De vrais amis 1 - histoire érotique

De vrais amis 1


Marcel, envisage de partager sa femme Maude à d'autres personnes, si elle ne met pas plus d'ardeur à leurs ébats. Très surprise par cette décision brutale, Maude, sait que son mari est capable de mettre son projet à exécution. Elle tente d'être plus performante au lit, mais elle coince, elle n'arrive pas à prendre en bouche la verge épaisse de son mari, cela l'angoisse. Lorsque ses doigts lui frôlent l'anus, elle se cabre et tremble de tout son être.

Le longues palabres s'engagent, des tentatives sexuelles inespérées, n'aboutissent pas. Marcel est résolu. Il s'engage à décoincer sa femme, même s'il faut pour cela, l'aide d'autres personnes. Après plusieurs jours de pourparlers, Maude accepte enfin.

Elle se demande comment elle peut assouvir d'autres hommes, puis qu'avec son mari elle n'ose pas se livrer. Mais, dans le fond de son âme, cette décision l'excite, même si elle appréhende cet instant. Les jours passent, Marcel enfin se décide. Sans dire à Maude qui il a invite, il lui donne juste la date, et pour l'occasion, comme il est bon cuisinier prépare un diner. Le jour prévu arrive, Maude stresse terriblement, elle est très, très, nerveuse, ne tient plus en place. Elle songe même à refuser l'accord. Mais marcel lui tient tête et lui dit :

-Ce qui est dit, et dit, tu ne peux plus faire marche arrière, ma chérie, il faut assumer !

En se pinçant les lèvres, Maude devient fébrile, elle serre le poings en poussant de nombreux soupirs. Elle fait la navette entre la salle de bain et sa coiffeuse. Sous les conseils de son mari elle s'habille d'une jupe légère, et d'un corsage largement échancré pour mettre en appétit ses invités. Il est vingt et une heures, la sonnette retentit. Maude sursaute et pâlit fortement, elle ravale sa salive bruyamment, et se laisse tomber dans un profond fauteuil. Marcel va ouvrir et reçoit ses invités à bras ouverts. Il les fait entrer au salon.

Maude reste figée, les invités sont leurs amis, intimes, Maryse et Jacques. Souvent ils partagent des soirées, des diners et des sorties. Maude très surprise, salue ses amis. Les étreintes sont chaleureuses. Elle se pose la question, pourquoi Jacques et de surcroit sa femme Maryse, elle à du mal à comprendre.

Elle regarde son mari, avec inquiétude. Il lui sourit et dit en souriant :

-Je te présente tes futurs amants ma chérie !

Maude rougit, et demande avec beaucoup de trémolos dans la voix :

-Maryse, elle aussi doit être mon amante ?

Marcel en la toisant de haut ajoute :

-Oui surtout elle, elle à la charge de t'initier à l'amour au féminin, quant à Jacques, je compte sur lui pour qu'il te décoincer, ma chérie. Nous on avons parler longuement, ils sont enchantés de nous rendre service, d'ailleurs tu plais à jacques, et d'après ce que je sais, tu ne laisse pas indifférente Maryse.

Maude dévisage longuement Maryse, et lui demande :

-Maryse, tu as déjà fait l'amour avec une femme ?

En souriant Maryse répond :

-Pas récemment, mais cela va me rappeler mon internat, oh tu sais cela revient vite, on ne peut oublier ces bons moments !

Maude reste sans voix. Marcel va de temps en temps à la cuisine surveiller la cuisant de son repas. Maude pendant ce temps serre l'apéro. Maude pour se donner du courage boit plus que de raison. Enfin le dîner commence, il se passe dans une bonne ambiance, jacques sort quelques blagues pour amuser la galerie. Après le dessert, Marcel invite ses amis à passer au salon, le temps des choses sérieuses va enfin commencer.

Les deux femmes sont face à face, Maryse s'observe longuement son amie. Les yeux de Maude chercher à éviter ceux de Maryse, elle à tellement honte qu'elle baise la tête. Jacques, décide d'entrer en action, il s'approche de Maude et tire brusquement sur le corsage, il ouvre les deux pans, et d'un geste habile, fait sauter l'agrafe du soutien gorge. Les seins libérés du carcan de tissu, jaillissent comme deux obus.
Maryse, yeux écarquillés, admire les lobes charnus qui s'affaissent lourdement sur le torse de Maude. La pauvre, est rouge comme une pivoine. Jacques lui soupèse les seins et dit en souriant :

-Eh bien ta femme Marcel a une belle paire de nichons, tu ne dois pas t'emmerder avec ça !

Marcel, ne répond pas, il observe seulement.

Jacques, sur sa lancée, lui saisit les mamelons les roule entre ses doigts, le étire pour faire grimacer son amie. Maude grogne en faisant une moue affreuse. Jacques regarde sa femme, et lui dit :

- Oh la vache, elle tendue comme un arc, décrispe- moi ça ma chérie !

Maryse approche tout sourire, elle fait tomber des épaules de son amie, son corsage et le soutien gorge qui pend lamentablement. En la regardant dans les yeux, elle tire sur le zip de la jupe et lentement la fait descendre sur les longues jambes de Maude. Elle tremble, attrape des sueurs froides, en tirant sur la jupe, Maryse accroche au passage la culotte, et lui suivre le même chemin que la jupe. Maude nue comme un ver ,e sait que faire. Jacques la prend à bras le corps, et la dépose délicatement sur le banc sans dossier, que Marcel à acheté récemment. Cet engin bien matelassé, est bien pratique pour les ébats, il n'attend que d'être étrenné.

Avec des gestes habiles Maryse se met nue également, Marcel la regarde en salivant, il est vrai que Maryse est bien faite, ses formes n'ont rien à envier à Maude. Nue, Maude rouge coquelicot ferme les yeux de honte. Maryse pose ses mains moites sur le corps de amie qui frissonne. Avec douceur, elle les fait voyager sur la peau laiteuse en faisant de petits cercles rapprochés. Ses mains montent doucement vers le torse, en s'approchant des lobes mammaires. Délicatement elles les encerclent et commencent un malaxage bien contrôlé en profondeur. Le souffle de Maude s'accélère, elle s'agrippe au banc sans ouvrir les yeux.

les doigts fins, s'enfoncent dans les chairs tendres, en arrachant à la soumise des sons étranges, ses dents grincent, ses râles ne sont pas de douleur. Les doigts s'emparent des mamelons, les roule, les étire, pour enfin les presser fortement, pour stimuler Maude. Longtemps, Maryse travaille les mamelons, les bougres, devenus larges et très épais, sont méconnaissables. Maryse pose sa bouche dessus et les aspire à tour de rôle, les succions sont terribles, à chaque aspiration, Maude pousse un gémissement.

Marcel est satisfait du comportement de sa femme, elle se laisse docilement faire sans rechigner. la bouche vorace de Maryse, quitte les mamelons et descend lentement sur le torse, sans omettre d'embrasser chaque parcelle de peau. Quelques lèches sur le nombril font cabrer Maude. La bouche brûlante, s'approche dangereusement de son pubis. Plus elle, avance vers lui, plus Maude se crispe. Mais lorsque la bouche se pose sur son intimité, elle pousse un cri :

-Non, non c'est trop horrible, Maryse arrête s'il te plait, j'ai trop honte !

Mais son amie ne l'écoute pas, elle a un rôle important à jouer, et elle s'y prête volontiers. Sa langue lape les perles suaves, que la vulve de Maude rejette. La langue habile glisse entre les grandes lèvres, et par à la recherche de la boule magique. elle la titille, l'agace un bon moment avant que la bouche affamée ne la gobe. Maude ne peut retenir un long gémissement rauque. Elle se tend comme un arc, en cambrant inconsciemment son bassin au maximum. La bouche de Maryse suce et tète le clito qui ne cesse de prendre du volume.

Les deux hommes pour l'instant voyeurs, contemplent les deux amantes, dont l'une d'elle gémit comme une bête malade. Marcel, n'en peut plus, il retire ses vêtements, sa queue est raide comme du bois. Il la saisit d'une main et l'agite doucement en donnant quelques coups de poignets. Jacques, lui n'a rien à envier à son ami. Il est dans un état d'érection pas possible, il imite Marcel, et jette sur le sol ses vêtements. Sa verge plantée sur son bas-ventre se dresse d'un coup en oscillant un instant, avant de se stabiliser. Il regarde Maude comme une proie, et se demande quand son tour viendra. Marcel lui dit :

-Jacques, mêle toi à eux, donne ta queue à sucer à ma femme !

jacques s'avance, et approche des lèvres pulpeuses de Maude son gland, qu'il a pris soin de décalotter. Il le frotte contre les lèvres, sans résultat. Marcel intervient :

-Mais libère toi, bordel, Maude suce lui la bite !

Maryse redresse la tête et attend. En écarquillant les yeux, Maude grimace en voyant le gland qui parait énorme, mais elle saisit d'une main tremblante la hampe épaisse, et finit par ouvrir la bouche. En prenant une grande aspiration, elle gobe avec méfiance et en faisant une moue affreuse, le chapeau aux larges bords. Doucement elle se met à le sucer. Les bruits de succions se font de plus en plus bruyantes, Maude semble se lâcher, elle suce et tète en poussant de petits gémissements.

Pendant de longues minutes, sans relâche, elle tète le gland. Jacques grimace, Maude apprend très vite, il gémit à chaque succion. Soudain en grinçant des dents, il envoie dans la bouche de Maude un puissante giclée de sperme. C'est si violent qu'elle repousse brutalement Jacques, en grimaçant, un rictus déforme son visage. Elle regarde son mari, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. Maryse lui crie :

-Avale, avale, ma chérie c'est si bon !

En déglutissant lentement en faisant la moue, elle avale par petites gorgées la crème onctueuse qui glisse doucement dans sa gorge. Elle s'essuie d'un revers de la main les lèvres et dit toute excitée :

-Je l'ai fait Marcel, tu as vu, j'ai sucé une bite, et j'ai avalé le sperme, oui, oui, je l'ai fait mon chéri !

Marcel souriant, félicite sa femme qui, brusquement se cabre en poussant un grognement. Maryse vient de plaquer sa bouche sur le fruit trop mûr qui rejette son jus. Sa langue s'enfonce profondément dans sa gaine détrempée et la fouille voracement. Maryse prend son travail à cœur, elle dévore la chatte baveuse de son amie, qui geint de plaisir en agitant son bassin. Une violente jouissance fait hurler Maude, ses yeux sont révulsés, un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres. Elle s'accroche à la tête de son amie en grognant comme un fauve en cage. Maryse, n'en à pas finit avec elle, elle lui aspire le clito et le tète comme un bonbon acidulé.

Maude est sur une autre planète, elle délire :

-Maryse, mon Dieu mais qu'est-ce que tu me fais, oh putain comme c'est bon, vas-y, vas- je viens, je viens !

Une seconde jouissance, fait exploser Maude, elle se cabre fortement pendant la jouissance. Ses gémissements ressemblent à ceux d'une agonisante. Son corps retombe lourdement sur le banc. Elle halète fortement, sa respiration est rapide, son cœur bat à se rompre dans sa poitrine. Enfin Maryse change de position, elle se met tête bêche sur Maude, et reprend le broutage de minou. Encouragée par jacques, Maude, elle aussi commence à lécher la chatte de son amie et amante. Elle prend aux fils des minutes plus d'assurance, elle s'y met vite aux pratiques lesbiennes que lui enseignent son amie Maryse. Les deux femmes se font jouir à tour de rôle, de nombreuses fois. Leurs gémissements inhumains, sont en rapport avec leurs jouissances monstrueuse.

Marcel n'en revient pas sa femme semble se libérer peu à peu, du fardeau, qui l'empêchait de se livrer totalement pendant l'acte d'amour. Il est heureux qu'elle se décoince, mais ce n'est pas encore terminé, il y a d'autres étapes à franchir