Comment satisfaire ma chef.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Comment satisfaire ma chef.
Un soir, sous le prétexte qu’elle avait mis sa voiture au garage, Laëtitia fait en sorte que je la raccompagne, pour être seule avec moi.
Pendant le trajet qui me mène jusque chez elle, et devant mon incrédulité flagrante, elle me confie ses expériences décevantes, vécues avec des mecs. M’explique également que sa situation de chef de service qui laisse peu le loisir de rencontrer des hommes, même si cela est déjà arrivé.
Enfin, surtout, elle me dit l’immense frustration de n’avoir jamais connu le plaisir absolu, mon étonnement est alors à son comble. Apprendre qu’elle n’a jamais eu d’orgasmes me surprend moins que le courage qui lui permet de me l’avouer.
Je dois bien admettre qu’elle n’a pas eu besoin de beaucoup d’arguments pour me convaincre de lui porter secours. Un rapprochement s’est vite opéré, nos lèvres se sont effleurées, alors que j’avais stoppé la voiture devant son immeuble.
-Tu montes ! M’invite-t-elle.
-Je ne sais pas, vous êtes ma directrice.
Rien dans son allure ne laissait prévoir son tempérament un peu spécial. Son look était celui d’une jeune femme calme.
-Et alors ! Nous serions les seuls à le savoir ! Lâche-t-elle, en faisant glisser ses mains le long de sa jupe. Laetitia jette alors un rapide coup d’œil circulaire pour s’assurer que personne nous observe, puis se penche légèrement vers l’avant et attrape le bas de sa jupe. Lentement la sensuelle directrice relève sa jupe, dévoilant ses genoux puis le départ de ses voluptueuses cuisses.
Je m’étrangle du spectacle qui se désenveloppe à quelques centimètres de ses yeux. Tout en surveillant les alentours, Laëtitia remonte toujours l’ourlet de sa jupe, découvrant la moitié de ses cuisses.
-Tu ne veux toujours pas monter ?
-Ce n’est pas que je ne veux pas, c’est que je ne peux pas.
-Oui… c’est ça !
Elle décale légèrement un pied pour écarter un peu le compas de ses jambes. Je ne peux m’empêcher de porter mon regard à l’intérieur de ses rondeurs. Là la chef se déhanche lascivement pour faciliter la lente remontée impudique de sa jupe. Comme envoûté par le spectacle, j’incline même ma tête pour essayer d’en voir plus. Mais s’est sans compter sur l’emprise des sens surchauffés de Laetitia, qui poursuit la lente remontée de sa jupe et c’est maintenant l’intégralité des formes appétissantes de la chef qui s’offre à mes yeux.
Même dans mes fantasmes les plus fous, je n’aurais jamais imaginé que cette femme dont j’éprouve beaucoup de respect, m’offre une vue si impudique de son anatomie. La jupe est tellement remontée que je commence à discerner le fond de la culotte.
Sur le siège passager, Laëtitia continue la lente remontée de sa jupe mais se trouve gênée au niveau des hanches, ce qui l’agace un peu. Alors glissant ses doigts sous le tissu elle attrape l’élastique de sa culotte en tulle couleur châtaigne et tire dessus pour le faire descendre. Je reste figé, devant le spectacle qui m’est offert.
La fine toile de lin glisse sur les cuisses de Laëtitia qui s’empresse de soulever une jambe puis l’autre pour se séparer de son sous-vêtement. Prise de fièvre elle le frotte contre sa vulve trempée en insistant sur son clitoris dardé, s’arrachant quelques gémissements de plaisir.
Elle se mord les lèvres, se caresse encore. Les yeux fermés, elle enfonce ses doigts couverts de lin dans son sillon brûlant, les fait coulisser lentement entre ses petites lèvres. Je suis abasourdi par ce que je vois. Je ne peux m’empêcher d’empoigner sa petite lingerie de sa main, et je la porte à mes narines. Je l’hume de manière obscène. M’emplissant de ses effluves de femme en chaleur.
-Tu sens comme je te désire, ma culotte te prouve comme j’ai envie de toi.
Je reste sans voix. Je suis totalement enivré par les fragrances aphrodisiaques de ses sécrétions intimes imprégnées sur son slip. Totalement satisfaite de son effet, Laëtitia me pose de nouveau la fameuse question :
-Tu montes maintenant ?
Je n’en crois pas mes oreilles. Cette femme, à côté de laquelle je travaille tous les jours, depuis si longtemps, qui me propose une telle chose…
Je retire les clefs du contact et ouvre ma portière. Laëtitia est aux anges, elle a gagné.
Une fois chez elle, je veux prendre l’initiative mais elle m’en persuade.
-Attends-je veux te montrer encore quelque chose ! Me lâche-t-elle en prenant place sur le divan en cuir blanc.
Là, béate, Laëtitia se caresse longuement son genou, puis elle remonte sa main droite vers l’intérieur de ses cuisses et tout cela avec une pointe de perversité, qui m’étonne chez elle. Son corps se soulève et s’abaisse a un rythme du plaisir qui commence à l’envahir. Elle écarte les cuisses au maximum, comme si elle voulait déboiter ses articulations.
Elle prend sous la mousse blonde de son sexe, le clitoris vertigineux qui s’érige orgueilleusement, entre le pouce et l’index. Les autres doigts, elle les rassemble et les enfouit entre les lèvres, charnues et humides et sa féminité. À cette évocation, le jeu du poignet se fait plus rapides et plus rythmés que précédemment, les doigts agiles font un bruit de succion mouillée dans le sexe où ils vont et viennent. Déjà elle halète.
C’est l’instant que je choisis pour y mettre mon nez, respirant en profonde inspiration l’odeur entreprenante de son sexe en ébullition. D’un coup de langue, j’ouvre les lèvres mouillées, en même temps que je plaque mes lèvres avides. Je trouve la source, ma langue affolée s’y engouffre. Laëtitia se cabre en gémissant sous le plaisir qui l’envahit. De ses deux mains, elle ouvre son décolleté et fait jaillir les pointes de ses seins hors de leur nid douillet. Lentement elle les caresse avec ses paumes, les faisant durcir sous l’effleurement. Puis elle les prend entre le pouce et l’index et commence à les titiller en les pressant de plus en plus fort.
Ma langue, exacerbée par le désir, s’agite en un va-et-vient presque rageur. Il tourne autour d’un bouton rose qui durcit. Elle balance son ventre en haletant. Je me mets à lécher l’intérieur du vagin. Parfois je relève la tête pour scruter son visage et observais ma chef.
Je demeure attentif à ses sensations. À certains moments, après une caresse plus vive, son ventre tressaille et des spasmes parcourent ses cuisses. Sa respiration devient sifflante à s’approcher de la jouissance.
- Alors Laëtitia, demandais-je, ça vous plaît ?
- Oui, beaucoup.
- Et le trou du cul ?
Instinctivement, elle soulève ses cuisses et m’expose ses fesses pleines que séparait une raie étroite.
- On ne me la jamais fait, là aussi.
-Ça va de soit ! Vous voulez que j’essaye ?
- Tu crois que c’est propre ?
Je soulève ses jambes, les replis et les écarte. Comme elle ne fait rien pour m’aider, je lui place les mains à la saignée des genoux. Les jambes en l’air, elle m’offre sa fente du clitoris à l’anus. Ses poils se raccourcissent sous le vagin mais en rangs serrés, ils envahissent la raie jusqu’au coccyx, mettant une note bestiale dans le galbe parfait de son cul. Autour de l’anus protubérant, plissé comme un œillet mauve, s’étend une petite plage lisse en forme de médaille. Très excité, j’écarte les fesses pour mieux dégager l’orifice.
Son anus se déplie et s’ouvre dans ses poils. Il bée tant que j’en approche mon visage. Je me demande si elle ne va pas chier là, devant moi tant elle pousse.
L’odeur qui imprègne son sillon, mélange de parfums de sueur de mouille et de sécrétion anales, m saoule. Je commence par donner des coups de langue autour de l’anus, coiffant les poils dans l’entre fesse. Écartant l’anus avec mes pouces, j’enfile ma langue à l’intérieur. Par la même occasion j’introduis deux doigts dans le vagin. Laëtitia gémit en agitant les fesses. Mon nez dans ses poils de cul, je la lèche à perdre haleine. Emplissant ma bouche de son odeur.
La situation m’excite au plus haut point et j’ai presque envie de me branler tout en lui léchant le cul. Lorsque elle-même fait cesser mes turpitudes linguales en me demandant de venir l’enfiler.
-Laëtitia, c’est avec grand plaisir, fais-je en lui enfonçant ma verge entre les cuisses…
-Oui, Oui, vas-y, j’en ai tellement envie. Et cela depuis pas mal de nuits déjà, surtout dans mes scénarios de plaisir solitaire. Oui vas-y défonce-moi. C’est divin. Que j’aime çà…Encore, à fond, vas-y, vas-y fourres-moi bien comme çà.
J’accélère le rythme et Laëtitia crie bientôt de plaisir, alors que je me retire de son fourreau pour juter de longs jets de foutre crémeux sur son ventre.
Comme il se fait tard elle assiste pour que je partage son lit. Quelques heures plus tard, d’une manière fort agréable, puisque je me rends compte que Laëtitia est en train de me sucer et que je bande dur dans sa bouche.
-Ohh, Laëtitia, mais vous êtes insatiable…
-Dis, j’ai envie que tu me sodomises, tu veux bien ?
-Vos désirs sont des ordres Laëtitia, dis-je en me penchant sur elle, pour découvrir qu’en même temps qu’elle me suce dans mon sommeil, elle s’est introduit un vibromasseur dans la chatte.
Je lui demande de se mettre en levrette ce qu’elle fait avec dynamisme pour me présenter sa croupe. Je lui prends le vibromasseur des mains et commence à préparer son petit trou, le léchant, le titillant de mes doigts, important de sa mouille, l’excitant avec la pointe du gode, de telle sorte que quelques minutes plus tard, je peux fourrer sans difficulté un puis deux doigts dans son fondement.
Puis je présente mon gland à l’orée de sa rondelle et je peux m’introduire assez facilement. Elle vient bientôt elle-même au contact et s’enfile le gode dans la chatte. Je le sens vibrer contre la fine paroi de chair alors que je vais et viens doucement entre ses reins, la prenant bien à fond.
-Oui, Ohh oui, c’est bon, doucement continue comme çà. C’est bon de se faire enculer.
-Vous aimez, quelle coquine vous fêtes tout de même, un gode par-devant et une queue par-derrière…
-Oui, j’aime çà, je suis ta cheffe cochonne, hein ?
-Oui, ma belle cheffe enculée.
-Oui, j’aime me faire enculer, j’adore çà…
-Vous allez me faire jouir cheffe….
-Ouiii, jutes moi dans le cul, je veux sentir ta purée chaude… vas-y jouis-moi dans les fesses c’est bon…
Elle-même s’excitant de la perspective de sentir mon explosion et moi-même coulissant délicieusement dans son conduit anal, nous ne tardons pas à exploser de plaisir…
Après une douche réparatrice nous avons quitté les lieux pour vaquer à nos occupations professionnelles.
Pendant le trajet qui me mène jusque chez elle, et devant mon incrédulité flagrante, elle me confie ses expériences décevantes, vécues avec des mecs. M’explique également que sa situation de chef de service qui laisse peu le loisir de rencontrer des hommes, même si cela est déjà arrivé.
Enfin, surtout, elle me dit l’immense frustration de n’avoir jamais connu le plaisir absolu, mon étonnement est alors à son comble. Apprendre qu’elle n’a jamais eu d’orgasmes me surprend moins que le courage qui lui permet de me l’avouer.
Je dois bien admettre qu’elle n’a pas eu besoin de beaucoup d’arguments pour me convaincre de lui porter secours. Un rapprochement s’est vite opéré, nos lèvres se sont effleurées, alors que j’avais stoppé la voiture devant son immeuble.
-Tu montes ! M’invite-t-elle.
-Je ne sais pas, vous êtes ma directrice.
Rien dans son allure ne laissait prévoir son tempérament un peu spécial. Son look était celui d’une jeune femme calme.
-Et alors ! Nous serions les seuls à le savoir ! Lâche-t-elle, en faisant glisser ses mains le long de sa jupe. Laetitia jette alors un rapide coup d’œil circulaire pour s’assurer que personne nous observe, puis se penche légèrement vers l’avant et attrape le bas de sa jupe. Lentement la sensuelle directrice relève sa jupe, dévoilant ses genoux puis le départ de ses voluptueuses cuisses.
Je m’étrangle du spectacle qui se désenveloppe à quelques centimètres de ses yeux. Tout en surveillant les alentours, Laëtitia remonte toujours l’ourlet de sa jupe, découvrant la moitié de ses cuisses.
-Tu ne veux toujours pas monter ?
-Ce n’est pas que je ne veux pas, c’est que je ne peux pas.
-Oui… c’est ça !
Elle décale légèrement un pied pour écarter un peu le compas de ses jambes. Je ne peux m’empêcher de porter mon regard à l’intérieur de ses rondeurs. Là la chef se déhanche lascivement pour faciliter la lente remontée impudique de sa jupe. Comme envoûté par le spectacle, j’incline même ma tête pour essayer d’en voir plus. Mais s’est sans compter sur l’emprise des sens surchauffés de Laetitia, qui poursuit la lente remontée de sa jupe et c’est maintenant l’intégralité des formes appétissantes de la chef qui s’offre à mes yeux.
Même dans mes fantasmes les plus fous, je n’aurais jamais imaginé que cette femme dont j’éprouve beaucoup de respect, m’offre une vue si impudique de son anatomie. La jupe est tellement remontée que je commence à discerner le fond de la culotte.
Sur le siège passager, Laëtitia continue la lente remontée de sa jupe mais se trouve gênée au niveau des hanches, ce qui l’agace un peu. Alors glissant ses doigts sous le tissu elle attrape l’élastique de sa culotte en tulle couleur châtaigne et tire dessus pour le faire descendre. Je reste figé, devant le spectacle qui m’est offert.
La fine toile de lin glisse sur les cuisses de Laëtitia qui s’empresse de soulever une jambe puis l’autre pour se séparer de son sous-vêtement. Prise de fièvre elle le frotte contre sa vulve trempée en insistant sur son clitoris dardé, s’arrachant quelques gémissements de plaisir.
Elle se mord les lèvres, se caresse encore. Les yeux fermés, elle enfonce ses doigts couverts de lin dans son sillon brûlant, les fait coulisser lentement entre ses petites lèvres. Je suis abasourdi par ce que je vois. Je ne peux m’empêcher d’empoigner sa petite lingerie de sa main, et je la porte à mes narines. Je l’hume de manière obscène. M’emplissant de ses effluves de femme en chaleur.
-Tu sens comme je te désire, ma culotte te prouve comme j’ai envie de toi.
Je reste sans voix. Je suis totalement enivré par les fragrances aphrodisiaques de ses sécrétions intimes imprégnées sur son slip. Totalement satisfaite de son effet, Laëtitia me pose de nouveau la fameuse question :
-Tu montes maintenant ?
Je n’en crois pas mes oreilles. Cette femme, à côté de laquelle je travaille tous les jours, depuis si longtemps, qui me propose une telle chose…
Je retire les clefs du contact et ouvre ma portière. Laëtitia est aux anges, elle a gagné.
Une fois chez elle, je veux prendre l’initiative mais elle m’en persuade.
-Attends-je veux te montrer encore quelque chose ! Me lâche-t-elle en prenant place sur le divan en cuir blanc.
Là, béate, Laëtitia se caresse longuement son genou, puis elle remonte sa main droite vers l’intérieur de ses cuisses et tout cela avec une pointe de perversité, qui m’étonne chez elle. Son corps se soulève et s’abaisse a un rythme du plaisir qui commence à l’envahir. Elle écarte les cuisses au maximum, comme si elle voulait déboiter ses articulations.
Elle prend sous la mousse blonde de son sexe, le clitoris vertigineux qui s’érige orgueilleusement, entre le pouce et l’index. Les autres doigts, elle les rassemble et les enfouit entre les lèvres, charnues et humides et sa féminité. À cette évocation, le jeu du poignet se fait plus rapides et plus rythmés que précédemment, les doigts agiles font un bruit de succion mouillée dans le sexe où ils vont et viennent. Déjà elle halète.
C’est l’instant que je choisis pour y mettre mon nez, respirant en profonde inspiration l’odeur entreprenante de son sexe en ébullition. D’un coup de langue, j’ouvre les lèvres mouillées, en même temps que je plaque mes lèvres avides. Je trouve la source, ma langue affolée s’y engouffre. Laëtitia se cabre en gémissant sous le plaisir qui l’envahit. De ses deux mains, elle ouvre son décolleté et fait jaillir les pointes de ses seins hors de leur nid douillet. Lentement elle les caresse avec ses paumes, les faisant durcir sous l’effleurement. Puis elle les prend entre le pouce et l’index et commence à les titiller en les pressant de plus en plus fort.
Ma langue, exacerbée par le désir, s’agite en un va-et-vient presque rageur. Il tourne autour d’un bouton rose qui durcit. Elle balance son ventre en haletant. Je me mets à lécher l’intérieur du vagin. Parfois je relève la tête pour scruter son visage et observais ma chef.
Je demeure attentif à ses sensations. À certains moments, après une caresse plus vive, son ventre tressaille et des spasmes parcourent ses cuisses. Sa respiration devient sifflante à s’approcher de la jouissance.
- Alors Laëtitia, demandais-je, ça vous plaît ?
- Oui, beaucoup.
- Et le trou du cul ?
Instinctivement, elle soulève ses cuisses et m’expose ses fesses pleines que séparait une raie étroite.
- On ne me la jamais fait, là aussi.
-Ça va de soit ! Vous voulez que j’essaye ?
- Tu crois que c’est propre ?
Je soulève ses jambes, les replis et les écarte. Comme elle ne fait rien pour m’aider, je lui place les mains à la saignée des genoux. Les jambes en l’air, elle m’offre sa fente du clitoris à l’anus. Ses poils se raccourcissent sous le vagin mais en rangs serrés, ils envahissent la raie jusqu’au coccyx, mettant une note bestiale dans le galbe parfait de son cul. Autour de l’anus protubérant, plissé comme un œillet mauve, s’étend une petite plage lisse en forme de médaille. Très excité, j’écarte les fesses pour mieux dégager l’orifice.
Son anus se déplie et s’ouvre dans ses poils. Il bée tant que j’en approche mon visage. Je me demande si elle ne va pas chier là, devant moi tant elle pousse.
L’odeur qui imprègne son sillon, mélange de parfums de sueur de mouille et de sécrétion anales, m saoule. Je commence par donner des coups de langue autour de l’anus, coiffant les poils dans l’entre fesse. Écartant l’anus avec mes pouces, j’enfile ma langue à l’intérieur. Par la même occasion j’introduis deux doigts dans le vagin. Laëtitia gémit en agitant les fesses. Mon nez dans ses poils de cul, je la lèche à perdre haleine. Emplissant ma bouche de son odeur.
La situation m’excite au plus haut point et j’ai presque envie de me branler tout en lui léchant le cul. Lorsque elle-même fait cesser mes turpitudes linguales en me demandant de venir l’enfiler.
-Laëtitia, c’est avec grand plaisir, fais-je en lui enfonçant ma verge entre les cuisses…
-Oui, Oui, vas-y, j’en ai tellement envie. Et cela depuis pas mal de nuits déjà, surtout dans mes scénarios de plaisir solitaire. Oui vas-y défonce-moi. C’est divin. Que j’aime çà…Encore, à fond, vas-y, vas-y fourres-moi bien comme çà.
J’accélère le rythme et Laëtitia crie bientôt de plaisir, alors que je me retire de son fourreau pour juter de longs jets de foutre crémeux sur son ventre.
Comme il se fait tard elle assiste pour que je partage son lit. Quelques heures plus tard, d’une manière fort agréable, puisque je me rends compte que Laëtitia est en train de me sucer et que je bande dur dans sa bouche.
-Ohh, Laëtitia, mais vous êtes insatiable…
-Dis, j’ai envie que tu me sodomises, tu veux bien ?
-Vos désirs sont des ordres Laëtitia, dis-je en me penchant sur elle, pour découvrir qu’en même temps qu’elle me suce dans mon sommeil, elle s’est introduit un vibromasseur dans la chatte.
Je lui demande de se mettre en levrette ce qu’elle fait avec dynamisme pour me présenter sa croupe. Je lui prends le vibromasseur des mains et commence à préparer son petit trou, le léchant, le titillant de mes doigts, important de sa mouille, l’excitant avec la pointe du gode, de telle sorte que quelques minutes plus tard, je peux fourrer sans difficulté un puis deux doigts dans son fondement.
Puis je présente mon gland à l’orée de sa rondelle et je peux m’introduire assez facilement. Elle vient bientôt elle-même au contact et s’enfile le gode dans la chatte. Je le sens vibrer contre la fine paroi de chair alors que je vais et viens doucement entre ses reins, la prenant bien à fond.
-Oui, Ohh oui, c’est bon, doucement continue comme çà. C’est bon de se faire enculer.
-Vous aimez, quelle coquine vous fêtes tout de même, un gode par-devant et une queue par-derrière…
-Oui, j’aime çà, je suis ta cheffe cochonne, hein ?
-Oui, ma belle cheffe enculée.
-Oui, j’aime me faire enculer, j’adore çà…
-Vous allez me faire jouir cheffe….
-Ouiii, jutes moi dans le cul, je veux sentir ta purée chaude… vas-y jouis-moi dans les fesses c’est bon…
Elle-même s’excitant de la perspective de sentir mon explosion et moi-même coulissant délicieusement dans son conduit anal, nous ne tardons pas à exploser de plaisir…
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magnifique fantasme