Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 17
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2022 dans la catégorie Plus on est
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Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 17
Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 17
Suite à la demande de mes fans, j’ai écrit une suite à cette histoire. J’espère qu’elle vous plaira. Vous pouvez aussi découvrir la plastique d’Arthur sur ma page d’accueil.
Maelys se précipite sur moi qui aurais voulu disparaître dans un trou de souris et m’arrache le masque qui dissimule mon visage.
-Quelle horreur ! Maman ! Quelle famille de désaxés ! Pas l’une pour rattraper l’autre ! J’étais déjà outrée que ma tante se tape mon frère, mais toi, toi ! Comment as-tu pu faire ça ? ? Je sais bien que ce n’est pas vraiment ton fils, mais quand même ! Puis se tournant vers ma nièce, viens Virginie, on ne peut pas rester une seconde de plus dans cette maison de fous.
Elle se rhabille ainsi que Virginie et quitte le salon. Ma nièce tourne une dernière fois la tête vers Arthur en passant la porte, comme à regret de devoir abandonner cette lance qui a à peine baissé la tête après son dernier exploit.
-Dommage ! Et elle referme la porte.
Après cette intermède, le cœur n’y est plus et nous mettons fin à cette drôle de réunion de famille.
Suite :(Maelys).
Quelques jours après à la coloc.
-Ambre, espèce de salope ! Si on avait su le tour pendable que tu nous as fait, on ne t’aurait pas pris comme coloc, et d’ailleurs je ne…-Eh tout doux Maelys ! Me coupe-t-elle en nous fixant tour à tour. Je ne savais pas que Cécile et Nadège étaient vos mères respectives, et donc pas plus qu’Arthur était ton frère, je le jure !
-Que tu dis, reprend Virginie. Arthur n’a pas le même nom que maman puisque qu’elle a repris son nom de jeune fille et que lui a celui de son père et que de toute façon ce n’est que son beau-fils, mais moi et Nadège…-S’il fallait que je fasse une enquête de police maintenant, constate Ambre. En plus vous avez un nom assez courant. Et c’est vous qui êtes venues me chercher pour vous faire « l’étalon blanc », ne renversez pas les rôles… Et ne me dites pas que vous n’avez-pas aimé chevaucher sa bite, de vraies furies.
-Ce n’est pas la question, je lui fais remarquer. Bien-sûr que c’est un sacré coup, sinon le meilleur. Mais c’est mon demi-frère, bordel !!!
-Et alors ! Me fait remarquer Ambre. Tu crois que ça a gêné ta tante Nadège, en toute connaissance de cause. Et il n’a pas fallu pousser beaucoup ta mère pour qu’elle s’envoie en l’air elle aussi avec Arthur. C’est même la plus acharnée maintenant.
-Quand penses-tu ? Me questionne Virginie. On serait bien bête de ne pas se partager le gâteau…enfin je veux dire les faveurs d’Arthur. De toute façon, on a déjà sauter le pas deux fois et je dois dire que ça m’a bien plu. Je ne vois pas pourquoi on ferait les vierges effarouchées pendant que nos mères se donneraient du bon temps sur le beau chibre de ton frère… un sacré phénomène, d’ailleurs.
Pour crever l’abcès, nous demandons à Arthur de nous rejoindre. Une heure après, il est là et le débat recommence. Arthur prend enfin la parole pour désamorcer la bombe.
-Eh les filles ! Moi je vous aime toutes mais faudrait pas me prendre pour votre esclave servile. J’ai à peine eu le temps de réaliser ce qu’il s’est passé l’autre jour. Vous faites les petites filles prudes mais j’ai des yeux et des oreilles… et vous, vous avez le feu au cul. Il faudrait faire attention à votre réputation si un jour vous voulez trouver un pigeon comme mari. Maintenant, je ne vous toucherai plus ni les unes ni les autres tant que vous n’aurez pas trouvé un terrain d’entente avec Nadège et maman. La balle est dans votre camp…Nous discutons pendant encore une heure mais on ne va pas y couper. Il faut que l’on fasse une réunion au sommet pour se partager le « monde ». Hi. Hi. HI…
Nous nous retrouvons donc toutes les quatre entre mères et filles. L’atmosphère est électrique et la moindre étincelle risque de mettre le feu aux poudres. Mais Nadège, en tant que professionnelle sait trouver les mots pour faire retomber la pression.
-Bien, bien ! De toute façon, il faut se rappeler que quoi qu’on décide, il ne faudra pas que ça sorte de cette pièce, et du cercle familial. Il manquerait plus que ça se sache, ça serait la honte pour nous toutes et on passerait pour une sacrée famille de désaxées. J’ai révélé une vraie star du sexe en décoinçant Arthur et on ne peut pas revenir en arrière. Pour lui, il n’a plus qu’à se baisser maintenant pour ramasser des conquêtes à la pelle. A savoir si nous voulons profiter d’une « part du gâteau », si je peux m’exprimer ainsi. Les filles… Vous savez maintenant que pour Cécile et moi, si on peut continuer à nous donner du plaisir avec Arthur, eh bien, on ne se privera pas ! Et vous ? Que décidez-vous ? N’oubliez pas qu’en fait, il n’a aucun lien de parenté entre lui et nous.
-On ne va pas être plus bêtes que vous, lâche Virginie, mais il va falloir qu’on se partage son « temps libre ». Il ne va quand même pas nous sauter toutes les quatre en même temps, quand même ?!
- Tu as raison, reprend Nadège. Mais il faut sceller ce pacte dans le sang, ou devrais-je dire dans le sperme. Je m’occupe de tout et on se retrouve toute ici dans une semaine.
Donc huit jours plus tard, il ne manque personne à l’appel. Comme d’habitude, c’est ma tante qui mène la danse.
-Pour que notre poulain tienne la distance malgré ses bonnes prédispositions et avec son accord, Il a pris sous ma responsabilité de sexologue un cachet de Viagra et pour augmenter encore l’effet, je lui ai passé un cockring tout à l’heure.
-C’est quoi un cockring, tata ? Je l’interroge.
-C’est un anneau de caoutchouc souple d’un diamètre inférieur à celui de sa verge et qui permet de bloquer le sang qui afflue dans son pénis. Ça l’empêche de débander trop vite et ainsi il peut remettre le couvert avant de retrouver complètement l’appétit, si je puis dire.
Arthur est debout au centre de la pièce et nous nous mettons à quatre pour le dévêtir. Une fois nu comme un ver, il passe de l’une à l’autre qui pour une caresse, qui pour un coup de langue sur son chibre en érection exponentielle entre chacune de ses femmes. Une fois le premier tour terminé, il recommence en exigeant de nous servir que de notre bouche. Quand il se présente devant moi, son gourdin est tellement gorgé de sang bloqué par l’anneau qu’il est encore plus massif que d’habitude, plus consistant aussi et d’une dureté incroyable. J’ai du mal à en avaler le gland qui a tourné au rouge-violacé.
Nous nous déshabillons nous aussi pour lui offrir la vision incroyable des plus beaux culs de la famille. Des fesses généreuses de Nadège et de sa mère qui bougent à chaque mouvement au petit cul juste fabuleux de sa cousine ou de moi.
Ça ne fait absolument rien pour faire baisser la tension sanguine qui pulse dans son chibre, bien au contraire… à chaque fois qu’il change de bouche, il accroche le regard de sa propriétaire avec un sourire dominateur.
(Arthur)J’en ai marre qu’elles se servent de moi comme d’un gode qu’elles utilisent à leur bon vouloir.
Il va falloir qu’elles comprennent que c’est moi, et uniquement moi qui mène la danse. Je n’ai jamais ressenti ça, j’ai comme un bout de bois dressé presque à la verticale entre les cuisses tellement mon chibre est gonflé, c’est même un peu douloureux quand elles l’attrapent d’une main pour lui faire baisser la tête avant de l’engloutir dans leur bouche affamée. Je ne sais pas si c’est dû au Viagra ou à cet anneau qui congestionne mon pénis, mais il n’a jamais été aussi lourd et massif. Il leur faut pratiquement une demi-heure, entrecoupant leurs efforts pour prolonger le doux supplice avant que je ressente la montée inexorable de mon foutre qui tel un torrent de montagne après un orage violent se gonfle soudain.
-Attention les filles ! Je vais juter !
Elles essaient de se regrouper devant moi et forment un arc de cercle, mais même en se serrant, elles ne peuvent s’approcher de moi à moins de cinquante centimètres. Je sens ma semence s’accumuler dans la base de ma verge encore et encore, avant de réussir à vaincre le goulot d’étranglement à sa base et enfin jaillir du méat. Je sais que j’ai déjà une puissance d’éjaculation peu commune, mais là, c’est dément. Le premier jet s’élève si haut qu’il passe par-dessus leur tête. (Bien sûr, des détracteurs vont me dire que j’exagère un peu dans mes histoires, que ce n’est pas possible. Si vous voulez voir ce genre d’éjaculation, tapez : Belles éjaculations au ralenti sur votre clavier, et aussi mlkjhg39, hors normes. Rien de tel qu’une petite vidéo pour planter le décor. L’auteur).
Je corrige vite le tir en prenant à pleine main ma lance trop orgueilleuse et lui faire baisser la tête pour « nourrir » à tour de rôles mes quatre juments, chacune sa dose… J’ai tellement accumulé de sperme dans mes bourses avec ces éjaculations avortées par mes tourmenteuses que je fournis en une seule fois autant de semence que je le ferais habituellement en deux orgasmes. C’est quasiment dantesque…Et ça a l’air de leur plaire à ces salopes !
-Oui, encore, encore, frérot !
-Putain de merde ! Une sacrée lance à foutre, le cousin ! Il explose tous les records !
-Et moi ? Je veux un supplément de crème !
-Un cas d’école, il faudra que j’en parle à mes collègues !
A vous de retrouver celle qui prononce chaque commentaire…
A suivre…J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos like pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
Suite à la demande de mes fans, j’ai écrit une suite à cette histoire. J’espère qu’elle vous plaira. Vous pouvez aussi découvrir la plastique d’Arthur sur ma page d’accueil.
Maelys se précipite sur moi qui aurais voulu disparaître dans un trou de souris et m’arrache le masque qui dissimule mon visage.
-Quelle horreur ! Maman ! Quelle famille de désaxés ! Pas l’une pour rattraper l’autre ! J’étais déjà outrée que ma tante se tape mon frère, mais toi, toi ! Comment as-tu pu faire ça ? ? Je sais bien que ce n’est pas vraiment ton fils, mais quand même ! Puis se tournant vers ma nièce, viens Virginie, on ne peut pas rester une seconde de plus dans cette maison de fous.
Elle se rhabille ainsi que Virginie et quitte le salon. Ma nièce tourne une dernière fois la tête vers Arthur en passant la porte, comme à regret de devoir abandonner cette lance qui a à peine baissé la tête après son dernier exploit.
-Dommage ! Et elle referme la porte.
Après cette intermède, le cœur n’y est plus et nous mettons fin à cette drôle de réunion de famille.
Suite :(Maelys).
Quelques jours après à la coloc.
-Ambre, espèce de salope ! Si on avait su le tour pendable que tu nous as fait, on ne t’aurait pas pris comme coloc, et d’ailleurs je ne…-Eh tout doux Maelys ! Me coupe-t-elle en nous fixant tour à tour. Je ne savais pas que Cécile et Nadège étaient vos mères respectives, et donc pas plus qu’Arthur était ton frère, je le jure !
-Que tu dis, reprend Virginie. Arthur n’a pas le même nom que maman puisque qu’elle a repris son nom de jeune fille et que lui a celui de son père et que de toute façon ce n’est que son beau-fils, mais moi et Nadège…-S’il fallait que je fasse une enquête de police maintenant, constate Ambre. En plus vous avez un nom assez courant. Et c’est vous qui êtes venues me chercher pour vous faire « l’étalon blanc », ne renversez pas les rôles… Et ne me dites pas que vous n’avez-pas aimé chevaucher sa bite, de vraies furies.
-Ce n’est pas la question, je lui fais remarquer. Bien-sûr que c’est un sacré coup, sinon le meilleur. Mais c’est mon demi-frère, bordel !!!
-Et alors ! Me fait remarquer Ambre. Tu crois que ça a gêné ta tante Nadège, en toute connaissance de cause. Et il n’a pas fallu pousser beaucoup ta mère pour qu’elle s’envoie en l’air elle aussi avec Arthur. C’est même la plus acharnée maintenant.
-Quand penses-tu ? Me questionne Virginie. On serait bien bête de ne pas se partager le gâteau…enfin je veux dire les faveurs d’Arthur. De toute façon, on a déjà sauter le pas deux fois et je dois dire que ça m’a bien plu. Je ne vois pas pourquoi on ferait les vierges effarouchées pendant que nos mères se donneraient du bon temps sur le beau chibre de ton frère… un sacré phénomène, d’ailleurs.
Pour crever l’abcès, nous demandons à Arthur de nous rejoindre. Une heure après, il est là et le débat recommence. Arthur prend enfin la parole pour désamorcer la bombe.
-Eh les filles ! Moi je vous aime toutes mais faudrait pas me prendre pour votre esclave servile. J’ai à peine eu le temps de réaliser ce qu’il s’est passé l’autre jour. Vous faites les petites filles prudes mais j’ai des yeux et des oreilles… et vous, vous avez le feu au cul. Il faudrait faire attention à votre réputation si un jour vous voulez trouver un pigeon comme mari. Maintenant, je ne vous toucherai plus ni les unes ni les autres tant que vous n’aurez pas trouvé un terrain d’entente avec Nadège et maman. La balle est dans votre camp…Nous discutons pendant encore une heure mais on ne va pas y couper. Il faut que l’on fasse une réunion au sommet pour se partager le « monde ». Hi. Hi. HI…
Nous nous retrouvons donc toutes les quatre entre mères et filles. L’atmosphère est électrique et la moindre étincelle risque de mettre le feu aux poudres. Mais Nadège, en tant que professionnelle sait trouver les mots pour faire retomber la pression.
-Bien, bien ! De toute façon, il faut se rappeler que quoi qu’on décide, il ne faudra pas que ça sorte de cette pièce, et du cercle familial. Il manquerait plus que ça se sache, ça serait la honte pour nous toutes et on passerait pour une sacrée famille de désaxées. J’ai révélé une vraie star du sexe en décoinçant Arthur et on ne peut pas revenir en arrière. Pour lui, il n’a plus qu’à se baisser maintenant pour ramasser des conquêtes à la pelle. A savoir si nous voulons profiter d’une « part du gâteau », si je peux m’exprimer ainsi. Les filles… Vous savez maintenant que pour Cécile et moi, si on peut continuer à nous donner du plaisir avec Arthur, eh bien, on ne se privera pas ! Et vous ? Que décidez-vous ? N’oubliez pas qu’en fait, il n’a aucun lien de parenté entre lui et nous.
-On ne va pas être plus bêtes que vous, lâche Virginie, mais il va falloir qu’on se partage son « temps libre ». Il ne va quand même pas nous sauter toutes les quatre en même temps, quand même ?!
- Tu as raison, reprend Nadège. Mais il faut sceller ce pacte dans le sang, ou devrais-je dire dans le sperme. Je m’occupe de tout et on se retrouve toute ici dans une semaine.
Donc huit jours plus tard, il ne manque personne à l’appel. Comme d’habitude, c’est ma tante qui mène la danse.
-Pour que notre poulain tienne la distance malgré ses bonnes prédispositions et avec son accord, Il a pris sous ma responsabilité de sexologue un cachet de Viagra et pour augmenter encore l’effet, je lui ai passé un cockring tout à l’heure.
-C’est quoi un cockring, tata ? Je l’interroge.
-C’est un anneau de caoutchouc souple d’un diamètre inférieur à celui de sa verge et qui permet de bloquer le sang qui afflue dans son pénis. Ça l’empêche de débander trop vite et ainsi il peut remettre le couvert avant de retrouver complètement l’appétit, si je puis dire.
Arthur est debout au centre de la pièce et nous nous mettons à quatre pour le dévêtir. Une fois nu comme un ver, il passe de l’une à l’autre qui pour une caresse, qui pour un coup de langue sur son chibre en érection exponentielle entre chacune de ses femmes. Une fois le premier tour terminé, il recommence en exigeant de nous servir que de notre bouche. Quand il se présente devant moi, son gourdin est tellement gorgé de sang bloqué par l’anneau qu’il est encore plus massif que d’habitude, plus consistant aussi et d’une dureté incroyable. J’ai du mal à en avaler le gland qui a tourné au rouge-violacé.
Nous nous déshabillons nous aussi pour lui offrir la vision incroyable des plus beaux culs de la famille. Des fesses généreuses de Nadège et de sa mère qui bougent à chaque mouvement au petit cul juste fabuleux de sa cousine ou de moi.
Ça ne fait absolument rien pour faire baisser la tension sanguine qui pulse dans son chibre, bien au contraire… à chaque fois qu’il change de bouche, il accroche le regard de sa propriétaire avec un sourire dominateur.
(Arthur)J’en ai marre qu’elles se servent de moi comme d’un gode qu’elles utilisent à leur bon vouloir.
Il va falloir qu’elles comprennent que c’est moi, et uniquement moi qui mène la danse. Je n’ai jamais ressenti ça, j’ai comme un bout de bois dressé presque à la verticale entre les cuisses tellement mon chibre est gonflé, c’est même un peu douloureux quand elles l’attrapent d’une main pour lui faire baisser la tête avant de l’engloutir dans leur bouche affamée. Je ne sais pas si c’est dû au Viagra ou à cet anneau qui congestionne mon pénis, mais il n’a jamais été aussi lourd et massif. Il leur faut pratiquement une demi-heure, entrecoupant leurs efforts pour prolonger le doux supplice avant que je ressente la montée inexorable de mon foutre qui tel un torrent de montagne après un orage violent se gonfle soudain.
-Attention les filles ! Je vais juter !
Elles essaient de se regrouper devant moi et forment un arc de cercle, mais même en se serrant, elles ne peuvent s’approcher de moi à moins de cinquante centimètres. Je sens ma semence s’accumuler dans la base de ma verge encore et encore, avant de réussir à vaincre le goulot d’étranglement à sa base et enfin jaillir du méat. Je sais que j’ai déjà une puissance d’éjaculation peu commune, mais là, c’est dément. Le premier jet s’élève si haut qu’il passe par-dessus leur tête. (Bien sûr, des détracteurs vont me dire que j’exagère un peu dans mes histoires, que ce n’est pas possible. Si vous voulez voir ce genre d’éjaculation, tapez : Belles éjaculations au ralenti sur votre clavier, et aussi mlkjhg39, hors normes. Rien de tel qu’une petite vidéo pour planter le décor. L’auteur).
Je corrige vite le tir en prenant à pleine main ma lance trop orgueilleuse et lui faire baisser la tête pour « nourrir » à tour de rôles mes quatre juments, chacune sa dose… J’ai tellement accumulé de sperme dans mes bourses avec ces éjaculations avortées par mes tourmenteuses que je fournis en une seule fois autant de semence que je le ferais habituellement en deux orgasmes. C’est quasiment dantesque…Et ça a l’air de leur plaire à ces salopes !
-Oui, encore, encore, frérot !
-Putain de merde ! Une sacrée lance à foutre, le cousin ! Il explose tous les records !
-Et moi ? Je veux un supplément de crème !
-Un cas d’école, il faudra que j’en parle à mes collègues !
A vous de retrouver celle qui prononce chaque commentaire…
A suivre…J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos like pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
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Une vraie fontaine jouvence
Elles se partagent le gâteau, ou plutôt l'énorme bougie, un véritable cierge, qui se dresse en son centre.