Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 19
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2022 dans la catégorie Plus on est
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Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 19
Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 19
Suite à la demande de mes fans, j’ai écrit une suite à cette histoire. J’espère qu’elle vous plaira. Vous pouvez aussi découvrir la plastique d’Arthur sur ma page d’accueil.
-Aïe ! Arrête ! T’es trop gros ! Arrête putain ça fait trop mal !
-Et qu’est-ce que je devrais dire, je la coupe. T’es si serré du cul qu’on dirait que tu vas guillotiner ma teub !
J’attends quand même une trentaine de secondes jusqu’à ce que je sente le piège se relâcher un peu et profite de cette minuscule fenêtre de temps pour planter mon défonce-cul dans le soubassement de ma sœurette, (enfin presque…), sous ses hurlements de truie qu’on égorge.
-Oh putain ! Oh putain ! OOOOHHHHoooohhhh ! Il m’encule ! Il m’encule !
Suite :Les décibels décroissent petit à petit à mesure que son anus se détend, acceptant plus facilement mon défonce-cul de nouveau en hyper-érection grâce (ou à cause) du cockring. Je commence alors un balancement de mon corps pour faire glisser sur toute sa longueur ma verge dans ce conduit pas étudié pour ça, accélérant doucement le rythme. Une fois qu’elle commence à gémir, j’espère de plaisir, je la pilonne sans plus aucun ménagement, ahanant comme un bûcheron à chaque coup de hache.
Je m’escrime de plus en plus tout au fond du rectum de Maelys qui se contracte comme pour un réflexe de défense à l’agression et me masse le membre sur toute sa longueur. Ma perverse de tante est allée chercher un gode qu’elle a généreusement lubrifié et me fait subir le même sort que ma partenaire. Je suis en train de limer le cul de Maelys pendant que Nadège me baise le cul avec son gode, décuplant après un moment d’adaptation de ma part un plaisir encore plus violent.
Je ne peux plus résister et jouis d'un seul coup tout au fond de ses boyaux en gémissant de plaisir. Maelys est parcouru par une onde de jouissance dans tout le corps et un jet de cyprine suivi d’autres très rapprochés viennent encore plus tâcher les draps après avoir suinté sur mon corps. Je me retire de ce cloaque qui continue à se contracter, expulsant une quantité pas négligeable de mon foutre qui finit sa course sur le pubis de ma belle-mère avant que ma tante récupère le précieux liquide dans un verre.
Je ne sais pas si c’est l'avantage de la jeunesse couplé au cockring et au viagra, mais je ne débande pratiquement pas. Mais je ne peux plus supporter cet anneau de caoutchouc et me tourne vers ma tante.
-Tata, j’ai trop mal, il faut que tu me débarrasse de ça !
Elle quitte la pièce et revient avec une paire de pinces, demande un coup de main à sa sœur pour ne pas me blesser et attaque par petits bouts le caoutchouc jusqu’à ce qu’il ne reste pratiquement plus rien et que la pression de mon pénis congestionné fasse sauter la digue.
-Aaahhh ! Ça va beaucoup mieux ! Maintenant je vais boire un coup et grignoter quelque chose, j’ai une faim de loup !
-De cheval, rectifie Maelys, de cheval !
Elles se regardent et éclatent de rire.
Après une bonne collation où tata fait boire ma gourme à chaque participante et presque une heure de repos, ma tante me demande :-Tu crois que… qu’on peut encore passer à la casserole ? Bien entendu, si la queue de la casserole tient le coup ?
A ces mots, Maelys et ma cousine veulent s’en assurer et testent le manche de la casserole qui met quand même un certain moment à se redresser mais le Viagra fait encore son effet. Je les informe de ce qui va suivre :-Je suis crevé et si vous voulez vous servir du manche, ce sera sans moi ! Mais avant, je veux vous voir toutes les quatre vous caresser devant moi.
Et je me couche sur le dos dans le lit, les mains sous la nuque.
Elles se mettent face à moi et commencent, qui à se caresser le sexe, se frottant le clitoris et enfonçant les doigts dans la chatte puis les portant à la bouche pour les sucer, qui à se tripoter les seins, se pincer les tétons. Je me branle doucement devant elles pour ne pas perdre la forme. Ma mère m’avouant même :-J’adore me toucher devant toi, et je vois qu’on te fait toutes de l'effet.
Dommage que je ne vende pas de tickets pour faire un tour de manège car j’aurais fait fortune dans la soirée. Au prix de 5€ pour un doigtage, 10 € pour un cunnilingus ou une fellation et 20 € pour faire l’amazone sur la bite du « cheval », je me serais fait quelques centaines d’euros …J’ai maintenant un quatuor de gouines devant moi qui se lèchent les fesses, puis le dos, le cou, trempées de sueur comme des possédées. Elles se lèchent le visage et les lèvres, s’embrassent l’une l’autre, doucement, puis fortement, puis férocement, elles ouvrent leurs lèvres pour mêler leur langue et leur salive, s’embrassent à pleine bouche en caressant leurs corps, leurs poitrines aux seins menus ou de bonne taille, le sexe de femmes épanouies ou de jeunes filles affamées.
« Maman » ayant même le culot de me demander :- Est-ce que Monsieur l’étalon est satisfait de sa harde de juments ? On peut maintenant avoir notre récompense ?
Mais elle n’attend pas ma réponse et tacitement avec mes tourmenteuses, elle me regarde avec un sourire canaille qui en dit long sur la suite des festivités, me bande les yeux et se jette sur moi et c’est la foire d’empoigne pour trouver la meilleure place. Je n’ai plus d’autre repère que mes sens pour savoir qui gigote sur ma bite ou me fait goûter les parfums de sa chatte. Je suis comme un supplicié les bras en croix tenus par des mains inconnues pour que je doigte des chattes ou pince des tétons pendant que ma bouche et mon chibre explore d’autres cavités noyées de cyprine. J’arrive à reconnaître en me concentrant chacune des chaudasses, découvrant les parties les plus intimes de ces corps magnifiques. Je ne suis plus que leur objet sexuel, un gode géant dont elles usent et abusent. Heureusement que je n’ai plus aucun effort à faire… Après tous les efforts et mes jouissances précédentes, je ne suis plus qu’un gigolo au braquemard hypertrophié maintenu en érection perpétuelle, (enfin presque). Les minutes succèdent aux minutes. Depuis combien de temps je ne suis plus que leur jouet érotique, je ne sais plus. Jamais de ma vie je n’ai forniqué aussi longtemps, mais il faut dire qu’avec ces quatre folles qui ne se souviennent même plus que je sois de leur famille... Je me fais tailler le « crayon » à en user la mine jusqu’à plus soif, en faisant de drôles de jeu de mots. Est-ce que je jouis encore dans une chatte ? Je ne sais pas, je ne sais plus… Quand enfin elles sont rassasiées et me laisse un peu récupérer, je suis une vraie loque. Et comme toujours, ma sexologue de tante a le dernier mot.
-On lui a essoré les burnes. Mais on ne peut pas refaire ça, sinon on joue avec sa santé. Il va falloir cadrer tout ça, enfin… C’est à lui de décider.
Et pour décider, je décide… Je mets le holà et n’use plus que parcimonieusement de mon cheptel. Je les fais languir, n’accepte plus que deux partenaires au maximum. Je les aime bien, et j’adore aussi les troncher. Mais c’est à moi de décider où je vais tremper mon biscuit. Je suis L’ETALON BLANC tout de même… Et c’est à moi de décider quelle jument je veux saillir… ¬ Quelques mois plus tard.
J’ai passé mes examens avec succès, je suis maintenant un jeune ingénieur. J’ai postulé dans une entreprise qui m’a accepté et je dois déménager loin de mon « harem familiale ». Impossible de rien trouver pour me loger dans cette ville, même pas un minuscule studio, ou alors c’est hors de prix. Et comme toujours, c’est ma tante Nadège qui a trouvé la solution. Elle a une collègue dans cette ville qui cherche à louer une chambre pour améliorer ses finances. Qu’est-ce que je risque à aller voir ?
C’est une femme entre quarante ou cinquante ans qui m’ouvre la porte, plutôt bien conservée, un beau visage souriant qui incite à faire plus ample connaissance, et pour ne rien gâcher, une poitrine orgueilleuse qui n’a rien à envier à un cul bien charnu. Elle a dû ou peut-être encore, elle doit plaire aux quadras du coin.
(Prudence) :-Bonjour jeune homme ! Vous venez pour l’annonce ? Entrez, je vous prie.
Ah ! La chair fraîche de cette année promet. Chaque année, je loue une chambre, pas pour le loyer dont je n’ai nul besoin, mais pour avoir sous la main un chevalier servant à ma botte. J’espère vite le dévoyer et qu’il sera à la hauteur. Je suis restée sur ma faim l’année dernière. Ma fois, c’est un beau jeune homme avenant, bien proportionné, et mon amie m’a affirmé que c’est un jeune gars sérieux à qui on peut même demander de menus services, qu’il ne rechigne pas à donner un coup de main, qu’il est endurant à la tâche et qu’il devient vite indispensable.
Je ne lui en demande pas tant mais je trouve quand même curieux tous ces conseils qu’elle m’a donnés. Peut-être quand elle m’a avoué à la fin que c’était son neveu et voulait que je lui réserve la chambre ?
Ça fait bien un mois qu’Arthur, mon jeune locataire est chez moi. J’ai commencé à lui faire du gringue discrètement puis de plus en plus appuyé mais il m’ignore, ou alors il cache bien son jeu. Il n’est quand même pas gay ? Je vais essayer de passer à la vitesse supérieure ce matin au petit-déjeuner, je vais rester en robe de chambre et la laisser bailler pour qu’il ait une vue sur ma nuisette la plus transparente.
Arthur entre dans la cuisine, pour une fois, il est encore en caleçon et je ne peux m'empêcher de regarder discrètement le gros paquet quand sans même s’en rendre compte, il passe sa main dessus pour se gratter les couilles. Il s'assoie à la table pour prendre son petit déjeuner puis débarrasse sa place pour mettre son bol dans l'évier. Je me lève et me mets derrière lui pour poser le mien.
Etonné, il se retourne et me matte dans ma nuisette qui laisse entrevoir mon string et ma poitrine généreuse. Il se dégage, va chercher ses couverts avant de retourner à l’évier et se colle à son tour derrière moi en train de laver la vaisselle. Il tend le bras pour poser ses couverts dans le bac et je sens contre mes fesses une barre très prometteuse. Enfin une réaction de sa part, mais il n’en profite pas. Je me retourne et vois Arthur me jeter un regard à peine lubrique. J’envoie un ballon d’essai.
- Tu sais que tu es un beau garçon Arthur, intelligent, bien bâti, et je suis sûre que tu dois plaire aux filles, et même aux femmes un peu plus mûres.
Sa seule réponse :-Je suis en retard, je vais aller prendre une douche.
Je lui réponds du tac au tac.
-Presse toi et préviens moi quand tu auras fini parce que j’ai un patient très tôt ce matin et je veux aussi me doucher.
Il me rétorque :-Je vais faire vite, la salle de bain sera libre dans cinq minutes.
Il doit être parti de la salle de bain car je n’entends plus l’eau couler. J’entre et me dévêtis pour entrer dans ma douche faite d’une paroi verticale et d’une porte vitrée. Je vais pour y pénétrer quand la porte s’ouvre et qu’Arthur en sort en train de s’essuyer les épaules avec un drap de bain. Je me retrouve donc face à Arthur et aussi dénudée que lui. Il pourrait cacher son sexe avec la serviette mais ne le fait pas. Je suis surprise, très agréablement surprise par la vision qu’il me donne. Bien que le sexe d’Arthur soit complètement au repos, j’ai sous les yeux une grosse chose flasque qui repose sur des couilles de belle taille bien collées de chaque côté d’une verge qui doit faire dans les 14/15 centimètres. Mais ce qui me scotche le plus par rapport à son physique, c’est le diamètre de ce pénis au repos. Arthur est bien foutu, un ventre plat où se dessinent ses abdominaux de jeune sportif, un bassin assez étroit qui n’est pas en rapport avec son service trois pièces que je verrais plus sur un beau black baraqué d’un mètre 95. Je suis si obnubilée par cette vision que je ne cache pas plus de mon côté ma poitrine ou mon sexe. Je ne sais pas ce qui me prends mais au lieu de lui céder le passage, je tends le bras et caresse de ma main droite le serpent assoupi.
Après quelques secondes, Arthur retire ma main et me repousse pour pouvoir passer en bougonnant :-Putain mais c’est pas vrai ! Elles ne pensent qu’à ça !
Il ramasse ses habits et quitte la salle de bain, son beau petit cul ne peut cacher sa verge qui pend et oscille entre ses cuisses à chacun de ses pas.
A suivre…
J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos likes pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
Suite à la demande de mes fans, j’ai écrit une suite à cette histoire. J’espère qu’elle vous plaira. Vous pouvez aussi découvrir la plastique d’Arthur sur ma page d’accueil.
-Aïe ! Arrête ! T’es trop gros ! Arrête putain ça fait trop mal !
-Et qu’est-ce que je devrais dire, je la coupe. T’es si serré du cul qu’on dirait que tu vas guillotiner ma teub !
J’attends quand même une trentaine de secondes jusqu’à ce que je sente le piège se relâcher un peu et profite de cette minuscule fenêtre de temps pour planter mon défonce-cul dans le soubassement de ma sœurette, (enfin presque…), sous ses hurlements de truie qu’on égorge.
-Oh putain ! Oh putain ! OOOOHHHHoooohhhh ! Il m’encule ! Il m’encule !
Suite :Les décibels décroissent petit à petit à mesure que son anus se détend, acceptant plus facilement mon défonce-cul de nouveau en hyper-érection grâce (ou à cause) du cockring. Je commence alors un balancement de mon corps pour faire glisser sur toute sa longueur ma verge dans ce conduit pas étudié pour ça, accélérant doucement le rythme. Une fois qu’elle commence à gémir, j’espère de plaisir, je la pilonne sans plus aucun ménagement, ahanant comme un bûcheron à chaque coup de hache.
Je m’escrime de plus en plus tout au fond du rectum de Maelys qui se contracte comme pour un réflexe de défense à l’agression et me masse le membre sur toute sa longueur. Ma perverse de tante est allée chercher un gode qu’elle a généreusement lubrifié et me fait subir le même sort que ma partenaire. Je suis en train de limer le cul de Maelys pendant que Nadège me baise le cul avec son gode, décuplant après un moment d’adaptation de ma part un plaisir encore plus violent.
Je ne peux plus résister et jouis d'un seul coup tout au fond de ses boyaux en gémissant de plaisir. Maelys est parcouru par une onde de jouissance dans tout le corps et un jet de cyprine suivi d’autres très rapprochés viennent encore plus tâcher les draps après avoir suinté sur mon corps. Je me retire de ce cloaque qui continue à se contracter, expulsant une quantité pas négligeable de mon foutre qui finit sa course sur le pubis de ma belle-mère avant que ma tante récupère le précieux liquide dans un verre.
Je ne sais pas si c’est l'avantage de la jeunesse couplé au cockring et au viagra, mais je ne débande pratiquement pas. Mais je ne peux plus supporter cet anneau de caoutchouc et me tourne vers ma tante.
-Tata, j’ai trop mal, il faut que tu me débarrasse de ça !
Elle quitte la pièce et revient avec une paire de pinces, demande un coup de main à sa sœur pour ne pas me blesser et attaque par petits bouts le caoutchouc jusqu’à ce qu’il ne reste pratiquement plus rien et que la pression de mon pénis congestionné fasse sauter la digue.
-Aaahhh ! Ça va beaucoup mieux ! Maintenant je vais boire un coup et grignoter quelque chose, j’ai une faim de loup !
-De cheval, rectifie Maelys, de cheval !
Elles se regardent et éclatent de rire.
Après une bonne collation où tata fait boire ma gourme à chaque participante et presque une heure de repos, ma tante me demande :-Tu crois que… qu’on peut encore passer à la casserole ? Bien entendu, si la queue de la casserole tient le coup ?
A ces mots, Maelys et ma cousine veulent s’en assurer et testent le manche de la casserole qui met quand même un certain moment à se redresser mais le Viagra fait encore son effet. Je les informe de ce qui va suivre :-Je suis crevé et si vous voulez vous servir du manche, ce sera sans moi ! Mais avant, je veux vous voir toutes les quatre vous caresser devant moi.
Et je me couche sur le dos dans le lit, les mains sous la nuque.
Elles se mettent face à moi et commencent, qui à se caresser le sexe, se frottant le clitoris et enfonçant les doigts dans la chatte puis les portant à la bouche pour les sucer, qui à se tripoter les seins, se pincer les tétons. Je me branle doucement devant elles pour ne pas perdre la forme. Ma mère m’avouant même :-J’adore me toucher devant toi, et je vois qu’on te fait toutes de l'effet.
Dommage que je ne vende pas de tickets pour faire un tour de manège car j’aurais fait fortune dans la soirée. Au prix de 5€ pour un doigtage, 10 € pour un cunnilingus ou une fellation et 20 € pour faire l’amazone sur la bite du « cheval », je me serais fait quelques centaines d’euros …J’ai maintenant un quatuor de gouines devant moi qui se lèchent les fesses, puis le dos, le cou, trempées de sueur comme des possédées. Elles se lèchent le visage et les lèvres, s’embrassent l’une l’autre, doucement, puis fortement, puis férocement, elles ouvrent leurs lèvres pour mêler leur langue et leur salive, s’embrassent à pleine bouche en caressant leurs corps, leurs poitrines aux seins menus ou de bonne taille, le sexe de femmes épanouies ou de jeunes filles affamées.
« Maman » ayant même le culot de me demander :- Est-ce que Monsieur l’étalon est satisfait de sa harde de juments ? On peut maintenant avoir notre récompense ?
Mais elle n’attend pas ma réponse et tacitement avec mes tourmenteuses, elle me regarde avec un sourire canaille qui en dit long sur la suite des festivités, me bande les yeux et se jette sur moi et c’est la foire d’empoigne pour trouver la meilleure place. Je n’ai plus d’autre repère que mes sens pour savoir qui gigote sur ma bite ou me fait goûter les parfums de sa chatte. Je suis comme un supplicié les bras en croix tenus par des mains inconnues pour que je doigte des chattes ou pince des tétons pendant que ma bouche et mon chibre explore d’autres cavités noyées de cyprine. J’arrive à reconnaître en me concentrant chacune des chaudasses, découvrant les parties les plus intimes de ces corps magnifiques. Je ne suis plus que leur objet sexuel, un gode géant dont elles usent et abusent. Heureusement que je n’ai plus aucun effort à faire… Après tous les efforts et mes jouissances précédentes, je ne suis plus qu’un gigolo au braquemard hypertrophié maintenu en érection perpétuelle, (enfin presque). Les minutes succèdent aux minutes. Depuis combien de temps je ne suis plus que leur jouet érotique, je ne sais plus. Jamais de ma vie je n’ai forniqué aussi longtemps, mais il faut dire qu’avec ces quatre folles qui ne se souviennent même plus que je sois de leur famille... Je me fais tailler le « crayon » à en user la mine jusqu’à plus soif, en faisant de drôles de jeu de mots. Est-ce que je jouis encore dans une chatte ? Je ne sais pas, je ne sais plus… Quand enfin elles sont rassasiées et me laisse un peu récupérer, je suis une vraie loque. Et comme toujours, ma sexologue de tante a le dernier mot.
-On lui a essoré les burnes. Mais on ne peut pas refaire ça, sinon on joue avec sa santé. Il va falloir cadrer tout ça, enfin… C’est à lui de décider.
Et pour décider, je décide… Je mets le holà et n’use plus que parcimonieusement de mon cheptel. Je les fais languir, n’accepte plus que deux partenaires au maximum. Je les aime bien, et j’adore aussi les troncher. Mais c’est à moi de décider où je vais tremper mon biscuit. Je suis L’ETALON BLANC tout de même… Et c’est à moi de décider quelle jument je veux saillir… ¬ Quelques mois plus tard.
J’ai passé mes examens avec succès, je suis maintenant un jeune ingénieur. J’ai postulé dans une entreprise qui m’a accepté et je dois déménager loin de mon « harem familiale ». Impossible de rien trouver pour me loger dans cette ville, même pas un minuscule studio, ou alors c’est hors de prix. Et comme toujours, c’est ma tante Nadège qui a trouvé la solution. Elle a une collègue dans cette ville qui cherche à louer une chambre pour améliorer ses finances. Qu’est-ce que je risque à aller voir ?
C’est une femme entre quarante ou cinquante ans qui m’ouvre la porte, plutôt bien conservée, un beau visage souriant qui incite à faire plus ample connaissance, et pour ne rien gâcher, une poitrine orgueilleuse qui n’a rien à envier à un cul bien charnu. Elle a dû ou peut-être encore, elle doit plaire aux quadras du coin.
(Prudence) :-Bonjour jeune homme ! Vous venez pour l’annonce ? Entrez, je vous prie.
Ah ! La chair fraîche de cette année promet. Chaque année, je loue une chambre, pas pour le loyer dont je n’ai nul besoin, mais pour avoir sous la main un chevalier servant à ma botte. J’espère vite le dévoyer et qu’il sera à la hauteur. Je suis restée sur ma faim l’année dernière. Ma fois, c’est un beau jeune homme avenant, bien proportionné, et mon amie m’a affirmé que c’est un jeune gars sérieux à qui on peut même demander de menus services, qu’il ne rechigne pas à donner un coup de main, qu’il est endurant à la tâche et qu’il devient vite indispensable.
Je ne lui en demande pas tant mais je trouve quand même curieux tous ces conseils qu’elle m’a donnés. Peut-être quand elle m’a avoué à la fin que c’était son neveu et voulait que je lui réserve la chambre ?
Ça fait bien un mois qu’Arthur, mon jeune locataire est chez moi. J’ai commencé à lui faire du gringue discrètement puis de plus en plus appuyé mais il m’ignore, ou alors il cache bien son jeu. Il n’est quand même pas gay ? Je vais essayer de passer à la vitesse supérieure ce matin au petit-déjeuner, je vais rester en robe de chambre et la laisser bailler pour qu’il ait une vue sur ma nuisette la plus transparente.
Arthur entre dans la cuisine, pour une fois, il est encore en caleçon et je ne peux m'empêcher de regarder discrètement le gros paquet quand sans même s’en rendre compte, il passe sa main dessus pour se gratter les couilles. Il s'assoie à la table pour prendre son petit déjeuner puis débarrasse sa place pour mettre son bol dans l'évier. Je me lève et me mets derrière lui pour poser le mien.
Etonné, il se retourne et me matte dans ma nuisette qui laisse entrevoir mon string et ma poitrine généreuse. Il se dégage, va chercher ses couverts avant de retourner à l’évier et se colle à son tour derrière moi en train de laver la vaisselle. Il tend le bras pour poser ses couverts dans le bac et je sens contre mes fesses une barre très prometteuse. Enfin une réaction de sa part, mais il n’en profite pas. Je me retourne et vois Arthur me jeter un regard à peine lubrique. J’envoie un ballon d’essai.
- Tu sais que tu es un beau garçon Arthur, intelligent, bien bâti, et je suis sûre que tu dois plaire aux filles, et même aux femmes un peu plus mûres.
Sa seule réponse :-Je suis en retard, je vais aller prendre une douche.
Je lui réponds du tac au tac.
-Presse toi et préviens moi quand tu auras fini parce que j’ai un patient très tôt ce matin et je veux aussi me doucher.
Il me rétorque :-Je vais faire vite, la salle de bain sera libre dans cinq minutes.
Il doit être parti de la salle de bain car je n’entends plus l’eau couler. J’entre et me dévêtis pour entrer dans ma douche faite d’une paroi verticale et d’une porte vitrée. Je vais pour y pénétrer quand la porte s’ouvre et qu’Arthur en sort en train de s’essuyer les épaules avec un drap de bain. Je me retrouve donc face à Arthur et aussi dénudée que lui. Il pourrait cacher son sexe avec la serviette mais ne le fait pas. Je suis surprise, très agréablement surprise par la vision qu’il me donne. Bien que le sexe d’Arthur soit complètement au repos, j’ai sous les yeux une grosse chose flasque qui repose sur des couilles de belle taille bien collées de chaque côté d’une verge qui doit faire dans les 14/15 centimètres. Mais ce qui me scotche le plus par rapport à son physique, c’est le diamètre de ce pénis au repos. Arthur est bien foutu, un ventre plat où se dessinent ses abdominaux de jeune sportif, un bassin assez étroit qui n’est pas en rapport avec son service trois pièces que je verrais plus sur un beau black baraqué d’un mètre 95. Je suis si obnubilée par cette vision que je ne cache pas plus de mon côté ma poitrine ou mon sexe. Je ne sais pas ce qui me prends mais au lieu de lui céder le passage, je tends le bras et caresse de ma main droite le serpent assoupi.
Après quelques secondes, Arthur retire ma main et me repousse pour pouvoir passer en bougonnant :-Putain mais c’est pas vrai ! Elles ne pensent qu’à ça !
Il ramasse ses habits et quitte la salle de bain, son beau petit cul ne peut cacher sa verge qui pend et oscille entre ses cuisses à chacun de ses pas.
A suivre…
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Les avis des lecteurs
Ça promet
Y a quand même des petits veinards, ou veinardes !