Comment se défendre quand on est accusé de viol. 3
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Comment se défendre quand on est accusé de viol. 3
Comment se défendre quand on est accusé de viol. 3
J’ai donc monté ce stratagème avec ma greffière et une policière de mes amies qui aime bien la chose, Francine. Pas dupe, monsieur TTTTT que j’appellerai Pascal pour garder son anonymat s’étant prêté au jeu.
Je dois dire que malgré ses dires et ses vidéos, je suis très impressionnée en voyant Francine officier, prouvant sans aucune ambiguïté que tout ce qu’il a dit est parfaitement exacte jusqu’au moindre détail.
Suite :
Je suis restée ainsi à regarder Francine en train de branler ce sexe d’une bonne taille et absolument hallucinante par son diamètre comme scotchée quand il annonce qu’il va jouir… Jamais je n’ai été confrontée à une bite pareille ! Comme Francine a obéi à mon ordre, Pascal a la tête penchée en avant et s’astique le manche frénétiquement avec sa main droite. Je fixe comme ma greffière la scène comme hypnotisée par le spectacle proposé pour voir si ses affirmations sont véridiques jusqu’à la fin. Je n’ai jamais vu ça, je le vois envoyer une purée phénoménale en plusieurs jets longs et puissants. Il vient de se vider les couilles en râlant sous nos yeux. Il est là, debout devant moi, avec son braquemart pas encore suffisamment raide qui pointe dans ma direction après son exploit.
Je n’y tiens plus, j’avance mes mains vers la chose et enfin peut me servir d’un autre sens, le toucher. Je commence à effleurer sa teub qui a à peine baissée du nez. Je la malaxe, la branle, c’est une sensation incroyable… Certes, j’aime la bite et je sais qu’il y en a des encore plus grosses, surtout en longueur, mais d’avoir un truc aussi énorme qui se raidit déjà à nouveau dans mes mains… et cette odeur de sperme… Je ne peux comme Francine résister plus longtemps et me penche en avant, approche mon visage de sa queue. Pascal se laisse faire. Je passe plusieurs fois le monumental gland visqueux qui ne tardera pas je l’espère à être prêt à exploser sur mes lèvres et dans ma bouche. Je le sens trembler sur ses jambes. Je me régale vraiment de cette odeur, de cette lance qui sent déjà le sperme, c’est fort, très, très, fort.
Je dois bien avouer que ce sexe réveille chez moi un désir violent que je veux assouvir. Dans ma main, la bête revit, elle est de nouveau dure et surtout très chaude, avec quelques poils à sa base qui soulignent sa grosseur terrifiante. Je l’agite dans la paume de ma main droite et commence à flatter la « grosse bête » si prompte à m’honorer d’une nouvelle érection. Ma main baladeuse et délicate explore le morceau. J’observe le volume de l’objet ainsi fourbi qui augmente encore sensiblement.
Je le flatte de mes doigts légers et vois la plénitude virile qui se redresse sous ma caresse de plus en plus appuyée. Je m’agenouille et prenant Pascal par une fesse de ma main gauche, l’attire en même temps vers moi, ouvre la bouche et avale ce gros loukoum en guise de friandise. Mes joues se creusent et se gonflent alternativement. J’engloutis une partie de sa queue… Vu la taille, je ne peux en mettre que les deux-tiers dans ma bouche… C’est chaud et bon, je branle le reste de l’engin dont ma petite main ne peut en faire le tour. A son regard perdu, il doit être aux anges, mais une importune vient me bousculer, c’est ma greffière Martine qui veut pour son rapport constater par elle-même que la marchandise promise est de bonne qualité. Je lui cède la place et la regarde avaler presque en entier la tige de Pascal, quelle goulue…, elle absorbe plus que moi ce formidable bâton d’amour, elle aime sucer ça se voit et doit avoir une longue expérience. Quand je lui chipe le « témoin », elle en profite pour prendre des notes sur son ordi tout en commentant :
-Monsieur Pascal a une jolie verge bien découplée parcourue de belles veines apparentes, lisse avec à son extrémité, un gland gonflé de taille plus que respectable, un adorable bijou que l’on veut toucher, si doux et pourtant si dur qui en un temps record, a de nouveau une érection formidable.
Et cette boursouflure-là, elle ne vous fait pas souffrir ? l’interroge-t-elle, quand d’un doigt léger, elle caresse le gland et la formidable tige, puis soupesant les bourses pour estimer le juste poids des petits sacs gonflés en dessous.
Sa main tremble un peu sur la chose et sa bouche s’entrouvre sur une langue gourmande.
Il ne peut plus soutenir ses provocations, l’animal exige son tribut. Il sent le souffle chaud sur son mât turgescent, la saisit à la nuque et, avec autorité guide la tête de Martine vers son sexe dardé, la contraignant à l’absorber plus que de raison. Mais nous nous battons maintenant à trois pour être celle qui profitera à nouveau de sa manne. Il ne peut résister bien longtemps à Francine qui s’est glissée sous lui pour gober ses prunes pendant que je m’occupe de la hampe avec mes lèvres et que Martine aspire dans sa bouche le gland prêt à cracher son venin. Comme il ne veut pas faire de jalouse, Pascal nous repousse toutes et se branle devant trois bouches affamées. La nature a été généreuse avec lui car une nouvelle fois, il éjacule de longs filaments blanchâtres en quantité suffisante pour nous permettre d’apprécier chacune à notre tour la qualité de sa semence. Il se recule alors avant de nous faire remarquer.
-C’est bien beau ça, mais je manque à tous mes devoirs. Je vous ai préparé une petite collation pour reprendre des forces, enfin surtout pour moi. Je passe un short pour être plus convenable. Mais après, ce sera à moi de vous effeuiller, de vous caresser, de vous lécher, et si vous y consentez en me signant une décharge pour ne pas être accusé de triple viol, de vous baiser l’une après l’autre. Je vais faire ce qu’il faut pour ne pas vous décevoir. Mieux vaut avoir la police et la justice dans sa poche… ou au bout de sa queue…
Nous éclatons de rire. Pendant l’heure qui suit, nous discutons comme de vieux amis, parlant de tout et de rien. Il s’absente et revient quelques minutes plus tard, retire son short et je constate qu’il a passé un anneau de caoutchouc à la base de sa queue qui déjà ne laisse pas un millimètre de jeu. Il se dirige vers sa chambre et nous le suivons comme des Sabines allant dévotement louer le Dieu Priape.
Il nous déshabille l’une après l’autre, ses mains courent sur nos poitrines, nos hanches, nos fesses. Sa langue goute un téton, une bouche pulpeuse, le galbe d’un sein. Je ne sais pas si ça vient de l’anneau qui emprisonne sa verge ou/et d’un cachet bleu, mais son sexe malgré les jouissances précédentes a repris du service. Il est encore plus ferme, plus rigide et l’extrémité de sa lance pointe orgueilleusement vers le ciel sans l’aide de mains charitables, mais il n’en a cure.
S’approchant de Martine, les seins bombés, le buste orgueilleusement tendu, il exhibe sans vergogne son cep à faire pâlir d’envie la plus garce des vigneronnes.
Sans se presser, il commence de frotter son braquemard sur le cou, les joues de ma greffière, descend le long des bras, glisse sur la pulpe d’un sein. Elle ne bronche pas, ce contact doux et chaud l’électrise. Elle est tendue mais passive. Il passe de l’une à l’autre. Sa bouche, sa langue, ses mains, sa verge mènent chacun une vie propre, il m’embrasse pendant que ses mains caressent les poitrines de mes voisines qui pour lui rendre la pareille branlent son sabre au clair. Martine presse avec douceur le prépuce au niveau du gland, regardant s’ouvrir ce drôle de petit œil rosé, déposant tel une aile de papillon un baiser dessus.
Pascal enduit nos corps d’huile d’argan et nous masse lentement. Ses mains larges et épaisses parcourent nos corps avec une légèreté surprenante. Dos, cuisses, jambes, aucune partie de nos corps ne sont oubliées mais c’est surtout sur les fesses qu’il concentre son attention, pétrissant et malaxant longuement les globes charnus, je suis aux anges et apprécie ce traitement, son regard brûlant parcourt mes formes, mes fesses, détaille, le haut de mes cuisses, caresse mes seins, roule sur le creux de mes hanches et dévale la courbure de mes reins... Je ferme les yeux dans la tiédeur de la pièce, appréciant ses caresses qui me frôlent, me touchent, me pénètrent, me troublent les sens et me chavirent... Je sens une nouvelle onde de plaisir mais le salaud est expert et quand il sent que je déferle sous ses caresses qui me font chavirer, il m’abandonne pour s’occuper de ma greffière, encouragé par Francine :
- Je crois bien que nous pouvons t'aider sur ce coup-là ! Regardez les filles, il frétille d'excitation, sa queue semble encore s'étirer.
Sous la paume de sa main, Pascal en profite pour s’enhardir jusqu’à glisser ses doigts dans le sillon de nos fesses, poursuivant une investigation précautionneuse vers nos intimités sur lesquelles il s’immobilise, provoquer une anodine crispation des cuisses et un gémissement de satisfaction de l’une ou de l’autre. Il caresse subrepticement le trou de derrière sous les encouragements de Francine, l’explorant d’un majeur conquérant.
-Tu sais y faire, j’aime beaucoup la délicatesse de ta main, tu es parfait.
A suivre…
Ps : Certaines personnes se servent de mes textes pour fantasmer comme bon leur semble. Elles n'iront donc pas chercher plus loin. Souvent on me reproche dans mes histoires que le héros soit souvent un homme bien membré. Pour ma défense, je les incite à lire ce qui suit.
Pour les petits curieux et curieuses, je vais vous donner le moyen de pouvoir visionner ces deux vidéos et vous pourrez vous faire votre opinion par vous-même. Alors ! Suis-je un homme comme on en rencontre tant ou alors comme a dit la femme d’un couple qui m'a contacté : « Ce n'est pas un homme, c'est un cheval ! »
Je vais joindre aussi une troisième vidéo qui vous indique comment prendre les mensurations d’un homme et sur laquelle je me suis appuyé pour ma démonstration puisque c'est moi qui l’ai postée sur le net.
Pour la première vidéo, il suffit de taper sur votre clavier « MLKJHG 39, hors-normes » et de regarder la cinquième contribution.
Pour la deuxième vidéo, tapez sur votre clavier : « belles éjaculations au ralenti » Du même auteur et dites-moi ce que vous en pensez.
La troisième vidéo que je vous préconise s'intitule : « comment mesurer sa bite » par MLKJHG 39.
Je sais bien que tous les hommes accusés de viol ne peuvent pas comme moi prouver aussi facilement leurs dires. Mais la description la plus détaillée possible de votre anatomie apporte de l'eau à votre moulin et peut prouver qu'il n'y a pas eu de rapport. Bien entendu, dans un cas de rapport consenti ou non consenti, ça ne marchera pas.
Un citoyen qui a lavé son honneur….
Bien entendu, cette histoire n’est qu’un fantasme de plus d’une imagination débordante pour votre plus grand plaisir. Vos commentaires seront les bienvenus.
J’ai donc monté ce stratagème avec ma greffière et une policière de mes amies qui aime bien la chose, Francine. Pas dupe, monsieur TTTTT que j’appellerai Pascal pour garder son anonymat s’étant prêté au jeu.
Je dois dire que malgré ses dires et ses vidéos, je suis très impressionnée en voyant Francine officier, prouvant sans aucune ambiguïté que tout ce qu’il a dit est parfaitement exacte jusqu’au moindre détail.
Suite :
Je suis restée ainsi à regarder Francine en train de branler ce sexe d’une bonne taille et absolument hallucinante par son diamètre comme scotchée quand il annonce qu’il va jouir… Jamais je n’ai été confrontée à une bite pareille ! Comme Francine a obéi à mon ordre, Pascal a la tête penchée en avant et s’astique le manche frénétiquement avec sa main droite. Je fixe comme ma greffière la scène comme hypnotisée par le spectacle proposé pour voir si ses affirmations sont véridiques jusqu’à la fin. Je n’ai jamais vu ça, je le vois envoyer une purée phénoménale en plusieurs jets longs et puissants. Il vient de se vider les couilles en râlant sous nos yeux. Il est là, debout devant moi, avec son braquemart pas encore suffisamment raide qui pointe dans ma direction après son exploit.
Je n’y tiens plus, j’avance mes mains vers la chose et enfin peut me servir d’un autre sens, le toucher. Je commence à effleurer sa teub qui a à peine baissée du nez. Je la malaxe, la branle, c’est une sensation incroyable… Certes, j’aime la bite et je sais qu’il y en a des encore plus grosses, surtout en longueur, mais d’avoir un truc aussi énorme qui se raidit déjà à nouveau dans mes mains… et cette odeur de sperme… Je ne peux comme Francine résister plus longtemps et me penche en avant, approche mon visage de sa queue. Pascal se laisse faire. Je passe plusieurs fois le monumental gland visqueux qui ne tardera pas je l’espère à être prêt à exploser sur mes lèvres et dans ma bouche. Je le sens trembler sur ses jambes. Je me régale vraiment de cette odeur, de cette lance qui sent déjà le sperme, c’est fort, très, très, fort.
Je dois bien avouer que ce sexe réveille chez moi un désir violent que je veux assouvir. Dans ma main, la bête revit, elle est de nouveau dure et surtout très chaude, avec quelques poils à sa base qui soulignent sa grosseur terrifiante. Je l’agite dans la paume de ma main droite et commence à flatter la « grosse bête » si prompte à m’honorer d’une nouvelle érection. Ma main baladeuse et délicate explore le morceau. J’observe le volume de l’objet ainsi fourbi qui augmente encore sensiblement.
Je le flatte de mes doigts légers et vois la plénitude virile qui se redresse sous ma caresse de plus en plus appuyée. Je m’agenouille et prenant Pascal par une fesse de ma main gauche, l’attire en même temps vers moi, ouvre la bouche et avale ce gros loukoum en guise de friandise. Mes joues se creusent et se gonflent alternativement. J’engloutis une partie de sa queue… Vu la taille, je ne peux en mettre que les deux-tiers dans ma bouche… C’est chaud et bon, je branle le reste de l’engin dont ma petite main ne peut en faire le tour. A son regard perdu, il doit être aux anges, mais une importune vient me bousculer, c’est ma greffière Martine qui veut pour son rapport constater par elle-même que la marchandise promise est de bonne qualité. Je lui cède la place et la regarde avaler presque en entier la tige de Pascal, quelle goulue…, elle absorbe plus que moi ce formidable bâton d’amour, elle aime sucer ça se voit et doit avoir une longue expérience. Quand je lui chipe le « témoin », elle en profite pour prendre des notes sur son ordi tout en commentant :
-Monsieur Pascal a une jolie verge bien découplée parcourue de belles veines apparentes, lisse avec à son extrémité, un gland gonflé de taille plus que respectable, un adorable bijou que l’on veut toucher, si doux et pourtant si dur qui en un temps record, a de nouveau une érection formidable.
Et cette boursouflure-là, elle ne vous fait pas souffrir ? l’interroge-t-elle, quand d’un doigt léger, elle caresse le gland et la formidable tige, puis soupesant les bourses pour estimer le juste poids des petits sacs gonflés en dessous.
Sa main tremble un peu sur la chose et sa bouche s’entrouvre sur une langue gourmande.
Il ne peut plus soutenir ses provocations, l’animal exige son tribut. Il sent le souffle chaud sur son mât turgescent, la saisit à la nuque et, avec autorité guide la tête de Martine vers son sexe dardé, la contraignant à l’absorber plus que de raison. Mais nous nous battons maintenant à trois pour être celle qui profitera à nouveau de sa manne. Il ne peut résister bien longtemps à Francine qui s’est glissée sous lui pour gober ses prunes pendant que je m’occupe de la hampe avec mes lèvres et que Martine aspire dans sa bouche le gland prêt à cracher son venin. Comme il ne veut pas faire de jalouse, Pascal nous repousse toutes et se branle devant trois bouches affamées. La nature a été généreuse avec lui car une nouvelle fois, il éjacule de longs filaments blanchâtres en quantité suffisante pour nous permettre d’apprécier chacune à notre tour la qualité de sa semence. Il se recule alors avant de nous faire remarquer.
-C’est bien beau ça, mais je manque à tous mes devoirs. Je vous ai préparé une petite collation pour reprendre des forces, enfin surtout pour moi. Je passe un short pour être plus convenable. Mais après, ce sera à moi de vous effeuiller, de vous caresser, de vous lécher, et si vous y consentez en me signant une décharge pour ne pas être accusé de triple viol, de vous baiser l’une après l’autre. Je vais faire ce qu’il faut pour ne pas vous décevoir. Mieux vaut avoir la police et la justice dans sa poche… ou au bout de sa queue…
Nous éclatons de rire. Pendant l’heure qui suit, nous discutons comme de vieux amis, parlant de tout et de rien. Il s’absente et revient quelques minutes plus tard, retire son short et je constate qu’il a passé un anneau de caoutchouc à la base de sa queue qui déjà ne laisse pas un millimètre de jeu. Il se dirige vers sa chambre et nous le suivons comme des Sabines allant dévotement louer le Dieu Priape.
Il nous déshabille l’une après l’autre, ses mains courent sur nos poitrines, nos hanches, nos fesses. Sa langue goute un téton, une bouche pulpeuse, le galbe d’un sein. Je ne sais pas si ça vient de l’anneau qui emprisonne sa verge ou/et d’un cachet bleu, mais son sexe malgré les jouissances précédentes a repris du service. Il est encore plus ferme, plus rigide et l’extrémité de sa lance pointe orgueilleusement vers le ciel sans l’aide de mains charitables, mais il n’en a cure.
S’approchant de Martine, les seins bombés, le buste orgueilleusement tendu, il exhibe sans vergogne son cep à faire pâlir d’envie la plus garce des vigneronnes.
Sans se presser, il commence de frotter son braquemard sur le cou, les joues de ma greffière, descend le long des bras, glisse sur la pulpe d’un sein. Elle ne bronche pas, ce contact doux et chaud l’électrise. Elle est tendue mais passive. Il passe de l’une à l’autre. Sa bouche, sa langue, ses mains, sa verge mènent chacun une vie propre, il m’embrasse pendant que ses mains caressent les poitrines de mes voisines qui pour lui rendre la pareille branlent son sabre au clair. Martine presse avec douceur le prépuce au niveau du gland, regardant s’ouvrir ce drôle de petit œil rosé, déposant tel une aile de papillon un baiser dessus.
Pascal enduit nos corps d’huile d’argan et nous masse lentement. Ses mains larges et épaisses parcourent nos corps avec une légèreté surprenante. Dos, cuisses, jambes, aucune partie de nos corps ne sont oubliées mais c’est surtout sur les fesses qu’il concentre son attention, pétrissant et malaxant longuement les globes charnus, je suis aux anges et apprécie ce traitement, son regard brûlant parcourt mes formes, mes fesses, détaille, le haut de mes cuisses, caresse mes seins, roule sur le creux de mes hanches et dévale la courbure de mes reins... Je ferme les yeux dans la tiédeur de la pièce, appréciant ses caresses qui me frôlent, me touchent, me pénètrent, me troublent les sens et me chavirent... Je sens une nouvelle onde de plaisir mais le salaud est expert et quand il sent que je déferle sous ses caresses qui me font chavirer, il m’abandonne pour s’occuper de ma greffière, encouragé par Francine :
- Je crois bien que nous pouvons t'aider sur ce coup-là ! Regardez les filles, il frétille d'excitation, sa queue semble encore s'étirer.
Sous la paume de sa main, Pascal en profite pour s’enhardir jusqu’à glisser ses doigts dans le sillon de nos fesses, poursuivant une investigation précautionneuse vers nos intimités sur lesquelles il s’immobilise, provoquer une anodine crispation des cuisses et un gémissement de satisfaction de l’une ou de l’autre. Il caresse subrepticement le trou de derrière sous les encouragements de Francine, l’explorant d’un majeur conquérant.
-Tu sais y faire, j’aime beaucoup la délicatesse de ta main, tu es parfait.
A suivre…
Ps : Certaines personnes se servent de mes textes pour fantasmer comme bon leur semble. Elles n'iront donc pas chercher plus loin. Souvent on me reproche dans mes histoires que le héros soit souvent un homme bien membré. Pour ma défense, je les incite à lire ce qui suit.
Pour les petits curieux et curieuses, je vais vous donner le moyen de pouvoir visionner ces deux vidéos et vous pourrez vous faire votre opinion par vous-même. Alors ! Suis-je un homme comme on en rencontre tant ou alors comme a dit la femme d’un couple qui m'a contacté : « Ce n'est pas un homme, c'est un cheval ! »
Je vais joindre aussi une troisième vidéo qui vous indique comment prendre les mensurations d’un homme et sur laquelle je me suis appuyé pour ma démonstration puisque c'est moi qui l’ai postée sur le net.
Pour la première vidéo, il suffit de taper sur votre clavier « MLKJHG 39, hors-normes » et de regarder la cinquième contribution.
Pour la deuxième vidéo, tapez sur votre clavier : « belles éjaculations au ralenti » Du même auteur et dites-moi ce que vous en pensez.
La troisième vidéo que je vous préconise s'intitule : « comment mesurer sa bite » par MLKJHG 39.
Je sais bien que tous les hommes accusés de viol ne peuvent pas comme moi prouver aussi facilement leurs dires. Mais la description la plus détaillée possible de votre anatomie apporte de l'eau à votre moulin et peut prouver qu'il n'y a pas eu de rapport. Bien entendu, dans un cas de rapport consenti ou non consenti, ça ne marchera pas.
Un citoyen qui a lavé son honneur….
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai visionné (hors normes). Que c'est beau !!! J'en ai mouillé ma culotte.
Vaut mieux qu'il ne les déçoive pas
Bonne mise en bouche, maintenant il faut passer au plat de résistance.
Pour un fois que c'est les femmes qui abusent de leur pouvoir. Mais quand l'homme est consentant...
Elles n'ont pas honte ! Se servir de leur titre pour profiter d'un pauvre homme.
J'attends la suite avec impatience
Je croyais qu'il affabulait, et pourtant. La preuve par l'image.
J'espère que la suite vous plait.
L'auteur
L'auteur
Enfin on entre dans le vif du sujet. De spectatrices, elles vont pouvoir se déchaîner pour voir si ce qui est en vitrine est aussi en état de fonctionnement.