Daniel, le voisin de siège du bus.6. - histoire érotique

Je reviens sur le coté envahissant de ma relation avec Daniel.

Si je m'écoute, baiser avec lui, une fois par semaine, me suffirai amplement.

J'ai ma sexualité avec ma femme, et ce rythme me va très bien.
Mais lui n'a que moi, et me réclame plus que ça.

Il a compris qu'il devait s'imposer plus et m'attend quelques fois chez moi, sans mon accord.
Je sens que Corinne est très complice avec lui, et il en joue beaucoup.

Elle me pousse souvent dans ses bras, il en profite.
Il faut avouer que j'ai beaucoup de tendresse pour Daniel, je ne peux pas nier qu'il m'apporte énormément, aussi.

J'ai pris gout au sentiment de protection et domination qu'il exerce sur moi.

Ce jour là, pourrait être une soirée type, entre nous.
Cela s'est passé plusieurs fois !

Je rentre du travail, Daniel plaisante avec Corinne.

"Tiens, tu es là ? Pourquoi, je ne suis pas étonné ?".
"Mon amour, sois gentil avec lui ! Fais lui un bisou, pour te faire pardonner !".

On s'embrasse longuement, trop longuement, puisqu'il se met déjà à bander !
"Humm ! Bonsoir mon p'tit chat ! T'as eu une bonne journée ?".
"Oui, pardon, ça va ! Et toi ?".
"Un peu longue, j'avais hâte de te voir !".

"Bon, je vais encore y passer apparemment !".
"Je veux pas te forcer, mais tu sais que j'ai toujours envie de toi !".
"Je sais ! Excuses-moi, la phrase m'a échappée !".

"T'aimes pas te faire enculer, tous les jours ? C'est bon ! Non ?". Ajoute Corinne.

"Euh, tous les jours, si j'étais gay, pourquoi pas, mais je suis bi, c'est différent ! j'ai connu ça ! C'est perturbant !".
"Quoi ? T'as connu ça ? Quand ? Je suis pas au courant !". Demande ma belle.

"Merde, j'en ai trop dis ! Euh, c'était quand je bossais sur Orange, avec Antoine !".
"Mais tu bossais ! Donc avec qui tu baisais ?".
"Avec Antoine ! Dès le premier soir ! Et plusieurs fois par jour, il avait de gros besoins !".

"Mais, tu as bossé pendant 7 mois !".
"Je sais, c'est pour ça que je voulais plus continuer ! Malgré que tu me poussais à prolonger, pour l'argent ! Antoine m'aimait lui aussi ! J'étais en train de me perdre ! Je devenais fou ! Comment je pouvais te dire que je me faisais baiser par un homme, toute la semaine ! Tu ne savais pas que j'étais bisexuel !".

"Désolée, mon amour, en plus, c'est vrai que c'est à cette époque que j'ai commencé à te tromper, moi aussi ! J'ai trouvé pratique que tu ne sois pas là !".
"Et t'as pas failli me quitter ?".
"Non, je savais que c'était toi que j'aimais !".

"Ben, moi aussi ! Mais j'ai fais souffrir Antoine, du coup ! Mais c'est différent avec Daniel, je sais qu'il s'adapte a la situation ! Et puis, maintenant les choses sont plus claires !".

Je l'embrasse tendrement, je sais que le faire devant Corinne enlève toute ambiguïté.

"Bon, allez dans le salon ! J'ai à faire dans la cuisine !".

Daniel me suit, et s'assoit avec moi sur le canapé.

"Je veux bien que tu me prennes, mais pas de défonce, s'il te plait ! J'ai envie de sensualité et de douceur, tu peux ?".
"Bien sur, mon p'tit chat ! C'est ce que je préfère avec toi, en plus ! Je te laisse me montrer comment tu veux qu'on fasse l'amour !".

Je le pousse délicatement sur le canapé, puis viens couvrir ses lèvres, avec les miennes, par dessus son long corps.
Je lui défait sa chemise et lui lèche le torse, en agrémentant mes caresses buccales de petits baisers et mordillements.
J'approche de son pubis en lui dégrafant son pantalon.

Il fait glisser son vêtement, dévoilant l'énorme érection qu'il subit, depuis notre premier baiser.
Je remonte vers sa bouche pour l'embrasser pendant que je caresse sa grosse bite entre mes doigts.

Puis, j'abrège son horrible attente en me dirigeant vers son sexe tenu à l'extrême.

"Ahhhhhhhh ! Enfin ! Pascal ! C'est trop bon ! Elle est tellement bonne, ta bouche !".

Je suis dans mon monde, je veux rester dans ce feeling de tendresse extrême.

Je veux lui rendre toute l'attention qu'il me porte, mes mouvements de gorge sont langoureux et passionnés.

Je lèche longuement, chaque centimètre de sa grosse et longue queue.

Ses gémissements influent sur ma caresse buccale, si j'entend qu'il gémit lors d'un mouvement de ma langue, je le répète pour lui donner encore ce plaisir.

Je fais la même chose, quand je coulisse amplement sur son membre.
Ce qui me pousse à m'enfoncer plus profondément son gland, au fond de la gorge, plusieurs fois de suite, en l'entendant me dire:

"Arhhhhhh ! C'est bon ça ! Encore ! Arhhhhhhhhhh !".

Je dégurgite plusieurs fois, mais recommence pour son bonheur et le mien, puisque j'aime lui donner du plaisir.
Je ne remarque pas que ma femme nous regarde un petit moment, et me surprend en nous disant:

"Vous êtes beaux ! J'adore vous voir ! Je trouve que c'est aussi naturel qu'un homme et une femme ! Moi je trouve ça normal !".
"Ouuhh ! Merci Corinne ! C'est gentil de dire ça ! Ohhhh ! Il me suce tellement bien, si tu savais !".
"Je vois ! Bon, profitez bien, je retourne dans la cuisine !".

Ma fellation dure depuis 20 minutes, j'ai pas envie que cela se termine.
Mais mon amant me prévient:

"Arrêtes Mon p'tit chat, sinon, je vais jouir, et j'ai envie de toi !".
"D'accord ! A toi de me montrer comme tu as envie de moi, mais sans t'exciter ! D'accord ?".
"D'accord ! Mon amour !".

Il se lève du canapé et me déshabille avec douceur et tendresse.
Ses mains épaisses me parcourent le corps en me donnant des frissons de plaisir.

Il combe souvent ma gorge, de sa langue, puis me pose sur le ventre en me léchant le dos.
Il arrive dans le creux de mon dos, puis remonte lentement sur mes fesses, en me mordillant longuement.

Enfin, je sens un premier coup de langue qui me lèche l'anus.
Bientôt suivi d'innombrables autres.

Je me laisse aller à sa caresse, mon anus est détendu comme jamais.
Je prends un plaisir étrange, qui me comble énormément.

Je ne vois pas Corinne qui nous regarde avec fascination.

Daniel fait durer sa dévoration de mon anus, pour faire tomber la venue de son éjaculation, il veut m'aimer longtemps.

Puis, il se sent prêt et se positionne parfaitement pour me pénétrer.

J'ondule des fesses pour l'aider à me combler l'anus.
Ce qui arrive enfin, il glisse lentement en moi, jusqu'aux couilles.

"Arhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Daniel ! Même quand j'en ai pas envie, c'est trop bon !".
"Tu vois que j'ai raison ! Tu es fait pour ça ! Il faut que tu considère ton cul, comme un deuxième sexe ! Tu prendras toujours du plaisir !".
"Arhhhhhhhhhhh ! c'est vrai, c'est tellement bon !".

Il entame un rythme lancinant, puissant, mais tout en retenue, il veut me faire monter progressivement.

Je sens son gros gland coulisser amplement dans mon cul, partant de l'extérieur de mon œillet, jusqu'à passer mon virage anal, au plus profond de mes entrailles.

"Argggggggggggghhhhhhhhhhh ! Daniel, j'adore ! Encore, comme ça ! Argggggggggggghhhhhhhhhhh !".
"Je t'aime Pascal, tu le sens, que je t'aime ?".
"Argggggggggggghhhhhhhhhhh ! Oui ! Continues !".

Ce délicieux supplice me fait orgasmer plusieurs fois, sous le regard de Corinne, toujours fascinée.

Puis Daniel me fait pivoter, il écarte mes cuisses et dirige son énorme membre dans mon anus avec sa main.
Il s'approche de ma bouche pour m'embrasser, ce n'est qu'à ce moment que je remarque la présence de ma belle qui me sourit.

Je fais le tour du corps de mon amant avec mes jambes et mes bras, en mêlant ma bouche à la sienne.
Notre rythme est toujours lent et passionné.
Ses mains frottent mon corps avec force et passion, je gémis en jouissant sur sa queue.

"Pascal, j'adore quand ça monte doucement comme ça !".
"Argggggggggggghhhhhhhhhhh ! Moi aussi ! Argggggggggggghhhhhhhhhhh !'.

Je ne vois pas ma femme, se caresser au même rythme que nous, sans nous quitter des yeux.
Je devine la montée progressive de l'orgasme de Daniel.
Il se serre contre mon corps et s'accroche à mes épaules.
Ses assauts deviennent plus puissants et saccadés, en à-coups profonds, qui me font crier de plaisir.

"Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Oui, Viens ! Donnes-moi ton plaisir !".
""Arhhhhhhhhhhhhgggggggggggghhhhhhhhhhh ! je jouiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Argggggggggggghhhhhhhhhhh !".

Il m'assène de nombreux enfoncements profonds avec son énorme queue, je perd pied en jouissant comme jamais.

Dire que je n'en avais pas envie ! Il vient de me prendre comme un dieu.
La retombée de notre orgasme commun est très, très longue.

Les gémissements de Corinne me sortent de mon plaisir, elle a atteint son orgasme avec ses doigts.

"Eh ben ! Toi aussi ! Mon amour ?".
"Ohhhh, oui, vous êtes trop excitants ! Qu'est-ce que J'aime voir deux hommes baiser ensemble !".
"Si, il n'y a que ça pour te faire plaisir, je le baise tous les jours ! Si tu veux !".

"Eh, J'ai mon mot à dire ! Quand même !".

Ils s'esclaffent de rire, mais Corinne lui fait un clin d'œil furtivement.
Il reste diner avec nous, puis nous nous rapprochons.

Nos rapports sexuels évoluent vers la bisexualité, elle l'accompagne dans sa possession, en me suçant.

Je la pénètre pendant qu'il m'encule aussi et nous lui léchons la bite ensemble, par moment.

Bien sur, c'est avec moi qu'il éjacule encore, dans notre lit, sous le regard de Corinne.

Il m'a réveillé très tôt, le matin, pour se faire sucer, avant de se rendre au bureau de sa propre entreprise.

Corinne, en me voyant avaler son sperme, nous a dit:

"Eh ben, Vous ne pensez qu'à ça ! Vous vous arrêtez jamais ! Bon ! Moi, je dors !".

Je me suis bougé, pour aller bosser, moi aussi !