Le camping-car

- Par l'auteur HDS Cplcandaudu60 -
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Récit libertin : Le camping-car Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le camping-car
Nathalie avait un peu plus de vingt ans, moi plus de vingt-trois, nous étions donc tout jeunes et insouciants.
Nous devions aller dans la famille en Bretagne du côté de Quimper, pour une petite semaine.
Mais ça c’était sans compter sur notre vieille guimbarde, une AX, qui a rendu l’âme deux jours avant notre départ.
Nathalie était en pleurs car ses vacances étaient foutues et moi fort contrarié de voir ma belle autant chagrinée.
Pas assez d’argent pour prendre des billets de train à la dernière minute, bref, c’était la galère.
Avec toute la désinvolture qui nous caractérisait, nous avons décidé d’y aller en stop.

Sortir de Paris avait été le plus compliqué, ensuite une charmante dame nous a transportés jusqu’à Dreux et environ une heure plus tard un camping-car s’est arrêté pour nous prendre.
La soixantaine, très joviale, bien conservé, svelte, taille moyenne, les cheveux tout blanc, il s’appelait Robert.
« Vous allez où les p’tits jeunes ? »
« Quimper. »
« Ah oui quand même, vous avez encore pas mal de chemin à parcourir. »
« Oui, on va voir ma famille et notre vieille voiture est tombée en panne avant-hier. »
« Allez, montez, en plus vous avez de la chance je vais à Pont-l’Abbé, ce n’est pas loin, je peux faire un détour pour vous déposer là-bas. »
« Oh super, c’est très gentil à vous, merci. »
« Cependant je vous préviens, on n’y sera pas aujourd’hui, je suis à la retraite et je prends mon temps, ce soir je vais m’arrêter dormir après Rennes et n’arriverai que demain dans la journée à Quimper. »
« Pas de souci pour nous, mais le problème c’est qu’on n’a pas de sous pour dormir à l’hôtel ce soir. »
Alors, il a éclaté de rire en nous disant :
« Vous savez ce que c’est mon véhicule ? Un camping-car et dedans on peut aller aux toilettes, se doucher et dormir, il y a une couchette au fond et une au-dessus du poste de pilotage. Donc on aura largement la place pour y dormir tous les trois. »
Nous avons donc pris la route avec notre nouveau pilote qui était accompagné de son chien, un caniche beige.
Nathalie était assise devant et moi sur la banquette de la kitchenette juste derrière elle.
Elle portait une mini-jupe orange et un corsage dans les mêmes tons.

Le camping-car de marque Hymer il me semble, mais n’en suis pas vraiment sûr car ce n’était pas le genre de véhicule auquel je m’intéressais, était assez grand, je pense environ six ou sept mètres, il y avait deux sièges pivotant devant, ensuite une petite table avec deux banquettes, puis une petite cuisine avec évier, frigo et four, ensuite une petite salle de bain avec douche, lavabo et WC et au fond, une partie qu’il avait faite modifiée, un grand lit qui prenait toute la largeur et avec un petit escabeau pour y accéder.
Chaque pièce était séparée par des rideaux.

Il parlait beaucoup et nous a raconté un peu sa vie, ses enfants, ses petits-enfants, son divorce il y a peu de temps, sa vie sans sexe depuis cette séparation, bref, il vivait maintenant seul et voyageait beaucoup.
Il était naturiste et allait vers Pont-l’Abbé car, pas très loin, il y a la pointe de la Torche où se trouve une grande plage sur laquelle on peut se mettre tout nu.
« Vous avez déjà essayé le naturisme ? »
« Oui, un peu il n’y a pas très longtemps et ça nous a plu. » A répondu Nathalie.
Puis il a repris :
« Moi j’aime vivre à poil, d’ailleurs j’espère que ça ne va pas vous choquer, mais le soir quand je me pose, je me mets à poil jusqu’au lendemain quand je repars. Si vous voulez, vous pourrez faire pareil. »
« Heuuuu, oui enfin je ne sais pas. » Lui a-t-elle répondu un peu embarrassée.

Le midi, nous nous sommes arrêtés vers Alençon dans un petit restaurant qu’il connaissait.
« Ne vous inquiétez pas, je vous invite. Au fait après déjeuner, j’ai l’habitude de faire une petite sieste d’une heure. Vous pouvez en faire autant ou sinon, aller promener le chien. Il y a un petit coin de balade avec des sentiers, juste de l’autre côté de la route, ça vous va ? Allez, à table, moi j’ai faim. »

Pendant notre promenade, Nathalie et moi avons pu débriefer :
« Il est direct lui, un peu autoritaire, mais très sympa et surtout très cool. »
Je lui ai répondu :
« Oui c’est vrai, ça me gêne un peu le coup du naturiste, mais bon… enfin… je ne sais pas. Tu en penses quoi toi ? »
« Ça ne me dérangerait pas. »
« En tout cas il n’a pas arrêté de mater tes cuisses pendant le voyage. »
« Ça te gêne ? »
« Non, bien au contraire, tu le sais bien que j’aime quand les autres hommes te regardent. Heuuu… tu pourrais lui en montrer un peu plus, peut-être. »
« Salaud, tu veux que je retire mon string ? »
« Pourquoi pas, ça me plairait que tu le fasses bander. »
« Il va avoir envie de me sauter, surtout s’il n’a pas baisé depuis son divorce. »
« En tout cas, ce soir, quand on fera l’amour, j’aimerais que tu laisses échapper des soupirs qu’il pourra entendre quand tu prendras ton pied. »
« Tu aimerais que l’on fasse l’amour devant lui, comme on a déjà fait une fois sur une plage naturiste. »
« Arrête, je bande, c’est malin, pffff. »
« Hé, c’est toi qui as commencé avec tes idées de pervers. »

Quand nous sommes revenus, il venait de se faire un café avant de reprendre le volant.
Nous avons tous repris nos places respectives et bien sûr, Nathalie avait perdu son string avant de revenir de notre balade.

Dès qu’il pouvait il matait ses cuisses et son entre-cuisses qui comme par hasard, apparaissait fortuitement régulièrement.
Vers dix-huit heures, nous nous sommes arrêtés dans un camping, vers Redon il me semble.
Il connaissait bien l’endroit car il y dormait à chaque fois qu’il faisait ce voyage.
Après avoir calé le véhicule, il m’a donné un billet de cent francs et m’a dit :
« Tiens gamin, va nous chercher à manger pour ce soir au village, ne va pas à la supérette du camping c’est infâme. Prends-nous des steaks, de la charcuterie, du pain, des gâteaux aussi si tu veux. »
Le village était au moins à un kilomètre ou deux mais il était très compliqué de se garer avec le camping-car.
J’y suis donc allé avec un sac qu’il m’avait donné pour mettre les courses dedans.

« Je vais prendre ma douche, tu pourras y aller après. »
En attendant, Nathalie est allée promener le chien.

Quand elle est revenue, dix minutes plus tard, Robert était installé à poil sur la banquette de la cuisine, en train de lire le journal.
Elle est partie se doucher directement, ensuite elle est ressortie une grande serviette autour d’elle pour prendre des affaires dans notre sac à dos.
« Tu peux faire comme moi si ça te chante. Moi ça ne me dérange pas. »
Puis, après une pause, il a ajouté :
« D’autant plus que cet après-midi, tu m’as laissé apercevoir de jolies choses. »
Et il a continué :
« Apercevoir c’était bien, mais voir c’est mieux. Approche. »
Et là, sans hésiter, il lui a ôté la serviette.
Elle s’est retrouvée nue devant lui, un peu gênée, mais après tout, elle l’avait bien cherché.
Il lui a pris la main pour la faire avancer un peu plus vers lui.
Elle pouvait maintenant voir ce qu’il avait entre les jambes, un beau sexe, pas encore en érection mais d’une belle taille, ses bourses semblaient pendre un peu mais ça restait raisonnable.
Lui pendant ce temps, a posé les mains sur ses fesses pour les caresser, puis, est remonté jusqu’à sa poitrine.
« Tu as la peau très douce et tu as des seins magnifiques, j’adore les gros seins. »
Il l’a faite asseoir sur ses genoux tout en continuant à la tripoter de partout.
Sa main est doucement descendue vers son pubis, orné d’un petit ticket de métro.
Il s’est attardé sur ses lèvres intimes avant d’entamer un doigtage progressif.
Elle a écarté légèrement les jambes, pour lui permettre de continuer sa progression dans son intimité.
Son sexe s’humidifiait sous les caresses de Robert, lui permettant d’enfoncer ses doigts un peu plus en elle.
En même temps, il lui faisait des bisous dans le cou et sur les joues.
La sentant suffisamment humide, il a commencé à la masturber, d’abord doucement, puis de plus en plus vite en voyant qu’elle semblait apprécier la caresse.
Elle gémissait timidement jusqu’à ce qu’elle se donne complètement en écartant les cuisses au maximum.
Au bout d’une dizaine de minutes, elle a joui, engluant les doigts qui lui avaient donné ce plaisir.
Il les a ensuite portés à sa bouche, en lui disant :
« Hummm, tu as très bon goût. »

Remise de ses émotions, elle a senti dans son dos et contre ses fesses un membre bien rigide.
Elle s’est dit qu’elle n’avait juste qu’à se soulever un peu et reculer pour pouvoir le prendre en elle.
Elle hésitait.
Juste avant qu’elle ne se décide, il a pris sa main pour la poser sur sa queue toute raide en lui disant :
« Tu peux toi aussi me soulager avec ta main. »
Alors elle s’est accroupie face à lui, puis a commencé à le masturber.
Sa queue n’était pas aussi dure qu’un jeune de vingt ans mais elle se tenait bien droite et avait une bonne rigidité.
Tout doucement, au fur et à mesure qu’elle le branlait, elle approchait son visage, elle avait envie de le prendre en bouche, alors d’un coup, elle l’a englouti tout en continuant de le masturber.
Sa langue semblait faire des miracles sur son gland, Robert était aux anges, sa queue semblait avoir encore plus de raideur et de volume.
Elle léchait bien sa hampe, puis remontait, s’attaquait ensuite à son méat et redescendait vers les bourses qu’elle gobait avant de retourner enrouler sa langue sur son gland turgescent.
Une dizaine de minutes lui ont aussi suffi pour éjaculer.
Il lui a pris la tête entre les mains pour la tenir pendant qu’il se vidait dans sa bouche.
Une grosse quantité de sperme épais et gluant qu’elle a avalé.
« Tu es divine, ta bouche est exquise, ta langue merveilleuse, je n’avais pas pris autant de plaisir depuis très longtemps, merci ma belle. »
« J’ai bien aimé aussi, même si j’ai été un peu surprise quand vous avez éjaculé dans ma bouche. »
« Désolé, sous le plaisir, je n’ai pas pu me retenir. Cependant après ça tu peux me tutoyer. »
« D’accord, je vais essayer. »
« Heuuu, et ton copain…, tu vas lui dire ? »
« Bien sûr, on se dit toujours tout, mais ne vous… heuu pardon, ne t’inquiète pas, on est libertin et il n’est pas jaloux. »
« Vous devez faire l’amour souvent alors. »
« Oui, au moins une fois par jour, mais parfois beaucoup plus. »
« J’ai un fantasme. »
« Lequel ? »
« Celui de voir un couple faire l’amour sous mes yeux. »
« Pourquoi pas, il faut que j’en parle à mon homme pour voir s’il est ok. »
« Oui, par exemple, ce soir on pourrait dormir tous les trois dans mon lit et pendant que vous ferez l’amour, je vous regarderai. »

Quand je suis revenu, ils étaient tous les deux assis, à poil.
J’ai regardé Nathalie avec un air interrogatif et j’ai compris à son regard qu’elle m’expliquerait plus tard.
Je suis donc allé prendre ma douche, elle est venue me rejoindre et en chuchotant, elle m’a tout raconté.
« Putain j’ai encore la gaule avec tes conneries. »
Elle a souri, m’a fait un bisou baveux, puis est ressortie pour aider Robert à préparer le repas.

En sortant de la douche, je me suis mis dans la même tenue qu’eux.
Nous avons pris un apéro puis mangé tout en discutant de plein de choses, dont ce que nous allions faire après.

Nous sommes allés au lit vers vingt-deux heures environ.
Robert s’est allongé du côté droit côté du lit, Nathalie légèrement vers le milieu et moi je suis allé directement sur elle pour l’embrasser.
Nos langues se sont mélangées pendant un long moment, puis j’ai embrassé ses joues, son cou, titillé ses lobes d’oreille avant de descendre doucement jusqu’à sa poitrine.
Je léchais ses seins et ses mamelons, les caressais à pleines mains, puis je remontais l’embrasser et retournais m’occuper de ses deux énormes globes de chair.
J’ai continué ma descente, son ventre, son nombril, ses hanches pour arriver à son pubis.
Ses jambes se sont écartées afin que je puisse coller ma tête face à son mont Vénus et commencer à jouer avec ma langue.
J’ai d’abord léché le tour de ses lèvres, sa toison juste au-dessus, puis ma langue s’est insinuée dans son intimité, tout doucement, allant chercher le clito pour le titiller avec mes dents.
Ma bouche était collée à son sexe et je la dévorais pleinement en essayant d’aller le plus loin possible.
Je sentais son plaisir qui montait et dégustais avec passion ses secrétions intime.
Je la léchais profondément, l’aspirais, la mordillais même parfois jusqu’à ce qu’elle s’abandonne enfin dans ma bouche.
Je savais que souvent après la première jouissance, il ne fallait pas grand-chose pour lui en procurer une deuxième.
Alors j’ai continué à la bouffer passionnément et quelques minutes plus tard elle prenait une nouvelle fois son pied.

Je suis remonté vers sa bouche pour y enfoncer ma queue qui était bien raide, j’ai pu voir en me relevant que celle de Robert l’était aussi.
Nathalie l’a avalé avec gourmandise et m’a sucé quelques minutes avant que je ne redescende la pénétrer.
Les jambes repliées contre mes hanches, elle gémissait à chaque coup de rein que je lui assénais, ses bras me serraient contre elle et sa bouche était collée à la mienne.
Je l’ai pilonné ainsi jusqu’à l’orgasme.
N’ayant pas encore joui, je l’ai tournée sur le côté, face à Robert et me suis collé derrière elle pour la pénétrer.
J’ai relevé très haut sa jambe, il pouvait ainsi bien voir ma bite aller et venir dans la chatte de Nathalie.
Parfois je sortais complètement pour frotter mon gland contre ses lèvres intimes et rentrais très vite pour continuer à la défoncer.
Une nouvelle fois, elle a eu un orgasme, pendant qu’avec sa main elle caressait le sexe tout gonflé de Robert.

Je l’ai ensuite prise en levrette, je savais que dans cette position j’allais rendre les armes, la vue de son cul m’excitait toujours énormément et je ne tenais jamais très longtemps ainsi.
Je la serais bien fort par les hanches et la pistonnais à un rythme soutenu.
Elle aussi jouissait très vite dans cette position.
Elle a pris deux nouvelles fois son pied avant qu’à mon tour je n’éjacule au fond de son ventre.
Elle s’est ensuite retournée pour nettoyer ma queue en aspirant les dernières goutes de sperme qui sortaient de mon gland.

Je me suis allongé et elle est allée se nettoyer un peu.
A son retour, elle m’a regardé, puis s’est tournée vers Robert avec sa queue bien raide et luisante de secrétions, et m’a lancé un clin d’œil avant de ramper vers l’entre-cuisses de notre hôte.
Elle a attrapé sa bite pour la lécher et laper les petites gouttes qui perlaient sur son gland.
J’ai cru qu’il allait exploser tellement il semblait excité.
Elle l’a avalé complètement avant de remonter vers lui, de l’enjamber et de s’empaler sur son sexe.
C’est elle qui bougeait sur lui et qui donnait le rythme, elle voulait le faire durer et savait s’arrêter ou redescendre le rythme quand il fallait.
Il lui pelotait les seins pendant qu’elle continuait à s’embrocher sur lui en gémissant et lui disant que sa queue était bonne.
Malgré tous ces efforts, il n’a pas tenu très longtemps et s’est vidé dans sa chatte en poussant un long grognement de plaisir.

Nous nous sommes endormis peu de temps après.

Quand je me suis réveillé, j’étais sur le côté et Nathalie avait les fesses collées à mon sexe et bougeait anormalement.
Je ne sais pas si c’est le frottement de son cul contre ma queue qui a fait ça ou si c’était l’érection normale et matinale de chaque homme, mais je bandais comme un taureau.
J’ai ouvert les yeux et j’ai vu qu’elle était légèrement en travers du lit, le haut de son corps à côté de Robert et qu’elle lui administrait une superbe fellation.
J’ai aussitôt dirigé mon sexe vers l’antre qui se trouvait à sa hauteur et ai entendu un doux gémissement de plaisir une fois bien calé à l’intérieur.
Par deux fois elle a joui avant que Robert ne lui inonde la gorge et que moi je me vide à nouveau en elle.

Nous sommes arrivés en fin d’après-midi à Quimper et juste avant nous nous sommes arrêtés sur une petite aire de repos déserte.
Robert voulait goûter une dernière fois la petite chatte de Nathalie avant de nous déposer.
Elle s’est déshabillée puis s’est allongée sur le lit, il est venu entre ses cuisses et lui a dévoré la chatte pendant un long moment.
Comme moi la veille, il l’a faite jouir deux fois de suite.
Il s’est relevé avec une grosse bosse dans le pantalon, elle s’est assise sur le bord du lit pour lui enlever le bas et le prendre dans sa bouche.
Moi aussi j’avais la trique, alors je me suis approché pour qu’elle me suce aussi.
Elle a ainsi pris nos deux queues qu’elle a martyrisées jusqu’à ce qu’elles crachent l’une après l’autre dans sa bouche.

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