Comment le jardinier est devenu "le défricheur.3
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2017 dans la catégorie Plus on est
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Comment le jardinier est devenu "le défricheur.3
Ou comment le jardinier est devenu le « défricheur ». 3
Les femmes sont toutes les mêmes, même les nonnes !
Comme une traînée de poudre, l’information est passée de bouches de novice à oreilles de novice.
2 jours plus tard, j’eu droit à une visite nocturne dans mon logis.
Henriette et Madeleine, 2 autres novices entrèrent subrepticement dans mon réduit.
J’étais torse-nu attablé devant une misérable soupe.
-On vous apporte votre dîner, Sœur Marie nous a demandé de s’occuper de vous. Suite à votre malaise, il faut se nourrir abondamment.
(Ça me changera de mon ordinaire si peu ragoûtant).
Je mangeais avec appétit mais elles ne semblaient pas avoir envie de partir. Sœur Henriette n’y alla pas par 4 chemins et me tutoya aussitôt:
-Sœur Marie nous a tellement vanté tes exploits que nous voulons voir pour y croire comme Saint Thomas. Et je veux montrer à Madeleine qu’il ne faut pas laisser passer une occasion de se divertir au couvent.
Elles me poussèrent sur le lit et me retirèrent prestement mon pantalon, je me laissai faire.
Sœur Henriette, la plus délurée, n’avait d’yeux que pour mon entrejambe ou une bosse gonflait mon sous-vêtement.
- Hum Prometteur, commenta-t-elle. Attends je vais libérer cette pauvre chose!
Lentement, elle glissa une main dans mon slip, et je sentis ses doigts se refermer sur mon membre.
- Ma sœur, que voulez-vous faire ? Est-ce bien raisonnable ?!
Elle évaluait la marchandise avec ses doigts qui me trituraient, me caressaient. Au bout d’un moment, le bout de tissu était déformé par l’ampleur prise par mon rostre.
- Que tu es gros, s’extasia-t-elle, d’une voix assourdie. Je veux l’admirer !!!
Elle dégagea de sa gangue de tissu ma bite qui continua à prendre ses aises une fois libérée, se déployant avec arrogance. Sœur Henriette demanda un peu de renfort à sœur Madeleine.
-Aide-moi à lui retirer son cache-sexe… Santa-Maria ! Marie n’a pas exagéré !!!Tu as une vraie queue d’âne !…
Charmée par sa découverte, sœur Henriette sans aucune gêne, fit passer au dessus de sa tête sa tunique, se montrant totalement nue devant mes yeux exorbités.
Elle avait une poitrine généreuse, des seins lourds aux mamelons proéminents au centre de larges aréoles.
-A-toi Madeleine, prend sur toi, tu verras que ce n’est pas si difficile !
Elle hésitait tellement que c’est Henriette qui se chargea de lui retirer sa tunique.
Je détaillais ce nouveau corps. Il était très bien proportionné, Madeleine était très belle, plus jeune. De son corps émanait l’invite à l’amour, une poitrine magnifique, des yeux au reflet d’or, une bouche aux lèvres charnues et sensuelles que l’on voudrait dévorer.
Sœur Henriette revint très vite à sa préoccupation première, ma queue !!!
Elle caressait mon membre, en épousant tous les creux et les bosses de mon excroissance qu’elle ne quittait plus des yeux.
-Sœur Madeleine, ne sois pas si timide, il y a largement la place sur cette majestueuse flamberge pour que tu m’aides dans ma besogne !
Sœur Madeleine agrippa avec un peu d’appréhension ma queue qui continuait à grossir que j’en avais presque mal.
Sœur Henriette me branlait, entraînant la main de sa voisine dans le mouvement. Je grimaçais de plaisir, perturbé par cette branlette double. Ma bite avait pris des proportions énormes et mon gland, gonflé à bloc, la narguait…
- Ta matraque n’arrête pas de se développer… Je n’ai jamais vu une bite pareille, si grosse, si dure !
Elle baissa la tête amenant sa bouche à quelques centimètres de mon gland et prit mon sexe entre ses lèvres. Elle me pompa quelques secondes, puis me relâcha.
Je n’en revenais pas… 2 mains couraient sur ma hampe pendant que mon gland disparaissait dans sa bouche, elle s’enfonçait tellement loin qu’elle salivait avec abondance sur mon nœud. !
Après quelques minutes de ce supplice, Sœur Henriette retira sa bouche et tendit l’offrande à sa voisine
- Je suis sûre que tu fantasmes, imaginant ta bouche sur son formidable pénis ! Profite de sa virilité. Une occasion pareille dans un couvent, tu n’en auras sûrement pas beaucoup d’autres !
Sœur Madeleine plongea soudain sur moi, ses lèvres entourèrent avec précaution mon gland, glissèrent dessus et absorbèrent quelques centimètres de ma verge avant de se retirer.
-Mon dieu qu’elle est grosse ! C’est doux et dur à la fois, et que c’est chaud !...
Sa tête replongea, sa langue agile partait à la découverte de l’inconnu, insistait sur le frein, caressait le gland. Ses mains jouaient avec mes couilles, les palpaient, les pétrissaient.
Jamais je n’avais été aussi gros !!! Elle admirait son œuvre, les yeux exorbités. Mais sœur Henriette s’impatienta et me chevaucha, encadrant ma tête des ses cuisses.
Son sexe était une forêt de poils d’où émergeaient deux lèvres charnues très proéminentes. Une odeur forte et enivrante s’en dégageait. Ce parfum, je ne le connaissais pas, il m’attirait comme celui d’une fleur à butiner.
Ma bouche vint cueillir le nectar de cette fleur inconnue des jardiniers. Elle colla sa fente sur mes lèvres, je plongeai ma langue telle la trompe du bourdon entre ses pétales pour en extraire le pollen.
Ma langue lécha, ma bouche lapa, mes lèvres burent sa mouille abondante.
-Oh oui beau jardinier, dévore-moi la chatte, enfonce ta langue, oui, encore plus loin. Que c’est booonnn !!!!
De ses doigts, elle écarta impudiquement ses lèvres vaginales imbibées de cyprine et de salive.
-Applique-toi mieux que ça, lèche-moi bien la chatte, suce-moi le bouton, oui, la petite chose en haut de ma fente, ouuuiii comme ça… bois ma mouille, bouffe-moi la chatte, embrasse-là, lèche-là, mordille- là. Putain tu es doué, je coule comme une fontaine, haaaaaa, haaaaaaaaaaaaa, oh arrête, c’est devenu trop sensible !
Mais je continuai de plus belle, encouragé par ses paroles et m’aidant de deux doigts que j’enfonçai dans sa chatte complètement inondée. Je léchais encore et encore l’amenant à plusieurs orgasmes. Ma bouche était complètement maculée de ses secrétions intimes.
-J’ai jouis comme jamais mais maintenant je veux connaître la sensation d’avoir en moi ta poutre si épaisse et si longue mais je t’en supplie, vas-y doucement je t’en prie !
Elle guida avec sa main ma verge vers son sexe, la plaça dans sa fente et, se l’enfonça le plus loin possible.
- Oh oui, je l’a sent bien ta grosse pine. Quel morceau de Roi, vas-y, défonce-moi !
Mais c’est elle qui dansait sur ma queue comme une hystérique.
-Sœur Madeleine, s’il me fait du bien avec son braquemard, il ne fait rien de sa bouche, fais-lui découvrir les saveurs de ta chatte pendant que je goûterai ta bouche !
La moniale n’attendait que ce coup de pouce pour vaincre sa réserve. J’avais maintenant deux furies déchaînées qui se bécotaient et se pelotaient tout en prenant du plaisir avec ma bite et ma bouche.
Autant la chatte d’Henriette était largement dessinée, autant celle de Madeleine était étroite et serrée, ma langue devait forcer pour s’insinuer entre des lèvres discrètes.
Je n’arrivai bientôt plus à retenir la pression qui montait dans ma queue et avertis avec difficulté ma cavalière en plein rodéo, gêné par la chatte de sœur Madeleine sur ma bouche.
-Je vais gicler sœur Henriette !
Elle retira mon rostre de sa chatte et me branla vivement de sa main.
- Viens, vide-toi de ton foutre, on veut assister au miracle dont nous a parlé sœur Marie !
Un premier jet vint s’écraser sur son visage et sa poitrine, mais prévenue par sœur Marie, elle continua de plus belle l’astiquage de ma lance.
Des jets incessants entrecoupés par de nombreux aller-retour de sa main sur ma hampe sous pression venaient s’écraser sur elle et sa voisine ou retombaient sur mon corps, elles dégoulinaient de sperme que je voyais couler sur leurs peaux satinées.
-Jamais vu ça, il gicle en pointillé.
Quand l’éruption cessa, elle me reprit en bouche et insista pour en faire une toilette très minutieuse avec sa langue, pressant ma verge pour en recueillir les moindres traces de foutre.
-C’est à ton tour Madeleine… Viens profiter de sa grosse branche rugueuse !
Mais sœur Madeleine n’osa pas accepter le cadeau que lui proposait la moniale pleine de vice.
-Je ne pourrai jamais… Je n’ai jamais connu d’homme… Enfin, je suis encore vierge…
-Et alors ! Il faut bien une première fois, lui rétorqua la dévergondée, et là c’est du premier choix !
Elle attira à elle la novice la ramenant tout doucement à l’aplomb de ma verge.
-La femelle est faite pour accepter le mâle, c’est une loi de la nature, l’encouragea-t-elle, même si des fois le tenon est si gros et la mortaise si petite !
Mais sœur Madeleine avait si peur qu’elle refusait ma pine à chaque fois qu’elle effleurait sa vulve.
- Il va t’aider, mets-toi à genoux, pose les mains au sol et laisse-le œuvrer, et toi beau jardinier, sers-toi de ton plantoir pour défricher cette jeune vierge mais sois délicat avec cette chair fraîche et innocente!
A suivre….
Les femmes sont toutes les mêmes, même les nonnes !
Comme une traînée de poudre, l’information est passée de bouches de novice à oreilles de novice.
2 jours plus tard, j’eu droit à une visite nocturne dans mon logis.
Henriette et Madeleine, 2 autres novices entrèrent subrepticement dans mon réduit.
J’étais torse-nu attablé devant une misérable soupe.
-On vous apporte votre dîner, Sœur Marie nous a demandé de s’occuper de vous. Suite à votre malaise, il faut se nourrir abondamment.
(Ça me changera de mon ordinaire si peu ragoûtant).
Je mangeais avec appétit mais elles ne semblaient pas avoir envie de partir. Sœur Henriette n’y alla pas par 4 chemins et me tutoya aussitôt:
-Sœur Marie nous a tellement vanté tes exploits que nous voulons voir pour y croire comme Saint Thomas. Et je veux montrer à Madeleine qu’il ne faut pas laisser passer une occasion de se divertir au couvent.
Elles me poussèrent sur le lit et me retirèrent prestement mon pantalon, je me laissai faire.
Sœur Henriette, la plus délurée, n’avait d’yeux que pour mon entrejambe ou une bosse gonflait mon sous-vêtement.
- Hum Prometteur, commenta-t-elle. Attends je vais libérer cette pauvre chose!
Lentement, elle glissa une main dans mon slip, et je sentis ses doigts se refermer sur mon membre.
- Ma sœur, que voulez-vous faire ? Est-ce bien raisonnable ?!
Elle évaluait la marchandise avec ses doigts qui me trituraient, me caressaient. Au bout d’un moment, le bout de tissu était déformé par l’ampleur prise par mon rostre.
- Que tu es gros, s’extasia-t-elle, d’une voix assourdie. Je veux l’admirer !!!
Elle dégagea de sa gangue de tissu ma bite qui continua à prendre ses aises une fois libérée, se déployant avec arrogance. Sœur Henriette demanda un peu de renfort à sœur Madeleine.
-Aide-moi à lui retirer son cache-sexe… Santa-Maria ! Marie n’a pas exagéré !!!Tu as une vraie queue d’âne !…
Charmée par sa découverte, sœur Henriette sans aucune gêne, fit passer au dessus de sa tête sa tunique, se montrant totalement nue devant mes yeux exorbités.
Elle avait une poitrine généreuse, des seins lourds aux mamelons proéminents au centre de larges aréoles.
-A-toi Madeleine, prend sur toi, tu verras que ce n’est pas si difficile !
Elle hésitait tellement que c’est Henriette qui se chargea de lui retirer sa tunique.
Je détaillais ce nouveau corps. Il était très bien proportionné, Madeleine était très belle, plus jeune. De son corps émanait l’invite à l’amour, une poitrine magnifique, des yeux au reflet d’or, une bouche aux lèvres charnues et sensuelles que l’on voudrait dévorer.
Sœur Henriette revint très vite à sa préoccupation première, ma queue !!!
Elle caressait mon membre, en épousant tous les creux et les bosses de mon excroissance qu’elle ne quittait plus des yeux.
-Sœur Madeleine, ne sois pas si timide, il y a largement la place sur cette majestueuse flamberge pour que tu m’aides dans ma besogne !
Sœur Madeleine agrippa avec un peu d’appréhension ma queue qui continuait à grossir que j’en avais presque mal.
Sœur Henriette me branlait, entraînant la main de sa voisine dans le mouvement. Je grimaçais de plaisir, perturbé par cette branlette double. Ma bite avait pris des proportions énormes et mon gland, gonflé à bloc, la narguait…
- Ta matraque n’arrête pas de se développer… Je n’ai jamais vu une bite pareille, si grosse, si dure !
Elle baissa la tête amenant sa bouche à quelques centimètres de mon gland et prit mon sexe entre ses lèvres. Elle me pompa quelques secondes, puis me relâcha.
Je n’en revenais pas… 2 mains couraient sur ma hampe pendant que mon gland disparaissait dans sa bouche, elle s’enfonçait tellement loin qu’elle salivait avec abondance sur mon nœud. !
Après quelques minutes de ce supplice, Sœur Henriette retira sa bouche et tendit l’offrande à sa voisine
- Je suis sûre que tu fantasmes, imaginant ta bouche sur son formidable pénis ! Profite de sa virilité. Une occasion pareille dans un couvent, tu n’en auras sûrement pas beaucoup d’autres !
Sœur Madeleine plongea soudain sur moi, ses lèvres entourèrent avec précaution mon gland, glissèrent dessus et absorbèrent quelques centimètres de ma verge avant de se retirer.
-Mon dieu qu’elle est grosse ! C’est doux et dur à la fois, et que c’est chaud !...
Sa tête replongea, sa langue agile partait à la découverte de l’inconnu, insistait sur le frein, caressait le gland. Ses mains jouaient avec mes couilles, les palpaient, les pétrissaient.
Jamais je n’avais été aussi gros !!! Elle admirait son œuvre, les yeux exorbités. Mais sœur Henriette s’impatienta et me chevaucha, encadrant ma tête des ses cuisses.
Son sexe était une forêt de poils d’où émergeaient deux lèvres charnues très proéminentes. Une odeur forte et enivrante s’en dégageait. Ce parfum, je ne le connaissais pas, il m’attirait comme celui d’une fleur à butiner.
Ma bouche vint cueillir le nectar de cette fleur inconnue des jardiniers. Elle colla sa fente sur mes lèvres, je plongeai ma langue telle la trompe du bourdon entre ses pétales pour en extraire le pollen.
Ma langue lécha, ma bouche lapa, mes lèvres burent sa mouille abondante.
-Oh oui beau jardinier, dévore-moi la chatte, enfonce ta langue, oui, encore plus loin. Que c’est booonnn !!!!
De ses doigts, elle écarta impudiquement ses lèvres vaginales imbibées de cyprine et de salive.
-Applique-toi mieux que ça, lèche-moi bien la chatte, suce-moi le bouton, oui, la petite chose en haut de ma fente, ouuuiii comme ça… bois ma mouille, bouffe-moi la chatte, embrasse-là, lèche-là, mordille- là. Putain tu es doué, je coule comme une fontaine, haaaaaa, haaaaaaaaaaaaa, oh arrête, c’est devenu trop sensible !
Mais je continuai de plus belle, encouragé par ses paroles et m’aidant de deux doigts que j’enfonçai dans sa chatte complètement inondée. Je léchais encore et encore l’amenant à plusieurs orgasmes. Ma bouche était complètement maculée de ses secrétions intimes.
-J’ai jouis comme jamais mais maintenant je veux connaître la sensation d’avoir en moi ta poutre si épaisse et si longue mais je t’en supplie, vas-y doucement je t’en prie !
Elle guida avec sa main ma verge vers son sexe, la plaça dans sa fente et, se l’enfonça le plus loin possible.
- Oh oui, je l’a sent bien ta grosse pine. Quel morceau de Roi, vas-y, défonce-moi !
Mais c’est elle qui dansait sur ma queue comme une hystérique.
-Sœur Madeleine, s’il me fait du bien avec son braquemard, il ne fait rien de sa bouche, fais-lui découvrir les saveurs de ta chatte pendant que je goûterai ta bouche !
La moniale n’attendait que ce coup de pouce pour vaincre sa réserve. J’avais maintenant deux furies déchaînées qui se bécotaient et se pelotaient tout en prenant du plaisir avec ma bite et ma bouche.
Autant la chatte d’Henriette était largement dessinée, autant celle de Madeleine était étroite et serrée, ma langue devait forcer pour s’insinuer entre des lèvres discrètes.
Je n’arrivai bientôt plus à retenir la pression qui montait dans ma queue et avertis avec difficulté ma cavalière en plein rodéo, gêné par la chatte de sœur Madeleine sur ma bouche.
-Je vais gicler sœur Henriette !
Elle retira mon rostre de sa chatte et me branla vivement de sa main.
- Viens, vide-toi de ton foutre, on veut assister au miracle dont nous a parlé sœur Marie !
Un premier jet vint s’écraser sur son visage et sa poitrine, mais prévenue par sœur Marie, elle continua de plus belle l’astiquage de ma lance.
Des jets incessants entrecoupés par de nombreux aller-retour de sa main sur ma hampe sous pression venaient s’écraser sur elle et sa voisine ou retombaient sur mon corps, elles dégoulinaient de sperme que je voyais couler sur leurs peaux satinées.
-Jamais vu ça, il gicle en pointillé.
Quand l’éruption cessa, elle me reprit en bouche et insista pour en faire une toilette très minutieuse avec sa langue, pressant ma verge pour en recueillir les moindres traces de foutre.
-C’est à ton tour Madeleine… Viens profiter de sa grosse branche rugueuse !
Mais sœur Madeleine n’osa pas accepter le cadeau que lui proposait la moniale pleine de vice.
-Je ne pourrai jamais… Je n’ai jamais connu d’homme… Enfin, je suis encore vierge…
-Et alors ! Il faut bien une première fois, lui rétorqua la dévergondée, et là c’est du premier choix !
Elle attira à elle la novice la ramenant tout doucement à l’aplomb de ma verge.
-La femelle est faite pour accepter le mâle, c’est une loi de la nature, l’encouragea-t-elle, même si des fois le tenon est si gros et la mortaise si petite !
Mais sœur Madeleine avait si peur qu’elle refusait ma pine à chaque fois qu’elle effleurait sa vulve.
- Il va t’aider, mets-toi à genoux, pose les mains au sol et laisse-le œuvrer, et toi beau jardinier, sers-toi de ton plantoir pour défricher cette jeune vierge mais sois délicat avec cette chair fraîche et innocente!
A suivre….
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En continuant de biner.
Beau plantoir le jardinier
La vie monotone des couvents
j'ai un petit lopin en friche, le jardinier peut-il s'en occuper?
encore une qui va passer à la casserole
il ne va quand même pas se taper tout le couvent!