Consolation!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Consolation!
Le lendemain du dîner chez les T…, après une bonne nuit, quelques bruits de vaisselle me confirment qu’il est temps pour ma part que je me lève. Je rentre dans la cuisine pour apercevoir Valérie attablée en faisant à moitié la gueule. Je ne comprends pas très bien ce qui lui arrive. Tout de suite je pense au pire. A quelqu’un qui c’est peut-être aperçu de notre petit jeu pervers ! Aller savoir !
Mais très vite je suis soulagé par le comportement réjoui de la mère Anne. Heureusement qu’elle est là. Elle sait pour sa part, bien prendre soin de ses invités. Je suis au petit soin avec elle.
-Si tu as besoin de quoi que ce soit tu m’appelles Alain !
-Merci Anne, mais je pense que j’ai tout ce qu’il me faut.
J’attends qu’elle quitte a pièce pour m’informer sur la conduite de Valérie.
-Merci de m’avoir posé un lapin !
-Pardon !
-Oui c’est ça ! fait l’innocent !
Et là je suis pris de panique, ne sachant pas très bien ce qui me tombe dessus, là. Je reprends très vite mon sang froid et la joue serein. Comprenant très vite la situation. Si j’ai bien compris, à défaut de Valérie, c’est Anne que je me suis tapé. Cela explique pourquoi le baiser appuyée sur ma joue de sa part, et de son service trois étoiles du petit déjeuner. Je me dois de faire tourner très vite mes méninges pour me sortir de ce bourbier.
-Je m’excuse Valérie, je me suis endormie.
-Eh bien là tu vois, tu me déçois !
-Je te comprends !
-Pas très bien je crois…
-Mais si, si je te l’assure…
-Et on fait quoi maintenant ?
-Tu veux dire quoi là ?
-Que je compte sur toi pour te rattraper de ta bonne nuit.
-Je veux bien…mais comment ?
-Tout simplement en trouvant le moyen de me faire sortir seule avec toi.
-Et comment ?
-Cherche et tu trouveras… fait-elle avant de déserter elle-aussi le lieu.
Alors que j’allais faire de même, voilà que la mère rapplique. Elle me saisit le bras et m’attire dans un coin de la cuisine et là, elle me parle à voix bas.
-Je profite de cet instant calme pour te remercier pour cette nuit. Je ne savais pas que je t’intéresser petit cachotier… j’en ai encore pleins d’étoiles dans les yeux.
-Je voudrais avant toute chose vous précisez Anne que c’était un malentendu…
-Je sais bien mon petit Alain. Je pense que tu avais rendez-vous avec ma chère Valérie et que tu t’ais tout bêtement trompé de chambre. Je me trompe ?
Elle prend mon silence pour oui.
-Mais, ajoute-t-elle, sache pour ta gouverne mon petit Alain qu’il n’a pas de honte de désiré une femme plus âgée… c’est bien connu, c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes…tu désires un autre café ?
-Oui, merci !
Anne se dirige vers le frigo. Je remarque seulement à cet instant qu’Anne est en chemise de nuit. La lumière du réfrigérateur rend le vêtement presque transparent lorsqu’elle attrape le lait. Je distingue le contour de son cul, si gros que le tissu est tendu sur son fessier. Elle verse un nuage de lait dans un bol et verse ensuite le café, avant de s’approcher de moi. Là elle chuchote, d’une voix qui me parait plus grave.
-Je ne serais pas contre à remettre ça, tu sais mon petit Alain !
-Anne… mais…mais ce n’est pas sérieux… je bafouille à haute voix.
Elle fait un geste du menton vers le couloir, me faisant comprendre de parler moins fort. Elle prend alors une mine désolée tout en s’adossant à la table.
-Il se trouve que la semaine je la passe seule… alors je me disais qu’il serait bien que tu viennes me tenir compagnie.
-Mais c’est que je travaille…
Elle rejette la tête en arrière. Ce faisant, sa chemise de nuit vient se coller sur ses courbes. A travers le fin tissu, je peux apercevoir poindre le téton minuscule au sommet du sein volumineux. Je devine sans trop chercher, l’emplacement où se trouve la toison au relief irrégulier, que le nylon de la chemise de nuit ne peu cacher. Je prends une gorgée de café au lait, ne me gênant pas à me rincer les yeux, vue les circonstances, continuant ainsi le corps d’Anne tout en arrondi.
-Tu as bien des congés ? Me propose-t-elle.
-Mais… mais je ne peux pas les prendre comme ça…
-Et si tu tombes malade…
-Mais je vais bien…
-Oui, mais eux ils n’en savent rien… bon tu veux profiter de moi oui ou non ?
-Bon je vais voir ce que je peux faire…
-Je compte sur toi…fait-elle en prenant la direction du couloir.
-Anne…
-Oui, fait-elle en se retournant.
-Vous avez besoin de pain ?
-Je croyais que ta mère avait dit qu’elle compter bien partir après le petit déjeuner !
-Et bien elle a changé d’idée !
-Je te vois venir petit éhonté… me répond-t-elle d’un air affamé.
-Vous me faite honte Anne…
-C’est toi qui me dit ça, après l’épisode de cette nuit…
-Oui c’est vrai.
Quand j’ai demandé un peu plus tard, à Valérie de m’accompagner jusqu’à la boulangerie, elle a sauté de joie.
-Je file me changer, et prévenir mon mari, me lance-t-elle avant de disparaître de ma vue.
Je profite de cet instant pour prévenir ma mère du changement de programme. Elle prend cela en souriant.
-Fait tout de même attention du mari, n’oublie pas que Valérie est mariée !
-Merci du conseil maman ! Je tacherais de mon rappeler !
Alors que je suis à bord de la voiture, j’aperçois Valérie me venir en jupe si courte que qu’on elle prend place sur le siège passager j’ai le loisir d’apercevoir ses cuisses nues au-dessus de ses bas rouges.
-Tu dois sans doute bien connaître un endroit… enfin tu comprends !
-Démarre… lâche-t-elle sourire aux lèvres.
Nous avons parcouru quelques kilomètres avant qu’elle me guide sur la terre promise. Une fois le moteur coupé, tout en l’embrassant je lui retire son chemisier et son soutien-gorge. Je dégrafe sa jupe qui glisse jusqu’au plancher. Elle porte dessous une étroite culotte rouge transparente, bordée de dentelles noires. Les élastiques s’enfoncent dans la chair molle de ses hanches. Sur sa peau laiteuse, le sous-vêtement semble d’un rouge encore plus violent.
-Montre ta chatte !
Avec complaisance, elle grimpe à quatre pattes sur le siège. Je distingue que le fond de sa culotte est fendu comme pour donné accès à son entrejambe plus facilement. Comme Valérie écarte les cuisses, la fente bâille, laisse voir son pubis décoré d’un buisson de poils. Au-dessus, j’aperçois également la raie de son cul.
-Expose-toi mieux !
Elle écarte la fissure de la culotte, dévoilant ses cavités intimes. Elle tend les fesses comme une chienne qui offre sa croupe au mâle. Les bordures de dentelle noire encadrent l’entaille rose de sa vulve.
Je glisse la main dans l’accès de la culotte pour tripoter les lèvres. Comme je l’ai fait lors du dîner. Je les frotte l’une contre l’autre, les décolle, tire dessus. Elle se laisse bien sûr faire, docilement en remuant son derrière. Ses seins pendent sous elle.
Je tâtonne au milieu des chairs visqueuses, à la recherche de l’entrée du vagin. Lorsque j’enfonce l’index, Valérie soupire d’aise. De mon autre main, j’écarte les fesses dévoilant le trou de l’anus. Lorsque je visse mon index dans l’étroit orifice, Valérie frémit de plus belle. Je fais entrer et sortir mes doigts dans les deux orifices, en même temps. Valérie pousse de petits cris, et entrouvre la bouche. Son anus s’élargie et j’y enfonce un autre doigt. Je la branle ainsi, simultanément devant et derrière. Il est temps que je pense à moi. Pour cela je m’attaque à ma braguette, que j’ouvre, tire sur mon slip pour libérer ma queue raide.
-Si tu la veux c’est le moment !
Sourire salace aux lèvres, elle écarte son sous-vêtement aéré. Tout de suite une odeur épicée émerge de sa chatte et envahit l’habitacle confiné de la voiture.
-Depuis tout ce temps que j’attends ce moment…
-Tu sais où j’habite pourtant !
-Oui… bien sûr, mais tu sais bien que je suis du genre réserver !
-Oui… mon cul !
-Et bien occupe-toi du mien, veux-tu ?
-C’est si bien dit !
Je lui mets ma main sur son sexe et elle écarte les cuisses largement. J’éprouve sur l’instant comme une excitation violente. Mes doigts pataugent dans la chatte, je devrais plus tôt dire dans la tourbière de Valérie.
-Je vais te chevaucher et bien me baiser avec ta queue. Me dit Valérie
Avant d’ajouter :
- Vas-y, chahute-moi la chatte, déchire-moi !
À califourchon au-dessus de moi, elle reste dressée, les cuisses ouvertes pour me recevoir. Elle passe sa main entre ses cuisses et se saisit de ma queue pour la diriger vers son sexe. Elle descend lentement sur ma tige jusqu’à la faire progressivement disparaître dans l’orifice. Elle se met alors à bouger. A monter et à descendre. Son orifice baveux remonte très haut et dévoile toute la longueur de la queue luisante de sa mouille, avant de l’engloutir de nouveau jusqu’à la garde. Elle bouge tantôt de haut en bas ou bien de droite à gauche.
Par moments, ses mouvements se font circulaires. Je l’entends gémir très fort. Ma queue va et vient mécaniquement dans son con devenu un peu large, et surtout top passif pour être excitant. Je continus à la besogner comme ça, sans y trouver plus de plaisir qu’à une forme différente de masturbation. Je ne sais pas si elle a joui pour de bon ou simplement fait semblant. En tout cas, quand elle s’est mise à geindre, je me dépêche de la rejoindre. La baisant à grands coups de reins. Faisant que ta tête frappe le ciel de toit de la voiture, et cela jusqu’à ce que j’éjacule.
Mais très vite je suis soulagé par le comportement réjoui de la mère Anne. Heureusement qu’elle est là. Elle sait pour sa part, bien prendre soin de ses invités. Je suis au petit soin avec elle.
-Si tu as besoin de quoi que ce soit tu m’appelles Alain !
-Merci Anne, mais je pense que j’ai tout ce qu’il me faut.
J’attends qu’elle quitte a pièce pour m’informer sur la conduite de Valérie.
-Merci de m’avoir posé un lapin !
-Pardon !
-Oui c’est ça ! fait l’innocent !
Et là je suis pris de panique, ne sachant pas très bien ce qui me tombe dessus, là. Je reprends très vite mon sang froid et la joue serein. Comprenant très vite la situation. Si j’ai bien compris, à défaut de Valérie, c’est Anne que je me suis tapé. Cela explique pourquoi le baiser appuyée sur ma joue de sa part, et de son service trois étoiles du petit déjeuner. Je me dois de faire tourner très vite mes méninges pour me sortir de ce bourbier.
-Je m’excuse Valérie, je me suis endormie.
-Eh bien là tu vois, tu me déçois !
-Je te comprends !
-Pas très bien je crois…
-Mais si, si je te l’assure…
-Et on fait quoi maintenant ?
-Tu veux dire quoi là ?
-Que je compte sur toi pour te rattraper de ta bonne nuit.
-Je veux bien…mais comment ?
-Tout simplement en trouvant le moyen de me faire sortir seule avec toi.
-Et comment ?
-Cherche et tu trouveras… fait-elle avant de déserter elle-aussi le lieu.
Alors que j’allais faire de même, voilà que la mère rapplique. Elle me saisit le bras et m’attire dans un coin de la cuisine et là, elle me parle à voix bas.
-Je profite de cet instant calme pour te remercier pour cette nuit. Je ne savais pas que je t’intéresser petit cachotier… j’en ai encore pleins d’étoiles dans les yeux.
-Je voudrais avant toute chose vous précisez Anne que c’était un malentendu…
-Je sais bien mon petit Alain. Je pense que tu avais rendez-vous avec ma chère Valérie et que tu t’ais tout bêtement trompé de chambre. Je me trompe ?
Elle prend mon silence pour oui.
-Mais, ajoute-t-elle, sache pour ta gouverne mon petit Alain qu’il n’a pas de honte de désiré une femme plus âgée… c’est bien connu, c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes…tu désires un autre café ?
-Oui, merci !
Anne se dirige vers le frigo. Je remarque seulement à cet instant qu’Anne est en chemise de nuit. La lumière du réfrigérateur rend le vêtement presque transparent lorsqu’elle attrape le lait. Je distingue le contour de son cul, si gros que le tissu est tendu sur son fessier. Elle verse un nuage de lait dans un bol et verse ensuite le café, avant de s’approcher de moi. Là elle chuchote, d’une voix qui me parait plus grave.
-Je ne serais pas contre à remettre ça, tu sais mon petit Alain !
-Anne… mais…mais ce n’est pas sérieux… je bafouille à haute voix.
Elle fait un geste du menton vers le couloir, me faisant comprendre de parler moins fort. Elle prend alors une mine désolée tout en s’adossant à la table.
-Il se trouve que la semaine je la passe seule… alors je me disais qu’il serait bien que tu viennes me tenir compagnie.
-Mais c’est que je travaille…
Elle rejette la tête en arrière. Ce faisant, sa chemise de nuit vient se coller sur ses courbes. A travers le fin tissu, je peux apercevoir poindre le téton minuscule au sommet du sein volumineux. Je devine sans trop chercher, l’emplacement où se trouve la toison au relief irrégulier, que le nylon de la chemise de nuit ne peu cacher. Je prends une gorgée de café au lait, ne me gênant pas à me rincer les yeux, vue les circonstances, continuant ainsi le corps d’Anne tout en arrondi.
-Tu as bien des congés ? Me propose-t-elle.
-Mais… mais je ne peux pas les prendre comme ça…
-Et si tu tombes malade…
-Mais je vais bien…
-Oui, mais eux ils n’en savent rien… bon tu veux profiter de moi oui ou non ?
-Bon je vais voir ce que je peux faire…
-Je compte sur toi…fait-elle en prenant la direction du couloir.
-Anne…
-Oui, fait-elle en se retournant.
-Vous avez besoin de pain ?
-Je croyais que ta mère avait dit qu’elle compter bien partir après le petit déjeuner !
-Et bien elle a changé d’idée !
-Je te vois venir petit éhonté… me répond-t-elle d’un air affamé.
-Vous me faite honte Anne…
-C’est toi qui me dit ça, après l’épisode de cette nuit…
-Oui c’est vrai.
Quand j’ai demandé un peu plus tard, à Valérie de m’accompagner jusqu’à la boulangerie, elle a sauté de joie.
-Je file me changer, et prévenir mon mari, me lance-t-elle avant de disparaître de ma vue.
Je profite de cet instant pour prévenir ma mère du changement de programme. Elle prend cela en souriant.
-Fait tout de même attention du mari, n’oublie pas que Valérie est mariée !
-Merci du conseil maman ! Je tacherais de mon rappeler !
Alors que je suis à bord de la voiture, j’aperçois Valérie me venir en jupe si courte que qu’on elle prend place sur le siège passager j’ai le loisir d’apercevoir ses cuisses nues au-dessus de ses bas rouges.
-Tu dois sans doute bien connaître un endroit… enfin tu comprends !
-Démarre… lâche-t-elle sourire aux lèvres.
Nous avons parcouru quelques kilomètres avant qu’elle me guide sur la terre promise. Une fois le moteur coupé, tout en l’embrassant je lui retire son chemisier et son soutien-gorge. Je dégrafe sa jupe qui glisse jusqu’au plancher. Elle porte dessous une étroite culotte rouge transparente, bordée de dentelles noires. Les élastiques s’enfoncent dans la chair molle de ses hanches. Sur sa peau laiteuse, le sous-vêtement semble d’un rouge encore plus violent.
-Montre ta chatte !
Avec complaisance, elle grimpe à quatre pattes sur le siège. Je distingue que le fond de sa culotte est fendu comme pour donné accès à son entrejambe plus facilement. Comme Valérie écarte les cuisses, la fente bâille, laisse voir son pubis décoré d’un buisson de poils. Au-dessus, j’aperçois également la raie de son cul.
-Expose-toi mieux !
Elle écarte la fissure de la culotte, dévoilant ses cavités intimes. Elle tend les fesses comme une chienne qui offre sa croupe au mâle. Les bordures de dentelle noire encadrent l’entaille rose de sa vulve.
Je glisse la main dans l’accès de la culotte pour tripoter les lèvres. Comme je l’ai fait lors du dîner. Je les frotte l’une contre l’autre, les décolle, tire dessus. Elle se laisse bien sûr faire, docilement en remuant son derrière. Ses seins pendent sous elle.
Je tâtonne au milieu des chairs visqueuses, à la recherche de l’entrée du vagin. Lorsque j’enfonce l’index, Valérie soupire d’aise. De mon autre main, j’écarte les fesses dévoilant le trou de l’anus. Lorsque je visse mon index dans l’étroit orifice, Valérie frémit de plus belle. Je fais entrer et sortir mes doigts dans les deux orifices, en même temps. Valérie pousse de petits cris, et entrouvre la bouche. Son anus s’élargie et j’y enfonce un autre doigt. Je la branle ainsi, simultanément devant et derrière. Il est temps que je pense à moi. Pour cela je m’attaque à ma braguette, que j’ouvre, tire sur mon slip pour libérer ma queue raide.
-Si tu la veux c’est le moment !
Sourire salace aux lèvres, elle écarte son sous-vêtement aéré. Tout de suite une odeur épicée émerge de sa chatte et envahit l’habitacle confiné de la voiture.
-Depuis tout ce temps que j’attends ce moment…
-Tu sais où j’habite pourtant !
-Oui… bien sûr, mais tu sais bien que je suis du genre réserver !
-Oui… mon cul !
-Et bien occupe-toi du mien, veux-tu ?
-C’est si bien dit !
Je lui mets ma main sur son sexe et elle écarte les cuisses largement. J’éprouve sur l’instant comme une excitation violente. Mes doigts pataugent dans la chatte, je devrais plus tôt dire dans la tourbière de Valérie.
-Je vais te chevaucher et bien me baiser avec ta queue. Me dit Valérie
Avant d’ajouter :
- Vas-y, chahute-moi la chatte, déchire-moi !
À califourchon au-dessus de moi, elle reste dressée, les cuisses ouvertes pour me recevoir. Elle passe sa main entre ses cuisses et se saisit de ma queue pour la diriger vers son sexe. Elle descend lentement sur ma tige jusqu’à la faire progressivement disparaître dans l’orifice. Elle se met alors à bouger. A monter et à descendre. Son orifice baveux remonte très haut et dévoile toute la longueur de la queue luisante de sa mouille, avant de l’engloutir de nouveau jusqu’à la garde. Elle bouge tantôt de haut en bas ou bien de droite à gauche.
Par moments, ses mouvements se font circulaires. Je l’entends gémir très fort. Ma queue va et vient mécaniquement dans son con devenu un peu large, et surtout top passif pour être excitant. Je continus à la besogner comme ça, sans y trouver plus de plaisir qu’à une forme différente de masturbation. Je ne sais pas si elle a joui pour de bon ou simplement fait semblant. En tout cas, quand elle s’est mise à geindre, je me dépêche de la rejoindre. La baisant à grands coups de reins. Faisant que ta tête frappe le ciel de toit de la voiture, et cela jusqu’à ce que j’éjacule.
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