Camping dans les Landes partie 2 - histoire érotique

De retour au mobile-home, nous sommes allés à la douche.
Il devait être 18h30, Gilbert avait fait un détour par le village, avant que l'on revienne au camping, pour acheter de quoi faire un barbecue le soir.
Lui avait l'eau et l'électricité, et donc pouvait se doucher chez lui.
Nous allions nous préparer pour le rejoindre et étions tous les deux à poil dans notre mobile-home.
Mon sexe était encore de nouveau tout dur.
Nathalie m'a alors poussé doucement vers la chambre et sur le lit.
Elle s'est aussitôt installée entre mes cuisses en me disant :
" Tu as joui trop vite tout à l'heure, laisse-moi m'occuper mieux de toi. "
Qui aurait dit non ?

Ma bite coulissait entre ses lèvres et sa langue semblait la lécher de partout.
Elle l’aspirait, la léchait, la mordillait, avalait mes couilles, sa main me branlait en même temps, c’était trop bon.
Elle me suçait avec tellement de passion que j’avais du mal à me retenir, je luttais pour ne pas inonder sa bouche trop vite.
Sa langue était si agile, ses doigts me caressaient le bout du gland, de son autre main elle tenait et caressait mes bourses et sa langue virevoltait tout le long de ma hampe.
J’ai quand même réussi à tenir au moins vingt minutes avant de lui envoyer plusieurs giclées de sperme au fond de sa gorge.
Elle a tout avalé, semblant s’en délecter en me nettoyant bien la queue pour boire tout jusqu’à la dernière goutte.

Vers 19h30, nous sommes arrivés chez Gilbert.
" Oh putain " s'est-il exclamé en voyant Nathalie.
Elle avait mis la robe blanche qu'il lui avait achetée le matin au marché.
Elle était non seulement très courte, elle descendait à peine sous les fesses, mais en plus elle était très transparente.
On pouvait apercevoir le ticket de métro au-dessus de son pubis.
Quant au haut, c'était une pure provocation.
Complètement transparent, lui aussi, bouffant et ouvert largement jusqu'au nombril et de plus, très échancré sous les bras.
C'est-à-dire qu'on voyait ses seins aussi bien de devant que sur les côtés.
" Magnifique, tu es magnifique " lui dit-il.
Je n'osais regarder son short, mais je pense qu'il devait avoir un début d'érection.
Nous nous sommes assis pour boire l'apéro sur sa terrasse.
Bien évidemment, il a placé ma femme à côté de lui et moi en face d'eux.
Toujours aussi tactile en parlant, il aventurait ses mains un peu plus vers ses seins.
" Regarde comme elle est super cette robe, tu peux toucher les seins ici et là, c'est trop cool " dit-il en joignant le geste à la parole, surtout vu mon manque de réaction face à ses gestes.

Nous avions déjà bu deux whiskys et le temps se rafraîchissait.
" Je crois que je vais aller me chercher un gilet car je commence à avoir des frissons " nous a dit Nathalie.
Non, ne t'inquiète pas, on va manger à l'intérieur, tu auras moins froid, allez rentrons ", dit Gilbert.
" Tu peux préparer le barbecue " me dit-il. " On va mettre la table. "
J'ai pris le charbon de bois, l'alcool et les allumettes pour commencer à faire des braises.
Pendant ce temps, ma femme et lui étaient rentrés dans le mobile-home.

J'étais content, le barbecue faisait de belles flammes.
Je suis rentré pour aller récupérer la viande et je les ai vus.
Il était de dos à l'évier, Nathalie collée face à lui, il lui tripotait allègrement les fesses en promenant ses doigts dans son sillon inter-fessier et ils s'embrassaient goulument.
Un peu surpris, presque choqué, j'ai pris sur moi et suis allé chercher la viande dans le frigo, passant tout près d'eux sans qu'ils n'y prêtent attention.
Leurs bouches étaient soudées et je pouvais presque voir leurs langues entremêlées.
Avant de ressortir, je me suis resservi un whisky pour me donner du courage.
De la terrasse où j'étais, je les apercevais un peu.

Il y avait maintenant de belles braises dans le barbecue et j'allais pouvoir y déposer les grillades et les saucisses.
Je suis rentré pour prendre des épices.
Gilbert était dans la même position, mais Nathalie était descendue d'un étage.
A genoux devant lui, elle engloutissait sa belle verge, semblant lui prodiguer le même genre de fellation qu'elle m'avait faite avant de venir ce soir.
Elle semblait adorer ce qu'elle lui faisait, lui aussi d'ailleurs, à tel point qu'il me fit un signe du pouce en me voyant, comme si on était de vieux potes et que la nana qui le suçait n'était pas ma femme.
Ça m'excitait, mais me gênait aussi un peu, nous avions très peu fait ce genre de chose, soit elle était seule avec le mec, soit on faisait un trio, mais jamais comme ce soir.
Je suis retourné au barbecue, sans avoir pris d'épices, pour faire griller la viande.

Les grillades étaient presque cuites.
Je suis allé chercher une assiette pour les mettre dedans.
Gilbert était assis sur le canapé, ma femme, à genoux sur le canapé aussi et face à lui, se faisait téter les seins et caresser les fesses.
Il tenait sa queue entre ses mains et la frottait contre sa vulve.
J'ai pris l'assiette et suis retourné enlever la viande pour qu'elle ne brûle pas.
Tout était cuit.
Je suis rentré à l'intérieur avant qu'ils n'aillent trop loin.
Trop tard, Nathalie était complètement empalée sur lui et je le voyais la faire monter et descendre sur son gros gourdin.
Elle avait mis les bras autour de son cou et ils s'embrassaient de nouveau.
Malgré leurs bouches collées, je l'entendais pousser de grands soupirs de plaisir à chaque fois qu'il allait et venait en elle.
Très vite, elle a joui après avoir accéléré le mouvement.
Gilbert, qui semblait très excité, continuait à la baiser.
Je les regardais et commençais à ressentir de l'excitation.
Je voyais qu'il n'allait pas tarder à jouir et je pensais qu'il allait sortir pour jouir sur elle.
" Oh putain de petite salope, t'es trop bonne, tiens prends ça " dit-il.
Puis, dans un grognement de plaisir, s'est vidée en elle.
Plusieurs giclées de sperme brûlant ont explosé dans son ventre, ce qui l'a faite jouir aussi à nouveau.
Ils sont restés collés ainsi quelques dizaines de secondes, puis ma femme s'est désempalée de sa queue, du sperme s'est aussitôt écoulé de sa chatte, tombant sur le membre et les couilles de son partenaire.
Avant qu'elle n'aille plus loin, il l'a attrapé par le bras en lui disant :
" Nettoie-moi la bite petite salope"
Elle s'est exécutée pendant que lui me regardait droit dans les yeux d'un air vainqueur et avec un sourire narquois.
Une fois la queue bien propre, elle est allée à la salle de bain se nettoyer.
Elle est trop bonne ta gonzesse, une vraie chaudasse, je vais la baiser toute la nuit, tu l'entendras crier comme jamais, tu verras. " " Si tu veux, tu peux rester là à nous mater, moi ça ne me dérange pas "
Je ne savais pas quoi dire, je me sentais humilié mais excité aussi.
Quand elle est revenue, en passant, elle m'a fait un bisou sur la bouche, bisou au goût salé, puis est retournée s'asseoir à côté de Gilbert.
" Bon ce n'est pas le tout ça mais ça creuse. " " Tiens, donne-moi la bouteille de rosé qui est au frigo ", me dit-il.
Nous avons commencé à manger, j'avais moins d'appétit, alors que lui dévorait.

La bouteille de rosé finie, on en a pris une autre.

Une fois le repas terminé, alors qu'il sirotait tranquillement son verre de vin, il a pris la main de Nathalie pour la poser sur sa queue qui recommençait à prendre vigueur.
" Branle-moi " lui dit-il.
Très vite, sa queue a repris du volume et il l'a attrapée derrière la nuque pour qu'elle le suce.
Sans résistance, elle l'a englouti de nouveau.
Après quelques minutes, il a dit en se levant :
" Viens j'ai encore envie de te baiser, on va dans la chambre, on sera mieux "
Elle l'a suivi jusque sur le lit où il s'est allongé sur elle pour la pénétrer sans fioriture.
Elle l'a entouré de ses bras et de ses jambes pour mieux sentir sa queue au fond d'elle.
Il la pilonner copieusement en la faisant gémir.
Assez vite, un orgasme l'a submergé, criant très fort que sa grosse bite était bonne.
Elle est ensuite montée sur lui pour mieux s'empaler sur son chibre et mener la danse.
Je voyais bien son petit cul bouger en essayant de la prendre le plus loin possible.
Pendant qu'ils copulaient, j'avais pour seule compagne une bouteille de rosé à moitié vide et à qui j'ai décidé de faire sa fête.
Ma tête s'embrumait, j'entendais les cris de jouissance de ma femme de plus en plus loin et je me suis effondré sur la table sans même m'en apercevoir.

Gilbert a démonté Nathalie une grande partie de la nuit, il l'a baisée dans tous les sens.
Il n'y a que son cul qu'elle ne lui a pas donné, et pourtant il a essayé à plusieurs reprises.
Il a éjaculé plusieurs fois en elle et dans sa bouche.
Il l'a prise à quatre pattes en levrette sur le lit, debout dans la douche, sur la table alors que je dormais dessus, puis de nouveau en levrette sur le sol.
Il a ouvert une nouvelle bouteille de rosé pendant une pause et, comme il aimait bien se faire sucer en sirotant un verre, il l'a fait mettre à genoux pour qu'elle le prenne dans sa bouche alors qu'il était assis sur une chaise juste à côté de moi.
Il l'a ensuite fait s'asseoir sur lui pour la baiser sur la chaise.
Ils sont retournés dans la chambre où il l'a honoré une dernière fois avant de s'endormir.

C'est le jour qui m'a réveillé, j'avais un peu mal à la tête.
En regardant vers la chambre, j'ai vu Nathalie couchée sur le côté vers moi et qui dormait, pendant que lui était collé contre elle et dormait aussi.
J'imaginais qu'ils s'étaient endormis après avoir joui et qu'il était toujours enfoncé dans sa chatte.
Avant que ma queue ne frétille de trop, je suis retourné à notre mobile-home prendre de l'aspirine.

Je suis revenu chez Gilbert pour voir s'ils dormaient toujours et à peine la porte ouverte, des bruits de succion ainsi que la vue de ma femme à quatre pattes sur le lit en train de sucer la queue de son amant m'ont confirmé qu'ils étaient bel et bien réveillés.
C'est vrai qu'il avait une belle bite.
Elle engloutissait son pieu avec gourmandise, je voyais sa langue virevolter partout sur sa tige.
Elle avait l'air de se régaler à lui faire une pipe.
Je suis donc ressorti pour prendre la voiture et aller chercher des croissants au village voisin.

À mon retour, j'ai déposé la voiture devant chez nous et suis venu à pied les rejoindre.
Au fur et à mesure que j'avançais, j'entendais les cris de jouissance de Nathalie se faisant à nouveau baiser par Gilbert.
Heureusement qu'il n'y avait que nous dans le camping.

Je les ai entendus jouir très fort ensemble juste avant que je n'arrive et ne rentre.
Il était d'ailleurs toujours à quatre pattes derrière elle quand j'ai ouvert la porte.
Il est sorti d'elle, la queue dégoulinante.
Nathalie s'est tournée pour emboucher le chibre qui venait de lui donner du plaisir, afin de bien le nettoyer.
Ils se sont levés pour venir déjeuner, au passage elle m'a fait un gros bisou, qui, comme la veille, avait un goût salé.


Après, nous sommes partis à la douche, elle était complètement nue.
À peine rentré, je lui ai sauté dessus pour l'embrasser, tant pis si elle avait toujours un peu le goût du sperme de son amant de la nuit, j'étais trop excité.
Je l'ai collé contre le mur, face à moi, je lui ai pris une jambe pour la monter contre ma hanche et pouvoir la pénétrer facilement.
Ma queue, pourtant bien raide, est rentrée toute seule dans son sexe qui était englué du mélange de sperme et de cyprine.
Je l'ai pilonné très fort tellement j'étais excité.
Je voulais me retenir au maximum, mais au bout d'à peine cinq minutes nous avons joui ensemble.

Tu as aimé que je passe la nuit avec lui ? "
" J'étais excité mais un peu frustré et l'alcool m'a empêché de tout voir. "
" Oui je sais on t'entendait ronfler. " " En tout cas, il assure bien pour un vieux, j'ai pris mon pied je ne sais plus combien de fois. "
" Je suis content si tu as pris beaucoup de plaisir et si tu veux encore baiser avec lui ça ne me dérange pas, au contraire. "
" Il m'a dit que la semaine il se levait de bonne heure, mais qu'il aimerait bien me sauter au moins une fois par jour quand même. " " Je lui ai dit que s'il était là quand je revenais de la douche le soir, je viendrais le voir pour prendre sa queue. "
" J'irais vous épier en douce. "

A midi, nous avons de nouveau déjeuné avec lui à son mobile-home et nous avons bu beaucoup plus modérément.
Il faisait chaud et nous étions peu vêtus, slip de bain pour les hommes et string de bain pour Nathalie, sans rien d'autre.
A la fin du repas, elle s'est proposée de nous faire un café.
La voir tortiller son petit cul dans son string nous a donné à tous les deux une belle érection difficile à cacher.
" Je vois que vous êtes en forme " Nous dit-elle en ajoutant :
" Levez-vous, j'ai envie de vous sucer en même temps "
Une fois debout, elle s'est agenouillée devant nous, a baissé nos slips et a pris ma queue dans sa bouche en masturbant celle de Gilbert.
Sa langue courait de mes couilles à mon gland en léchant bien ma hampe au passage, sa main me branlait en même temps.
Ensuite, elle s'est attaquée à celle de Gilbert, lui prodiguant un sort similaire au mien.
Elle passait alternativement d'une bite à l'autre.
Sa langue et sa bouche étaient délicieuses.
Elle semblait prendre beaucoup de plaisir à nous sucer.

J'ai craqué le premier, prenant sa tête à deux mains pour me vider dans sa bouche.
Elle a tout avalé et après avoir bien nettoyé mon sexe, elle s'est tournée vers son amant pour le faire jouir lui aussi.
Assez rapidement, ses mains se sont posées derrière sa nuque pendant qu'il se déversait dans sa gorge.
Il semblait avoir de grosses éjaculations car ma femme avait du mal à tout avaler.
Je voyais du sperme couler à la commissure de ses lèvres.
Lui aussi a eu droit à un nettoyage en règle de sa queue, qu'elle a bien pressée pour en extraire les dernières gouttes.

Un peu plus tard dans l'après-midi, nous l'avons quitté et sommes allés nous balader en amoureux.

À partir du lundi, nous avons presque repris notre routine de vacances d'avant le week-end.

Nathalie se promenait souvent à poil dans le camping, ou juste avec un string et parfois simplement une serviette autour du cou.
Comme prévu, en rentrant de la douche, elle s'arrêtait chez Gilbert pour lui sucer la queue ou se faire prendre sur la table de camping ou sur son lit.

Le jeudi en fin d'après-midi, alors qu'ils étaient sur le canapé, elle, face à lui et empalée sur son gourdin qui allait et venait en elle copieusement, et alors qu'elle était sur le point d'avoir un orgasme, un sifflement les a fait sursauter.
" Eh bien mon salaud, tu t'amuses bien, c'est elle la petite jeunette dont tu nous parles, ça a l'air d'être un beau petit lot la gamine " dit l'un des deux hommes qui étaient entrés dans le mobile-home.
" Putain les mecs, je ne vous attendais pas si tôt " s'exclama Gilbert.
" Nathalie, je te présente Pierre et Claude, deux de mes collègues " a-t-il continué, alors qu'il était toujours emboîté en elle.
Elle était très gênée de se retrouver dans cette posture, face ou plutôt dos, à ces deux inconnus.
Voyant son embarras, il lui a dit :
" T'inquiète, ce sont des potes et je leur ai tellement parlé de toi, qu'avant de te voir ainsi à poil, ils savaient tout de toi "
Puis, se retirant d'elle, il l'a faite se lever et tourner vers eux.
" Vous avez vu comme elle est bonne, la petite" leur dit-il, exhibant son trophée.
Ils avaient environ le même âge que Gilbert, Pierre était un grand sec chauve et Claude un petit bedonnant aux cheveux gris.
Nathalie voulait repartir très vite afin de ne plus se sentir bouffée des yeux par les deux compères, mais Gilbert l'a retenue par le bras.
Attends ", dit-il, " Tu ne vas pas laisser mes copains comme ça, en plus tu n'as pas eu le temps de jouir, je vais continuer de te baiser pendant que tu vas les sucer."
Pendant qu'il lui disait ça, il l'avait collée contre lui pour qu'elle sente bien sa bite toute dure contre ses fesses et lui avait enfoncé deux doigts dans la vulve en la masturbant.
" On peut la baiser aussi nous ? " A demandé l'un d'eux.
" Non je vous l'ai dit juste une pipe, il n'y a que moi qui la baise. "
Il n'y avait pas de doute, les trois avaient prévu ce petit scénario avant de venir.
Elle se dit que finalement c'était une expérience de plus et qu'elle espérait bien que j'allais mater en douce.

Pierre et Claude se sont assis sur le canapé après avoir ôté leurs pantalons, ma femme s'est agenouillée face à eux pour prendre leurs queues, déjà presque complètement en érection, dans sa bouche et Gilbert s'est installé à genoux derrière elle pour la fourrer à nouveau.
La gamine, comme il disait, semblait exciter énormément les deux nouveaux.
Après tout, celle qui leur suçait la bite était vingt-cinq ou trente ans plus jeune qu'eux.
Se faire faire une pipe par une môme de vingt ans ne devait pas leur arriver tous les jours.
Gilbert était lui aussi tout aussi excité, il grognait de plaisir en pilonnant ma femme.
Le membre de Pierre était long et fin, celui de Claude était gros et long, presque autant que celui de Gilbert.
Elle s'appliquait à bien titiller leurs queues chacun leur tour, puis les avalant presque complètement en jouant avec la langue sur la hampe, elle aspirait le gland en passant la langue tout autour et les branlait en même temps.
Alors qu'elle criait à nouveau sa jouissance sous les coups de boutoir de son amant, les deux autres ont éjaculé presque simultanément dans la bouche et sur le visage de Nathalie, elle était couverte de sperme.
Gilbert a très vite suivi, en giclant dans son ventre abondamment et en criant :
Oh putain, t'es vraiment trop bonne ma petite salope "

Elle s'est retournée pour nettoyer le chibre de son amant, puis s'est levée dégoulinante de sperme, pour revenir à notre mobile-home.
Je l'ai vite rejointe, car je m'étais caché non loin de là pour mater, sachant qu'elle allait se faire démonter par Gilbert, mais je n'avais pas imaginé que deux autres mecs allaient se finir dans sa bouche.
D'où j'étais, je n'avais pas pu tout voir, mais le fait de les entendre m'avait fait imaginer la scène.
Deux jours plus tard, nous sommes repartis chez nous en région parisienne.
Je pense qu'ils se sont souvenus longtemps de la gamine de vingt ans qui n'avait pas froid aux yeux et qui avait donné du plaisir à ces trois vieux de quarante-cinq, cinquante ans.