Des vacances coquines partie 2

Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Des vacances coquines partie 2
Le lendemain, ils se sont levés vers treize heures.
La nuit avait été torride, Nathalie avait encore des traces de sperme sur le visage et entre les cuisses.
En prenant le petit déjeuner dans la cuisine, Christophe lui a dit :
« J’espère que c’est bien insonorisé, sinon les voisins ont dû mal dormir, tu étais déchainée cette nuit, je t’ai rarement entendu crier autant, sauf quand on était plusieurs. »
« Oui, je ne sais pas pourquoi j’étais aussi excitée et je n’arrêtais pas d’avoir envie de jouir. »
« On fait quoi aujourd’hui ? »
« On baise ! »
« Attends, laisse-moi recharger un peu, tu m’as vidé les couilles cette nuit. »
Ils ont passé une partie de l’après-midi à la plage à se reposer, bronzer et juste tremper les pieds car l’eau était un peu froide.
En revenant, ils se sont arrêtés boire un verre et grignoter une pâtisserie à une terrasse avant de retourner à l’appart pour se doucher et se changer.
Vêtue d’une petite robe à volants, courte et très décolletée, Nathalie était prête à retourner en ville, il était environ dix-huit heures, l’heure de l’apéro.
Christophe excité par la vue de ma femme ainsi habillée, l’a attrapée par la taille en lui disant :
« Fous-toi à quatre pattes j’ai envie de te baiser. »
Très docile, surtout pour ce genre de proposition, elle a obéi.
Aussitôt il s’est planté derrière elle pour lui enfoncer son chibre tout raide.
Il s’est mis à la pistonner bien fort et très vite elle a pris son pied, une fois puis encore une autre fois.
Quand je lui ai téléphoné, elle avait toujours la queue de Christophe qui la défonçait.
Elle a quand même décroché car elle savait que je ne pouvais pas appeler n’importe quand.
Je la sentais bizarre, mais je ne m’imaginais pas que son amant était en train de la baiser alors qu’elle parlait avec moi.
Il prenait un malin plaisir à s’enfoncer doucement mais très profondément dans ses chairs.
Un nouvel orgasme commençait à monter en elle, elle avait du mal à se retenir et donc à parler.
Elle a dû abréger la conversation en me disant qu’elle ne se sentait pas en pleine forme et qu’elle voulait se reposer.
A peine raccrochée, elle s’est exclamée :
« Salaud, putain j’ai failli jouir au tel. Vas-y, continue c’est bon, oui encore… ahhhhh…Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii »
Content de son coup, il s’est extrait de son puits d’amour en lui disant :
« J’ai envie de jouir dans ta bouche. »
Alors, il s’est relevé pour présenter sa queue à la hauteur de sa bouche.
Elle l’a gobé et a commencé à le sucer goulûment.
Dix minutes plus tard il éjaculait sur sa langue.
Le temps s’était assombri et la pluie menaçait, ils sont entrés dans un pub où il y avait de la musique et beaucoup de monde.
Ils ont difficilement trouvé deux places pour s’y installer.
Les tables étaient très proches les unes des autres et malgré le bruit, il était facile de converser avec ses voisins.
Ils ont très vite sympathisé avec d’autres, l’ambiance était cool et l’alcool coulait à flot.
Tout le monde payait sa tournée.
Nathalie avait arrêté au bout de quelques verres, elle ne voulait pas se retrouver dans une situation qu’elle n’aurait pas pu gérer, d’autant plus qu’il y en avait quelques-uns qui d’après leur regard, n’avaient qu’une envie : celle de la fourrer.
Au fur et à mesure de la soirée, elle voyait que Christophe commençait à bégayer un peu, il avait déjà pas mal picolé mais continuait quand même.
Elle s’est dit qu’il n’allait pas pouvoir assurer cette nuit, donc elle a observé les autres.
Il y avait pas mal de lourdauds, des pas beaux, des grandes gueules un peu prétentieux, des pas mal mais trop bourrés et juste deux ou trois plus discrets, moins alcoolisés et à qui elle semblait plaire.
Dans le lot il y en avait un qui ne la lâchait pas des yeux, il était assez mignon et semblait bien attiré par elle aussi.
Alors elle s’est mise à le regarder fixement aussi en passant sa langue sur ses lèvres, puis elle a dit :
« Je vais aux toilettes et me dégourdir un peu les jambes. »
Bien sûr, il a fallu passer entre tout un tas de mecs pour s’extraire de la table, certains ont dû se rincer l’œil lorsqu’elle est passée près d’eux, mais aucun n’a osé toucher.
En passant devant celui sur lequel elle avait jeté son dévolu, elle l’a regardé droit dans les yeux avec un grand sourire, la bouche entre-ouverte et la langue collée à sa lèvre supérieure.
Elle est entrée dans les sanitaires en espérant qu’il la suivrait, en attendant elle s’était plantée devant un lavabo pour se laver les mains.
Quand il est entré, il s’est directement dirigé vers elle.
Elle l’a pris par la main et ils se sont enfermés dans la seule cabine ouverte.
Face à face, collés l’un à l’autre, sans aucune hésitation ils se sont embrassés et caressés.
Il a remonté sa robe pour s’apercevoir qu’elle était nue en dessous.
Elle, massait la protubérance qui gonflait son pantalon, puis s’est accroupie pour l’ouvrir et en extraire une queue toute gonflée qu’elle a embouchée avec gourmandise.
Après l’avoir sucé pendant cinq bonnes minutes, elle a sorti une capote de son sac pour lui tendre.
Elle s’est relevée, a plaqué ses mains contre le mur en écartant bien les jambes et en tendant son cul en arrière, attendant qu’il la prenne ainsi.
Ils essayaient de ne pas faire trop de bruits car il y avait pas mal d’allers et venues dans les toilettes.
Il la pilonnait bien fort en lui agrippant les hanches pendant qu’elle gémissait doucement en sentant le plaisir monter dans son ventre.
Elle a attrapé le bras de son partenaire en le serrant bien fort lorsqu’elle a joui, il ne lui en a pas fallu plus pour qu’il éjacule en même temps.
Il s’est retiré, a enlevé le préservatif pour le jeter dans la poubelle, s’est rhabillé et est sorti sans un mot.
Quand elle est revenue dans la salle, il n’était plus là, ils n’avaient pas échangé un mot et ne connaissaient pas leurs prénoms.
Christophe commençait à ne plus être étanche, mais voulait encore rester.
Cela faisait déjà quelques heures qu’ils étaient là et le bar commençait à se vider.
Nathalie voulait rentrer alors elle a insisté pour qu’il se lève et qu’ils retournent à l’appartement.
A contre-cœur, il s’est levé car elle l’avait menacé de le laisser dormir dehors.
Il titubait et parlait en mangeant la moitié des phrases qu’il prononçait.
Avant qu’ils ne sortent du bar, un grand black est venu parler à Nathalie :
« Vous allez loin comme ça ? »
« Non, à quelques rues d’ici, ça risque d’être compliqué mais ce n’est pas loin. »
« Vous voulez que je vous aide à l’emmener, parce que s’il tombe, vous aurez du mal à le relever je pense. »
« Ok je veux bien, merci. »
Le black faisait partie des gens calmes de la soirée, il ne semblait pas avoir bu beaucoup et était moins expansif que certains de ses collègues du bar.
Elle avait plusieurs fois croisé son regard au cours de la soirée et avait échangé de grands sourires.
« On le pose où ? Dans la chambre ? »
« Non, non, sur le canapé, je ne veux pas dormir à côté d’un mec qui va ronfler et me souffler au nez ses vapeurs d’alcool toute la nuit. »
« C’est votre mari ? »
« Non, juste un plan cul pour le week-end, mais pour ce soir, c’est mort, il ne me fera pas grand bien. »
Il s’est senti gêné mais d’un coup plus souriant comme si une ouverture s’offrait à lui.
Il l’avait dévoré des yeux toute la soirée et sentait à ce moment une opportunité.
Elle lui a offert une bière pour le remercier.
Ils ont discuté un peu en buvant, il avait l’air timide, alors Nathalie s’est levée pour aller à la salle de bain en lui disant qu’elle revenait vite.
Elle s’est fait un brin de toilette puis s’est déshabillée et est sortie complètement nue.
Un grand sourire a illuminé le visage du black, il s’appelait Jean Noël, qui ne s’est pas fait prier pour la suivre lorsqu’elle l’a pris par la main pour l’emmener dans la chambre.
Debout au milieu de la pièce, ils se sont embrassés puis elle s’est agenouillée pour détacher son pantalon et en sortir une colonne de chair déjà bien tendue.
« Whaouuu, sacré morceaux. » S’est-elle exclamée avant de l’engloutir avidement entre ses lèvres.
Il s’est laissé sucer pendant quelques temps, puis l’a attrapé sous les aisselles pour la déposer sur le lit, à son tour il s’est installé entre ses cuisses pour lui manger la chatte.
La langue qui lui fouillait profondément lui a rapidement procuré un orgasme.
Il s’est relevé, a attrapé un préservatif dans la poche de son Jeans, il s’est ensuite allongé sur elle pour la pénétrer doucement.
Bien lubrifié par sa dernière jouissance, le braquemart est rentré tout seul.
Elle a entouré ses jambes autour de la taille de son partenaire pendant qu’il allait et venait en elle.
De nouveau elle a joui.
A chaque fois qu’elle prenait son pied, il changeait de position.
Il l’avait maintenant soulevé en passant ses mains sous son dos, lui était à genoux, elle face à lui toujours empalée mais ne touchant plus le lit.
Il la faisait monter et descendre sur son pieux, jusqu’à ce qu’elle jouisse à nouveau.
Elle a eu cette nuit-là plus d’une dizaine d’orgasmes, sans compter que parfois elle retournait le sucer.
Il a réussi à éjaculer deux fois, la première lorsqu’il la prenait en position levrette et la deuxième avec sa bouche.
Elle était en train de lui nettoyer la queue quand elle lui a demandé :
« Tu veux passer le reste de la nuit ici ? »
« Non, c’est gentil, j’aurais bien aimé mais il faut que je rentre chez moi, ma femme risque de s’inquiéter si elle ne me voit pas rentrer. »
Il était déjà presque quatre heures du matin, quand il est parti, elle s’est affalée sur le lit pour s’endormir aussitôt.
Vers treize heures trente, Christophe est entré dans la chambre, il avait un plateau avec jus d’orange, viennoiseries et café, sans doute voulait-il se faire pardonner de sa soirée d’hier.
Nathalie était allongée sur le ventre, les fesses à l’air et complètement en travers du lit.
Il l’a gentiment caressée pour la réveiller.
« Ça va ? Bien dormi ? Je vois que tu t’es amusée cette nuit. » Dit-il en montrant les capotes usagées qui jonchaient le sol.
« Il fallait bien que j’en trouve un autre vu ton état. »
« Je suis désolé, je me suis piégé tout seul sans m’en rendre compte. »
« Pas trop mal au crâne ce matin ? »
« Là, ça va mieux, j’ai pris des cachets, mais au réveil je n’étais pas bien. »
« Oui je vois que tu vas mieux. » Dit-elle en montrant la queue bien raide de son amant, qui était lui aussi tout nu.
« Laisse-moi déjeuner et si tu veux, après je te suce. »
« hummmm avec plaisir, je reviens, je vais me chercher un café pour t’accompagner. »
Assise sur le lit, lui debout face à elle, Nathalie avalait goulûment sa queue.
Sa langue s’enroulait autour de son gland pendant qu’elle le branlait d’une main et de l’autre lui titillait l’anus et lui caressait les couilles.
Une dizaine de minutes plus tard, il éjaculait dans sa bouche une bonne quantité de sperme.
Dans l’après-midi ils sont retournés à la plage et sont rentrés vers dix-sept heures car le pote de Christophe n’allait pas tarder à arriver.
Nathalie était sous la douche quand Tarek, le copain de Christophe, est arrivé.
Ils ont discuté et élaboré un plan jusqu’à ce qu’elle sorte de la salle de bain.
Elle était enroulée dans une grande serviette qui la couvrait des cuisses jusqu’aux épaules.
Il lui a présenté son pote puis il s’est levé pour se placer à côté d’elle en disant :
« Tarek, je te présente Nathalie, la reine des salopes. » De sa part c’était un compliment, et en disant ça, il lui a enlevé la serviette.
Elle s’est ainsi retrouvée complètement à poil devant eux.
Christophe en se tournant vers elle lui a dit :
« On s’est dit avec Tarek qu’on ne repartirait que demain matin et que tu serais certainement contente d’avoir deux mecs pour toi ce soir, histoire de me rattraper pour hier. »
« Hummm oui, ce n’est pas une mauvaise idée. »
« Je vais à mon tour me doucher, montre-lui ce que tu sais faire avec ta bouche, tu verras, il est un peu rustre mais je suis sûr qu’il va te plaire. »
Il est entré dans la salle de bain en riant, les laissant seuls.
Tarek avait déjà baissé son short, exhibant une belle queue en semi-érection.
« Allez viens me pomper salope, Chris m’a dit que t’étais une experte de la pipe. »
Assis dans le canapé, il tenait par les cheveux ma femme qui était à genoux entre ses cuisses pour le sucer.
Sa queue avait durci très vite.
Il lui pelotait les seins en lui titillant les mamelons, parfois s’avançait un peu pour lui caresser et claquer la croupe, tout ça en la gratifiant d’un vocabulaire assez grossier et salace.
« Oh t’es trop bonne toi, il a raison mon pote, t’es une sacrée chienne, putain tu vas me faire juter trop vite, elle est bonne ma bite salope. »
Au bout d’une dizaine de minutes il s’est levé en lui disant :
« Bouge pas je vais t’arroser de ma semence. »
En disant cela, il se branlait devant son visage et l’a très vite aspergé de plusieurs grosses giclées de sperme.
Elle en a reçu partout sur les lèvres, les joues, les cheveux et il a envoyé la dernière salve sur les seins.
Une fois tous les trois douché et changé, ils sont sortis pour prendre un verre et se restaurer.
Tarek aurait bien recommencé aussitôt après la douche, mais Christophe l’a calmé en lui disant qu’ils auraient toute la nuit pour la baiser et qu’avant, il avait envie de s’amuser un peu.
« T’es chiant à vouloir sortir, moi j’ai envie de la sauter maintenant, elle me fait bander grave. »
« T’inquiète, on va s’amuser un peu et je suis sûr que ça va te plaire et à elle aussi. »
Il avait choisi la tenue qu’elle devait mettre, des hauts talons, une micro-jupe et un corsage ouvert jusqu’au nombril, sans aucun autre vêtement superflu.
Ils sont retournés au restaurant dans lequel ils avaient dîné le vendredi soir.
Le serveur les a tout de suite reconnus et semblait très émoustillé en regardant ma femme et, voyant qu’ils étaient trois lui a dit :
« Votre mari est arrivé plus tôt que prévu ? »
« Non, non, c’est un copain, mon mari n’arrive toujours que demain. »
« Je…, je vous mets, heu… vous installe là-bas, vous serez plus tranquille. »
Il les a placés à une table de quatre, dans un coin du resto où, effectivement, ils seraient plus confinés.
Ses patrons n’étaient pas là et il ne voulait pas affoler toute la gent masculine de ses clients.
Tarek s’est assis au fond contre le mur, il a dit à Nathalie de se mettre à côté de lui et Christophe était en face d’elle.
Ils étaient un peu cachés des autres clients, ce qui au début, embêtait un peu Christophe, mais il s’est vite aperçu que c’était beaucoup mieux.
Quand elle s’est assise, sa jupe ne cachait presque rien de son intimité, aussi bien pour Tarek que pour le serveur, surtout qu’elle avait légèrement écarté les jambes.
Pendant qu’il prenait l’apéro, son voisin de gauche avait posé la main sur sa cuisse et remontait tout doucement vers sa chatte offerte.
Quand le serveur est revenu porter les plats, Tarek avait deux doigts qui la fouillaient.
Adossée sur sa chaise, elle avait carrément ouvert ses jambes pour les prendre encore plus profondément.
Lorsqu’elle a joui, aucun bruit n’est sorti de sa bouche, seuls les rictus de son visage trahissaient le fait qu’elle était en train de prendre du plaisir.
Le serveur semblait faire exprès de venir souvent à leur table pour apporter le sel, puis le vin, puis du pain, il pouvait ainsi profiter du spectacle.
Après son orgasme, Nathalie a retiré les doigts de Tarek de son sexe pour les porter à sa bouche et les sucer goulument en regardant le serveur bien droit dans les yeux.
Elle a remarqué une légère bosse qui se formait sur son pantalon.
Il y avait peu de clients dans la salle et là où ils étaient, personne ne pouvait voir qu’elle avait posé sa main sur ce renflement.
Un peu gêné, il a préféré repartir avant que son érection ne puisse plus être dissimulée.
Tarek avait bandé pendant tout le repas, Nathalie l’avait branlé un peu, caressé beaucoup, elle avait roulé des pelles à ses deux amants régulièrement, le repas avait été très chaud.
Il ne restait plus qu’eux dans le restaurant, eux, le serveur et un commis dans la cuisine.
Quand il a porté les cafés, Christophe venait de dire à ma femme de retirer son chemisier, elle avait maintenant les seins complètement à l’air.
Cette fois-ci, la bosse du bas-ventre du serveur ne pouvait être ignorée et alors qu’il venait de déposer une tasse devant elle, elle lui a pris une main pour qu’il caresse sa poitrine.
Hypnotisé par les seins énormes de ma femme, il n’a pas résisté et l’a pelotée.
De son côté, elle lui massait le sexe par-dessus son pantalon.
Elle a remis son corsage, s’est levée en disant :
« Je reviens. »
Puis se tournant vers le serveur, elle a dit :
« Rejoins-moi aux toilettes. »
Elle l’a plaqué contre le mur, a enfoncé sa langue dans sa bouche tout en commençant à déboutonner son pantalon.
Elle s’est accroupie devant lui en lui baissant jusqu’aux chevilles, puis s’est attaquée au caleçon.
Il était trempé de sécrétions.
Elle a sorti sa bite toute raide, de son gland coulait un filet gluant qui pouvait presque laisser croire qu’il avait éjaculé, puis elle l’a englouti entre ses lèvres pour le sucer avec vigueur, sa langue virevoltait sur son méat, elle le branlait énergiquement en continuant de le pomper goulument.
A peine quelques minutes plus tard il se vidait dans son gosier.
Elle l’a bien nettoyé, puis s’est relevée en lui disant :
« On se voit dans la semaine. »
De retour à l’appartement, Tarek s’est jeté sur ma femme en lui disant :
« Putain de salope, maintenant je vais te défoncer le cul toute la nuit. »
Il l’a jetée sur le lit, lui a arraché ses vêtements puis a enfoui sa tête entre ses cuisses pour lui bouffer la chatte.
Il était brutal mais sans faire mal, autoritaire et directif mais toujours sans agressivité.
Christophe n’était pas choqué de son attitude car il le connaissait bien et savait qu’il ne ferait aucun mal à ma femme, ils avaient souvent tous les deux fait des trios avec d’autres femmes.
Malgré son comportement bestial, sa langue était douce et agile, sa bouche aspirait son clito en le titillant légèrement avec les dents.
Nathalie n’a pas résisté longtemps et a très vite crié sa jouissance.
Elle s’est ensuite retournée pour aller prendre la queue de Christophe qui venait de s’allonger à côté d’elle et quelques secondes plus tard, Tarek l’a attrapé par les hanches pour la positionner en levrette et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, s’est collé contre ses fesses pour enfoncer puissamment sa bite au fond du sexe de ma femme.
Elle s’est raidie et a regardé Christophe d’un ton interrogatif, qui a tout de suite compris en lui faisant signe de ne pas s’inquiéter, que son pote était comme lui, sain (Ils faisaient tous les deux des tests régulièrement).
Elle se faisait pilonner par l’un pendant que l’autre lui bloquait la tête sur sa queue.
La bite de Tarek la défonçait bien, elle a joui plusieurs fois de suite alors qu’il l’insultait copieusement et que Christophe continuait à se faire sucer pendant qu’elle lui mettait un doigt dans le cul.
Tarek ne s’arrêtait jamais de parler :
« Regarde Chris cette petite pute comment elle aime la queue, elle n’arrête pas de couiner la chienne, putain regarde ce cul, je vais le défoncer tellement elle m’excite la pute. »
Le téléphone s’est mis à sonner, j’avais dit à Nathalie que je l’appellerais quand j’aurais fini mon boulot.
C’était le dernier jour de ce chantier et il s’est terminé vers minuit.
Quand elle m’a répondu en attrapant son téléphone sur la table de chevet, elle avait toujours le gros dard de Tarek enfoncé dans sa chatte et celui de Christophe dans ses mains.
Ce dernier a fait signe à son pote de se taire et de réduire la cadence pendant qu’elle me parlait.
Malgré cela, il a continué ses va-et-vient mais à un rythme plus cool, il en a aussi profité, sachant qu’elle ne pouvait pas se rebeller pour lui titiller l’anus et commencer à lui enfoncer un doigt dans le cul.
Je la sentais distraite et légèrement absente, alors avec un langage codé que nous avions élaboré, je lui ai posé les bonnes questions qui m’ont fait comprendre qu’elle était en train de baiser avec deux mecs.
Je ne me suis pas éternisé et sachant que j’aimerais certainement, elle a reposé le portable sans raccrocher et sans que ses deux amants s’en aperçoivent, ils étaient bien trop occupés pour cela.
Tarek a aussitôt recommencé son monologue en s’adressant à son copain:
« Quelle pute, elle se fait tringler pendant qu’elle cause à son mec au téléphone et l’autre cocu il ne s’en rend même pas compte, elle t’a même sucé pendant qu’il lui parlait.
On voit bien que t’aimes la bite toi salope, hein, tu les aimes nos queues. »
Nathalie jouant le jeu et me sachant à l’écoute s’est lâchée aussi :
« Oh oui putain elles sont bonnes vos queues, vas-y continue défonce-moi bien fort encore, j’ai envie de vous sentir éjaculer en moi, sentir votre sperme me remplir la chatte et la bouche, oh putainnnnnnnn ouiiiiiiiii c’est bonnnnnnnn ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh. »
Elle a joui encore deux fois avant que Christophe ne lui inonde la gorge et que Tarek se vide dans son ventre en vociférant encore plus d’obscénités.
Ils se sont levés pour aller se rafraîchir et avant de les rejoindre elle a raccroché son téléphone juste après m’avoir dit :
« J’espère que ça t’a plu, je t’aime. »
Ils ont remis ça une bonne partie de la nuit.
Elle s’est fait prendre cette fois-ci par tous les trous, pendant qu’elle était allongée sur Tarek, Christophe s’est installé sur elle pour s’enfoncer dans ses fesses.
Ils l’ont baisée ainsi un long moment et elle a joui plusieurs fois d’affilée avec les deux gourdins plantés, à la fois dans son ventre et dans son cul.
Ils se sont endormis vers quatre ou cinq heures du matin, ce qui n’a pas empêché Tarek de se réveiller une heure après et de se vider les couilles dans le ventre de ma femme avant de se rendormir.
Je devais arriver vers treize ou quatorze heures, alors sur les coups de onze heures, tout le monde s’est levé afin qu’elle soit seule que je la rejoindrais.
A midi, les deux compères étaient fin prêts.
« J’ai encore envie. » A dit Tarek.
Christophe n’était pas contre non plus, alors elle leur a dit :
« Bon ok je vous suce mais ne durez pas trois heures.
Elle s’est agenouillée devant eux, a sorti leurs queues qui ont très rapidement pris du volume, puis les a sucés pendant vingt bonnes minutes jusqu’à ce qu’ils remplissent sa bouche presque en même temps.
Quarante-cinq minutes plus tard, c’est moi qui étais dans sa bouche en même temps qu’elle me racontait le début de ses frasques.
A suivre, les vacances ne sont pas finies…
La nuit avait été torride, Nathalie avait encore des traces de sperme sur le visage et entre les cuisses.
En prenant le petit déjeuner dans la cuisine, Christophe lui a dit :
« J’espère que c’est bien insonorisé, sinon les voisins ont dû mal dormir, tu étais déchainée cette nuit, je t’ai rarement entendu crier autant, sauf quand on était plusieurs. »
« Oui, je ne sais pas pourquoi j’étais aussi excitée et je n’arrêtais pas d’avoir envie de jouir. »
« On fait quoi aujourd’hui ? »
« On baise ! »
« Attends, laisse-moi recharger un peu, tu m’as vidé les couilles cette nuit. »
Ils ont passé une partie de l’après-midi à la plage à se reposer, bronzer et juste tremper les pieds car l’eau était un peu froide.
En revenant, ils se sont arrêtés boire un verre et grignoter une pâtisserie à une terrasse avant de retourner à l’appart pour se doucher et se changer.
Vêtue d’une petite robe à volants, courte et très décolletée, Nathalie était prête à retourner en ville, il était environ dix-huit heures, l’heure de l’apéro.
Christophe excité par la vue de ma femme ainsi habillée, l’a attrapée par la taille en lui disant :
« Fous-toi à quatre pattes j’ai envie de te baiser. »
Très docile, surtout pour ce genre de proposition, elle a obéi.
Aussitôt il s’est planté derrière elle pour lui enfoncer son chibre tout raide.
Il s’est mis à la pistonner bien fort et très vite elle a pris son pied, une fois puis encore une autre fois.
Quand je lui ai téléphoné, elle avait toujours la queue de Christophe qui la défonçait.
Elle a quand même décroché car elle savait que je ne pouvais pas appeler n’importe quand.
Je la sentais bizarre, mais je ne m’imaginais pas que son amant était en train de la baiser alors qu’elle parlait avec moi.
Il prenait un malin plaisir à s’enfoncer doucement mais très profondément dans ses chairs.
Un nouvel orgasme commençait à monter en elle, elle avait du mal à se retenir et donc à parler.
Elle a dû abréger la conversation en me disant qu’elle ne se sentait pas en pleine forme et qu’elle voulait se reposer.
A peine raccrochée, elle s’est exclamée :
« Salaud, putain j’ai failli jouir au tel. Vas-y, continue c’est bon, oui encore… ahhhhh…Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii »
Content de son coup, il s’est extrait de son puits d’amour en lui disant :
« J’ai envie de jouir dans ta bouche. »
Alors, il s’est relevé pour présenter sa queue à la hauteur de sa bouche.
Elle l’a gobé et a commencé à le sucer goulûment.
Dix minutes plus tard il éjaculait sur sa langue.
Le temps s’était assombri et la pluie menaçait, ils sont entrés dans un pub où il y avait de la musique et beaucoup de monde.
Ils ont difficilement trouvé deux places pour s’y installer.
Les tables étaient très proches les unes des autres et malgré le bruit, il était facile de converser avec ses voisins.
Ils ont très vite sympathisé avec d’autres, l’ambiance était cool et l’alcool coulait à flot.
Tout le monde payait sa tournée.
Nathalie avait arrêté au bout de quelques verres, elle ne voulait pas se retrouver dans une situation qu’elle n’aurait pas pu gérer, d’autant plus qu’il y en avait quelques-uns qui d’après leur regard, n’avaient qu’une envie : celle de la fourrer.
Au fur et à mesure de la soirée, elle voyait que Christophe commençait à bégayer un peu, il avait déjà pas mal picolé mais continuait quand même.
Elle s’est dit qu’il n’allait pas pouvoir assurer cette nuit, donc elle a observé les autres.
Il y avait pas mal de lourdauds, des pas beaux, des grandes gueules un peu prétentieux, des pas mal mais trop bourrés et juste deux ou trois plus discrets, moins alcoolisés et à qui elle semblait plaire.
Dans le lot il y en avait un qui ne la lâchait pas des yeux, il était assez mignon et semblait bien attiré par elle aussi.
Alors elle s’est mise à le regarder fixement aussi en passant sa langue sur ses lèvres, puis elle a dit :
« Je vais aux toilettes et me dégourdir un peu les jambes. »
Bien sûr, il a fallu passer entre tout un tas de mecs pour s’extraire de la table, certains ont dû se rincer l’œil lorsqu’elle est passée près d’eux, mais aucun n’a osé toucher.
En passant devant celui sur lequel elle avait jeté son dévolu, elle l’a regardé droit dans les yeux avec un grand sourire, la bouche entre-ouverte et la langue collée à sa lèvre supérieure.
Elle est entrée dans les sanitaires en espérant qu’il la suivrait, en attendant elle s’était plantée devant un lavabo pour se laver les mains.
Quand il est entré, il s’est directement dirigé vers elle.
Elle l’a pris par la main et ils se sont enfermés dans la seule cabine ouverte.
Face à face, collés l’un à l’autre, sans aucune hésitation ils se sont embrassés et caressés.
Il a remonté sa robe pour s’apercevoir qu’elle était nue en dessous.
Elle, massait la protubérance qui gonflait son pantalon, puis s’est accroupie pour l’ouvrir et en extraire une queue toute gonflée qu’elle a embouchée avec gourmandise.
Après l’avoir sucé pendant cinq bonnes minutes, elle a sorti une capote de son sac pour lui tendre.
Elle s’est relevée, a plaqué ses mains contre le mur en écartant bien les jambes et en tendant son cul en arrière, attendant qu’il la prenne ainsi.
Ils essayaient de ne pas faire trop de bruits car il y avait pas mal d’allers et venues dans les toilettes.
Il la pilonnait bien fort en lui agrippant les hanches pendant qu’elle gémissait doucement en sentant le plaisir monter dans son ventre.
Elle a attrapé le bras de son partenaire en le serrant bien fort lorsqu’elle a joui, il ne lui en a pas fallu plus pour qu’il éjacule en même temps.
Il s’est retiré, a enlevé le préservatif pour le jeter dans la poubelle, s’est rhabillé et est sorti sans un mot.
Quand elle est revenue dans la salle, il n’était plus là, ils n’avaient pas échangé un mot et ne connaissaient pas leurs prénoms.
Christophe commençait à ne plus être étanche, mais voulait encore rester.
Cela faisait déjà quelques heures qu’ils étaient là et le bar commençait à se vider.
Nathalie voulait rentrer alors elle a insisté pour qu’il se lève et qu’ils retournent à l’appartement.
A contre-cœur, il s’est levé car elle l’avait menacé de le laisser dormir dehors.
Il titubait et parlait en mangeant la moitié des phrases qu’il prononçait.
Avant qu’ils ne sortent du bar, un grand black est venu parler à Nathalie :
« Vous allez loin comme ça ? »
« Non, à quelques rues d’ici, ça risque d’être compliqué mais ce n’est pas loin. »
« Vous voulez que je vous aide à l’emmener, parce que s’il tombe, vous aurez du mal à le relever je pense. »
« Ok je veux bien, merci. »
Le black faisait partie des gens calmes de la soirée, il ne semblait pas avoir bu beaucoup et était moins expansif que certains de ses collègues du bar.
Elle avait plusieurs fois croisé son regard au cours de la soirée et avait échangé de grands sourires.
« On le pose où ? Dans la chambre ? »
« Non, non, sur le canapé, je ne veux pas dormir à côté d’un mec qui va ronfler et me souffler au nez ses vapeurs d’alcool toute la nuit. »
« C’est votre mari ? »
« Non, juste un plan cul pour le week-end, mais pour ce soir, c’est mort, il ne me fera pas grand bien. »
Il s’est senti gêné mais d’un coup plus souriant comme si une ouverture s’offrait à lui.
Il l’avait dévoré des yeux toute la soirée et sentait à ce moment une opportunité.
Elle lui a offert une bière pour le remercier.
Ils ont discuté un peu en buvant, il avait l’air timide, alors Nathalie s’est levée pour aller à la salle de bain en lui disant qu’elle revenait vite.
Elle s’est fait un brin de toilette puis s’est déshabillée et est sortie complètement nue.
Un grand sourire a illuminé le visage du black, il s’appelait Jean Noël, qui ne s’est pas fait prier pour la suivre lorsqu’elle l’a pris par la main pour l’emmener dans la chambre.
Debout au milieu de la pièce, ils se sont embrassés puis elle s’est agenouillée pour détacher son pantalon et en sortir une colonne de chair déjà bien tendue.
« Whaouuu, sacré morceaux. » S’est-elle exclamée avant de l’engloutir avidement entre ses lèvres.
Il s’est laissé sucer pendant quelques temps, puis l’a attrapé sous les aisselles pour la déposer sur le lit, à son tour il s’est installé entre ses cuisses pour lui manger la chatte.
La langue qui lui fouillait profondément lui a rapidement procuré un orgasme.
Il s’est relevé, a attrapé un préservatif dans la poche de son Jeans, il s’est ensuite allongé sur elle pour la pénétrer doucement.
Bien lubrifié par sa dernière jouissance, le braquemart est rentré tout seul.
Elle a entouré ses jambes autour de la taille de son partenaire pendant qu’il allait et venait en elle.
De nouveau elle a joui.
A chaque fois qu’elle prenait son pied, il changeait de position.
Il l’avait maintenant soulevé en passant ses mains sous son dos, lui était à genoux, elle face à lui toujours empalée mais ne touchant plus le lit.
Il la faisait monter et descendre sur son pieux, jusqu’à ce qu’elle jouisse à nouveau.
Elle a eu cette nuit-là plus d’une dizaine d’orgasmes, sans compter que parfois elle retournait le sucer.
Il a réussi à éjaculer deux fois, la première lorsqu’il la prenait en position levrette et la deuxième avec sa bouche.
Elle était en train de lui nettoyer la queue quand elle lui a demandé :
« Tu veux passer le reste de la nuit ici ? »
« Non, c’est gentil, j’aurais bien aimé mais il faut que je rentre chez moi, ma femme risque de s’inquiéter si elle ne me voit pas rentrer. »
Il était déjà presque quatre heures du matin, quand il est parti, elle s’est affalée sur le lit pour s’endormir aussitôt.
Vers treize heures trente, Christophe est entré dans la chambre, il avait un plateau avec jus d’orange, viennoiseries et café, sans doute voulait-il se faire pardonner de sa soirée d’hier.
Nathalie était allongée sur le ventre, les fesses à l’air et complètement en travers du lit.
Il l’a gentiment caressée pour la réveiller.
« Ça va ? Bien dormi ? Je vois que tu t’es amusée cette nuit. » Dit-il en montrant les capotes usagées qui jonchaient le sol.
« Il fallait bien que j’en trouve un autre vu ton état. »
« Je suis désolé, je me suis piégé tout seul sans m’en rendre compte. »
« Pas trop mal au crâne ce matin ? »
« Là, ça va mieux, j’ai pris des cachets, mais au réveil je n’étais pas bien. »
« Oui je vois que tu vas mieux. » Dit-elle en montrant la queue bien raide de son amant, qui était lui aussi tout nu.
« Laisse-moi déjeuner et si tu veux, après je te suce. »
« hummmm avec plaisir, je reviens, je vais me chercher un café pour t’accompagner. »
Assise sur le lit, lui debout face à elle, Nathalie avalait goulûment sa queue.
Sa langue s’enroulait autour de son gland pendant qu’elle le branlait d’une main et de l’autre lui titillait l’anus et lui caressait les couilles.
Une dizaine de minutes plus tard, il éjaculait dans sa bouche une bonne quantité de sperme.
Dans l’après-midi ils sont retournés à la plage et sont rentrés vers dix-sept heures car le pote de Christophe n’allait pas tarder à arriver.
Nathalie était sous la douche quand Tarek, le copain de Christophe, est arrivé.
Ils ont discuté et élaboré un plan jusqu’à ce qu’elle sorte de la salle de bain.
Elle était enroulée dans une grande serviette qui la couvrait des cuisses jusqu’aux épaules.
Il lui a présenté son pote puis il s’est levé pour se placer à côté d’elle en disant :
« Tarek, je te présente Nathalie, la reine des salopes. » De sa part c’était un compliment, et en disant ça, il lui a enlevé la serviette.
Elle s’est ainsi retrouvée complètement à poil devant eux.
Christophe en se tournant vers elle lui a dit :
« On s’est dit avec Tarek qu’on ne repartirait que demain matin et que tu serais certainement contente d’avoir deux mecs pour toi ce soir, histoire de me rattraper pour hier. »
« Hummm oui, ce n’est pas une mauvaise idée. »
« Je vais à mon tour me doucher, montre-lui ce que tu sais faire avec ta bouche, tu verras, il est un peu rustre mais je suis sûr qu’il va te plaire. »
Il est entré dans la salle de bain en riant, les laissant seuls.
Tarek avait déjà baissé son short, exhibant une belle queue en semi-érection.
« Allez viens me pomper salope, Chris m’a dit que t’étais une experte de la pipe. »
Assis dans le canapé, il tenait par les cheveux ma femme qui était à genoux entre ses cuisses pour le sucer.
Sa queue avait durci très vite.
Il lui pelotait les seins en lui titillant les mamelons, parfois s’avançait un peu pour lui caresser et claquer la croupe, tout ça en la gratifiant d’un vocabulaire assez grossier et salace.
« Oh t’es trop bonne toi, il a raison mon pote, t’es une sacrée chienne, putain tu vas me faire juter trop vite, elle est bonne ma bite salope. »
Au bout d’une dizaine de minutes il s’est levé en lui disant :
« Bouge pas je vais t’arroser de ma semence. »
En disant cela, il se branlait devant son visage et l’a très vite aspergé de plusieurs grosses giclées de sperme.
Elle en a reçu partout sur les lèvres, les joues, les cheveux et il a envoyé la dernière salve sur les seins.
Une fois tous les trois douché et changé, ils sont sortis pour prendre un verre et se restaurer.
Tarek aurait bien recommencé aussitôt après la douche, mais Christophe l’a calmé en lui disant qu’ils auraient toute la nuit pour la baiser et qu’avant, il avait envie de s’amuser un peu.
« T’es chiant à vouloir sortir, moi j’ai envie de la sauter maintenant, elle me fait bander grave. »
« T’inquiète, on va s’amuser un peu et je suis sûr que ça va te plaire et à elle aussi. »
Il avait choisi la tenue qu’elle devait mettre, des hauts talons, une micro-jupe et un corsage ouvert jusqu’au nombril, sans aucun autre vêtement superflu.
Ils sont retournés au restaurant dans lequel ils avaient dîné le vendredi soir.
Le serveur les a tout de suite reconnus et semblait très émoustillé en regardant ma femme et, voyant qu’ils étaient trois lui a dit :
« Votre mari est arrivé plus tôt que prévu ? »
« Non, non, c’est un copain, mon mari n’arrive toujours que demain. »
« Je…, je vous mets, heu… vous installe là-bas, vous serez plus tranquille. »
Il les a placés à une table de quatre, dans un coin du resto où, effectivement, ils seraient plus confinés.
Ses patrons n’étaient pas là et il ne voulait pas affoler toute la gent masculine de ses clients.
Tarek s’est assis au fond contre le mur, il a dit à Nathalie de se mettre à côté de lui et Christophe était en face d’elle.
Ils étaient un peu cachés des autres clients, ce qui au début, embêtait un peu Christophe, mais il s’est vite aperçu que c’était beaucoup mieux.
Quand elle s’est assise, sa jupe ne cachait presque rien de son intimité, aussi bien pour Tarek que pour le serveur, surtout qu’elle avait légèrement écarté les jambes.
Pendant qu’il prenait l’apéro, son voisin de gauche avait posé la main sur sa cuisse et remontait tout doucement vers sa chatte offerte.
Quand le serveur est revenu porter les plats, Tarek avait deux doigts qui la fouillaient.
Adossée sur sa chaise, elle avait carrément ouvert ses jambes pour les prendre encore plus profondément.
Lorsqu’elle a joui, aucun bruit n’est sorti de sa bouche, seuls les rictus de son visage trahissaient le fait qu’elle était en train de prendre du plaisir.
Le serveur semblait faire exprès de venir souvent à leur table pour apporter le sel, puis le vin, puis du pain, il pouvait ainsi profiter du spectacle.
Après son orgasme, Nathalie a retiré les doigts de Tarek de son sexe pour les porter à sa bouche et les sucer goulument en regardant le serveur bien droit dans les yeux.
Elle a remarqué une légère bosse qui se formait sur son pantalon.
Il y avait peu de clients dans la salle et là où ils étaient, personne ne pouvait voir qu’elle avait posé sa main sur ce renflement.
Un peu gêné, il a préféré repartir avant que son érection ne puisse plus être dissimulée.
Tarek avait bandé pendant tout le repas, Nathalie l’avait branlé un peu, caressé beaucoup, elle avait roulé des pelles à ses deux amants régulièrement, le repas avait été très chaud.
Il ne restait plus qu’eux dans le restaurant, eux, le serveur et un commis dans la cuisine.
Quand il a porté les cafés, Christophe venait de dire à ma femme de retirer son chemisier, elle avait maintenant les seins complètement à l’air.
Cette fois-ci, la bosse du bas-ventre du serveur ne pouvait être ignorée et alors qu’il venait de déposer une tasse devant elle, elle lui a pris une main pour qu’il caresse sa poitrine.
Hypnotisé par les seins énormes de ma femme, il n’a pas résisté et l’a pelotée.
De son côté, elle lui massait le sexe par-dessus son pantalon.
Elle a remis son corsage, s’est levée en disant :
« Je reviens. »
Puis se tournant vers le serveur, elle a dit :
« Rejoins-moi aux toilettes. »
Elle l’a plaqué contre le mur, a enfoncé sa langue dans sa bouche tout en commençant à déboutonner son pantalon.
Elle s’est accroupie devant lui en lui baissant jusqu’aux chevilles, puis s’est attaquée au caleçon.
Il était trempé de sécrétions.
Elle a sorti sa bite toute raide, de son gland coulait un filet gluant qui pouvait presque laisser croire qu’il avait éjaculé, puis elle l’a englouti entre ses lèvres pour le sucer avec vigueur, sa langue virevoltait sur son méat, elle le branlait énergiquement en continuant de le pomper goulument.
A peine quelques minutes plus tard il se vidait dans son gosier.
Elle l’a bien nettoyé, puis s’est relevée en lui disant :
« On se voit dans la semaine. »
De retour à l’appartement, Tarek s’est jeté sur ma femme en lui disant :
« Putain de salope, maintenant je vais te défoncer le cul toute la nuit. »
Il l’a jetée sur le lit, lui a arraché ses vêtements puis a enfoui sa tête entre ses cuisses pour lui bouffer la chatte.
Il était brutal mais sans faire mal, autoritaire et directif mais toujours sans agressivité.
Christophe n’était pas choqué de son attitude car il le connaissait bien et savait qu’il ne ferait aucun mal à ma femme, ils avaient souvent tous les deux fait des trios avec d’autres femmes.
Malgré son comportement bestial, sa langue était douce et agile, sa bouche aspirait son clito en le titillant légèrement avec les dents.
Nathalie n’a pas résisté longtemps et a très vite crié sa jouissance.
Elle s’est ensuite retournée pour aller prendre la queue de Christophe qui venait de s’allonger à côté d’elle et quelques secondes plus tard, Tarek l’a attrapé par les hanches pour la positionner en levrette et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, s’est collé contre ses fesses pour enfoncer puissamment sa bite au fond du sexe de ma femme.
Elle s’est raidie et a regardé Christophe d’un ton interrogatif, qui a tout de suite compris en lui faisant signe de ne pas s’inquiéter, que son pote était comme lui, sain (Ils faisaient tous les deux des tests régulièrement).
Elle se faisait pilonner par l’un pendant que l’autre lui bloquait la tête sur sa queue.
La bite de Tarek la défonçait bien, elle a joui plusieurs fois de suite alors qu’il l’insultait copieusement et que Christophe continuait à se faire sucer pendant qu’elle lui mettait un doigt dans le cul.
Tarek ne s’arrêtait jamais de parler :
« Regarde Chris cette petite pute comment elle aime la queue, elle n’arrête pas de couiner la chienne, putain regarde ce cul, je vais le défoncer tellement elle m’excite la pute. »
Le téléphone s’est mis à sonner, j’avais dit à Nathalie que je l’appellerais quand j’aurais fini mon boulot.
C’était le dernier jour de ce chantier et il s’est terminé vers minuit.
Quand elle m’a répondu en attrapant son téléphone sur la table de chevet, elle avait toujours le gros dard de Tarek enfoncé dans sa chatte et celui de Christophe dans ses mains.
Ce dernier a fait signe à son pote de se taire et de réduire la cadence pendant qu’elle me parlait.
Malgré cela, il a continué ses va-et-vient mais à un rythme plus cool, il en a aussi profité, sachant qu’elle ne pouvait pas se rebeller pour lui titiller l’anus et commencer à lui enfoncer un doigt dans le cul.
Je la sentais distraite et légèrement absente, alors avec un langage codé que nous avions élaboré, je lui ai posé les bonnes questions qui m’ont fait comprendre qu’elle était en train de baiser avec deux mecs.
Je ne me suis pas éternisé et sachant que j’aimerais certainement, elle a reposé le portable sans raccrocher et sans que ses deux amants s’en aperçoivent, ils étaient bien trop occupés pour cela.
Tarek a aussitôt recommencé son monologue en s’adressant à son copain:
« Quelle pute, elle se fait tringler pendant qu’elle cause à son mec au téléphone et l’autre cocu il ne s’en rend même pas compte, elle t’a même sucé pendant qu’il lui parlait.
On voit bien que t’aimes la bite toi salope, hein, tu les aimes nos queues. »
Nathalie jouant le jeu et me sachant à l’écoute s’est lâchée aussi :
« Oh oui putain elles sont bonnes vos queues, vas-y continue défonce-moi bien fort encore, j’ai envie de vous sentir éjaculer en moi, sentir votre sperme me remplir la chatte et la bouche, oh putainnnnnnnn ouiiiiiiiii c’est bonnnnnnnn ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh. »
Elle a joui encore deux fois avant que Christophe ne lui inonde la gorge et que Tarek se vide dans son ventre en vociférant encore plus d’obscénités.
Ils se sont levés pour aller se rafraîchir et avant de les rejoindre elle a raccroché son téléphone juste après m’avoir dit :
« J’espère que ça t’a plu, je t’aime. »
Ils ont remis ça une bonne partie de la nuit.
Elle s’est fait prendre cette fois-ci par tous les trous, pendant qu’elle était allongée sur Tarek, Christophe s’est installé sur elle pour s’enfoncer dans ses fesses.
Ils l’ont baisée ainsi un long moment et elle a joui plusieurs fois d’affilée avec les deux gourdins plantés, à la fois dans son ventre et dans son cul.
Ils se sont endormis vers quatre ou cinq heures du matin, ce qui n’a pas empêché Tarek de se réveiller une heure après et de se vider les couilles dans le ventre de ma femme avant de se rendormir.
Je devais arriver vers treize ou quatorze heures, alors sur les coups de onze heures, tout le monde s’est levé afin qu’elle soit seule que je la rejoindrais.
A midi, les deux compères étaient fin prêts.
« J’ai encore envie. » A dit Tarek.
Christophe n’était pas contre non plus, alors elle leur a dit :
« Bon ok je vous suce mais ne durez pas trois heures.
Elle s’est agenouillée devant eux, a sorti leurs queues qui ont très rapidement pris du volume, puis les a sucés pendant vingt bonnes minutes jusqu’à ce qu’ils remplissent sa bouche presque en même temps.
Quarante-cinq minutes plus tard, c’est moi qui étais dans sa bouche en même temps qu’elle me racontait le début de ses frasques.
A suivre, les vacances ne sont pas finies…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vraiment Nathalie est insatiable et ded qu’elle peut sucer ou se faire prendre elle fonce avec l’accord de son mari candauliste obligé. Daniel
Quelle femme cette Nathalie ! Elle aime le sexe sous toutes ses formes ..
Vivement la suite...
Lolo
Vivement la suite...
Lolo

