Complot et secret

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Complot et secret Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Complot et secret
A mon arrivée Odile est confortablement assise dans le fauteuil, attendant ma venue.
L’une de ses cuisses s’est dénudée, je la contemple, debout. Elle jette un regard en coin qui me met à l’aise.
-Alors qu’attends-tu ?
Je m’agenouille devant elle. Elle me regarde faire. Je remonte assez haut l’ourlet de sa robe pour découvrir son autre cuisse. Elle contemple un instant ses jambes.
Sa culotte est simple, bombée, terriblement attirante. Je lui embrasse les cuisses en remontant. C’est bon de sentir sa peau, de découvrir son odeur. Je m’approche doucement de son sexe. J’ai envie de le respirer de m’y perdre.
Le nez et la bouche collés à sa chatte par-dessus sa culotte, je la respire enfin. Elle ne bouge pas, à peine a-t-elle écarté les jambes pour me laisser atteindre son intimité.
C’est alors qu’elle bouge, de petits coups de bassins à reculons, en lâchant des plaintes de reproche pour me signifier que je suis trop brutal.
Ses mains dans mes cheveux guident mon visage sur son sexe. Ses mouvements de bassin se dirigent maintenant vers l’avant. Elle m’écrase la bouche sur sa culotte, m’écarte dès que je recommence à la mordre.
Elle me fait reculer, se lève et sans un mot, se sépare de sa culotte. Après quoi, elle se réinstalle en écartant largement les jambes, mais me fait signe de garder mes distances.
Je me remplis les yeux de sa chatte. Ses poils courts, dorés, taillés en étroit triangle, ne cachant pas ses chairs intimes.
Les petites lèvres d’un rose très pâle, luisantes de jus, dépassent mettent de la fente. Je lève les yeux vers elle. Elle retire les bretelles de sa robe, fait jaillir de son soutien-gorge ses seins, couronnés d’aréoles.
D’abord, elle les caresse, puis les relève l’un après l’autre, à ma grande surprise, jusqu’à sa bouche ce qui lui permet de les téter longuement.
Je profite qu’elle se suce les nichons pour m’occuper de sa chatte. Elle est toute visqueuse. Un coup de langue pour goûter. Elle a une foufoune délicieuse. Plus acide que la moyenne. J’avale son suc avec bonheur. Je la lape comme un chien, l’ouvre, passe ma langue le long de sa fente, entre profondément dans son vagin.
Lui écartant la chatte à deux mains, je la lèche avec le plat de la langue, sans pénétrer. Elle gémit, me maintient la tête fermement, guide ma langue de l’ouverture de son vagin à son clitoris qui s’allonge.
Puis elle cesse de se téter, se laisse glisser sur le fauteuil, relève les jambes au maximum pour les appuyer sur mes épaules. Le visage à dix centimètres de son sexe et de son cul, je la regarde se branler.
Elle se lubrifie dans un premier temps le doigt dans le sexe, avant de se l’enfoncer dans le cul, à peine marqué de fronces. Quand son orifice est bien ouvert, elle m’attire vers elle en me demandant de le lui lécher. Son trou brodé d’un mince liseré rose s’ouvre se ferme, vibre, comme s’il est doué d’une vie à part. Je tente de le pénétrer. Ma langue a envie d’être une queue. Elle soupire, gémit de plus en plus fort.
Avec son pied elle effleure mon pantalon. Caresse l’étoffe du bout de l’orteil sans avoir l’air d’y toucher, puis dérive à tâtons vers mon entrejambe, sentant mon renflement qui lui arrache un petit rire de contentement. Adroitement elle baisse la fermeture éclair à l’aide de deux orteils, s’incruste dans son slip. Je sentais ses orteils sur ma bite gonflée. Avec dextérité elle me la masse. Elle caresse quelques instants la grosse bosse dure à travers le slip.
-Tu ne préférerais pas mieux avec la main ?
-Je ne dis pas non !
Le temps de changer de position, et la voilà d'un coup de poignet, elle décalotte ma verge avant de me branler avec tendresse. Elle me soupèse ensuite doucement les couilles, les massant un peu, puis reprend son rythme soutenu, sa main agitant vigoureusement ma queue qui se dresse au-dessus de ma toison bien brune et bien bouclée.
Odile m’astique le manche comme l’aurait fait une pro ...!
Elle a vraiment le coup de poignet agile. Je me régale du contraste de sa main tiède avec ses bagues froides et dures. Je bande si dur que j’en ai mal. Elle se penche sur ma virilité. Je sens la chaude humidité de sa bouche enserrer mon sexe dur. Sa langue s’active et dispense en moi une multitude de frissons qui me parcourent le corps. Ses va-et-vient, entrecoupés de petits coups de langues tout le long de ma verge bandée, m’accompagne vers un plaisir infinie.
Je fuis sa bouche pour enfuir de nouveau ma figure entre ses cuisses chaudes et plonge mon nez dans sa toison aux poils collés par la transpiration et la mouille. Je pénètre la fente tiède, masse la chair humide et joue de nouveau avec le clitoris. La bouche entrouverte, elle gémit. Sans mal, je visse deux doigts dans son vagin. Je la fouille sans douceur. La besogne à grands coups.
J’entends des soupirs sortirent de sa bouche. Je la goûte et re-goûte, me délectant nullement de son intimité. Son corps ne lui appartient plus, et commence à onduler au rythme de mes coups de langues. Ses mains enserrent ma tête de peur sans doute que je me retire. Pourtant c’est bien loin de mes pensées. Tant le plaisir est au rendez-vous chez elle, je continus. Ses soupirs deviennent gémissements.
Elle est gorgée de plaisir. Je décide d’augmenter son plaisir en incluant un, puis deux doigts en elle. Sa réaction est immédiate. Son plaisir décuplé monte à son zénith et, dans un cri étouffé, une vague au goût de marée envahit ma bouche et mes doigts. Odile se met à gémir, à crier presque. Jusqu’à ce que je l’abandonne pour taquiner une fois encore son anus. Mais ce n’était pas du goût d’Odile. Qui miaule presque un :
-Non… la chatte !
Sa foufoune bave de plaisir. Je bois son jus qui s’écoule jusqu’à son petit trou. Elle se tortille, perdant toute pudeur. Puis j’aspire toute sa viande dans ma bouche. Elle gémit sans retenue. Je l’empoigne par les cuisses pour mieux enfoncer ma langue dans son puits d‘amour. La jouissance est immédiate.
J’ancre ma langue aussi loin que je le peux, la fais frétiller. La ressort pour mieux l’assaillir de nouveau. Perquisitionnant l’intérieur, alors que mon index s’insinue lentement dans son rectum. Elle choisit cette manœuvre pour jouir, pinçant mon doigt.
J’adore entendre jouir une femme. C’est pour moi une récompense formidable.
Elle s’affale à sa place, épuisée, haletante. Son orifice demeure béant.
Je me lève me rajuste et quitte l’appartement. En descendant les marches, je m’aperçois que ma main en a pris pour son grade. Je l’avance jusqu’à mon nez, et hume. Ça sent bon le cul !
En passant devant le bâtiment de Barbara je m’aperçois qu’elle se trouve à la fenêtre. Elle met un certain temps avant de s’apercevoir que je la regarde.
-Viens, j’ai quelque chose à te montrer. Me fait-elle de sa fenêtre.
Je monte les étages. La porte d’entrée n’est pas verrouillée. Elle est toujours à la fenêtre. Elle tourne à peine la tête pour m’accueillir. Elle est vêtue d’une longue robe fluide comme la dernière fois, mais celle-ci se boutonne par-derrière et le dernier bouton fermé se trouve au niveau des fesses.
-Regarde discrètement au deuxième du bâtiment d’en face, me dit-elle d’un ton léger.
Là, j’observe son jeune voisin qui se tripote la bite en toute impunité.
-Tu le vois, le mec,
-Oui et alors ?
-Ça fait une bonne demie heure qui se tripote ! Et il me met dans un état pas possible !
Elle me prend la main, qu’elle fait disparaître sous sa robe. Elle est nue dessous. Je bande en sentant son petit ventre rond sur la paume de ma main, son pubis taillé, rêche. Elle me fait aller et venir ma main sous elle, trempant mes doigts en se caressant la chatte.
-Je n’en peux plus j’ai besoin d’être baiser là !
-Je préfère vous branlez !
-Comme ce que tu veux mais fais-moi jouir !
Je pointe mes doigts à l’entrée de son sexe. Sa chatte m’aspire. Elle s’appuie sur ma main, se branle. Je lui enfonce trois doigts en gone. Mais voilà qu’elle m’en réclame plus. Je fais alors ce que je peux en la fistant, mais ça bloque. Le pouce et la naissance des métacarpiens ne passent pas. Je n’ai pas de grosses mains, mais tout de même, penser que mon poing peut s’introduire en elle est pure folie.
Elle insiste, râle, se baise avec ma main, tout en essayant de garder un visage impassible à la fenêtre. Tout de suite après avoir jouie trois fois, chagriner, elle met un terme au jeu, et elle tire les rideaux, avant de s’allonger sur son lit.
-Déshabille-toi. M’ordonne-t-elle. J’ai envie d’une queue !
-Je ne sais pas si je dois, la dernière-fois cela c’est mal passé.
-Oui, je sais bien. Mais j’ai eu une discussion avec ma fille et elle m’a compris. Lâche-t-elle en ouvrant le tiroir de sa table de nuit, pour en sortir un gode de taille impressionnante.
-Cela te dit de me regarder faire avec ce joujou?
-Avec plaisir ;
Sans peine suis au fiste, elle invite le bout du gode à s’enfoncer entre ses lèvres intimes. Après quelques allers et retour elle le ressort un peu, puis le pousse à l’intérieur. Toujours plus loin. Elle lâche un grand cri, puis un râle profond quand la moitié du gode disparait dans le vagin.
Elle me demande de la ramoner avec cette bite énorme. Alors je m’exécute, faisant aller et venir le gourdin entre ses lèvres intimes. C’est extraordinaire ce que je vie.
-Laisse-moi faire seule maintenant. Lâche-t-elle.
Assis sur le bord du lit, j’ai l’ordre de la regarder en me branlant. Elle continue à faire entrer et sortir le gode. Recroquevillée comme un escargot, elle s’ouvre de plus en plus facilement. A la voir faire autant de grimace, elle doit vraiment prendre son pied.
Puis à bout de force la voilà qu’elle s’affale sur le lit, comme morte. Le gode sort d’entre ses jambes. Elle prend tout de même la peine de m’attirer à elle, de m’embrasser.
-J’ai pris grâce à toi un pied pas possible ! Tu mérite d’être récompenser !
Alors elle se saisie de ma queue et la branle comme elle sait bien le faire, tout en se caressant en même temps, avec son autre main. Mais très vite c’est à son cul qu’elle s’intéresse. Se fouillant la raie, l’anus. Je ne sais combien de doigts elle s’est fourrée, mais elle y va gaiement, comme tout à l’heure dans son vagin avec le gode.
J’en profite pour explorer sa chatte distendue à l’aide de mes doigts. Comme prise de folie, la voilà qu’elle se dégage, pour m’enjamber et se positionner dos à moi. Là elle se saisie de ma queue et la guide à l’entrée de son cul. Là en parfaite expert elle s’assoit doucement sur moi. Son anus m’aspire. Mon être entier se fait comme avaler par son cul. Son trou se contracte sur ma queue.
-J’adore ta queue ! Me lâche-t-elle.
Elle s’encule en me confiant qu’elle craint les grosses queues de ce côté là. Elle ajoute qu’elle n’est pas la seule dans ce cas.
Elle m’avoue que je plairais beaucoup à quelques unes de ses copines. Cela grâce à ta gentillesse naturelle, à mes traits fins du visage comparables à ceux de celles de jeunes filles, à ma jolie queue à pourvoir téter sans s’étouffer.
-Il ne faut pas supposer, me confie-t-elle, toutes les femmes ne raffolent pas des grands braquemarts qui leur défoncent l’utérus. Crois-en mon expérience, mon petit. Nous les femmes, nous ne sommes pas toutes des mules.
Ses gémissements se mutent en cris de plaisir. Les mouvements de son bassin s’accélérèrent. De temps en temps, elle tourne la tête pour me regarder, les yeux pleins de dévotion. Elle s’encule avec ma queue, l’enfonce dans son cul, la branle, la pince, l’enveloppe de toute sa gaine soyeuse, la masse dans son tunnel. La caresse est exquise, je suis surpris par son savoir-faire. Je sais que je ne vais pas pourvoir résister encore longtemps, et je me laisse allé à la jouissance.
Je la repousse, elle s’effondre sur le lit. Nous sommes trempés. J’embrasse sa bouche. Je lèche la sueur de son visage, de son cou, sous ses aisselles embaumées. Elle me caresse le crâne.
Mon souffle retrouvée, je pars la découverte de son intimité. Me délectant de sa forte odeur, je lèche, je lape tout ce qui se trouve à portée de bouche. La chatte ainsi que son trou de balle d’où suinte un peu de mon plaisir.
Mais avant de prendre congé une idée me vient. Une drôle d’idée même. Je lui soumets de nouveau se mettre à la fenêtre et de regarder du côté du voisin.
-Que comptes-tu faire ? Me lâche-t-elle.
-Tu verras, en espérant que cela se réalise !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Mmmmhhh délicieuse histoire

Cyrille



Texte coquin : Complot et secret
Histoire sexe : Une rose rouge
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