Daniel, le voisin de siège du bus. - histoire érotique

Il fait très beau, ce jour là. Nous sommes en Juin, dans le Sud et pour moi, il fait trop chaud !

Je suis vêtu d'un pantalon très fin et d'une chemise à manche courte, en coton.
Je sors du boulot, je me sens sale et j'ai hâte d'arriver chez moi.

Ma nouvelle entreprise n'a pas de vestiaires munis de douches.
Seulement des casiers pour ranger nos vêtements.

C'est moins pratique que lors de mes aventures avec Roger et Sébastien, 4 ans plus tôt.
J'y repense souvent, leurs sodomies à trois, dans les douches, me manquent énormément.

J'ai déjà eu ma première aventure avec Dimitri et ses camarades, deux ans auparavant et je suis en pleine relation avec Mario le portugais.
Je ne le vois plus, en ce moment, il est sur un chantier assez éloigné et moi je reste à l'atelier.

Corinne, ma femme, a des amants, je suis au courant et je l'encourage en bon candauliste.

Il m'arrive quelquefois de la surprendre avec Chris, en rentrant.
Elle ne se gêne plus, lui non plus !

Outre le fait que cela m'excite, c'est aussi bien pratique.
En effet, en fin de journée d'un travail physique, je n'ai pas toujours la force de la baiser en rentrant, cela m'arrange, tant qu'il n'y a pas de sentiments entre eux !

Cette fin d'après-midi là, je rentre en bus comme toujours.
Je reconnais Daniel, un homme avec qui j'ai sympathisé depuis une dizaine de mois.

Il est très grand, environ la cinquantaine, très viril et imposant.
Bref, tout à fait le genre que j'aime, quand je baise avec un homme.
Mais je vous assure qu'à l'époque, cela ne me traverse pas l'esprit.

Il descend toujours avant moi, dans le quartier ou habitait ma femme, avant de vivre avec moi.

Je le rejoins et entame une discussion avec lui.
Il sait qu'on a une passion commune et me dit:

"C'est quand que tu viens chez moi ? Que je te montre enfin ma collection !".
Je pense à Corinne qui s'amuse peut être avec son amant, donc pas pressée de me voir rentrer, et je lui dis:

"Ben, maintenant ! Pourquoi pas ? Par contre, je pourrai utiliser ta salle de bain ? je suis crade !".
"Oui, bien sûr !".

En arrivant chez lui, je trouve son appartement très bien tenu.
Mais des détails, me font réaliser que je ne me suis pas rendu d'une chose, avant cela.

Les murs sont ornés de photos d'hommes, en noir et blanc, très sensuelles.
Il y a une lithographie de Cocteau représentant un homme nu, très érotique aussi.
Je vois un livre ouvert sur la table de salon avec une photo de fresque montrant des grecs en train de baiser entre hommes.
Il est gay, cela ne fait aucun doute !

Il me sort de mes pensées.

"Ca te choque ?".
"Euh, pas du tout ! Tu ne me l'as pas dis, c'est tout, je m'y attendais pas !".
"Que je suis homo ! C'est ça ? Ne t'inquiètes pas, je vais pas te sauter dessus ! Même, si tu me plais énormément !".

Il m'entraine dans la pièce ou il range sa collection.
L'ambiance devient tendue, je ne le vois plus comme avant et je crains que mes réflexes de salope se réveillent.

J'essaie de deviner la taille de son sexe entre ses jambes.
J'avais déjà remarqué qu'il avait l'air d'être très bien pourvu, mais j'étais loin d'imaginer qu'il était gay !

Quand on a terminé de faire l'inventaire de tout ce qu'il a, je lui demande ou se trouve sa salle de bain.

"Commences par te déshabiller, je t'amène une grande serviette !". Me dit Daniel.

Je m'y dévêt lentement, mais sans fermer le loquet pour lui permettre d'accrocher la serviette.
Je passe sous le jet et me prélasse en me lavant les cheveux pleins de poussière.

Je tourne le dos en sachant que lorsqu'il va entrer, il ne verra que mon cul.
Inconsciemment, je me cambre pour essayer de l'exciter.
Je me savonne les fesses lentement sans regarder derrière moi.

"Je savais que t'étais bien foutu ! Tu as une paire de fesses magnifique !".

Je sursaute, il n'a fait aucun bruit en entrant.

"Ohh ! Ne t'affoles pas, j'en ai vu des tas, des mecs à poil ! Et t'es super bandant ! Tu sais ! J'adore te voir te laver le cul !".
"Euh, merci ! C'est bizarre, venant de toi ! Je ne m'attendais pas à ce que tu sois gay !".

A ce moment, je réalise qu'il bande comme un âne.
Sa bite fait une bosse énorme sous sa braguette, il remarque mon regard fixé sur sa queue.

"Euh, c'est gênant ! Pascal ! Je m'excuse ! Dommage que t'aimes pas les hommes ! Je t'aurai montré à quel point, tu me plais ! Bon, je te laisse !".

Je le retiens en lui disant:

"Ben, justement !".
"Quoi ?".
"Si tu me le montrais !".
"C'est pas vrai ! Tu peux pas savoir, comme j'en ai envie !".

Il se défait de ses vêtements précipitamment, et m'embrasse aussitôt avec fougue.
Il me submerge de sensations de plaisir, avec ses larges mains puissantes, qui me caressent le corps.
Son très gros sexe me fait mal en s'appuyant contre moi, il me désire comme un fou.
Je profite d'un arrêt de ses baisers pour glisser le long de son corps en le couvrant de baisers.
Je me trouve à présent, face à sa grosse queue.
Je pose mes petits doigts à sa base et la guide vers ma bouche.
Je le lèche amoureusement, sa bite me fascine.
Puis, j'ouvre plus grand, mes lèvres et coulisse longuement sur son gros membre.

"Ahhhhh ! Pascal, tu fais ça trop bien ! J'adore ta bouche ! On dirait que t'as l'habitude et que t'aimes ça !".
"Mmmm ! Oui, j'adore sucer un homme !".
"Ohhhh ! tu as déjà baisé avec des hommes ?".
"Oui, j'adore ça, aussi ! Mmmmmmm !".
"Oh, moi aussi, Je ne m'y attendais pas ! Mais tant mieux ! Arhhhhhh ! j'ai hâte de te prendre !".
"Sois patient, laisses-moi te sucer d'abord, j'adore ta queue ! Mmmmm, mmmm !".

Je lui dévore la bite avec passion pendant plus de dix minutes, puis le désir est trop fort.

Je me redresse, il m'embrasse longuement, avec vice et envie.
Il fait pivoter mon corps, ses doigts titillent mon anus, il crache plusieurs fois dans sa main pour m'enduire l'œillet de salive.

Son énorme gland se colle à mon anus lubrifié.
Sa pression est puissante, comme lui, qui me maintient pour s'enfoncer en moi.

De mon coté, j'écarte mes fesses, pour lui faciliter la tache.
L'extrémité de sa bite m'écartèle enfin, je ressens chaque centimètre de pénétration en râlant de plaisir.

"Arhhhhhhhhhhhh ! Daniel ! Si j'avais su ! Arhhhhhhhhh ! C'est trop bon !".
"Ohhhhh ! Moi aussi ! Putain, j'y crois pas! Je suis entrain de t'enculer, enfin !".
"Arhhhhhhhhhh ! Oui, vas y ! Encules-moi ! Montres-moi comme t'as envie de moi !".
"Oh, oui ,je vais te le montrer ! Putain ! C'est encore mieux que dans mes rêves ! Enfin, tu es à moi !".

Il glisse en moi avec amplitude, très longuement.
Je prend un premier orgasme anal, qui le rend fou de désir encore.
Il n'imaginait pas que je communiquais autant mon plaisir.

Après cinq minutes, mon anus lubrifie abondamment sa grosse bite.

"J'adore ton cul, Pascal ! Tu mouilles énormément, c'est excellent ! C'est ce que je préfère !".
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Moi, j'adore ta bite, Daniel ! Encore ! Fais moi jouir !".

Il me sort de la douche et m'incite à me tenir au dessus de l'évier.
Il reprend sa possession puissante et profonde de mon cul.
J'enchaine les orgasmes anaux.

Il devient fou en m'enculant, me disant qu'il aime trop m'enculer.
Il sort d'un coup et me porte pour m'emmener dans sa chambre.

Il me pose sur le dos et plonge entre mes cuisses en m'empalant et m'embrassant avec fougue.
Je referme mes jambes et mes bras autour de lui, en jouissant dans sa bouche.

En moins de dix minutes, dans cette position, il explose tout son plaisir en moi.

"Arhhhhhhhhhhhhh ! je joui ! Pascal ! C'est trop fort ! Putain ! Qu'est-ce que je joui bien dans ton cul ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh !".
"Arhhhhhhhhhh ! Oui, moi aussi, je jouiiiiiiiiiiiii!".
"Ohhhhhhhhhhhhhh ! Pascal ! Je... je crois que je t'aime déjà ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh !".

Chacun de nos corps est secoué de spasmes de plaisir intenses.
Puis, ils se relâchent de l'effet de crispation, causé par l'orgasme.
Je réagi le premier en lui disant:

"Daniel, j'espère que tu ne pensais pas, ce que tu as dis ! Tu ne vas pas tout gâcher ! S'il te plait ! Pour moi, c'est que du sexe !".
"Si, mais ne t'inquiètes pas ! Je suis un grand garçon ! Je suis capable de contrôler ça ! Mais ne sois pas étonné, tu me plaisais trop avant qu'on baise ensemble ! J'étais déjà amoureux avant ! tous les soirs, je t'attends avec impatience dans le bus !".
"Je te fais confiance ! J'aime les hommes, mais je ne me vois pas finir ma vie avec ! Je suis trop bien avec ma femme !".
"Pas de souci, on est d'accord ! Tu reviendras ?".
"Bien sur ! Je vais pas me gêner, mais pas trop souvent ! Ma femme va pas comprendre !".
"Humm ! J'ai adoré ce moment ! C'était encore plus fort que dans mes fantasmes !".
"Et ben, si on avait osé s'avouer nos penchants, on aurait gagné du temps !".

Je me rince le corps sous la douche, mais je garde son sperme en moi, j'aime trop ça !
Je l'évacuerai, plus tard, naturellement.

La suite de cette relation va être surprenante, mais très agréable, je vous la raconterai !
Mais pour le moment, cette relation tombe à pic, je ne vois presque plus Dimitri et je me lasse de Mario, qui est de moins en moins présent.