Concurrence Coquine

- Par l'auteur HDS Tamalou -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Concurrence Coquine Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Concurrence Coquine
J’étais atterrée et mes yeux s’emplissaient de larmes. Cet enfoiré voulait me plaquer. Je venais de recevoir les papiers du divorce. Après 6 ans de vie commune, Jason ne m’aimait plus, et apparemment depuis longtemps. Il était tombé amoureux de sa petite salope de secrétaire. Une petite blonde d’une vingtaine d’années, qui ne savait pas écrire son prénom sans faire de faute d’orthographe, mais qui avait des fesses et des seins à faire bander un eunuque.

S'il restait des affaires à lui dans la maison, j’allais en faire un feu de joie dans le jardin. Mais il n’avait rien laissé. Un break de quelques jours, qu’il m’avait dit. Le temps de faire le point. Il avait besoin de se clarifier les idées, prétendait-il, après que je l’ai pris la main dans le sac, si j’ose m’exprimer ainsi.

J’étais passée inopinément à son bureau, prévenue par son meilleur ami, et néanmoins rival, Kevin. Ils sont tous les deux avocats, spécialisés dans les problèmes autour de la famille. Divorce, violence, partage des biens, tout un tas de trucs glauques auxquels je n’ai jamais rien compris. Il y avait un petit mot de mon mari, me promettant un divorce rapide et propre afin que je puisse refaire ma vie sans lui.

Refaire ma vie ! C’était sa face que j’avais envie de lui refaire ! Salaud ! Je vérifiais chaque pièce de la maison en jurant entre mes dents serrées. Ma maison, maintenant ! Il n’avait rien laissé traîner derrière lui. Je n’aurais pas dû être surprise par son infidélité, c’était devenu le calme plat, au lit, entre nous deux. Je fermais les yeux sur ses carences, parce que ça m’arrangeait, il n’avait jamais été très fringant au lit. La blondasse allait me venger rapidement en le faisant cocu.

Je ne sais pas pourquoi j'étais aussi bouleversée, notre mariage était nul de toute façon. Nous nous sommes mariés jeunes, lorsque je me suis aperçue que j'étais enceinte. J’étais inexpérimentée et naïve, et mon enthousiasme pour ce beau garçon m’avait fait faire n’importe quoi. Nous nous sommes mariés rapidement, sans aucun cérémonial ni magnificence, exactement l’inverse de mes rêves de jeune fille.

Quelques semaines plus tard, j'ai fait une fausse couche. Mon obstétricien m’a affirmé que je ne pourrais plus avoir d'enfants après ça. Nous nous sommes sentis tous les deux un peu coincés en apprenant cette nouvelle. Est-ce qu’il m’en a voulu ? Je ne crois pas, car je le laissais libre de sortir autant qu’il voulait.

« C’est juste une crise, c'est tout, il va revenir la queue entre les jambes, en te demandant pardon, et en te suppliant de le reprendre » Ma meilleure amie Cathy essayait de me consoler, sans succès. J’avais besoin de me saouler pour l’oublier, et elle n’arrêtait pas de me parler de lui
« Je ne le reprendrai pas pour tout l’or du monde. Je ne veux plus rien avoir de commun avec ce sale type. J’ai retrouvé ma liberté, je suis encore présentable, et je compte bien en profiter » J’ai essuyé mes larmes avec le dos de la main, déterminée à me battre. Mon maquillage était probablement en ruine maintenant. Je n'arriverais même pas à séduire un aveugle dans cet état-là.

« Tu te sentiras mieux d’ici quelques jours. Tu pourras refaire ta vie avec quelqu’un de bien »
Refaire ma vie ? Quelqu’un de bien ? Je voulais m’amuser. Sortir. Je n’avais pas eu de jeunesse. Les études, et tout de suite après, le mariage. J’avais toujours eu quelqu’un sur le dos pour me dire quoi faire. Mes parents, puis mon mari. J’étais libre. Libre !

Cathy revint avec un autre cocktail. Je l'ai vidé sans réfléchir. Elle a essayé de discipliner mes mèches de cheveux ébouriffées, mais je me fichais de mon apparence. Ma résolution était prise. J’allais prendre un amant. Un beau jeune homme, et je m’arrangerai pour que Jason l’apprenne, ça lui fera les pieds.

A vingt-sept ans, je suis encore charmante. Ma peau est satinée, et je prends soin de mon corps. Je ne suis pas exactement un modèle de magazine de mode, mais je reçois toujours des commentaires flatteurs de la part des messieurs. Je travaille dans un magasin de cosmétiques, les clientes sont principalement des femmes, mais de plus en plus souvent des hommes viennent acheter des produits pour leurs femmes, ou pour eux-mêmes.

Nous sommes restées très tard à boire, en complotant une douce vengeance. Inutile de dire qu’au matin, aucun maquillage ne pouvait sauver mon apparence. Ma directrice m’a renvoyée chez moi en disant qu’elle me faisait cadeau de ma journée, et de revenir le lendemain avec un visage potable.

J’ai avalé des litres de café en réfléchissant. J’avais pris ma décision. Je ne serai pas une pleurnicharde délaissée. J'étais de nouveau célibataire, une battante, et j'avais besoin de me remettre sur le marché. Il y avait beaucoup de gars en ville, ou même en ligne, et ouais, je n'étais pas désespérée du tout.

La première partie de mon plan concernait Kevin. Kevin est le meilleur ami et le plus grand rival de Jason. Ils travaillaient dans le même cabinet d'avocats, avec la même ancienneté, mais Kevin a grimpé dans la hiérarchie beaucoup plus vite que Jason. Jason m’avait fait partager sa rancœur. Il affirmait que Kevin était un fayot incompétent. Il ne l’aurait jamais reconnu publiquement, mais il en était jaloux. 
Être baisée par Kevin serait une douce vengeance, si par hasard Jason l’apprenait. Il ne veut plus de moi, mais je lui montrerais que d'autres hommes sont intéressés. Le sommeil m’a fui, cette nuit-là. J'ai planifié mon coup dans les moindres détails. Kevin allait servir mes plans, et Jason allait souffrir mille morts.

« Oh salut Kevin ! » Je lui ai fait un grand sourire en ouvrant la porte de son bureau. Il avait l'air si affairé derrière son grand bureau en acajou recouvert de piles de dossiers. Ses cheveux couleur sable et ses yeux bleus me faisaient toujours autant d’effet. J'avais un petit béguin pour lui.

« Valérie, quelle agréable surprise, entre ma chérie » Kevin se leva de son fauteuil, et contourna son bureau pour me saluer. Il m'a serré tendrement dans ses bras pour m’embrasser dans le cou, juste sous l’oreille, et j’ai frissonné de plaisir. 
« Tu es ravissante dans cette robe » Il se recula pour me regarder de la tête aux pieds.

« Merci, je voulais paraître élégante pour aller au tribunal » Je tournoyais sur moi-même, lui offrant une vue complète. J'avais dépensé un gros paquet d’argent pour m’acheter cet ensemble. C’était court, noir et moulant. La coiffeuse m’avait fait des boucles vaporeuses. J’avais complété ma tenue avec quelques colifichets brillants, et des escarpins à talons noirs. Mais ce n’était pas pour séduire le tribunal.

« Mission accomplie » Ses yeux me parcoururent à nouveau, s'arrêtant sur la croix en rubis nichée dans mon décolleté bronzé. Mon soutien-gorge push-up soyeux était efficace, et je pouvais dire qu'il en appréciait l’effet.

« Aimes-tu ce que tu vois ? » Je le taquinais, sûre de mon effet. Il leva les yeux, confus en ré-ajustant sa cravate.

« Tu ... voir quoi ? » Il a fait un petit pas en arrière, mais j'ai rapidement fait un pas en avant pour compenser.

« Mon pendentif, héritage de ma grand-mère » Je le caressais négligemment du bout des doigts, observant sa réaction lorsque mes doigts effleuraient le creux entre mes seins. Il était attentif, ses yeux fixés sur les arabesques désinvoltes de ma main. 
« Je suis désolé pour toi. De savoir que Jason ... S'il y a quoi que ce soit que je puisse faire … »
Il était adorablement troublé. Je détestais l'utiliser comme un pion ... Enfin, presque …
« Je suis passée lui déposer l’accord signé, mais il y a quelque chose que tu peux faire pour moi »
Souriante, je me suis effacée lorsqu'il est passé à côté de moi pour fermer la porte. Heureusement, son bureau était grand comme un placard à balais, et la fenêtre derrière son bureau était très étroite.

« Bien sûr, avec plaisir »
Il retourna s’asseoir derrière son bureau dans son fauteuil à roulettes. Il se sentait probablement plus à l'aise avec le bureau entre nous deux. Il m'a désigné le fauteuil face à lui, de l’autre côté du bureau, mais j'ai négligé son offre.

« Je ne suis pas une richissime cliente qui vient dépenser des sommes folles chez toi, je suis ton amie »
J’ai contourné l’immense bureau pour me rapprocher de lui, et j’ai posé une fesse sur le coin du bureau, à l’américaine. En levant ma jambe pour poser une cuisse sur le bureau, ma robe sexy est remontée suffisamment haut pour qu’il s’aperçoive que j’avais mis des bas retenus par des jarretelles pour lui. Jason m’avait confié son secret. Des femmes équipées ainsi, de bas retenus par de longs élastiques qui pendaient depuis la ceinture, ça le rendait fou de désir.

Bien sûr, il ne pouvait pas voir que j’avais ôtée ma culotte dans les toilettes des dames en venant, pour lui. J’ai posé mon sac à main et mon enveloppe en papier kraft sur le bureau et je me suis penchée sur lui, en comprimant mes seins avec mes bras, pour les faire gonfler un peu.

« Oui ... nous sommes amis » Il semblait le regretter, et il ne pouvait pas détacher ses yeux de mes cuisses.

« Que puis-je faire pour t’être agréable, Valérie ? »
J'espérais sincèrement que je l'avais suffisamment distrait, et qu'il ne devinerait pas mon petit piège.

« Je ne comprends tout simplement pas pourquoi Jason m'a quitté. Suis-je vraiment si moche ou quoi ? » J'aurais été jusqu’aux larmes pour le convaincre de ma détresse, si cela n'avait pas ruiné mon maquillage.

Il secoua négativement la tête, en me regardant décroiser mes jambes, puis les recroiser à nouveau. J'espérais qu'il avait eu le temps de voir que je ne portais pas de culotte.

« Peut-être ne suis-je pas assez performante au lit. Mais, il semblait apprécier quand je lui suçais la bite. Je me forçais même à avaler son sperme, alors que je n’aime pas cela » Le bout de mon index glissait ingénument sur ma lèvre inférieure. 
« Son truc préféré, c’était de me prendre par derrière, il disait que j’étais bonne dans cette position »
Ma chaussure a glissé de mon pied, et elle est tombée sans bruit sur le sol recouvert de moquette. J’ai étiré ma jambe, et mes orteils revêtus de nylon sont venus gratter son genou, avant que mon pied ne vienne caresser son tibia. Il semblait pensif, comme perdu dans sa contemplation.

« Cela ne peut venir toi, j'en suis sûr » je pouvais voir qu'il était mal à l'aise, et il se tortillait sur sa chaise, comme si quelque chose l’ennuyait dans son pantalon. Pour l’aider à se décider, mon pied est remonté le caresser au-dessus du genou, et mes orteils chatouillaient la grosseur de son entrejambe.

Plus aucun doute, il savait ce que je voulais. Il tendit la main et laissa courir le bout de ses doigts de haut en bas sur mon mollet. Kevin était célibataire, et un véritable homme à femmes. Il en a probablement baisé des centaines, mais j'avais prévu de lui accorder une séance qu'il n'oublierait jamais. Il se leva brusquement, me faisant presque tomber de son bureau dans le mouvement : 
« Je ne peux pas faire ça à Jason, c’est mon ami »
Il se pencha sur moi, sa mâchoire ciselée dans le granit. Pendant un instant, j'ai pensé que toutes mes espérances s’effondraient, que mes savantes manœuvres étaient bousillées, mais il a saisi mon visage entre ses paumes et m'a embrassé longuement, farouchement et passionnément.

Je gémissais comme il se doit, écartant mes lèvres devant l’invasion de sa langue, et j'enfouissais mes doigts dans ses cheveux, grattant sa nuque avec mes ongles, abandonnée et offerte à son baiser fougueux. J'ôtais mon pied de mon autre chaussure et j’enroulais ma jambe autour de lui, pour l'accueillir entre mes cuisses ouvertes.

Quand il m'a allongée sur son bureau, les papiers et les dossiers s’éparpillèrent sur le sol. Il a ouvert brutalement ma robe et tiré sur mon soutien-gorge, prenant le risque de déchirer le tissu, dans sa hâte de libérer mes seins. Il a empoigné mes nichons, les rapprochant avant de pincer brutalement mes mamelons. 
« Petite salope » murmura-t-il en m’embrassant dans le cou.

Je lui souris pour toute réponse. Il avait mordu à l’hameçon. Ça me faisait du bien qu’il se comporte ainsi. Je me sentais vraiment coquine. J'arquais mes reins, gémissante et offerte, pendant qu'il tétait goulûment mes mamelons, léchant et suçant avidement.

« Je vais baiser ta douce petite chatte » Il m’écarta encore plus les cuisses en remontant mes jambes autour de sa taille. Ses doigts dans ma chatte testaient la moiteur de l’entrée. « Tu es déjà trempée »
Il enfonça ses doigts dans ma bouche, me faisant me goûter ma mouillure. Il y a très longtemps que je n’avais plus léché de chatte. Je devais bien admettre que cela a fait grimper ma convoitise d’un cran. J'ai sucé ses doigts comme si c’était sa bite, pour lui montrer que j’étais une bonne fille, à l'occasion.

Il dégrafa son pantalon, libérant sa queue de sa prison de coton. Je baissais mon regard, agréablement surprise par sa taille. Sa bite était réellement plus longue et plus épaisse que celle de Jason.

Il souleva mes jambes sur ses avant-bras, haussant mon bassin, ouvrant ma chatte, tandis qu'il positionnait sa bite dans ma chatte. Il se contentait de promener la pointe de sa bite, de haut en bas le long de ma fente. Je me suis accrochée à lui, mes mains agrippant ses biceps, pour le regarder me taquiner :
« Viens, oh viens, je suis prête »
Il est venu. Sans prévenir, sans douceur. Il a aligné sa bite sur mon ouverture, et il a poussé. Fort, droit. Sans fléchir, sans pause. Aucune tendresse, aucun romantisme, il a commencé tout de suite par me pilonner avec acharnement. Je n’avais aucune défense, aucun moyen d’amortir les chocs. J’ai gueulé, alors il m’a bâillonné avec sa main : « Ta gueule, salope »
Charmant jeune homme ! Il était définitivement plus gros que Jason, et son traitement dénué de douceur commençait à produire ses effets. Je haletais, gémissante et offerte. Sa flamboyante friction bouleversait mes hormones femelles. Je n’aurais pas pu prévoir qu’il soit aussi sauvage, mais il m'excitait vraiment.

Il ôta sa main de ma bouche, caressant mes lèvres du bout de ses doigts, avant d’en pousser deux dans ma bouche. Je le mordillais, raclant mes dents sur sa peau, je crois qu’il aimait vraiment ça.

Il a attiré mes hanches jusqu'au bord du bureau sans cesser de me baiser, enfonçant sa grosse bite jusqu'au fond à chaque poussée. Je lâchais ses bras pour me servir de mes mains, en appui sur le bureau comme un levier, afin de m'asseoir face à lui. Je l’enlaçais pour l'embrasser à pleine bouche, l'utilisant pour étouffer nos gémissements.

Sa main s'est enroulée autour de ma gorge, serrant ses doigts sur ma peau douce, en observant mon expression paniquée. J'ai essayé de reprendre mon souffle, mais je n'ai pas pu. Cela a toujours été une hantise autant qu’une exaltation pour moi. Lorsque je me masturbe, je réalise un simulacre d’étouffement avec un oreiller pressé fermement sur mon visage, mais c'est une situation que je contrôle.

J'agrippais ses bras, laissant ma tête retomber pendant qu'il secouait le bureau de ses coups puissants. Je le sentis se raidir contre moi et sa bite s’agiter en soubresauts désordonnés, pendant qu'il giclait sa semence au fond de ma vulve, gémissant contre mon oreille. Je n'ai pas pu m'en empêcher, l'effet stimulant de son étouffement m'envoya au bord du gouffre. Je n'avais jamais giclé auparavant, mais c'était la seule explication que je pouvais trouver à l'énorme tache humide laissée sur son pantalon.

Il relâcha son étreinte autour de mon cou, et je me laissais retomber sur le bureau, aspirant d'énormes bouffées d'air précieux. Il se pencha sur moi pour m’embrasser tendrement, et un immense bonheur éclairait nos sourires radieux.

Il a dû changer de pantalon à cause de la tache, mais heureusement, il avait un costume de rechange accroché au porte-manteau dans un coin. Pendant qu'il s'habillait, je glissais de son bureau, j’enfilais mes chaussures tout en remettant ma tenue en ordre. Heureusement, il n'avait rien déchiré. Je ramassais mon sac et mon enveloppe, et je me dirigeais vers la porte, mais il me happa d'une main ferme.

« Attends une minute » Il fouilla dans mon sac à main, et trouva dans la poche avant ce qu’il cherchait. Il sortit triomphalement mon appareil photo miniaturisé. J’avais enregistré toute la séance à l’attention de Jason, pour le faire enrager. Il a retiré la carte mémoire et l'a mise dans sa poche avant de me rendre mon appareil photo.

Comment avait-il deviné ? J'ai bégayé une excuse. Il ne pouvait quand même pas se douter depuis le début.

« Je suis spécialisé dans les affaires de divorce, chérie, ne me prends pas pour un idiot »
Il m’enlaça et m'embrassa une nouvelle fois, plus tendrement cette fois.

« Mais je ne t'en tiendrai pas rigueur, ma douce. J'ai toujours voulu me glisser entre tes blanches cuisses depuis que je t'ai rencontré. On peut se voir ce week-end, si tu veux ? »
« Bien sûr » J'étais toujours époustouflée, mais je n'étais pas immunisée contre son sex-appeal. Mon plan pouvait attendre quelques jours, et il n'y avait aucune raison pour que je ne puisse pas profiter d'une bonne baise entre-temps.

« Bonne fille, tu peux venir chez moi, mais habille-toi sexy. Il n’y a aucun appareil d'enregistrement caché là-bas »
Il m'a claqué sèchement les fesses avant de m'ouvrir la porte. Je sursautais, mais ma chatte s’humidifia instantanément. J'avais hâte de savoir ce que ses manières agressives me réservaient. Je n’étais pas contre des relations sexuelles brutales.

J'ai pris l'ascenseur pour redescendre, puis j’ai jeté mon enveloppe à la poubelle en sortant. J'avais prévu d'y mettre la carte mémoire, et de la « perdre » dans le bureau de Jason, qui aurait été furieux de voir des images de sa femme dans les bras de son rival. Je pouvais sentir le trop-plein de sperme couler entre mes cuisses, et j'avais hâte de rentrer à la maison pour prendre un bain.

J'avais un peu mal au cou, il était un peu rouge, mais je recouvrais facilement les marques avec mes cheveux. Bien que je n'aie pas obtenu exactement le bénéfice convoité, je me sentais un peu vengée. Peut-être que Jason ne le saura jamais, mais dans ce bureau où il doit se rendre tous les jours, sa femme s’est faite baisée par son meilleur ami. C'était un peu comme une bonne blague.

En traversant la rue pour rejoindre ma voiture, je me demandais ce que Kevin projetait pour notre prochain rendez-vous. J'avais hâte de le découvrir et de tester mes limites sexuelles.

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