Une soirée resto ciné partie 1
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Une soirée resto ciné partie 1
Lorsque nous sortons le soir, voire dans la journée, que ce soit au restaurant, sur une terrasse de bar ou même dans les magasins, il n’est pas rare que Nathalie ne mette pas de sous-vêtements.
Ce soir-là, nous avions prévu une soirée ciné-resto.
C’était un vendredi et il n’y avait que moi qui devait me lever le lendemain (mais pas trop tôt) pour aller aider un copain à faire quelques petits travaux.
Le restaurant que nous avions choisi était, en voiture, à une dizaine de minutes de la maison et tout proche du cinéma.
Arrivés trop tard pour la séance de vingt heures, nous avons pris des places pour celle de vingt-trois heures puis sommes rentrés dans le restaurant.
Un serveur d’une vingtaine d’années, mignon, assez timide mais bien bâti, est venu nous accueillir et nous placer à une table.
Cette table donnait, suivant où l’on s’assaillait, face à un mur et sur l’autre place face à la salle.
J’ai donc laissé ma femme prendre la place qui faisait face à la salle.
Elle était vêtue d’une veste beige ample et légère et qui descendait à mi-cuisse, qu’elle a enlevée avant de s’asseoir, d’une mini-jupe très courte ainsi que d’un chemisier tellement tendu qu’il ne laissait aucun doute sur le fait que sa forte poitrine était libre dessous.
Sous sa jupe, il n’y avait pas de string non plus, mais là, il était plus difficile de le remarquer.
Le jeune serveur semblait hypnotisé par les seins de ma femme, tout en essayant de ne pas le montrer.
Une fois assis, il s’est empressé de nous apporter la carte pour que nous puissions choisir.
Lorsqu’il est venu prendre la commande, un autre bouton du corsage de Nathalie avait cédé comme par enchantement, permettant la vue de presque l’intégralité d’un sein à notre serveur.
Notre petit jeu dans ces cas-là était de permettre aux hommes qui se trouvaient dans l’axe de vue de notre table, d’avoir une vision sur l’entre-cuisse de ma femme.
Malheureusement aucune de ces tables n’était encore occupée.
Seul notre serveur pouvait en profiter quand il se dirigeait vers nous, ce qu’il a fait à maintes reprises pendant la soirée.
Quand nous avons commencé l’entrée, j’ai vu le regard de Nathalie s’illuminer, elle avait enfin un spectateur pour ses jeux de jambes.
Un homme d’une bonne quarantaine d’années, grand, brun, assez athlétique, les cheveux courts, avec beaucoup de charisme, est venu s’installer sur une table à quelques mètres derrière moi et suffisamment décalé sur le côté pour voir les cuisses de ma femme.
Discrètement, Nathalie m’a dit qu’il n’était pas mal et qu’elle allait lui offrir tout au long du repas un beau spectacle.
Il a accroché tout de suite à son petit jeu en lui faisant de grands sourires.
Pendant une bonne partie du repas, elle ouvrait puis refermait ses cuisses, pas trop, mais suffisamment pour qu’il devine.
A un moment je suis allé aux toilettes, ce qui m’a permis enfin de voir en passant à qui ma femme montrait ses atouts.
Pour y accéder, il fallait descendre un escalier qui donnait sur une porte où il y avait deux lavabos en face desquels se trouvaient deux autres portes pour les toilettes hommes et femmes.
Pendant mon absence, Nathalie s’est légèrement décalée sur la gauche et a, petit à petit, ouvert largement ses cuisses en regardant droit dans les yeux ce beau brun.
Quand je suis revenu, elle venait juste de reprendre une position plus décente.
Le restaurant n’était pas très rempli et le seul qui pouvait voir les cuisses de ma femme, c’était lui.
« Je te parie que si je vais aux toilettes, il va me suivre » me dit-elle discrètement.
« Chiche, et s’il t’entreprend, propose-lui de venir au cinéma avec nous, on pourrait s’amuser un peu. »
Nathalie, à peine dans l’escalier, j’ai entendu une chaise bouger derrière moi, j’ai attendu quelques secondes avant de me retourner.
Bingo, il n’était plus là.
Ils sont arrivés presque ensemble dans la pièce des lavabos, un rapide coup d’œil pour voir qu’ils étaient seuls et il s’est rapidement et directement approché de ma femme pour la prendre par la taille et enfoncer sa langue dans sa bouche.
Elle n’a aucunement résisté, bien au contraire.
Il a très vite passé ses mains partout sur le corps de Nathalie, les fesses, les seins, le sexe, tout en continuant à investir sa bouche avec sa langue.
Soudain, des bruits de pas dans l’escalier.
Ils se sont détachés l’un de l’autre à regret.
Ils ont juste eu le temps de parler un peu avant que la personne qui descendait les escaliers n’arrive.
« Ça te dit de venir au cinéma à côté après ? »
« Oui, pourquoi pas… et ton mari ? C’est ton mari, je suppose, tu en fais quoi ? »
« Oui c’est mon mari, mais t’inquiète, il est voyeur et préteur »
« Whaouuu cool »
La porte s’est ouverte, une dame d’un certain âge est entrée et ma femme est sortie pour revenir à table.
« J’adore sa façon d’embrasser » me dit-elle une fois assise en face de moi.
« Et ? »
« Eh bien je crois que je vais jouer à touche pipi dans la salle de ciné, je lui ai dit que tu étais préteur et voyeur, je pense que ça lui plaît bien ».
A chaque fois que le serveur venait à notre table, Nathalie n’avait cessé de l’allumer.
Alors que je suis allé payer à la caisse, il est venu débarrasser notre table et ma femme, qui était toujours assise, en a profité pour lui offrir une dernière vision, mais cette fois-ci de son sexe lorsqu’elle s’est levée en écartant bien les cuisses.
Voyant qu’il bavait littéralement devant elle, elle lui glissa discrètement d’une voix sensuelle :
« A bientôt… »
Nous attendions devant le cinéma avant que les portes s’ouvrent pour la dernière séance, et le grand brun est venu nous rejoindre en se positionnant derrière nous dans la file d’attente.
Une dizaine de personnes attendaient comme nous.
Quand nous avons pu enfin rentrer dans la salle, j’ai pris la main de ma femme pour l’emmener à gauche et vers le haut de la salle.
Elle a fait signe à l’homme de nous suivre et nous nous sommes installés dans une rangée de quatre sièges bien à l’écart des autres cinéphiles. Je me suis assis dans le fauteuil près du mur, ma femme à côté de moi et le grand brun à sa droite.
Les pubs, puis les extraits de films, puis de nouveau les pubs et enfin les lumières s’éteignent et le film commence.
La main de son voisin de gauche s’est tout de suite faufilée sur les cuisses de ma femme, remontant doucement mais sûrement vers son sexe.
Elle s’est alors calée dans son fauteuil pour ouvrir largement ses cuisses et lui permettre un accès total à sa vulve déjà très humide d’excitation.
Il l’a caressée un long moment, passant ses doigts sur ses lèvres et son clito, puis s’insinuant à l’intérieur.
Sa position n’étant pas la meilleure, il s’est légèrement tourné vers elle pour pouvoir la fouiller de sa main droite.
Là, ses doigts pouvaient mieux investir le sexe de ma femme qui était maintenant trempé.
Il la s’enfonçait dans sa chatte sans aucune retenue.
La sentant très excitée, il a rentré trois doigts pour la branler vigoureusement et lui procurer un orgasme au bout de quelques minutes.
Alors qu’elle haletait de plaisir, elle m’a attrapé la main pour la serrer très fort et lui est venue remettre sa langue dans sa bouche pour qu’elle ne fasse pas trop de bruit.
Une fois la jouissance de ma femme terminée, il a sorti les doigts de sa chatte pour lui faire lécher.
Elle les a aspirés avec délectation, puis s’est installée correctement sur son fauteuil.
À son tour, elle voulait lui donner du plaisir.
Elle a posé sa main sur l’entrejambe de son voisin qui était tout gonflé sous son Jeans.
Détachant son pantalon, elle l’a libéré pour mieux le prendre en main et le caresser.
Son sexe était de très belle taille, la main de Nathalie faisait à peine le tour.
Elle a commencé à le branler doucement, puis s’est tournée vers lui en se penchant pour aller l’engloutir entre ses lèvres.
Sa langue lui titillait le gland, puis s’enroulait autour pour le faire disparaître dans sa bouche.
À cause de l’obscurité de la salle et de la position de ma femme qui me tournait le dos, je ne voyais presque rien, j’entendais juste les bruits de succion de sa bouche sur la bite de son voisin.
Il a alors fait bouger ma femme jusqu’entre ses cuisses en passant sa jambe par-dessus l’accoudoir.
Nathalie était désormais à genoux devant lui et pouvait reprendre sa fellation de plus belle.
Je pense que lui aussi voulait que je puisse voir ma femme lui sucer la bite avec avidité, car elle avait l’air de beaucoup apprécier.
Il la guidait de ses mains pour bien pénétrer sa bouche puis lui retenait la tête en lui disant à voix basse :
« Lèche-moi » « Montre à ton mari comme tu aimes me sucer la bite »
Il était très vite rentré dans notre jeu du mari candauliste et voyeur.
Puis il reprenait sa tête pour l’enfoncer loin sur sa queue et ressortait pour frotter son gros dard bien raide sur le visage de ma femme, comme s’il voulait l’imprégner de l’odeur de sa bite.
Elle semblait complètement soumise à lui et lui la dominait de plus en plus.
Il me regardait avec un sourire narquois, d’une façon qui voulait dire « Tu vois ta salope, elle est à moi ce soir »
Elle l’a sucé une bonne demi-heure comme ça.
A chaque fois qu’il se sentait sur le point de jouir, il l’attrapait par les cheveux pour sortir son sexe de sa bouche et reprendre ses esprits.
Elle continuait néanmoins à le titiller du bout de la langue.
Enfin, d’un coup, alors qu’il avait réinvesti sa bouche, il lui a bloqué la tête d’une main et lui a envoyé quatre grosses giclées de sperme au fond de la gorge.
Elle n’a pas pu tout avaler, une partie coulait aux commissures de ses lèvres et elle en avait gardé une autre sur la langue.
Elle s’est alors remise sur son fauteuil en lui montrant bien qu’elle avait encore une partie de son jus sur les lèvres et dans sa bouche, puis s’est tournée vers moi pour me rouler une grosse pelle pleine de sperme de son voisin.
J’étais terriblement excité de voir ma femme sucer avec gourmandise cet inconnu, mais lorsqu’il a éjaculé dans sa bouche et qu’elle est venue m’embrasser après, j’ai failli arroser mon caleçon de mon foutre.
Nous nous sommes embrassés jusqu’à ce qu’il ne reste plus une seule goutte de sperme dans sa bouche et sur son visage, ma langue passait partout sur ses lèvres pour en récupérer le moindre reste.
Alors qu’elle allait me prodiguer le même sort qu’à lui, il l’a attirée en lui prenant la main pour qu’elle le caresse à nouveau, tout en me regardant droit dans les yeux d’un air qui ne laissait aucun doute sur le fait qu’il voulait nous dominer tous les deux.
Son sexe était toujours sorti de son pantalon et ma femme s’est laissée aller au caprice du grand brun.
Lui avait aussi posé sa main sur les cuisses de Nathalie pour la caresser et en retirer la main que je venais de poser sur sa chatte.
Frustré mais excité aussi de la tournure des choses, je me suis avachi dans mon fauteuil jusqu’à la fin du film.
Quand nous sommes sortis de la salle de cinéma, il nous a dit :
« On va à mon hôtel, il est juste à côté »
Un peu hésitante, ma femme lui a répondu :
« Je serais plus à l’aise chez moi, tu ne préfères pas venir avec nous ? On te ramènera demain ici »
« Ok, ça me va, on va chez vous »
Nous nous sommes rendus jusqu’à notre voiture, j’ai pris le volant et sans lui laisser le choix, il a fait monter Nathalie avec lui à l’arrière.
Il n’a pas attendu que nous soyons sortis du parking pour commencer à la déshabiller et l’embrasser.
Pendant les dix minutes de route qui nous ramenaient à la maison, je les entendais s’embrasser, se sucer, se dévêtir.
J’entendais ma femme gémir sous ses caresses, parfois aussi je l’entendais le sucer.
Je ne voyais pas grand-chose dans le noir, mais j’imaginais bien ce qu’ils faisaient.
Arrivé à la maison, je suis descendu de la voiture pour ouvrir le garage.
Du fait d’avoir ouvert la portière, le plafonnier s’est allumé, j’ai vu ma femme complètement nue, à moitié couchée sur le siège arrière, pendant que lui avait la tête entre ses cuisses et la fouillait de sa langue.
Heureusement, à cette heure tardive, il n’y avait personne pour voir ce spectacle.
J’ai vite rentré la voiture et refermé la porte de garage, on ne sait jamais, un voisin qui promène son chien aurait pu apercevoir la scène.
Je suis resté à les regarder par la vitre pendant plusieurs minutes, tout en me caressant par-dessus mon pantalon.
Mon caleçon devait être imbibé de mes sécrétions car je sentais qu’il était tout poisseux.
Lorsque j’ai entendu ma femme crier son plaisir sous la langue du grand brun, je me suis dit qu’il valait mieux rentrer dans la maison.
J’ai ouvert la portière arrière en le leur disant.
« Ouais t’as raison » me répondit-il.
« Putain, c’est une chaudasse ta femme, elle aime le cul, je sens que je vais bien m’éclater cette nuit avec vous »
Acquiesçant d’un sourire un peu timide, je leur ai dit :
« Rentrez, je ferme le garage à clé et je fais un café après »
Quand je suis venu les rejoindre, ils étaient dans le salon.
Lui complètement à poil, assis sur le canapé, et Nathalie dans la même tenue, à califourchon sur lui.
Ils se frottaient tellement l’un à l’autre que j’ai cru qu’il était en train de la baiser.
Je me suis approché et ai été rassuré de voir que bien que leurs sexes se touchaient, il ne l’avait pas pénétré.
« Va me chercher une capote » m’a-t-il dit.
Quelques dizaines de secondes plus tard, je revenais avec une boîte de préservatifs prise dans un tiroir de la salle de bain et lui en ai donné une.
Il a écarté un peu ma femme pour enfiler la capote, puis l’a soulevé pour la faire coulisser sur son pieu bien raide, provoquant un grand soupir de plaisir sortant de la bouche de Nathalie alors que l’homme qui l’empalait la faisait monter et descendre sur sa bite.
De nouveau je les regardais, ils baisaient devant moi, presque comme si je n’étais pas là, et moi j’aimais les voir s’accoupler.
Les soupirs de ma femme devenaient de plus en plus forts, passant de soupir à râle puis à cris de jouissance lorsqu’un orgasme l’a submergée.
Lui n’avait pas joui, il l’a soulevé pour la dégager de son sexe qui était encore bien raide, puis en me regardant a dit :
« J’avais envie de lui donner un acompte sur ce qu’elle va prendre toute la nuit »
Moi, je ne pouvais détacher mes yeux de son sexe qui était très gros, j’enviais presque ma femme de l’avoir sucé.
J’avais déjà fait des pipes à d’autres mecs et j’appréciais les belles queues.
« Elle te plaît ma bite ? »
J’ai compris que je n’avais pas été discret.
« Heuu… je… je vais faire un café… je reviens »
Resté seul avec ma femme, il lui dit :
« Tu verras, d’ici demain matin ton cocu m’aura sucé la bite, je peux dire ton cocu n’est-ce pas. Je suis sûr qu’il adore ça quand tu te fais défoncer par d’autres mecs »
« Oui, il adore ça et moi aussi »
« Ça, je n’en doute pas, vous semblez ouvert à plein de trucs et ne pas avoir de tabou »
« Oui c’est vrai, on n’a quasiment pas de tabou, en tout cas si tu veux qu’il te suce, il va falloir le forcer un peu car de lui-même il ne va pas oser. »
« Je peux me lâcher un peu avec lui alors ? »
« Oui, je suis sûre qu’il va aimer que tu le soumettes, d’ailleurs tu as déjà un peu commencé je crois. »
J’étais passé par la salle de bain, avant de revenir avec les cafés, afin de remettre un peu d’ordre et de fraîcheur dans mon caleçon.
Notre invité bandait toujours autant mais avait retiré le préservatif de sa bite.
Nathalie est partie à son tour se rafraîchir dans la salle de bain.
« Au fait, tu es le seul à ne pas être à poil, qu’est-ce que tu attends ? »
Un peu gêné, je me suis déshabillé entièrement avant de m’asseoir sur le canapé.
Et là, il s’est lâché un peu sur moi :
« Dis-moi, j’ai l’impression que tu aimes bien être cocu, ça te plaît quand ta nana se fait trombiner par d’autres mecs » « Je suis sûr que tu l’envie quand elle les suce, n’est-ce pas ? »
J’ai émis un timide oui avant qu’il renchérisse.
« En plus, elle est bonne la salope, elle aime la bite. Je suis sûr qu’elle ne doit pas se gêner pour te faire cocu dès qu’elle en a l’occasion. »
Je ne savais plus où me mettre, un mélange de honte et d’excitation, il me traitait de cocu et j’aimais ça, je regardais sa belle queue et j’avais de plus en plus envie de la sucer.
Voyant certainement mon trouble, il a attrapé ma main pour la poser sur son sexe.
« Vas-y, touche. Elle te plaît ? Allez, viens me sucer, cocu. Fou-toi à genoux entre mes cuisses et viens me pomper, salope »
J’ai obéi presque soulagé tellement j’en avais envie.
J’ai englouti son sexe dans ma bouche et joué avec ma langue sur sa hampe et son gland.
J’étais obligé d’ouvrir très grand ma bouche pour le sucer et j’en bavais d’excitation.
Je le branlais et le suçais en même temps, mes doigts et ma langue se promenaient sur son gland.
J’aspirais ses couilles et les léchais, ma langue remontait tout le long de sa verge jusqu’à l’extrémité de son gland que je reprenais aussitôt en bouche.
Je le tétais, l’aspirais, le léchais avec une grande ferveur.
Quand Nathalie est revenue, elle s’est assise à côté de son amant et ils se sont embrassés pendant que je m’appliquais à lui bouffer la queue.
De temps en temps, ils s’arrêtaient pour me regarder.
Il me prenait par les cheveux afin de diriger le mouvement de ma tête sur sa bite.
Puis, il a dit à ma femme :
« Putain, il suce bien ton cocu, lui aussi on voit qu’il aime la bite »
Parfois il bloquait ma tête avec sa main jusqu’à me faire couler les larmes tellement il allait loin.
Il avait l’air d’apprécier ma bouche et moi j’appréciais lui sucer sa queue.
A un moment je l’ai senti très excité :
« Vas-y salope de cocu, bouffe-moi bien la bite, continue oui cocu c’est bon… Ahhhhh putain… ahhhh putain…Ouiiiiiii…. Putain de cocu tu vas me faire jouir…. Ahhhh ouiiiiiiiiiii….
Il m’a bloqué la tête et j’ai reçu plusieurs giclées de sperme au fond de ma gorge.
Je crois que c’est à ce moment-là que j’ai éjaculé sur le sol sans même me toucher.
« Vas-y, avale tout et nettoie-moi bien la bite, qu’elle soit toute propre pour baiser ta femme »
J’ai obéi à sa demande pour mon plus grand plaisir.
A suivre… (voir l’histoire publiée en septembre 2021, Une soirée resto ciné partie 2)
Ce soir-là, nous avions prévu une soirée ciné-resto.
C’était un vendredi et il n’y avait que moi qui devait me lever le lendemain (mais pas trop tôt) pour aller aider un copain à faire quelques petits travaux.
Le restaurant que nous avions choisi était, en voiture, à une dizaine de minutes de la maison et tout proche du cinéma.
Arrivés trop tard pour la séance de vingt heures, nous avons pris des places pour celle de vingt-trois heures puis sommes rentrés dans le restaurant.
Un serveur d’une vingtaine d’années, mignon, assez timide mais bien bâti, est venu nous accueillir et nous placer à une table.
Cette table donnait, suivant où l’on s’assaillait, face à un mur et sur l’autre place face à la salle.
J’ai donc laissé ma femme prendre la place qui faisait face à la salle.
Elle était vêtue d’une veste beige ample et légère et qui descendait à mi-cuisse, qu’elle a enlevée avant de s’asseoir, d’une mini-jupe très courte ainsi que d’un chemisier tellement tendu qu’il ne laissait aucun doute sur le fait que sa forte poitrine était libre dessous.
Sous sa jupe, il n’y avait pas de string non plus, mais là, il était plus difficile de le remarquer.
Le jeune serveur semblait hypnotisé par les seins de ma femme, tout en essayant de ne pas le montrer.
Une fois assis, il s’est empressé de nous apporter la carte pour que nous puissions choisir.
Lorsqu’il est venu prendre la commande, un autre bouton du corsage de Nathalie avait cédé comme par enchantement, permettant la vue de presque l’intégralité d’un sein à notre serveur.
Notre petit jeu dans ces cas-là était de permettre aux hommes qui se trouvaient dans l’axe de vue de notre table, d’avoir une vision sur l’entre-cuisse de ma femme.
Malheureusement aucune de ces tables n’était encore occupée.
Seul notre serveur pouvait en profiter quand il se dirigeait vers nous, ce qu’il a fait à maintes reprises pendant la soirée.
Quand nous avons commencé l’entrée, j’ai vu le regard de Nathalie s’illuminer, elle avait enfin un spectateur pour ses jeux de jambes.
Un homme d’une bonne quarantaine d’années, grand, brun, assez athlétique, les cheveux courts, avec beaucoup de charisme, est venu s’installer sur une table à quelques mètres derrière moi et suffisamment décalé sur le côté pour voir les cuisses de ma femme.
Discrètement, Nathalie m’a dit qu’il n’était pas mal et qu’elle allait lui offrir tout au long du repas un beau spectacle.
Il a accroché tout de suite à son petit jeu en lui faisant de grands sourires.
Pendant une bonne partie du repas, elle ouvrait puis refermait ses cuisses, pas trop, mais suffisamment pour qu’il devine.
A un moment je suis allé aux toilettes, ce qui m’a permis enfin de voir en passant à qui ma femme montrait ses atouts.
Pour y accéder, il fallait descendre un escalier qui donnait sur une porte où il y avait deux lavabos en face desquels se trouvaient deux autres portes pour les toilettes hommes et femmes.
Pendant mon absence, Nathalie s’est légèrement décalée sur la gauche et a, petit à petit, ouvert largement ses cuisses en regardant droit dans les yeux ce beau brun.
Quand je suis revenu, elle venait juste de reprendre une position plus décente.
Le restaurant n’était pas très rempli et le seul qui pouvait voir les cuisses de ma femme, c’était lui.
« Je te parie que si je vais aux toilettes, il va me suivre » me dit-elle discrètement.
« Chiche, et s’il t’entreprend, propose-lui de venir au cinéma avec nous, on pourrait s’amuser un peu. »
Nathalie, à peine dans l’escalier, j’ai entendu une chaise bouger derrière moi, j’ai attendu quelques secondes avant de me retourner.
Bingo, il n’était plus là.
Ils sont arrivés presque ensemble dans la pièce des lavabos, un rapide coup d’œil pour voir qu’ils étaient seuls et il s’est rapidement et directement approché de ma femme pour la prendre par la taille et enfoncer sa langue dans sa bouche.
Elle n’a aucunement résisté, bien au contraire.
Il a très vite passé ses mains partout sur le corps de Nathalie, les fesses, les seins, le sexe, tout en continuant à investir sa bouche avec sa langue.
Soudain, des bruits de pas dans l’escalier.
Ils se sont détachés l’un de l’autre à regret.
Ils ont juste eu le temps de parler un peu avant que la personne qui descendait les escaliers n’arrive.
« Ça te dit de venir au cinéma à côté après ? »
« Oui, pourquoi pas… et ton mari ? C’est ton mari, je suppose, tu en fais quoi ? »
« Oui c’est mon mari, mais t’inquiète, il est voyeur et préteur »
« Whaouuu cool »
La porte s’est ouverte, une dame d’un certain âge est entrée et ma femme est sortie pour revenir à table.
« J’adore sa façon d’embrasser » me dit-elle une fois assise en face de moi.
« Et ? »
« Eh bien je crois que je vais jouer à touche pipi dans la salle de ciné, je lui ai dit que tu étais préteur et voyeur, je pense que ça lui plaît bien ».
A chaque fois que le serveur venait à notre table, Nathalie n’avait cessé de l’allumer.
Alors que je suis allé payer à la caisse, il est venu débarrasser notre table et ma femme, qui était toujours assise, en a profité pour lui offrir une dernière vision, mais cette fois-ci de son sexe lorsqu’elle s’est levée en écartant bien les cuisses.
Voyant qu’il bavait littéralement devant elle, elle lui glissa discrètement d’une voix sensuelle :
« A bientôt… »
Nous attendions devant le cinéma avant que les portes s’ouvrent pour la dernière séance, et le grand brun est venu nous rejoindre en se positionnant derrière nous dans la file d’attente.
Une dizaine de personnes attendaient comme nous.
Quand nous avons pu enfin rentrer dans la salle, j’ai pris la main de ma femme pour l’emmener à gauche et vers le haut de la salle.
Elle a fait signe à l’homme de nous suivre et nous nous sommes installés dans une rangée de quatre sièges bien à l’écart des autres cinéphiles. Je me suis assis dans le fauteuil près du mur, ma femme à côté de moi et le grand brun à sa droite.
Les pubs, puis les extraits de films, puis de nouveau les pubs et enfin les lumières s’éteignent et le film commence.
La main de son voisin de gauche s’est tout de suite faufilée sur les cuisses de ma femme, remontant doucement mais sûrement vers son sexe.
Elle s’est alors calée dans son fauteuil pour ouvrir largement ses cuisses et lui permettre un accès total à sa vulve déjà très humide d’excitation.
Il l’a caressée un long moment, passant ses doigts sur ses lèvres et son clito, puis s’insinuant à l’intérieur.
Sa position n’étant pas la meilleure, il s’est légèrement tourné vers elle pour pouvoir la fouiller de sa main droite.
Là, ses doigts pouvaient mieux investir le sexe de ma femme qui était maintenant trempé.
Il la s’enfonçait dans sa chatte sans aucune retenue.
La sentant très excitée, il a rentré trois doigts pour la branler vigoureusement et lui procurer un orgasme au bout de quelques minutes.
Alors qu’elle haletait de plaisir, elle m’a attrapé la main pour la serrer très fort et lui est venue remettre sa langue dans sa bouche pour qu’elle ne fasse pas trop de bruit.
Une fois la jouissance de ma femme terminée, il a sorti les doigts de sa chatte pour lui faire lécher.
Elle les a aspirés avec délectation, puis s’est installée correctement sur son fauteuil.
À son tour, elle voulait lui donner du plaisir.
Elle a posé sa main sur l’entrejambe de son voisin qui était tout gonflé sous son Jeans.
Détachant son pantalon, elle l’a libéré pour mieux le prendre en main et le caresser.
Son sexe était de très belle taille, la main de Nathalie faisait à peine le tour.
Elle a commencé à le branler doucement, puis s’est tournée vers lui en se penchant pour aller l’engloutir entre ses lèvres.
Sa langue lui titillait le gland, puis s’enroulait autour pour le faire disparaître dans sa bouche.
À cause de l’obscurité de la salle et de la position de ma femme qui me tournait le dos, je ne voyais presque rien, j’entendais juste les bruits de succion de sa bouche sur la bite de son voisin.
Il a alors fait bouger ma femme jusqu’entre ses cuisses en passant sa jambe par-dessus l’accoudoir.
Nathalie était désormais à genoux devant lui et pouvait reprendre sa fellation de plus belle.
Je pense que lui aussi voulait que je puisse voir ma femme lui sucer la bite avec avidité, car elle avait l’air de beaucoup apprécier.
Il la guidait de ses mains pour bien pénétrer sa bouche puis lui retenait la tête en lui disant à voix basse :
« Lèche-moi » « Montre à ton mari comme tu aimes me sucer la bite »
Il était très vite rentré dans notre jeu du mari candauliste et voyeur.
Puis il reprenait sa tête pour l’enfoncer loin sur sa queue et ressortait pour frotter son gros dard bien raide sur le visage de ma femme, comme s’il voulait l’imprégner de l’odeur de sa bite.
Elle semblait complètement soumise à lui et lui la dominait de plus en plus.
Il me regardait avec un sourire narquois, d’une façon qui voulait dire « Tu vois ta salope, elle est à moi ce soir »
Elle l’a sucé une bonne demi-heure comme ça.
A chaque fois qu’il se sentait sur le point de jouir, il l’attrapait par les cheveux pour sortir son sexe de sa bouche et reprendre ses esprits.
Elle continuait néanmoins à le titiller du bout de la langue.
Enfin, d’un coup, alors qu’il avait réinvesti sa bouche, il lui a bloqué la tête d’une main et lui a envoyé quatre grosses giclées de sperme au fond de la gorge.
Elle n’a pas pu tout avaler, une partie coulait aux commissures de ses lèvres et elle en avait gardé une autre sur la langue.
Elle s’est alors remise sur son fauteuil en lui montrant bien qu’elle avait encore une partie de son jus sur les lèvres et dans sa bouche, puis s’est tournée vers moi pour me rouler une grosse pelle pleine de sperme de son voisin.
J’étais terriblement excité de voir ma femme sucer avec gourmandise cet inconnu, mais lorsqu’il a éjaculé dans sa bouche et qu’elle est venue m’embrasser après, j’ai failli arroser mon caleçon de mon foutre.
Nous nous sommes embrassés jusqu’à ce qu’il ne reste plus une seule goutte de sperme dans sa bouche et sur son visage, ma langue passait partout sur ses lèvres pour en récupérer le moindre reste.
Alors qu’elle allait me prodiguer le même sort qu’à lui, il l’a attirée en lui prenant la main pour qu’elle le caresse à nouveau, tout en me regardant droit dans les yeux d’un air qui ne laissait aucun doute sur le fait qu’il voulait nous dominer tous les deux.
Son sexe était toujours sorti de son pantalon et ma femme s’est laissée aller au caprice du grand brun.
Lui avait aussi posé sa main sur les cuisses de Nathalie pour la caresser et en retirer la main que je venais de poser sur sa chatte.
Frustré mais excité aussi de la tournure des choses, je me suis avachi dans mon fauteuil jusqu’à la fin du film.
Quand nous sommes sortis de la salle de cinéma, il nous a dit :
« On va à mon hôtel, il est juste à côté »
Un peu hésitante, ma femme lui a répondu :
« Je serais plus à l’aise chez moi, tu ne préfères pas venir avec nous ? On te ramènera demain ici »
« Ok, ça me va, on va chez vous »
Nous nous sommes rendus jusqu’à notre voiture, j’ai pris le volant et sans lui laisser le choix, il a fait monter Nathalie avec lui à l’arrière.
Il n’a pas attendu que nous soyons sortis du parking pour commencer à la déshabiller et l’embrasser.
Pendant les dix minutes de route qui nous ramenaient à la maison, je les entendais s’embrasser, se sucer, se dévêtir.
J’entendais ma femme gémir sous ses caresses, parfois aussi je l’entendais le sucer.
Je ne voyais pas grand-chose dans le noir, mais j’imaginais bien ce qu’ils faisaient.
Arrivé à la maison, je suis descendu de la voiture pour ouvrir le garage.
Du fait d’avoir ouvert la portière, le plafonnier s’est allumé, j’ai vu ma femme complètement nue, à moitié couchée sur le siège arrière, pendant que lui avait la tête entre ses cuisses et la fouillait de sa langue.
Heureusement, à cette heure tardive, il n’y avait personne pour voir ce spectacle.
J’ai vite rentré la voiture et refermé la porte de garage, on ne sait jamais, un voisin qui promène son chien aurait pu apercevoir la scène.
Je suis resté à les regarder par la vitre pendant plusieurs minutes, tout en me caressant par-dessus mon pantalon.
Mon caleçon devait être imbibé de mes sécrétions car je sentais qu’il était tout poisseux.
Lorsque j’ai entendu ma femme crier son plaisir sous la langue du grand brun, je me suis dit qu’il valait mieux rentrer dans la maison.
J’ai ouvert la portière arrière en le leur disant.
« Ouais t’as raison » me répondit-il.
« Putain, c’est une chaudasse ta femme, elle aime le cul, je sens que je vais bien m’éclater cette nuit avec vous »
Acquiesçant d’un sourire un peu timide, je leur ai dit :
« Rentrez, je ferme le garage à clé et je fais un café après »
Quand je suis venu les rejoindre, ils étaient dans le salon.
Lui complètement à poil, assis sur le canapé, et Nathalie dans la même tenue, à califourchon sur lui.
Ils se frottaient tellement l’un à l’autre que j’ai cru qu’il était en train de la baiser.
Je me suis approché et ai été rassuré de voir que bien que leurs sexes se touchaient, il ne l’avait pas pénétré.
« Va me chercher une capote » m’a-t-il dit.
Quelques dizaines de secondes plus tard, je revenais avec une boîte de préservatifs prise dans un tiroir de la salle de bain et lui en ai donné une.
Il a écarté un peu ma femme pour enfiler la capote, puis l’a soulevé pour la faire coulisser sur son pieu bien raide, provoquant un grand soupir de plaisir sortant de la bouche de Nathalie alors que l’homme qui l’empalait la faisait monter et descendre sur sa bite.
De nouveau je les regardais, ils baisaient devant moi, presque comme si je n’étais pas là, et moi j’aimais les voir s’accoupler.
Les soupirs de ma femme devenaient de plus en plus forts, passant de soupir à râle puis à cris de jouissance lorsqu’un orgasme l’a submergée.
Lui n’avait pas joui, il l’a soulevé pour la dégager de son sexe qui était encore bien raide, puis en me regardant a dit :
« J’avais envie de lui donner un acompte sur ce qu’elle va prendre toute la nuit »
Moi, je ne pouvais détacher mes yeux de son sexe qui était très gros, j’enviais presque ma femme de l’avoir sucé.
J’avais déjà fait des pipes à d’autres mecs et j’appréciais les belles queues.
« Elle te plaît ma bite ? »
J’ai compris que je n’avais pas été discret.
« Heuu… je… je vais faire un café… je reviens »
Resté seul avec ma femme, il lui dit :
« Tu verras, d’ici demain matin ton cocu m’aura sucé la bite, je peux dire ton cocu n’est-ce pas. Je suis sûr qu’il adore ça quand tu te fais défoncer par d’autres mecs »
« Oui, il adore ça et moi aussi »
« Ça, je n’en doute pas, vous semblez ouvert à plein de trucs et ne pas avoir de tabou »
« Oui c’est vrai, on n’a quasiment pas de tabou, en tout cas si tu veux qu’il te suce, il va falloir le forcer un peu car de lui-même il ne va pas oser. »
« Je peux me lâcher un peu avec lui alors ? »
« Oui, je suis sûre qu’il va aimer que tu le soumettes, d’ailleurs tu as déjà un peu commencé je crois. »
J’étais passé par la salle de bain, avant de revenir avec les cafés, afin de remettre un peu d’ordre et de fraîcheur dans mon caleçon.
Notre invité bandait toujours autant mais avait retiré le préservatif de sa bite.
Nathalie est partie à son tour se rafraîchir dans la salle de bain.
« Au fait, tu es le seul à ne pas être à poil, qu’est-ce que tu attends ? »
Un peu gêné, je me suis déshabillé entièrement avant de m’asseoir sur le canapé.
Et là, il s’est lâché un peu sur moi :
« Dis-moi, j’ai l’impression que tu aimes bien être cocu, ça te plaît quand ta nana se fait trombiner par d’autres mecs » « Je suis sûr que tu l’envie quand elle les suce, n’est-ce pas ? »
J’ai émis un timide oui avant qu’il renchérisse.
« En plus, elle est bonne la salope, elle aime la bite. Je suis sûr qu’elle ne doit pas se gêner pour te faire cocu dès qu’elle en a l’occasion. »
Je ne savais plus où me mettre, un mélange de honte et d’excitation, il me traitait de cocu et j’aimais ça, je regardais sa belle queue et j’avais de plus en plus envie de la sucer.
Voyant certainement mon trouble, il a attrapé ma main pour la poser sur son sexe.
« Vas-y, touche. Elle te plaît ? Allez, viens me sucer, cocu. Fou-toi à genoux entre mes cuisses et viens me pomper, salope »
J’ai obéi presque soulagé tellement j’en avais envie.
J’ai englouti son sexe dans ma bouche et joué avec ma langue sur sa hampe et son gland.
J’étais obligé d’ouvrir très grand ma bouche pour le sucer et j’en bavais d’excitation.
Je le branlais et le suçais en même temps, mes doigts et ma langue se promenaient sur son gland.
J’aspirais ses couilles et les léchais, ma langue remontait tout le long de sa verge jusqu’à l’extrémité de son gland que je reprenais aussitôt en bouche.
Je le tétais, l’aspirais, le léchais avec une grande ferveur.
Quand Nathalie est revenue, elle s’est assise à côté de son amant et ils se sont embrassés pendant que je m’appliquais à lui bouffer la queue.
De temps en temps, ils s’arrêtaient pour me regarder.
Il me prenait par les cheveux afin de diriger le mouvement de ma tête sur sa bite.
Puis, il a dit à ma femme :
« Putain, il suce bien ton cocu, lui aussi on voit qu’il aime la bite »
Parfois il bloquait ma tête avec sa main jusqu’à me faire couler les larmes tellement il allait loin.
Il avait l’air d’apprécier ma bouche et moi j’appréciais lui sucer sa queue.
A un moment je l’ai senti très excité :
« Vas-y salope de cocu, bouffe-moi bien la bite, continue oui cocu c’est bon… Ahhhhh putain… ahhhh putain…Ouiiiiiii…. Putain de cocu tu vas me faire jouir…. Ahhhh ouiiiiiiiiiii….
Il m’a bloqué la tête et j’ai reçu plusieurs giclées de sperme au fond de ma gorge.
Je crois que c’est à ce moment-là que j’ai éjaculé sur le sol sans même me toucher.
« Vas-y, avale tout et nettoie-moi bien la bite, qu’elle soit toute propre pour baiser ta femme »
J’ai obéi à sa demande pour mon plus grand plaisir.
A suivre… (voir l’histoire publiée en septembre 2021, Une soirée resto ciné partie 2)
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