Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 20
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 20
Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 20
Suite à la demande de mes fans, j’ai écrit une suite à cette histoire. J’espère qu’elle vous plaira. Vous pouvez aussi découvrir la plastique d’Arthur sur ma page d’accueil.
Arthur est bien foutu, un ventre plat où se dessinent ses abdominaux de jeune sportif, un bassin assez étroit qui n’est pas en rapport avec son service trois pièces que je verrais plus sur un beau black baraqué d’un mètre 95. Je suis si obnubilée par cette vision que je ne cache pas plus de mon coté ma poitrine ou mon sexe. Je ne sais pas ce qui me prend mais au lieu de lui céder le passage, je tends le bras et caresse de ma main droite le serpent assoupi.
Après quelques secondes, Arthur retire ma main et me repousse pour pouvoir passer en bougonnant :-Putain mais c’est pas vrai ! Elles ne pensent qu’à ça !
Il ramasse ses habits et quitte la salle de bain, son beau petit cul ne peut cacher sa verge qui pend et oscille entre ses cuisses à chacun de ses pas.
Suite :Je prends ma douche comme une automate, mes pensées divaguant sur ce que mes rétines ont enregistrées. J’ai remarqué que comme moi, il est bronzé intégralement et vais jouer sur ce point.
Le soir même, je lui propose :-Excuse-moi pour ce matin, je ne sais pas ce qu’il m’a pris. J’ai remarqué que tu es bronzé de partout, comme moi. J’ai aménagé à l’arrière de la maison à l’écart des regards indiscrets une pièce avec un jacuzzi et un espace solarium. Tu peux en profiter à ton bon plaisir.
-Merci Prudence. Si ça ne te dérange pas trop, j’en profiterai. Me répond-t-il.
Arthur a changé depuis ce jour là. Il passe pas mal de temps au solarium et accepte même ma présence. Il somnole à coté de moi, son ordi portable ouvert sur sa messagerie sur la table derrière lui. Je sais que ce que je vais faire est mal, mais j’appuie sur le clavier et fait défiler ses mails. Ces correspondants, ou devrais-je plutôt dire ses correspondantes sont une multitude. Pourquoi tant de filles le contactent ? Je clique sur l’un des mails mais Arthur remue un peu trop et j’abandonne en urgence ma mauvaise action. Les seuls mots que j’ai retenus sont : L’étalon blanc du campus. Je suis intriguée et retourne dans mon bureau pour faire des recherches. Je tape son prénom, sa ville, campus et ces deux mots, « étalon blanc ».
Je n’en reviens pas de toutes les occurrences qui apparaissent, c’est complètement dingue. La plupart sont des commentaires de jeunes filles, mais aussi de femmes mûres. Il y a même quelques vidéos, quasiment toutes floutées, mais je reconnais le sujet. C’est bel et bien Arthur !
Quasiment toutes les vidéos traitent du même thème, une fille ou même plusieurs s’occupent de branler ou de sucer une big-cock massive. Dans mon métier et dans ma vie de femme, j’ai déjà été confrontée avec des hommes dotés d’un tel organe question longueur, mais rarement aussi massif et jamais sur un corps de jeune homme assez frêle. Le contraste est saisissant.
Il faut que j’en ais le cœur net et je retourne au solarium, approche ma chaise longue de celle d’Arthur, m’y étends et pose délicatement mon bras sur sa hanche droite. Pas de réaction… Je frôle de mes doigts sa verge qui repose sur sa cuisse et m’enhardis en les refermant dessus. Entre le soleil et sa température corporelle, elle est chaude et douce. Doucement, très doucement, je travaille cette chose qui se réveille doucement, sa longueur s’allonge, son diamètre augmente à tel point que mon pouce et mon majeur ne se touchent plus. La colonne se redresse doucement et un véritable mat de misaine se dresse au milieu de son corps. Il a une verge bien droite et la grosse veine en dessous lui donne une forme légèrement triangulaire à sa base. Je commence à comprendre d’où lui vient son surnom. Il a véritablement une queue d’étalon, mon locataire !
Il incline la tête de mon coté et une fente apparait au bas de ses paupières.
-Prudence. Je me doutais bien que ce moment allait arriver. Mais si tu veux aller plus loin avec moi, il faut que tu me promettes de ne jamais révéler mon identité. Je ne suis pas connu dans cette ville et je veux que ça continue comme ça, d’accord ?
-Tout ce que tu veux Arthur, Mais il faudra que tu m’en dises plus.
-On verra, on verra, m’informe-t-il. Je ne te pensais pas chaude a ce point.
Je ris et m'agenouille devant lui pour me mettre à lui lécher les couilles jusqu'au gland avant de lui répondre :-Bon Arthur je vais être directe, j'aurai bientôt 45 ans et pourtant, j’aime toujours autant le sexe, et question sexe, toi tu te poses là, mon cochon !
Je ris et recommence à lécher sa teub sans jamais le lâcher du regard, j’enroule ma langue sur ce gland massif et en chatouille le frein. Je commence une fellation digne de se nom, la situation m'excite et je vois que ça lui plaît, je le pompe à fond en le regardant dans les yeux de temps en temps, je crache sur sa bite avant d'enchaîner avec une « gorge profonde » avec grande difficulté. Je n’ai jamais été confronté à une poutre d’un tel calibre et je suis trop à la peine dans cette position. Je recrache mon jouet pour le complimenter.
-Ton pieu a un tel calibre que je n’ai pas pu y arriver, heureusement que j’ai une longue expérience et ce n’est que partie remise.
On dirait que ça ne le surprend pas, il me prend par les cheveux et me fait avaler sa bite encore et encore, je le suce frénétiquement et suis étonnée de son endurance. Ça fait bien dix minutes que je m’escrime sur son sabre.
- Tu l'aimes ma bite, elle te fait kiffer ? Mais tu vas encore être surprise…Il repousse ma tête et se branle vigoureusement et me prévient qu’il va jouir.
-Regarde Prudence, tu as déjà connu ça ?
Quelques gouttes suintent de son méat bientôt suivi d’un monstrueux filet de foutre qui s’élève dans les airs et retombe, une partie finit sur le carrelage derrière lui et le reste dans ses cheveux et sur son visage.
Il rigole de mon étonnement. Je n’ai jamais vu ça !
-Mais t’es qui, putain ? Dans mon métier, j’en ai vu des vertes et des pas mûres et question sexes, j’en ai vu défiler. Mais un cas comme toi c’est rare. Tu es beau, tu as un corps d’Apollon, un engin de belle taille et si massif, et pourtant tu bandes ferme, c’est assez rare avec un tel calibre. Et en plus de ça, ton éjaculation est monstrueuse, dantesque… Tu as encore d’autres particularités, mon salaud ?
Oui, pour répondre à ta question, carrément oui, j'adore ta queue de cheval.
Je ne me suis même pas rendu compte que pendant que je lui parlais, ma main prise d’une vie propre a remplacé la sienne et caresse, pour ne pas dire branle, en douceur son chibre un peu ramolli par sa performance. Je me mets à lécher et promener ma langue dessus. Je réalise soudain qu’il reprend déjà du gourdin. Ça ne fait pas cinq minutes qu’il a jouit et il va bientôt être de nouveau dans une forme olympique.
-Mais tu rebandes déjà ? Quel étalon… Mon étalon blanc…Je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça mais ça le fait tiquer.
-Comment tu m’as appelé ?
- Euuuhhh comment ? Quoi ? Ben oui, Tu as une véritable queue de cheval et tu n’es pas un black, alors… Alors je trouve que le terme d’étalon blanc est tout indiqué. Ça te contrarie ? Je lui réponds, un peux confuse.
-Bizarre quand même… Si tu veux qu’on continue, on serait mieux dans un lit, mais nettoie-moi avant.
Je suis sur le cul, croyant à peine ce que je viens d'entendre.
Je ne lui réponds pas, il m'excite tellement que je ne peux refuser sa proposition, trop heureuse plutôt d’aller plus loin avec lui. Je le nettoie donc, avec ma langue d’abord pour profiter de la manne abondante avant de le laver comme une mère le ferait avec son bébé. Désormais il est à ma merci comme je le souhaitais. Je le conduis jusqu’à ma chambre en tenant fermement sa queue pour bien le tenir en laisse puis m’étant sur le lit, offerte…- Maintenant baise-moi ! Je lui ordonne.
Sans se faire prier, il écarte mes cuisses qu’il pose sur les siennes, me tire vers lui et présente sa teub à l'entrée de mon vagin, prête à entrer en moi. Petit à petit il l’insère délicatement en moi jusqu'a être au fond de ma chatte. La sensation est merveilleuse, j’ai rarement eu mon sexe aussi dilatée par une verge.
- Mmmhhh ! Eh bien mon salaud tu as un sacré chibre, plutôt long ce qui est déjà un bon point. Mais que t’es gros, bordel ! Ma chatte est à la fête avec toi.
Il ne me répond pas, se contentant de faire de légers va et vient en moi, je me mords les lèvres de plaisir, j’ai la banane d’être prise par cette énorme banane. Il caresse ma magnifique poitrine, mes seins ne sont pas énormes, mais d’une taille moyenne parfaite. Il se met alors à les peloter puis à titiller mes tétons, j’adore ça et eux aussi car ils sont tout durs sous ses caresses.
Puis il remet ses mains au niveau de mes hanches pour se cramponner et commence à donner des coups de bassin de plus en plus puissants, mes seins se balancent dans tous les sens sous ses assauts. J’ouvre grand la bouche pour gémir.
- Aaannnh- Aaaannnh- Mmhhh- Ouuuiii… Haaaa… Eh ! Vas-y doucement, merde !
Mais il n’en a cure, je ne suis plus qu’un objet sexuel entre ses mains…et sa queue. Plusieurs figures du Kamasoutra y passent. Je n’aurais pas cru qu’un si jeune homme ait une telle résistance et une telle expérience, comme un vieux brisquard du sexe.
Je sens qu’il ne va plus tarder à venir quand il se met à frapper plus fort et plus vite encore en moi, me martelant bien ma chatte qui n’en peut plus de couler, trempant mes draps comme si j’avais pissé dessus.
- T'es prête, grosse chienne ??!! Ou plutôt ma belle jument à recevoir l’insémination de l’étalon ?
- OH OUIIII PUTAIN ! BALANCE TOUT ! VIDE-TOI EN MOI ! REMPLIS-MOI DE TA SEMENCE D’ETALON !
Après encore quelques violents va et vient, je sens sa lance s'enfoncer au plus profond de mon vagin, frémir et grossir encore si c’est humainement possible pour y vider toute sa laitance. Ses jets de sperme sont encore si abondants qu’ils remplissent ma chatte et giclent sous la pression de son piston toujours en action. Putain le mec ! J’ai rarement connu ça, surtout qu’il a déjà joui une fois.
- Oh ! C'est trop bon de se vider en toi. J’espère que je ne t’ai pas déçue…-Déçue ? Moi ? T’es un sacré queutard pour ton âge, toi ! Je ne veux pas t’envoyer des fleurs mais t’es un sacré coup, t’as sûrement déjà fait des heureuses avec de telles capacités.
-Hmmm, hmmm ! Concède-t-il, je n’ai jamais eu à me plaindre, et elles non plus.
-Petit prétentieux. Il faudra que je remercie Nadège, ta tante, de t’avoir adressé à moi. En tant que consœur, elle est passée à coté d’un cas exceptionnel, toi…-Je crois plutôt qu’elle te connait bien, m’assure Arthur, et qu’en m’adressant à toi, elle savait pertinemment ce qu’elle faisait. Un moyen de s’assurer que je suis entre de bonnes mains.
-Tu veux dire ? Je l’interroge, que…-Je veux dire que vous êtes toutes des dépravées dans ce métier, et que dès que vous voyez passer un beau chibre passer dans votre cabinet, vous voulez vous assurer par vous-même qu’il « fonctionne bien ».
Je comprends mieux maintenant les recommandations de Nadège, il faudra que je la remercie. Nous retournons dans le solarium et après une douche revigorante, je demande à Arthur de m’oindre le dos de crème pour le bronzage. Il s’applique consciencieusement et quand je me retourne pour lui demander de faire le coté face, je me retrouve face à une barre tendue entre ses cuisses.
-Mais c’est pas vrai ! Tu es un vrai faune, toi ! Mais cette fois-ci, laisse-moi faire…
A suivre…
J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos likes pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
Suite à la demande de mes fans, j’ai écrit une suite à cette histoire. J’espère qu’elle vous plaira. Vous pouvez aussi découvrir la plastique d’Arthur sur ma page d’accueil.
Arthur est bien foutu, un ventre plat où se dessinent ses abdominaux de jeune sportif, un bassin assez étroit qui n’est pas en rapport avec son service trois pièces que je verrais plus sur un beau black baraqué d’un mètre 95. Je suis si obnubilée par cette vision que je ne cache pas plus de mon coté ma poitrine ou mon sexe. Je ne sais pas ce qui me prend mais au lieu de lui céder le passage, je tends le bras et caresse de ma main droite le serpent assoupi.
Après quelques secondes, Arthur retire ma main et me repousse pour pouvoir passer en bougonnant :-Putain mais c’est pas vrai ! Elles ne pensent qu’à ça !
Il ramasse ses habits et quitte la salle de bain, son beau petit cul ne peut cacher sa verge qui pend et oscille entre ses cuisses à chacun de ses pas.
Suite :Je prends ma douche comme une automate, mes pensées divaguant sur ce que mes rétines ont enregistrées. J’ai remarqué que comme moi, il est bronzé intégralement et vais jouer sur ce point.
Le soir même, je lui propose :-Excuse-moi pour ce matin, je ne sais pas ce qu’il m’a pris. J’ai remarqué que tu es bronzé de partout, comme moi. J’ai aménagé à l’arrière de la maison à l’écart des regards indiscrets une pièce avec un jacuzzi et un espace solarium. Tu peux en profiter à ton bon plaisir.
-Merci Prudence. Si ça ne te dérange pas trop, j’en profiterai. Me répond-t-il.
Arthur a changé depuis ce jour là. Il passe pas mal de temps au solarium et accepte même ma présence. Il somnole à coté de moi, son ordi portable ouvert sur sa messagerie sur la table derrière lui. Je sais que ce que je vais faire est mal, mais j’appuie sur le clavier et fait défiler ses mails. Ces correspondants, ou devrais-je plutôt dire ses correspondantes sont une multitude. Pourquoi tant de filles le contactent ? Je clique sur l’un des mails mais Arthur remue un peu trop et j’abandonne en urgence ma mauvaise action. Les seuls mots que j’ai retenus sont : L’étalon blanc du campus. Je suis intriguée et retourne dans mon bureau pour faire des recherches. Je tape son prénom, sa ville, campus et ces deux mots, « étalon blanc ».
Je n’en reviens pas de toutes les occurrences qui apparaissent, c’est complètement dingue. La plupart sont des commentaires de jeunes filles, mais aussi de femmes mûres. Il y a même quelques vidéos, quasiment toutes floutées, mais je reconnais le sujet. C’est bel et bien Arthur !
Quasiment toutes les vidéos traitent du même thème, une fille ou même plusieurs s’occupent de branler ou de sucer une big-cock massive. Dans mon métier et dans ma vie de femme, j’ai déjà été confrontée avec des hommes dotés d’un tel organe question longueur, mais rarement aussi massif et jamais sur un corps de jeune homme assez frêle. Le contraste est saisissant.
Il faut que j’en ais le cœur net et je retourne au solarium, approche ma chaise longue de celle d’Arthur, m’y étends et pose délicatement mon bras sur sa hanche droite. Pas de réaction… Je frôle de mes doigts sa verge qui repose sur sa cuisse et m’enhardis en les refermant dessus. Entre le soleil et sa température corporelle, elle est chaude et douce. Doucement, très doucement, je travaille cette chose qui se réveille doucement, sa longueur s’allonge, son diamètre augmente à tel point que mon pouce et mon majeur ne se touchent plus. La colonne se redresse doucement et un véritable mat de misaine se dresse au milieu de son corps. Il a une verge bien droite et la grosse veine en dessous lui donne une forme légèrement triangulaire à sa base. Je commence à comprendre d’où lui vient son surnom. Il a véritablement une queue d’étalon, mon locataire !
Il incline la tête de mon coté et une fente apparait au bas de ses paupières.
-Prudence. Je me doutais bien que ce moment allait arriver. Mais si tu veux aller plus loin avec moi, il faut que tu me promettes de ne jamais révéler mon identité. Je ne suis pas connu dans cette ville et je veux que ça continue comme ça, d’accord ?
-Tout ce que tu veux Arthur, Mais il faudra que tu m’en dises plus.
-On verra, on verra, m’informe-t-il. Je ne te pensais pas chaude a ce point.
Je ris et m'agenouille devant lui pour me mettre à lui lécher les couilles jusqu'au gland avant de lui répondre :-Bon Arthur je vais être directe, j'aurai bientôt 45 ans et pourtant, j’aime toujours autant le sexe, et question sexe, toi tu te poses là, mon cochon !
Je ris et recommence à lécher sa teub sans jamais le lâcher du regard, j’enroule ma langue sur ce gland massif et en chatouille le frein. Je commence une fellation digne de se nom, la situation m'excite et je vois que ça lui plaît, je le pompe à fond en le regardant dans les yeux de temps en temps, je crache sur sa bite avant d'enchaîner avec une « gorge profonde » avec grande difficulté. Je n’ai jamais été confronté à une poutre d’un tel calibre et je suis trop à la peine dans cette position. Je recrache mon jouet pour le complimenter.
-Ton pieu a un tel calibre que je n’ai pas pu y arriver, heureusement que j’ai une longue expérience et ce n’est que partie remise.
On dirait que ça ne le surprend pas, il me prend par les cheveux et me fait avaler sa bite encore et encore, je le suce frénétiquement et suis étonnée de son endurance. Ça fait bien dix minutes que je m’escrime sur son sabre.
- Tu l'aimes ma bite, elle te fait kiffer ? Mais tu vas encore être surprise…Il repousse ma tête et se branle vigoureusement et me prévient qu’il va jouir.
-Regarde Prudence, tu as déjà connu ça ?
Quelques gouttes suintent de son méat bientôt suivi d’un monstrueux filet de foutre qui s’élève dans les airs et retombe, une partie finit sur le carrelage derrière lui et le reste dans ses cheveux et sur son visage.
Il rigole de mon étonnement. Je n’ai jamais vu ça !
-Mais t’es qui, putain ? Dans mon métier, j’en ai vu des vertes et des pas mûres et question sexes, j’en ai vu défiler. Mais un cas comme toi c’est rare. Tu es beau, tu as un corps d’Apollon, un engin de belle taille et si massif, et pourtant tu bandes ferme, c’est assez rare avec un tel calibre. Et en plus de ça, ton éjaculation est monstrueuse, dantesque… Tu as encore d’autres particularités, mon salaud ?
Oui, pour répondre à ta question, carrément oui, j'adore ta queue de cheval.
Je ne me suis même pas rendu compte que pendant que je lui parlais, ma main prise d’une vie propre a remplacé la sienne et caresse, pour ne pas dire branle, en douceur son chibre un peu ramolli par sa performance. Je me mets à lécher et promener ma langue dessus. Je réalise soudain qu’il reprend déjà du gourdin. Ça ne fait pas cinq minutes qu’il a jouit et il va bientôt être de nouveau dans une forme olympique.
-Mais tu rebandes déjà ? Quel étalon… Mon étalon blanc…Je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça mais ça le fait tiquer.
-Comment tu m’as appelé ?
- Euuuhhh comment ? Quoi ? Ben oui, Tu as une véritable queue de cheval et tu n’es pas un black, alors… Alors je trouve que le terme d’étalon blanc est tout indiqué. Ça te contrarie ? Je lui réponds, un peux confuse.
-Bizarre quand même… Si tu veux qu’on continue, on serait mieux dans un lit, mais nettoie-moi avant.
Je suis sur le cul, croyant à peine ce que je viens d'entendre.
Je ne lui réponds pas, il m'excite tellement que je ne peux refuser sa proposition, trop heureuse plutôt d’aller plus loin avec lui. Je le nettoie donc, avec ma langue d’abord pour profiter de la manne abondante avant de le laver comme une mère le ferait avec son bébé. Désormais il est à ma merci comme je le souhaitais. Je le conduis jusqu’à ma chambre en tenant fermement sa queue pour bien le tenir en laisse puis m’étant sur le lit, offerte…- Maintenant baise-moi ! Je lui ordonne.
Sans se faire prier, il écarte mes cuisses qu’il pose sur les siennes, me tire vers lui et présente sa teub à l'entrée de mon vagin, prête à entrer en moi. Petit à petit il l’insère délicatement en moi jusqu'a être au fond de ma chatte. La sensation est merveilleuse, j’ai rarement eu mon sexe aussi dilatée par une verge.
- Mmmhhh ! Eh bien mon salaud tu as un sacré chibre, plutôt long ce qui est déjà un bon point. Mais que t’es gros, bordel ! Ma chatte est à la fête avec toi.
Il ne me répond pas, se contentant de faire de légers va et vient en moi, je me mords les lèvres de plaisir, j’ai la banane d’être prise par cette énorme banane. Il caresse ma magnifique poitrine, mes seins ne sont pas énormes, mais d’une taille moyenne parfaite. Il se met alors à les peloter puis à titiller mes tétons, j’adore ça et eux aussi car ils sont tout durs sous ses caresses.
Puis il remet ses mains au niveau de mes hanches pour se cramponner et commence à donner des coups de bassin de plus en plus puissants, mes seins se balancent dans tous les sens sous ses assauts. J’ouvre grand la bouche pour gémir.
- Aaannnh- Aaaannnh- Mmhhh- Ouuuiii… Haaaa… Eh ! Vas-y doucement, merde !
Mais il n’en a cure, je ne suis plus qu’un objet sexuel entre ses mains…et sa queue. Plusieurs figures du Kamasoutra y passent. Je n’aurais pas cru qu’un si jeune homme ait une telle résistance et une telle expérience, comme un vieux brisquard du sexe.
Je sens qu’il ne va plus tarder à venir quand il se met à frapper plus fort et plus vite encore en moi, me martelant bien ma chatte qui n’en peut plus de couler, trempant mes draps comme si j’avais pissé dessus.
- T'es prête, grosse chienne ??!! Ou plutôt ma belle jument à recevoir l’insémination de l’étalon ?
- OH OUIIII PUTAIN ! BALANCE TOUT ! VIDE-TOI EN MOI ! REMPLIS-MOI DE TA SEMENCE D’ETALON !
Après encore quelques violents va et vient, je sens sa lance s'enfoncer au plus profond de mon vagin, frémir et grossir encore si c’est humainement possible pour y vider toute sa laitance. Ses jets de sperme sont encore si abondants qu’ils remplissent ma chatte et giclent sous la pression de son piston toujours en action. Putain le mec ! J’ai rarement connu ça, surtout qu’il a déjà joui une fois.
- Oh ! C'est trop bon de se vider en toi. J’espère que je ne t’ai pas déçue…-Déçue ? Moi ? T’es un sacré queutard pour ton âge, toi ! Je ne veux pas t’envoyer des fleurs mais t’es un sacré coup, t’as sûrement déjà fait des heureuses avec de telles capacités.
-Hmmm, hmmm ! Concède-t-il, je n’ai jamais eu à me plaindre, et elles non plus.
-Petit prétentieux. Il faudra que je remercie Nadège, ta tante, de t’avoir adressé à moi. En tant que consœur, elle est passée à coté d’un cas exceptionnel, toi…-Je crois plutôt qu’elle te connait bien, m’assure Arthur, et qu’en m’adressant à toi, elle savait pertinemment ce qu’elle faisait. Un moyen de s’assurer que je suis entre de bonnes mains.
-Tu veux dire ? Je l’interroge, que…-Je veux dire que vous êtes toutes des dépravées dans ce métier, et que dès que vous voyez passer un beau chibre passer dans votre cabinet, vous voulez vous assurer par vous-même qu’il « fonctionne bien ».
Je comprends mieux maintenant les recommandations de Nadège, il faudra que je la remercie. Nous retournons dans le solarium et après une douche revigorante, je demande à Arthur de m’oindre le dos de crème pour le bronzage. Il s’applique consciencieusement et quand je me retourne pour lui demander de faire le coté face, je me retrouve face à une barre tendue entre ses cuisses.
-Mais c’est pas vrai ! Tu es un vrai faune, toi ! Mais cette fois-ci, laisse-moi faire…
A suivre…
J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos likes pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
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