaginaux se contractaient autour de ma bite et je savais que je ne durerais pas très longtemps comme ça.
Elle ne bougeait presque pas mais faisait tourner son bassin d'avant en arrière, décrivant de petits cercles. Ses gros seins se balançaient juste au dessus de moi. C'était la sensation la plus merveilleuse que j'aie jamais ressentie et je lui ai dit que j'allais jouir. En apprenant cela, elle a commencé à rebondir fort et vite et nous avons fini par jouir ensemble.
Elle s'est allongée sur moi et nous nous sommes embrassés pendant un long moment avec ma bite dans sa chatte et elle a lentement frotté sa chatte dessus. De nouveau, ma bite est redevenue dure en elle.
Elle s'est remise en position de cavalière pour me monter en faisant coulisser sa chatte tout le long de ma queue. Ses seins dansaient la gigue et j'étais fasciné. Elle se pencha en posant un de ses seins sur mon visage en me demandant de le sucer.
Je me suis jeté sur son gros téton comme un bébé qu'on allaite pendant qu'elle accélérait la cadence, soulevant ses fesses et retombant de plus en plus fort et de plus en plus vite.
Elle m'a demandé de lui mordiller doucement le téton et j'ai senti ses jus ruisseler sur ma queue. Alors elle s'est effondrée sur moi, elle a roulé sur le dos, m'entraînant sur elle et m'a demandé de la baiser. L'instinct a pris le dessus et j'ai commencé à lui bourrer la chatte de toutes mes forces jusqu'à ce que nous recommencions à jouir.
Nous nous sommes couchés côte à côte pour parler de ce que nous venions de faire lorsque le téléphone a sonné. C'était ma mère demandant à Christèle si elle pouvait venir me chercher.
Sans me consulter, Christèle a répondu à maman que nous n'avions pas fait autant que ce qu'elle avait espéré, que nous n'avions pas encore mangé et si cela ne la dérangeait pas, elle voudrait me garder pour la nuit afin que nous puissions recommencer tôt le matin. Maman a accepté et la pensée de passer la nuit avec Christèle m'a redonné de la vigueur. Christèle a remarqué ma réaction et elle a plongé sur ma queue en la suçant comme une femelle hystérique.
Elle a passé sa jambe au-dessus de ma tête, en position tête-bêche, et a posé sa chatte sur ma bouche. J'ai commencé à lui manger la chatte et j'ai pu goûter mon sperme en elle. Je n’étais pas dégoûté parce que je lèche régulièrement mon sperme après m’être branlé. Une fois repus, nous avons fini par nous endormir dans les bras l'un de l'autre.
J'ai été réveillé par une sensation incroyable et il m'a fallu quelques secondes pour me rendre compte que Christèle suçait ma bite bien dure. La meilleure façon de se réveiller. Elle a avalé de nouveau tout mon jus, puis a rampé sur moi pour m'embrasser. Je pouvais goûter mon sperme dans sa bouche et j'ai commencé à l'embrasser durement.
Nous avons passé la journée à baiser comme des animaux. Nous ne prenions des pauses que pour manger et boire. Christèle suçait encore ma bite quand ma mère est venue me chercher. Je me suis vidé dans sa gorge, puis je me suis rhabillé pendant que Christèle ouvrait la porte, remerciant ma mère de lui avoir rendue service en lui prêtant son fils.
Elle m'a embrassé tendrement sur la joue quand je suis parti avec ma mère. Mais quand ma mère a tourné le dos, elle m'a caressé furtivement la bite.
Christèle et moi avons passé beaucoup de temps ensemble cet été-là. Je sortais discrètement le soir, elle venait me chercher et on baisait comme des dépravés pervers.
Elle m'a dit qu'elle avait connu plusieurs partenaires sexuels avant et depuis son mariage, mais qu'aucun ne m'égalait ni en taille ni en endurance. Que j'étais le meilleur amant qu'elle ait connu et qu'elle était folle de moi.
Nous avons continué à nous fréquenter longtemps, même après mon mariage.
Elle était devenue très active sexuellement et m'a finalement présenté à plusieurs de ses amies avec lesquelles j'ai passé de bons moments. Mais ce sont des histoires pour un autre jour.
Un jour, elle est entrée dans la salle de bain sans frapper, juste comme je sortais de la douche, et elle m'a détaillé des pieds à la tête. Son regard s'est fixé un court instant sur ma virilité, puis elle m'a regardé droit dans les yeux, m'a souri avec une petite mimique qui semblait dire: "Hum, intéressant!"Je n'ai pas grand chose à dire sur moi, adolescent dégingandé, un peu gauche, mais sous la douche à l'école, j'étais toujours celui qu'on lorgnait à cause de la grande longueur de son sexe, même au repos.
Lorsque Christèle a regagné ses pénates, elle a demandé à ma mère si elle pouvait "m'emprunter" pour une journée car elle avait beaucoup de rangement et de modifications à apporter à sa maison. Ma mère a offert mes services et le samedi matin, elle m'a déposée chez Christèle vers 8H. Christèle débarrassait son sous-sol pour le transformer en bureau et avait besoin d'aide pour monter des affaires jusqu'au grenier. Je me suis rapidement rendu compte qu'elle n'avait pas beaucoup besoin d'aide car elle était largement aussi forte que moi. C'était en juillet et il faisait chaud. Seules les chambres étaient climatisées donc il faisait chaud et étouffant dans la maison. Le sous-sol étant plus frais, travailler en bas n’était pas mal, mais lorsque nous avons transporté les affaires dans l'escalier, nous avons commencé à transpirer.
Pour accéder au grenier, il fallait passer par un trou dans le plafond de l'étage, il n’y avait pas d'escalier, donc nous avons dû monter une échelle depuis le garage pour y accéder. Nous sommes tombés d'accord pour empiler les affaires sur le palier, puis Christèle tiendrait l’échelle en place pendant que je transporterai les affaires et les empilerai dans le grenier.
Alors que nous avions monté les choses inutiles sur le palier, nous avons fait une pause pour nous rafraîchir. De toutes les amies de ma mère, Christèle était ma préférée, quand elle me serrait dans ses bras pour m'embrasser, je me blottissais entre ses énormes seins, contre son corps chaud et pulpeux.
Nous avons discuté de banalités pendant que nous nous reposions, puis elle a commencé à me demander si j'avais une petite amie. J'ai dit que non et elle a dit que c'était dommage par rapport à ce qu'elle avait vu. Je savais exactement de quoi elle parlait, car depuis ce fameux jour ou elle m'avait surpris sortant de la douche, elle était devenue mon fantasme préféré quand je me masturbais.
J'imaginais qu'au lieu de sortir de la salle de bain ce jour-là, elle avait refermé la porte et que nous avions fait tout ce que mon petit cerveau pervers pouvait imaginer. Je rougis à cette pensée et elle m’a assuré qu’elle ne voulait pas me gêner, que je n’avais certainement pas de quoi avoir honte et que la plupart des hommes donneraient cher pour avoir un appareil comme le mien.
J'ai juste pu bafouiller un remerciement inintelligible et voyant mon malaise, elle m'a suggéré de retourner au travail. Elle m'a serré fort dans ses bras pour m'embrasser chastement sur le front, mais mon sexe déjà en pleine croissance s'est tendu brusquement, et je sais qu'elle l'a senti pousser contre son ventre.
Ce matin-là, je m'étais habillé en "sale" pour travailler. J'avais mis un short en flanelle sans rien dessous pour être confortable, et un sweater en coton. Des affaires pour transpirer, se salir, sans précautions particulières.
Je grimpais à l’échelle, malhabile, les bras chargés de cartons, quand j’ai senti la main de Christèle se poser à l'intérieur de ma cuisse.
J'étais encore en semi-érection depuis notre discussion et notre câlin, et mon short trop ample lui offrait une vision imprenable sur le petit chose et les deux orphelines. Quand j'ai senti sa main me caresser, je me suis figé. Le temps que je réagisse, sa main avait glissé plus haut, caressant mes bourses, puis s'emparant de ma verge raidissante.
Je baissai les yeux vers elle, elle fixait mon anatomie intime, puis leva les yeux vers moi, les joues rouges et les yeux brillants de convoitise. Mes jambes avaient du mal à me porter, et je me suis appuyé contre l'échelle, les bras chargés de cartons.
Elle m'a regardé droit dans les yeux pour me demander si c'était agréable et si ça me plaisait. Je hochai la tête et sentis sa main s'enrouler autour de ma bite et commencer à me caresser. Elle m'a demandé si quelqu'un m'avait déjà fait ça avant et je secouais négativement la tête. Ma bouche était si sèche que je ne pouvais plus parler. Elle m'a sourit et m'a dit de me détendre et de profiter.
Elle sortit ma verge de mon short et l'a saisit à deux mains pour me caresser. Je tremblais comme une feuille. Dans un ultime effort, j'ai tendu les bras au-dessus de ma tête pour balancer les cartons au grenier, par le trou, en vrac. Ma bite est devenue chaude et humide, j'ai baissé les yeux, surpris, elle m'avait pris en bouche et me suçait.
Ma bite tressautait dans sa bouche. Elle l'a relâchée, a fait glisser mon short jusqu'à mes pieds puis, levant une jambe puis l'autre, me l'a ôté. À nouveau, se hissant sur ses orteils, elle a glissé ma verge dans sa bouche. Je m'étais déjà branlé souvent, mais rien de comparable avec la douceur de cette bouche gourmande qui s'emparait de ma virilité.
La tête me tournait et j'ai appuyé mon front contre le barreau de l'échelle. Sentant mon émoi, elle a accéléré le mouvement de sa bouche le long de ma hampe. Je suis venu presque immédiatement. J'ai essayé de l’avertir mais elle ne m’a pas entendu ou n’a pas voulu se retirer car elle a pris ma décharge dans sa bouche et a avalé chaque goutte.
Elle a continué à me sucer jusqu'à ce que je ramollisse puis, alors qu'elle frottait le gland contre ses lèvres, elle leva les yeux vers moi et me demanda si cela me plaisait. Je n'avais pas de mots pour lui dire combien j'aimais ce qu'elle m'avait fait et je ressemblais à un imbécile. Elle m'a assuré qu’elle appréciait autant que moi, mais que ça devait rester notre secret et que nous pourrions le refaire si j'étais capable de me taire. J'ai volontiers accepté et elle a dit qu'il était temps pour ma première leçon d'anatomie.
Elle m'a pris par la main et m'a entraîné dans la salle de bains. Nous nous sommes déshabillés entièrement pour prendre une douche ensemble. Elle était magnifique, sa peau laiteuse luisait de transpiration, ses seins lourds attiraient mon regard, de même que sa chatte soigneusement épilée au-dessus de laquelle flottait un petit duvet roux.
Elle m'a expliqué les différentes parties de son corps en accordant une attention particulière à sa chatte et à son clitoris. Elle a écarté avec deux doigts ses grandes lèvres pour me montrer les détails de sa chatte. Elle m'a demandé de la laver. J'ai insisté longuement sur les parties de son corps qu'elle me désignait, puis elle a ri en disant qu'elle n'était pas si sale que ça et j'allais l'user à frotter autant.
Ensuite, elle m'a lavé. Bien sûr, j'ai été de nouveau raide. Elle a dit qu’elle avait oublié à quel vitesse un jeune homme retrouvait la forme.
Elle s'est laissée tomber à genoux pour recommencer à me sucer. Elle prenait son temps, me léchait, surtout le frein, cette petite peau si sensible qui relie le prépuce au gland. Elle m'a gobé les couilles, l'une après l'autre, les suçant longuement, m'a léché la tige, avant de l'engouffrer jusqu'au fond de sa gorge, jusqu'à ce que son nez vienne en appui contre mon pubis. La tête me tournait tellement c'était délicieux et j'ai dû m'appuyer contre la paroi de la douche. Heureusement, j'ai pu résister un peu plus longtemps et encore une fois, elle a avalé tout mon sperme.
Nous nous sommes séché mutuellement et je pensais que la récréation était terminée. Mais elle m'a pris par la main pour me conduire à sa chambre, me disant en riant que nous allions passer aux travaux pratiques.
Elle s'est allongée sur le dos, jambes repliées, cuisses ouvertes, et m'a demandé de m'installer entre ses jambes. Puis elle m'a donné la première des nombreuses leçons sur la meilleure manière de manger une chatte. Elle m'a demandé de commencer par embrasser et lécher l'intérieur de ses cuisses en remontant lentement jusqu'à l'orée de sa chatte, puis de faire courir ma langue sur ses lèvres en les grignotant tendrement, de les sucer en les étirant avec mes lèvres, faisant glisser ma langue entre elles et la poussant à l'intérieur de sa fente humide.
Tout le temps, elle me guidait en me disant quoi faire et comment faire. Après avoir longuement léché avec ma langue tout le long de sa chatte juteuse, elle m'a guidé vers son clitoris. Là, elle m'a demandé de faire de petits cercles autour de son clitoris avec la pointe de ma langue, puis de faire des va-et-vient dessus.
À ce moment-là, elle a commencé à avoir du mal à parler, elle respirait bruyamment en gémissant, ses hanches se soulevaient, avec sa main elle appuyait ma tête contre sa chatte. Comme elle devenait très animée, j'avais plus de mal à la lécher.
Son clitoris était grand et tout dur sous ma langue, c’était comme si elle avait une petite verge. Donc, sans sa directive, j'ai sucé avec mes lèvres son clitoris comme elle le faisait précédemment avec mon gland. Elle a commencé à trembler, elle a serré ma tête entre ses cuisses charnues, elle a appuyé fort sur ma nuque en poussant un long feulement.
Sa chatte est devenue liquide et elle m'a crié: "N'arrête pas, surtout ne t'arrêtes pas!"Elle a jouit sur mon visage. Elle n’a pas giclé mais elle était vraiment très juteuse.
Elle a écarté les cuisses, m'a attrapé sous les aisselles pour me hisser sur elle et, pour me remercier, j'ai reçu mon premier vrai baiser. Ses lèvres étaient soyeuses et douces et elle m'a dit de desserrer les lèvres pour faciliter l'accès de sa langue.
Nous nous sommes embrassés longtemps, jouant avec nos langues, pendant qu'elle caressait mon dos et mes fesses. Je pressais ma bite dure contre son bas-ventre.
Leçon suivante, elle m'a dit. Elle me retourna, j'étais sur le dos et elle chevauchait mes hanches. Elle m'a demandé si j'étais vierge. J'ai dit oui et elle a dit plus pour longtemps. Elle glissa sa main sous elle et prenant appui sur l'autre, elle attrapa ma queue, puis elle glissa sur elle sa chatte juteuse.
Je la sentais onduler des hanches d'avant en arrière, frottant mon gland dans sa fente ruisselante. Soudain, mon sexe s'enfonça dans une sensation de chaleur humide la plus incroyable que j'aie jamais connue.
Puis elle s'est laissée glisser et j'ai perdu ma virginité tandis que sa chatte humide et brûlante glissait autour de ma bite jusqu'à ce que je sois au fond de son vagin. Elle gémissait en ondulant du bassin, ses muscles vaginaux se contractaient autour de ma bite et je savais que je ne durerais pas très longtemps comme ça.
Elle ne bougeait presque pas mais faisait tourner son bassin d'avant en arrière, décrivant de petits cercles. Ses gros seins se balançaient juste au dessus de moi. C'était la sensation la plus merveilleuse que j'aie jamais ressentie et je lui ai dit que j'allais jouir. En apprenant cela, elle a commencé à rebondir fort et vite et nous avons fini par jouir ensemble.
Elle s'est allongée sur moi et nous nous sommes embrassés pendant un long moment avec ma bite dans sa chatte et elle a lentement frotté sa chatte dessus. De nouveau, ma bite est redevenue dure en elle.
Elle s'est remise en position de cavalière pour me monter en faisant coulisser sa chatte tout le long de ma queue. Ses seins dansaient la gigue et j'étais fasciné. Elle se pencha en posant un de ses seins sur mon visage en me demandant de le sucer.
Je me suis jeté sur son gros téton comme un bébé qu'on allaite pendant qu'elle accélérait la cadence, soulevant ses fesses et retombant de plus en plus fort et de plus en plus vite.
Elle m'a demandé de lui mordiller doucement le téton et j'ai senti ses jus ruisseler sur ma queue. Alors elle s'est effondrée sur moi, elle a roulé sur le dos, m'entraînant sur elle et m'a demandé de la baiser. L'instinct a pris le dessus et j'ai commencé à lui bourrer la chatte de toutes mes forces jusqu'à ce que nous recommencions à jouir.
Nous nous sommes couchés côte à côte pour parler de ce que nous venions de faire lorsque le téléphone a sonné. C'était ma mère demandant à Christèle si elle pouvait venir me chercher.
Sans me consulter, Christèle a répondu à maman que nous n'avions pas fait autant que ce qu'elle avait espéré, que nous n'avions pas encore mangé et si cela ne la dérangeait pas, elle voudrait me garder pour la nuit afin que nous puissions recommencer tôt le matin. Maman a accepté et la pensée de passer la nuit avec Christèle m'a redonné de la vigueur. Christèle a remarqué ma réaction et elle a plongé sur ma queue en la suçant comme une femelle hystérique.
Elle a passé sa jambe au-dessus de ma tête, en position tête-bêche, et a posé sa chatte sur ma bouche. J'ai commencé à lui manger la chatte et j'ai pu goûter mon sperme en elle. Je n’étais pas dégoûté parce que je lèche régulièrement mon sperme après m’être branlé. Une fois repus, nous avons fini par nous endormir dans les bras l'un de l'autre.
J'ai été réveillé par une sensation incroyable et il m'a fallu quelques secondes pour me rendre compte que Christèle suçait ma bite bien dure. La meilleure façon de se réveiller. Elle a avalé de nouveau tout mon jus, puis a rampé sur moi pour m'embrasser. Je pouvais goûter mon sperme dans sa bouche et j'ai commencé à l'embrasser durement.
Nous avons passé la journée à baiser comme des animaux. Nous ne prenions des pauses que pour manger et boire. Christèle suçait encore ma bite quand ma mère est venue me chercher. Je me suis vidé dans sa gorge, puis je me suis rhabillé pendant que Christèle ouvrait la porte, remerciant ma mère de lui avoir rendue service en lui prêtant son fils.
Elle m'a embrassé tendrement sur la joue quand je suis parti avec ma mère. Mais quand ma mère a tourné le dos, elle m'a caressé furtivement la bite.
Christèle et moi avons passé beaucoup de temps ensemble cet été-là. Je sortais discrètement le soir, elle venait me chercher et on baisait comme des dépravés pervers.
Elle m'a dit qu'elle avait connu plusieurs partenaires sexuels avant et depuis son mariage, mais qu'aucun ne m'égalait ni en taille ni en endurance. Que j'étais le meilleur amant qu'elle ait connu et qu'elle était folle de moi.
Nous avons continué à nous fréquenter longtemps, même après mon mariage.
Elle était devenue très active sexuellement et m'a finalement présenté à plusieurs de ses amies avec lesquelles j'ai passé de bons moments. Mais ce sont des histoires pour un autre jour.
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