Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 18
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2022 dans la catégorie Plus on est
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Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 18
Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 18
Suite à la demande de mes fans, j’ai écrit une suite à cette histoire. J’espère qu’elle vous plaira. Vous pouvez aussi découvrir la plastique d’Arthur sur ma page d’accueil.
Elles essaient de se regrouper devant moi et forment un arc de cercle, mais même en se serrant, elles ne peuvent s’approcher de moi à moins de cinquante centimètres. Je sens ma semence s’accumuler dans la base de ma verge encore et encore, avant de réussir à vaincre le goulot d’étranglement à sa base et enfin jaillir du méat. Je sais que j’ai déjà une puissance d’éjaculation peu commune, mais là, c’est dément. Le premier jet s’élève si haut qu’il passe par-dessus leur tête. (Bien sûr, des détracteurs vont me dire que j’exagère un peu dans mes histoires, que ce n’est pas possible. Si vous voulez voir ce genre d’éjaculation, tapez : Belles éjaculations au ralenti sur votre clavier, et aussi mlkjhg39, hors normes. Rien de tel qu’une petite vidéo pour planter le décor. L’auteur).
Je corrige vite le tir en prenant à pleine main ma lance trop orgueilleuse et lui faire baisser la tête pour « nourrir » à tour de rôles mes quatre juments, chacune sa dose… J’ai tellement accumulé de sperme dans mes bourses avec ces éjaculations avortées par mes tourmenteuses que je fournis en une seule fois autant de semence que je le ferais habituellement en deux orgasmes. C’est quasiment dantesque…Et ça a l’air de leur plaire à ces salopes !
-Oui, encore, encore, frérot !
-Putain de merde ! Une sacrée lance à foutre, le cousin ! Il explose tous les records !
-Et moi ? Je veux un supplément de crème !
-Un cas d’école, il faudra que j’en parle à mes collègues !
A vous de retrouver celle qui prononce chaque commentaire…
Suite :Je suis tari, mais contrairement au tuyau de la lance de pompier qui s’avachit quand on coupe l’eau, le mien avec l’excitation de l’éjaculation qui rend encore plus ferme la verge juste avant le moment fatidique ne peut débander car l’anneau encore plus sollicité par cet afflux sanguin supplémentaire me scie la pine à sa base. La douleur est très vive et mon gourdin encore plus dur, si c’est humainement possible. Le seul moyen, c’est que je m’active autrement pour faire descendre la pression. Mais avant, c’est à moi de boire à la source. Nous continuons dans la chambre, j’explore de la langue et de la bouche à tour de rôle la fente de mes « groupies » et m’active en même temps avec chacune de mes mains dans les chattes les plus proches. Il y en a pour tous les goûts, gustatifs et visuels, des moules bien ouvertes aux grandes lèvres pendantes au minuscule coup de canif dans une peau complètement imberbe. Pareil quand le plaisir les emporte et qu’un petit ru ou un vrai ruisseau de montagne étanche ma soif.
Cet intermède studieux de ma part a permis à ma teub de revenir dans des conditions moins extrêmes. Je fais le tour du lit et leur demande de se coucher sur le dos et de laisser leur tête pendre dans le vide. Je vais leur montrer qui est le « Maitre ». Je commence par mes deux couguars, une main sous la nuque et l’autre sur leur cou et les oblige après une fellation soft à prendre en entier ma verge dans leur bouche, passant l’obstacle de la gorge et déformant leur trachée. Je passe ensuite à ma sœur et ma cousine. Je dois m’y reprendre à plusieurs fois avec Virginie, m’arrêtant quand elle a un haut le cœur, comme une jument qui refuse l’obstacle.
-Déglutis quand il est au fond de ta gorge, lui suggère ma tante, détends-toi, tu vas y arriver, ma fille.
J’arrive enfin à faire buter mes couilles sur le nez de Virginie, la bosse qui déforme son coup est beaucoup plus proéminente. Ma sœur,(bien qu’on est aucun lien familial, je la considère comme tel), regarde ça avec appréhension.
-Putain frérot ! Vas-y doux. Tu crois que je vais y arriver, maman ?
-Mais oui ! Arthur va y aller doucement…
Après quelques minutes de cet exercice, je retire ma pine de la bouche de Virginie qui reprend sa respiration, un peu sifflante, et me dirige vers ma sœur, passe l’obstacle de ses lèvres et bute au fond de sa gorge. Plusieurs fois, elle est sur le point de vomir, je fais très attention qu’elle ne me cisaille pas la bite avec ses dents, j’en ai encore une cicatrice sanglante. Je retire mon rostre pour qu’elle reprenne sa respiration.
-Je ne peux pas, c’est pas possible, ta queue est trop grosse !
Je lui bloque la mâchoire et donne un coup de reins, passant la luette et déformant sa trachée encore plus qu’avec sa cousine. Je vois qu’elle est au bord de l’évanouissement et me retire. Elle retiendra la leçon mais je ne sais pas si je me risquerais encore une fois dans ce piège qui pourrait m’être fatal.
Cet intermède m’a remis en selle et j’ordonne à mes deux juments et leur pouliche un exercice un peu particulier. Les deux mères, toujours sur le dos devront supporter le corps de leur fille, dans la même position. J’aurai donc cote à cote les deux sœurs et leur progéniture et pourrai passer des unes aux autres pour tremper mon biscuit alternativement de la mère à la fille sans avoir à changer de place. Je m’escrime avec mon sabre d’abord avec les couguars pour bien graisser mon piston avant de perforer leur progéniture qu’elles tiennent fermement dans leurs bras serrés juste sous leur poitrine.
La vidange exceptionnelle de mes burnes couplée au cachet aphrodisiaque et au cockring a transformés le coureur de 5 000 m en spécialiste du marathon. Pendant presque une demi-heure j’explore les quatre chattes à ma disposition, faisant même quelques extras dans les fions maternelles.
Des auréoles énormes de cyprine s’étalent maintenant sur les draps entre les cuisses de mes partenaires. C’est le moment ou jamais de faire connaître le même sort à Virginie et Maelys. Ma queue se dirige donc entre deux chattes et trouve entre des fesses musclées l’objectif. Je frotte mon gland avec l’aide d’une main dans le sillon fessier et appuie sur le sphincter de Virginie d’abord. Surprise, elle contracte les muscles de son popotin mais ne peut rien faire d’autre, toujours tenue par sa mère.
Je profite de cette avantage et force le passage, m’aidant de mes mains posées sur ses hanches. Elle grogne, ce mordant la lèvre inférieure mais subit le supplice du pal. Mon gland vient de franchir la porte étroite de son anus et regonfle aussitôt après. Je suis coincé comme un chien sautant une femelle et dont le maitre voudrait interrompre le coït. J’attends un moment qu’elle se détende un peu et dès que la « souricière » se relâche, je propulse la totalité de mon chibre dans ses boyaux, dans son cul.
-Ah putain Arthur ! Tu me casses le cul avec ton nœud ! Je n’ai pas été habituée à pareil calibre de ce côté-là ! Humpf, humpf ! Vas-y doucement, bordel !
Elle geint, secouant la tête de droite à gauche pendant que je m’active maintenant comme un cosaque, lui enfilant dans le conduit mon dard plus gros qu’un manche de pioche. Mais je quitte ce trou accueillant pour m’occuper de celui de ma sœur qui n’en mène pas large.
-Vas-y doucement quand même Arthur. Mon trou du cul est aussi serré que le fond de ma gorge.
Elle est toujours tenue par ma belle-mère Cécile, je saisis ses jambes et les pose sur mes épaules, lui pince le bout des seins pareils à de beaux fruits laiteux, gonflés de suc. Mon gland bute sur son œillet fripé et ripe en essayant de bouter ses chairs. Serviable, ma tante prend à pleine main ma hampe et la dirige à l’endroit souhaité. Maelys me regarde, attendant avec appréhension l’entrée triomphante dans son anus de mon soc. Elle serre inconsciemment les muscles de son sphincter mais ma queue ne peut plier tellement elle est gorgée de sang. Je pose mes mains sur le haut de ses cuisses pour avoir un point d’appui et avance mon bassin. J’arrive avec difficulté à faire pénétrer mon gland qui se vide de son sang sous l’effort pour s’insinuer dans ce trou de souris, puis une fois de l’autre coté reprend ses dimensions sous les hurlements de Maelys.
-Aïe ! Arrête ! T’es trop gros ! Arrête putain ça fait trop mal !
-Et qu’est-ce que je devrais dire, je la coupe. T’es si serré du cul qu’on dirait que tu vas guillotiner ma teub !
J’attends quand même une trentaine de secondes jusqu’à ce que je sente le piège se relâcher un peu et profite de cette minuscule fenêtre de temps pour planter mon défonce-cul dans le soubassement de ma sœurette sous ses hurlements de truie qu’on égorge.
-Oh putain ! Oh putain ! OOOOHHHHoooohhhh ! Il m’encule ! Il m’encule !
A suivre…¬ J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos like pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
Suite à la demande de mes fans, j’ai écrit une suite à cette histoire. J’espère qu’elle vous plaira. Vous pouvez aussi découvrir la plastique d’Arthur sur ma page d’accueil.
Elles essaient de se regrouper devant moi et forment un arc de cercle, mais même en se serrant, elles ne peuvent s’approcher de moi à moins de cinquante centimètres. Je sens ma semence s’accumuler dans la base de ma verge encore et encore, avant de réussir à vaincre le goulot d’étranglement à sa base et enfin jaillir du méat. Je sais que j’ai déjà une puissance d’éjaculation peu commune, mais là, c’est dément. Le premier jet s’élève si haut qu’il passe par-dessus leur tête. (Bien sûr, des détracteurs vont me dire que j’exagère un peu dans mes histoires, que ce n’est pas possible. Si vous voulez voir ce genre d’éjaculation, tapez : Belles éjaculations au ralenti sur votre clavier, et aussi mlkjhg39, hors normes. Rien de tel qu’une petite vidéo pour planter le décor. L’auteur).
Je corrige vite le tir en prenant à pleine main ma lance trop orgueilleuse et lui faire baisser la tête pour « nourrir » à tour de rôles mes quatre juments, chacune sa dose… J’ai tellement accumulé de sperme dans mes bourses avec ces éjaculations avortées par mes tourmenteuses que je fournis en une seule fois autant de semence que je le ferais habituellement en deux orgasmes. C’est quasiment dantesque…Et ça a l’air de leur plaire à ces salopes !
-Oui, encore, encore, frérot !
-Putain de merde ! Une sacrée lance à foutre, le cousin ! Il explose tous les records !
-Et moi ? Je veux un supplément de crème !
-Un cas d’école, il faudra que j’en parle à mes collègues !
A vous de retrouver celle qui prononce chaque commentaire…
Suite :Je suis tari, mais contrairement au tuyau de la lance de pompier qui s’avachit quand on coupe l’eau, le mien avec l’excitation de l’éjaculation qui rend encore plus ferme la verge juste avant le moment fatidique ne peut débander car l’anneau encore plus sollicité par cet afflux sanguin supplémentaire me scie la pine à sa base. La douleur est très vive et mon gourdin encore plus dur, si c’est humainement possible. Le seul moyen, c’est que je m’active autrement pour faire descendre la pression. Mais avant, c’est à moi de boire à la source. Nous continuons dans la chambre, j’explore de la langue et de la bouche à tour de rôle la fente de mes « groupies » et m’active en même temps avec chacune de mes mains dans les chattes les plus proches. Il y en a pour tous les goûts, gustatifs et visuels, des moules bien ouvertes aux grandes lèvres pendantes au minuscule coup de canif dans une peau complètement imberbe. Pareil quand le plaisir les emporte et qu’un petit ru ou un vrai ruisseau de montagne étanche ma soif.
Cet intermède studieux de ma part a permis à ma teub de revenir dans des conditions moins extrêmes. Je fais le tour du lit et leur demande de se coucher sur le dos et de laisser leur tête pendre dans le vide. Je vais leur montrer qui est le « Maitre ». Je commence par mes deux couguars, une main sous la nuque et l’autre sur leur cou et les oblige après une fellation soft à prendre en entier ma verge dans leur bouche, passant l’obstacle de la gorge et déformant leur trachée. Je passe ensuite à ma sœur et ma cousine. Je dois m’y reprendre à plusieurs fois avec Virginie, m’arrêtant quand elle a un haut le cœur, comme une jument qui refuse l’obstacle.
-Déglutis quand il est au fond de ta gorge, lui suggère ma tante, détends-toi, tu vas y arriver, ma fille.
J’arrive enfin à faire buter mes couilles sur le nez de Virginie, la bosse qui déforme son coup est beaucoup plus proéminente. Ma sœur,(bien qu’on est aucun lien familial, je la considère comme tel), regarde ça avec appréhension.
-Putain frérot ! Vas-y doux. Tu crois que je vais y arriver, maman ?
-Mais oui ! Arthur va y aller doucement…
Après quelques minutes de cet exercice, je retire ma pine de la bouche de Virginie qui reprend sa respiration, un peu sifflante, et me dirige vers ma sœur, passe l’obstacle de ses lèvres et bute au fond de sa gorge. Plusieurs fois, elle est sur le point de vomir, je fais très attention qu’elle ne me cisaille pas la bite avec ses dents, j’en ai encore une cicatrice sanglante. Je retire mon rostre pour qu’elle reprenne sa respiration.
-Je ne peux pas, c’est pas possible, ta queue est trop grosse !
Je lui bloque la mâchoire et donne un coup de reins, passant la luette et déformant sa trachée encore plus qu’avec sa cousine. Je vois qu’elle est au bord de l’évanouissement et me retire. Elle retiendra la leçon mais je ne sais pas si je me risquerais encore une fois dans ce piège qui pourrait m’être fatal.
Cet intermède m’a remis en selle et j’ordonne à mes deux juments et leur pouliche un exercice un peu particulier. Les deux mères, toujours sur le dos devront supporter le corps de leur fille, dans la même position. J’aurai donc cote à cote les deux sœurs et leur progéniture et pourrai passer des unes aux autres pour tremper mon biscuit alternativement de la mère à la fille sans avoir à changer de place. Je m’escrime avec mon sabre d’abord avec les couguars pour bien graisser mon piston avant de perforer leur progéniture qu’elles tiennent fermement dans leurs bras serrés juste sous leur poitrine.
La vidange exceptionnelle de mes burnes couplée au cachet aphrodisiaque et au cockring a transformés le coureur de 5 000 m en spécialiste du marathon. Pendant presque une demi-heure j’explore les quatre chattes à ma disposition, faisant même quelques extras dans les fions maternelles.
Des auréoles énormes de cyprine s’étalent maintenant sur les draps entre les cuisses de mes partenaires. C’est le moment ou jamais de faire connaître le même sort à Virginie et Maelys. Ma queue se dirige donc entre deux chattes et trouve entre des fesses musclées l’objectif. Je frotte mon gland avec l’aide d’une main dans le sillon fessier et appuie sur le sphincter de Virginie d’abord. Surprise, elle contracte les muscles de son popotin mais ne peut rien faire d’autre, toujours tenue par sa mère.
Je profite de cette avantage et force le passage, m’aidant de mes mains posées sur ses hanches. Elle grogne, ce mordant la lèvre inférieure mais subit le supplice du pal. Mon gland vient de franchir la porte étroite de son anus et regonfle aussitôt après. Je suis coincé comme un chien sautant une femelle et dont le maitre voudrait interrompre le coït. J’attends un moment qu’elle se détende un peu et dès que la « souricière » se relâche, je propulse la totalité de mon chibre dans ses boyaux, dans son cul.
-Ah putain Arthur ! Tu me casses le cul avec ton nœud ! Je n’ai pas été habituée à pareil calibre de ce côté-là ! Humpf, humpf ! Vas-y doucement, bordel !
Elle geint, secouant la tête de droite à gauche pendant que je m’active maintenant comme un cosaque, lui enfilant dans le conduit mon dard plus gros qu’un manche de pioche. Mais je quitte ce trou accueillant pour m’occuper de celui de ma sœur qui n’en mène pas large.
-Vas-y doucement quand même Arthur. Mon trou du cul est aussi serré que le fond de ma gorge.
Elle est toujours tenue par ma belle-mère Cécile, je saisis ses jambes et les pose sur mes épaules, lui pince le bout des seins pareils à de beaux fruits laiteux, gonflés de suc. Mon gland bute sur son œillet fripé et ripe en essayant de bouter ses chairs. Serviable, ma tante prend à pleine main ma hampe et la dirige à l’endroit souhaité. Maelys me regarde, attendant avec appréhension l’entrée triomphante dans son anus de mon soc. Elle serre inconsciemment les muscles de son sphincter mais ma queue ne peut plier tellement elle est gorgée de sang. Je pose mes mains sur le haut de ses cuisses pour avoir un point d’appui et avance mon bassin. J’arrive avec difficulté à faire pénétrer mon gland qui se vide de son sang sous l’effort pour s’insinuer dans ce trou de souris, puis une fois de l’autre coté reprend ses dimensions sous les hurlements de Maelys.
-Aïe ! Arrête ! T’es trop gros ! Arrête putain ça fait trop mal !
-Et qu’est-ce que je devrais dire, je la coupe. T’es si serré du cul qu’on dirait que tu vas guillotiner ma teub !
J’attends quand même une trentaine de secondes jusqu’à ce que je sente le piège se relâcher un peu et profite de cette minuscule fenêtre de temps pour planter mon défonce-cul dans le soubassement de ma sœurette sous ses hurlements de truie qu’on égorge.
-Oh putain ! Oh putain ! OOOOHHHHoooohhhh ! Il m’encule ! Il m’encule !
A suivre…¬ J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos like pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore grave
Je m'empresse de lire la suite n'
Les juments en chaleur et l'étalon.Yesss..
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