Le fils de nos amis
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le fils de nos amis
Nathalie était allongée sur un transat, uniquement vêtue d’un string de bain rose.
Un petit vent chaud lui caressait le corps, faisant pointer ses mamelons, un sentiment de bien-être l’envahissait.
Ses doigts descendaient lentement vers son sexe pour l’effleurer doucement par-dessus le mince tissu du string.
Nous étions en vacances dans le sud de la France et avions loué une villa avec deux autres couples d’amis.
Philippe et Sandrine, un couple d’une quarantaine d’années, comme nous, et qui étaient venus avec leur fils Kevin de tout juste 18 ans, on avait fêté son anniversaire il y avait à peine un mois, et Pascal et Annie dans la même tranche d’âge.
Philippe, Pascal et moi nous entendions très bien, nous avions des hobbies communs et passions toujours de bons moments lorsque nous étions réunis.
Sandrine et Annie s’entendaient très bien aussi, mais avaient beaucoup moins d’accroche avec Nathalie, ma femme.
Bien que ne le disant pas, elles trouvaient certainement ses tenues bien trop courtes et décolletées.
Elles s’arrangeaient d’ailleurs pour ne sortir souvent que toutes les deux.
Nathalie préférait rester seule plutôt que de passer les journées avec elles.
Elle pouvait ainsi se reposer ou bien aller se balader sans qu’on lui fasse des remarques sur sa tenue vestimentaire.
Aujourd’hui, Pascal, Philippe et moi étions allés à la pêche tôt le matin sur le bateau d’un ami pêcheur de Pascal.
Sandrine et Annie étaient parties passer la journée avec la cousine de Sandrine qui habitait à une cinquantaine de kilomètres.
Kevin, comme à son habitude, ne rentrait qu’en fin d’après-midi pour repartir une heure après retrouver les potes qu’il s’était faits ici.
On ne le voyait que très peu, au grand dam de ses parents.
Ma femme s’était levée vers onze heures du matin, puis après avoir déjeuné et pris une douche, elle s’était installée pour bronzer sur un transat.
Elle avait quand même gardé le string au cas où nous serions rentrés plus tôt.
Seule dans la villa, elle s’était laissé aller à se caresser doucement.
Ses doigts effleuraient ses lèvres par-dessus le string.
Elle s’arrêtait puis reprenait quelques minutes plus tard, ne voulant pas aller trop vite vers l’envie frénétique de se masturber.
Elle était bien, les yeux fermés, l’excitation montait tout doucement.
Elle avait un peu perdu la notion du temps, mais savait que personne ne devrait rentrer avant plusieurs heures.
Il faisait chaud et la brise tiède qui soufflait sur elle, lui caressant tout le corps, ne faisait que participer à l’excitation montante.
Elle était bien, zen, relax, profitant un maximum de cette solitude pour décompresser.
Soudain, un sixième sens lui a fait ouvrir les yeux et se relever d’un bond de son transat.
« Qu’est-ce que tu fous là ? » Dit-elle un peu furieuse.
Tentant tant bien que mal de cacher son opulente poitrine, elle faisait face à Kevin, qui, dès qu’elle avait ouvert les yeux, avait vite sorti la main de son caleçon de bain mais qui laissait quand même facilement deviner une belle érection.
« Je… heuuu…pardon je ne voulais pas te déranger… » « je suis désolé » puis reprenant un peu le dessus :
« Quand je suis descendu et que je t’ai aperçu allongée, presque nue, je n’ai pas pu résister de venir t’admirer de plus près au risque de me faire griller. » Puis il a enchaîné « tu es trop belle, tu es mon fantasme »
« Tu étais quand même en train de te branler » lui dit-elle d’un ton de reproche.
« Comme toi »
Piquée au vif, elle lui a envoyé une grande claque sur la joue.
Regrettant aussitôt son geste, elle lui a demandé pardon.
« Je suis désolé pour la claque, mais avoue que tu as été insolent »
Elle en avait oublié de cacher ses seins, elle était maintenant presque nue devant lui, lui qui était uniquement vêtu d’un caleçon de bain, caleçon qui cachait toujours difficilement la bosse de son érection.
Face l’un à l’autre, ils étaient maintenant plutôt gênés de la situation dans laquelle ils se trouvaient.
Nathalie était troublée et ne savait plus trop quel ton prendre.
Profitant de son indécision, Kevin a avancé les mains vers les seins de ma femme :
« Je peux les toucher ? » joignant le geste à la parole « Ils sont trop beaux, depuis le temps que j’en rêve. »
Il avait maintenant les mains plaquées sur la poitrine de ma femme et la caressait.
Ses mains étaient douces.
Ne sachant plus quoi faire, quoi dire, elle a fermé les yeux pour se laisser aller.
Son esprit était torturé. « Qu’est-ce que je fais ? Ce n’est pas bien, c’est un gamin, c’est le fils de nos amis et il est en train de me peloter les seins et moi je me laisse faire, je suis folle »
Kevin en profitait allègrement pour caresser et titiller ses mamelons qui durcirent rapidement sous l’effet des grandes mains du jeune homme.
C’était un grand gaillard d’un mètre quatre-vingt-dix et d’environ quatre-vingts kilos.
Ses mains étaient proportionnelles à sa taille, mais les seins de ma femme débordaient quand même.
Les yeux toujours fermés, elle a senti des lèvres venir se coller aux siennes, puis une langue forcer le passage de sa bouche pour venir se mélanger à la sienne.
En quelques secondes, elle s’est complètement laissée aller et a répondu à ce baiser.
Leurs langues s’entremêlaient fougueusement.
Kevin a passé ses mains dans le dos de ma femme pour venir la coller contre lui.
Sa bite bien raide était maintenant plaquée contre le ventre de ma femme, ses mains sont descendues le long de son dos jusqu’à ses fesses qu’il malaxait et caressait avidement.
D’un coup, Nathalie s’est écartée :
« Non, ce n’est pas bien, je pourrais être ta mère, en plus si quelqu’un arrive, il nous voit direct »
Elle s’est dirigée vers la cuisine et a ouvert le frigo pour prendre une canette de boisson gazeuse dont elle a bu la moitié d’une traite.
Kevin l’avait suivi et était venu se coller derrière elle en prenant ses seins à pleine main.
Son sexe était maintenant plaqué contre les fesses de ma femme, il était toujours aussi dur.
Il l’embrassait dans le cou, sur les joues, puis lui a fait tourner la tête pour enfoncer de nouveau sa langue dans sa bouche.
Ses mains sont descendues le long de son ventre jusqu’à venir à l’orée du string.
Ses doigts jusqu’à ses lèvres intimes, qu’ils ont rapidement pénétrées.
« Non, fais pas ça » dit-elle, « Ce n’est pas bien, on n’a pas le droit » « Tu es trop jeune et je pourrais être ta mère »
Entre chacune de ses phrases, elle laissait échapper un soupir et écartait de plus en plus ses jambes, comme pour le laisser l’investir encore plus.
Enfonçant bien loin plusieurs doigts en elle, il lui a répondu un peu sèchement :
« J’ai dix-huit ans, je suis un homme maintenant et tu n’es pas ma mère »
Elle a laissé échapper un petit cri après cette pénétration un peu brutale.
Sentant que son sexe était très humide, il a commencé à la masturber.
Elle était maintenant vaincue et se laissait aller sous les doigts du jeune garçon.
Il l’a retournée, puis collant ses mains sur ses fesses, l’a plaquée contre lui pour lui reprendre la bouche dans un baiser encore plus fougueux.
Ensuite il a posé ses mains sur ses épaules en appuyant légèrement mais fermement vers le bas.
Elle a aussitôt compris où il voulait en venir et s’est accroupie pour arriver à la hauteur de son sexe.
Elle a fait tomber le caleçon, a attrapé d’une main la bite bien raide et l’a englouti au fond de sa bouche pour lui faire une fellation.
« Je suis folle, se dit-elle, je ne devrais pas faire ça »
Mais c’était trop tard, la queue bien dure qu’elle avait dans sa bouche a balayé toutes ses interrogations.
Ce n’était plus le fils de leurs amis qu’elle suçait, c’était un mec qui avait une belle bite bien dure et dont elle voulait profiter pleinement.
Elle enroulait bien sa langue autour du méat, lui caressant les couilles d’une main et le branlant de l’autre.
Elle le léchait, le suçait, l’aspirait goulûment.
Le braquemart qu’elle branlait était si dur qu’elle redoublait de vigueur à le sucer.
Elle adorait enrouler sa langue sur cette bite aussi rigide qu’une barre de fer.
Elle le regardait d’un air très salope, tout en frottant ce pieu de chair contre son visage.
Elle l’engloutissait complètement, puis le faisait ressortir de sa bouche en le léchant depuis la base des couilles jusqu’au gland.
Pendant une bonne dizaine de minutes, elle lui a prodigué ce supplice.
Puis, d’un coup, le sentant se raidir, elle a enfermé la moitié de ce braquemart dans sa bouche pour le laisser décharger dedans.
De copieuses giclées de sperme lui ont rempli la bouche.
Elle a difficilement avalé et a été obligée de s’y reprendre à plusieurs fois pour déglutir toute la sauce qu’il lui avait envoyée.
Elle a entrepris alors de bien lui nettoyer la queue et de faire sortir les dernières gouttes qui subsistaient dans ce chibre.
Il ne débandait pas et était toujours aussi dur.
Elle a continué de le sucer et voyant qu’après plusieurs minutes il ne faiblissait toujours pas, elle s’est relevée, a vidé sa canette de soda avant de lui rouler une grosse pelle et de lui dire :
« Viens maintenant, j’ai envie que tu me baises »
Il l’a suivi jusqu’à notre chambre où Nathalie, en entrant, a attrapé dans son vanity quelques préservatifs, puis s’est allongée sur le lit après avoir ôté son string.
Les jambes bien écartées, elle lui a tendu une capote en disant :
« Enfile ça »
Il semblait habitué car il a enroulé le préservatif sur son sexe sans hésitation.
Il s’est couché sur elle et l’a pénétrée en douceur.
Sa bite bien dure a glissé doucement dans le fourreau chaud et humide de ma femme qui soupirait de plaisir au fur et à mesure qu’il l’enfilait.
Une fois calé bien au fond, il a commencé des va-et-vient, d’abord assez lent, puis de plus en plus rapide.
Nathalie l’a entouré de ses bras et de ses jambes pour mieux sentir sa queue la pénétrer.
Plus il allait et venait en elle, et plus ma femme haletait et gémissait.
Il avait une belle queue et la remplissait bien.
Elle eut très vite un premier orgasme qui eut pour effet d’augmenter la cadence des coups de reins de Kevin.
Voir et entendre Nathalie prendre du plaisir le stimulait encore plus et lorsqu’elle eut une deuxième jouissance peu de temps après la première, il n’a pu s’empêcher, à son tour, d’exploser en elle.
Le souffle court, ils continuaient de s’embrasser le temps de reprendre leurs esprits.
La bite de Kevin était toujours bien enfoncée dans la chatte de ma femme, il n’avait pas débandé.
« Prends-moi par derrière » lui dit-elle.
Il s’est relevé, a changé de capote pendant qu’elle se retournait pour lui présenter son cul d’une façon indécente.
Très vite, il est venu se caler contre ses fesses et l’a de nouveau enfilé mais cette fois-ci, bien plus sauvagement.
A peine rentré, il l’a agrippée par les hanches pour mieux la défoncer.
Il était tellement excité qu’il en poussait des grognements à chaque coup de reins.
Ses va-et-vient étaient rapides et puissants, faisant multiplier les orgasmes de ma femme.
Elle semblait ne jamais s’arrêter de jouir et en redemandait encore et encore.
Il l’a baisée ainsi pendant un long moment, variant les positions et accumulant les jouissances réciproques.
« J’ai encore envie de jouir dans ta bouche » lui dit-il.
Alors, il s’est retiré de sa chatte rapidement, a ôté la capote et lui a présenté sa queue à la hauteur du visage.
A peine l’avait-elle embouché qu’il s’est vidé sur sa langue.
Les giclées n’étaient pas aussi copieuses que la première fois, mais malgré ses multiples éjaculations, il réussit à lui faire avaler encore quelques gouttes de sperme.
Pendant le reste du séjour Kevin a réussi à lui voler quelques caresses et quelques baiser discrets mais ils n’avaient pas eu l’occasion de se retrouver seul à nouveau.
Nous étions le mercredi de la dernière semaine, Pascal et Annie avaient prévu de partir le vendredi matin et Philippe et Sandrine dans l’après-midi.
Avec Nathalie, nous avions décidé de ne rentrer que le samedi matin.
Le jeudi soir, nous avons tous mangé ensemble sur la terrasse et nous nous sommes un peu lâchés sur les bouteilles.
Pascal s’est pris une soufflante par sa femme et s’est fait sommer d’aller se coucher à peine le repas terminé car il avait trop bu.
Sandrine a tenté de faire la même chose mais Philippe ne s’est pas laissé faire et ils se sont disputés.
Finalement, il ne restait plus que Nathalie, Philippe et moi à table.
Avec Philippe, nous avons continué à boire quelques digestifs en refaisant le monde, pendant que Nathalie était occupée à jouer sur son ordinateur portable.
Aux alentours d’une heure du matin, Philippe et moi nous étions écroulés sur la table.
Ma femme s’était dit qu’elle finissait sa partie, puis me réveillerait pour que nous allions nous coucher.
C’est à ce moment que Kevin est revenu de chez ses copains.
Nathalie était assise sur un banc et il s’est assis à cheval sur ce banc tout près d’elle.
Voyant la situation, il dit :
« Oh, Papa et Maman ont dû s’engueuler et elle est partie se coucher »
« Exact » lui répondit Nathalie.
« Et il n’y a pas qu’eux qui se sont disputés, Pascal ce soir doit dormir à l’hôtel du cul tourné » dit-elle en riant.
Nous montrant du doigt Kevin dit :
« Ils sont fracassés, les deux-là »
« Oui, je crois qu’ils ont un peu abusé »
« Hummm cool, on va pouvoir en profiter un peu » dit-il en passant directement sa main sur la cuisse de Nathalie et en remontant jusqu’à son sexe.
Elle a bien écarté les jambes pour laisser ses doigts l’investir.
Comme souvent, elle était en mini-jupe sans culotte.
Très vite, la fouillant d’une main, il lui a attrapé la tête pour l’embrasser.
« Non pas ici, » dit-elle, « On pourrait nous voir »
« Pfff tu parles, dans l’état qu’ils sont, même s’ils se réveillaient, ils ne s’apercevraient de rien » répondit-il en lui prenant la bouche pour y enfoncer sa langue.
Un baiser bien baveux, des mains qui la caressaient partout, il ne fallut que peu de temps pour qu’elle se laisse aller.
Déboutonnant son short, il lui dit :
« Regarde dans quel état tu me mets »
Son sexe était déjà tout raide et il a pris la main de ma femme pour qu’elle le caresse.
Elle l’a branlé un peu, puis il a passé une jambe par-dessus le banc pour s’asseoir correctement afin qu’elle puisse venir s’agenouiller face à lui.
Elle a englouti aussitôt le chibre bien dressé qui se trouvait devant elle et l’a sucé goulument.
Sa langue virevoltait tout le long de sa bite qu’elle aspirait ou qu’elle frottait contre son visage tout en la branlant.
Elle malaxait ses couilles pendant qu’elle le léchait.
Elle jouait avec son gland en le léchant, l’aspirant et le mordillant.
Un liquide presque transparent s’échappait un peu de son méat, signifiant qu’il n’allait pas tarder à jouir.
Elle l’a gardé dans sa bouche jusqu’à ce qu’il l’inonde abondamment.
Elle a avalé tout puis lui a bien nettoyé la bite en aspirant bien les dernières gouttes.
Il faisait nuit et la terrasse était mal éclairée, mais en se relevant, elle a cru voir les yeux de Philippe s’ouvrir et se refermer.
Il semblait pourtant bien dormir.
« Il te reste des capotes » demanda Kevin.
« Oui, dans ma chambre »
« Viens, on les prend et on va dans la mienne » lui dit-il.
Côte à côte, ils sont partis vers la chambre, la main de Kevin se promenant sur les fesses de ma femme.
Nathalie s’est installée à quatre pattes sur le lit, la jupe relevée et les fesses bien tendues.
Kevin, une fois le sexe enveloppé d’un préservatif, s’est collé derrière elle et l’a enfilé sans préliminaire.
Sa queue s’est enfoncée sans résistance jusqu’à la garde.
Nathalie a poussé un grand soupir de plaisir en le sentant entrer dans sa chatte.
Il ne fallait pas faire de bruit car les chambres se touchaient.
La tête enfouie dans l’oreiller, elle se faisait démonter à grands coups de rein de Kevin.
Bien qu’essayant de ne pas crier, elle n’a pu retenir quelques gémissements de plaisir lorsqu’elle a joui.
Kevin s’en donnait à cœur joie, comme s’il voulait la faire jouir encore plus fort.
Il la pistonnait violemment et rapidement, la faisant atteindre l’orgasme trois fois de suite.
A son tour, il s’est vidé en elle en lui serrant très fort les hanches et en essayant de la pénétrer le plus loin possible.
Ils se sont affalés sur le lit pour reprendre leur souffle et écouter s’ils n’avaient réveillé personne.
Quelqu’un est sorti d’une chambre pour aller aux toilettes, puis est retourné se coucher quelques minutes plus tard.
« Je crois qu’il faut qu’on s’arrête là, on risque de se faire griller » dit Nathalie.
Dépité, il lui répondit :
« Snifff, je t’aurais bien baisé toute la nuit » « On part demain, j’espère qu’on aura l’occasion de faire ça à nouveau »
« Moi aussi » répondit-elle.
Un baiser mouillé sur la bouche, puis elle est sortie discrètement de sa chambre pour revenir me chercher.
Philippe était réveillé quand elle est arrivée sur la terrasse.
Avant qu’elle n’ait le temps de me secouer pour que je me lève, il lui dit :
« Alors c’était bon ? »
« Hein ? De quoi ? »
« Ne fais pas l’innocente, je t’ai vu faire une pipe à mon fils ici et après vous êtes monté baiser dans sa chambre, je t’ai entendu couiner du couloir »
Un peu abasourdie, elle ne savait quoi répondre.
« Tu es quand même une sacrée salope pour te taper un gamin » renchérit-il.
« Il est majeur, c’est plus un gamin » répondit-elle en essayant de se défendre.
Philippe avait certainement encore des restes d’alcool car il parlait crûment et fort, contrairement à son habitude :
« Ouais t’as pas envie que les autres sachent que tu t’es fait défoncer la chatte par mon gamin »
« Chut, tais-toi, tu vas réveiller tout le monde » répondit-elle.
Puis, il dit encore :
« Moi aussi je veux me faire pomper la queue par une salope »
Il s’est approché d’elle pour lui tripoter les fesses et les seins.
Voulant calmer le jeu et après l’avoir repoussé gentiment Nathalie lui dit :
« Viens, on va discuter dans le salon »
Prenant ça pour un accord de ma femme il l’a suivi jusqu’au salon, s’est mis complètement à poil et s’est assis sur un fauteuil les jambes bien tendues en avant en disant, cette fois plus discrètement :
« Vas-y, suce-moi salope »
C’était un beau mec, bien bâti d’un bon gabarit, poilu mais pas touffu, ses poils étaient raides et comme peignés.
Sa queue aussi était raide.
Il commençait à de nouveau parler plus fort.
Elle se dit que ça faisait longtemps qu’elle voulait se le faire mais qu’elle n’avait jamais osé.
C’était peut-être l’occasion, bien qu’elle aurait préféré qu’il soit plus sobre ce jour-là.
« Qu’est-ce que tu attends, fou toi à poil et viens me sucer la bite »
Elle s’est exécutée et s’est installée à genoux entre ses cuisses.
Le père était aussi bien monté que le fils.
Une belle queue de bonne taille, bien dure et bien raide.
Elle a englouti sa bite entre ses lèvres pour le sucer passionnément.
L’alcool avait désinhibé Philippe :
« Oh putain sale pute, tu suces trop bien. » « Vas-y, passe bien ta langue partout sur ma queue »
Nathalie a œuvré pour lui faire la meilleure pipe de sa vie et elle y mettait du cœur car elle n’était pas mécontente de s’être tapé le fils et le mari de Sandrine.
En attendant, Philippe semblait être aux anges, il avait l’air d’apprécier la bouche qui s’occupait de sa bite.
Tenant la tête de ma femme entre ses mains, il lui a chuchoté :
« Putain je vais jouir salope, vas-y avale tout » « Oh putain c’est bon, ouiiiiii ouiiiiiiiii ahhhhhhh »
Il n’a ressorti sa queue qu’après qu’elle ait dégluti tout son sperme.
Il semblait maintenant un peu gêné.
« Pardonne-moi, mais j’ai certainement trop bu et ça fait longtemps que j’ai envie de toi. »
« Maintenant que tu as commencé, tu vas aller jusqu’au bout et tu vas me baiser » lui dit-elle.
« Au point où on en est, autant se faire vraiment plaisir. » Répondit-il tout enjoué.
Il est allé jusqu’à l’entrée de la maison où se trouvait sa veste, puis sortit des préservatifs de son portefeuille.
« C’est le seul endroit qu’elle ne fouille pas » dit-il en souriant.
Pendant ce temps, Nathalie s’est mise à quatre pattes, une jambe sur chaque accoudoir et face au dossier du fauteuil en tendant bien son cul en arrière.
Il n’en fallait pas autant pour que Philippe enfile rapidement une capote et présente sa bite bien dure devant le sexe encore humide de ma femme.
Il s’est enfoncé en elle jusqu’à la garde et a commencé à la pilonner copieusement.
De grands va-et-vient puissant et profond.
Il l’a attrapé par les hanches pour mieux la pistonner.
D’elle-même, elle tendait bien son cul vers lui pour le recevoir encore plus loin.
L’accouplement des deux était bestial et sauvage, ils se retenaient de ne pas faire de bruit mais mouraient d’envie d’extérioriser ce plaisir qu’ils avaient.
Nathalie a mordu le fauteuil plusieurs fois pour ne pas crier à chaque fois qu’elle jouissait.
Ils chuchotaient quand même leur ressenti :
« Putain, elle est bonne ta queue, elle me remplit bien, vas-y salaud, baise-moi bien »
« T’aimes ça hein, sale pute, tu l’aimes ma queue, putain t’es bonne »
Ils ont fini par jouir ensemble en s’exprimant par des grognements étouffés.
« Viens me nettoyer la queue, salope » lui dit-il.
Il s’est retiré d’elle et elle est venue s’accroupir face à lui, et après avoir retiré la capote, elle l’a embouchée pour bien lui nettoyer la bite.
Le lendemain soir, une fois que tout le monde était parti, elle m’a raconté toute cette histoire, qui, j’avoue, m’a grandement excité et peu étonné de Nathalie.
Un petit vent chaud lui caressait le corps, faisant pointer ses mamelons, un sentiment de bien-être l’envahissait.
Ses doigts descendaient lentement vers son sexe pour l’effleurer doucement par-dessus le mince tissu du string.
Nous étions en vacances dans le sud de la France et avions loué une villa avec deux autres couples d’amis.
Philippe et Sandrine, un couple d’une quarantaine d’années, comme nous, et qui étaient venus avec leur fils Kevin de tout juste 18 ans, on avait fêté son anniversaire il y avait à peine un mois, et Pascal et Annie dans la même tranche d’âge.
Philippe, Pascal et moi nous entendions très bien, nous avions des hobbies communs et passions toujours de bons moments lorsque nous étions réunis.
Sandrine et Annie s’entendaient très bien aussi, mais avaient beaucoup moins d’accroche avec Nathalie, ma femme.
Bien que ne le disant pas, elles trouvaient certainement ses tenues bien trop courtes et décolletées.
Elles s’arrangeaient d’ailleurs pour ne sortir souvent que toutes les deux.
Nathalie préférait rester seule plutôt que de passer les journées avec elles.
Elle pouvait ainsi se reposer ou bien aller se balader sans qu’on lui fasse des remarques sur sa tenue vestimentaire.
Aujourd’hui, Pascal, Philippe et moi étions allés à la pêche tôt le matin sur le bateau d’un ami pêcheur de Pascal.
Sandrine et Annie étaient parties passer la journée avec la cousine de Sandrine qui habitait à une cinquantaine de kilomètres.
Kevin, comme à son habitude, ne rentrait qu’en fin d’après-midi pour repartir une heure après retrouver les potes qu’il s’était faits ici.
On ne le voyait que très peu, au grand dam de ses parents.
Ma femme s’était levée vers onze heures du matin, puis après avoir déjeuné et pris une douche, elle s’était installée pour bronzer sur un transat.
Elle avait quand même gardé le string au cas où nous serions rentrés plus tôt.
Seule dans la villa, elle s’était laissé aller à se caresser doucement.
Ses doigts effleuraient ses lèvres par-dessus le string.
Elle s’arrêtait puis reprenait quelques minutes plus tard, ne voulant pas aller trop vite vers l’envie frénétique de se masturber.
Elle était bien, les yeux fermés, l’excitation montait tout doucement.
Elle avait un peu perdu la notion du temps, mais savait que personne ne devrait rentrer avant plusieurs heures.
Il faisait chaud et la brise tiède qui soufflait sur elle, lui caressant tout le corps, ne faisait que participer à l’excitation montante.
Elle était bien, zen, relax, profitant un maximum de cette solitude pour décompresser.
Soudain, un sixième sens lui a fait ouvrir les yeux et se relever d’un bond de son transat.
« Qu’est-ce que tu fous là ? » Dit-elle un peu furieuse.
Tentant tant bien que mal de cacher son opulente poitrine, elle faisait face à Kevin, qui, dès qu’elle avait ouvert les yeux, avait vite sorti la main de son caleçon de bain mais qui laissait quand même facilement deviner une belle érection.
« Je… heuuu…pardon je ne voulais pas te déranger… » « je suis désolé » puis reprenant un peu le dessus :
« Quand je suis descendu et que je t’ai aperçu allongée, presque nue, je n’ai pas pu résister de venir t’admirer de plus près au risque de me faire griller. » Puis il a enchaîné « tu es trop belle, tu es mon fantasme »
« Tu étais quand même en train de te branler » lui dit-elle d’un ton de reproche.
« Comme toi »
Piquée au vif, elle lui a envoyé une grande claque sur la joue.
Regrettant aussitôt son geste, elle lui a demandé pardon.
« Je suis désolé pour la claque, mais avoue que tu as été insolent »
Elle en avait oublié de cacher ses seins, elle était maintenant presque nue devant lui, lui qui était uniquement vêtu d’un caleçon de bain, caleçon qui cachait toujours difficilement la bosse de son érection.
Face l’un à l’autre, ils étaient maintenant plutôt gênés de la situation dans laquelle ils se trouvaient.
Nathalie était troublée et ne savait plus trop quel ton prendre.
Profitant de son indécision, Kevin a avancé les mains vers les seins de ma femme :
« Je peux les toucher ? » joignant le geste à la parole « Ils sont trop beaux, depuis le temps que j’en rêve. »
Il avait maintenant les mains plaquées sur la poitrine de ma femme et la caressait.
Ses mains étaient douces.
Ne sachant plus quoi faire, quoi dire, elle a fermé les yeux pour se laisser aller.
Son esprit était torturé. « Qu’est-ce que je fais ? Ce n’est pas bien, c’est un gamin, c’est le fils de nos amis et il est en train de me peloter les seins et moi je me laisse faire, je suis folle »
Kevin en profitait allègrement pour caresser et titiller ses mamelons qui durcirent rapidement sous l’effet des grandes mains du jeune homme.
C’était un grand gaillard d’un mètre quatre-vingt-dix et d’environ quatre-vingts kilos.
Ses mains étaient proportionnelles à sa taille, mais les seins de ma femme débordaient quand même.
Les yeux toujours fermés, elle a senti des lèvres venir se coller aux siennes, puis une langue forcer le passage de sa bouche pour venir se mélanger à la sienne.
En quelques secondes, elle s’est complètement laissée aller et a répondu à ce baiser.
Leurs langues s’entremêlaient fougueusement.
Kevin a passé ses mains dans le dos de ma femme pour venir la coller contre lui.
Sa bite bien raide était maintenant plaquée contre le ventre de ma femme, ses mains sont descendues le long de son dos jusqu’à ses fesses qu’il malaxait et caressait avidement.
D’un coup, Nathalie s’est écartée :
« Non, ce n’est pas bien, je pourrais être ta mère, en plus si quelqu’un arrive, il nous voit direct »
Elle s’est dirigée vers la cuisine et a ouvert le frigo pour prendre une canette de boisson gazeuse dont elle a bu la moitié d’une traite.
Kevin l’avait suivi et était venu se coller derrière elle en prenant ses seins à pleine main.
Son sexe était maintenant plaqué contre les fesses de ma femme, il était toujours aussi dur.
Il l’embrassait dans le cou, sur les joues, puis lui a fait tourner la tête pour enfoncer de nouveau sa langue dans sa bouche.
Ses mains sont descendues le long de son ventre jusqu’à venir à l’orée du string.
Ses doigts jusqu’à ses lèvres intimes, qu’ils ont rapidement pénétrées.
« Non, fais pas ça » dit-elle, « Ce n’est pas bien, on n’a pas le droit » « Tu es trop jeune et je pourrais être ta mère »
Entre chacune de ses phrases, elle laissait échapper un soupir et écartait de plus en plus ses jambes, comme pour le laisser l’investir encore plus.
Enfonçant bien loin plusieurs doigts en elle, il lui a répondu un peu sèchement :
« J’ai dix-huit ans, je suis un homme maintenant et tu n’es pas ma mère »
Elle a laissé échapper un petit cri après cette pénétration un peu brutale.
Sentant que son sexe était très humide, il a commencé à la masturber.
Elle était maintenant vaincue et se laissait aller sous les doigts du jeune garçon.
Il l’a retournée, puis collant ses mains sur ses fesses, l’a plaquée contre lui pour lui reprendre la bouche dans un baiser encore plus fougueux.
Ensuite il a posé ses mains sur ses épaules en appuyant légèrement mais fermement vers le bas.
Elle a aussitôt compris où il voulait en venir et s’est accroupie pour arriver à la hauteur de son sexe.
Elle a fait tomber le caleçon, a attrapé d’une main la bite bien raide et l’a englouti au fond de sa bouche pour lui faire une fellation.
« Je suis folle, se dit-elle, je ne devrais pas faire ça »
Mais c’était trop tard, la queue bien dure qu’elle avait dans sa bouche a balayé toutes ses interrogations.
Ce n’était plus le fils de leurs amis qu’elle suçait, c’était un mec qui avait une belle bite bien dure et dont elle voulait profiter pleinement.
Elle enroulait bien sa langue autour du méat, lui caressant les couilles d’une main et le branlant de l’autre.
Elle le léchait, le suçait, l’aspirait goulûment.
Le braquemart qu’elle branlait était si dur qu’elle redoublait de vigueur à le sucer.
Elle adorait enrouler sa langue sur cette bite aussi rigide qu’une barre de fer.
Elle le regardait d’un air très salope, tout en frottant ce pieu de chair contre son visage.
Elle l’engloutissait complètement, puis le faisait ressortir de sa bouche en le léchant depuis la base des couilles jusqu’au gland.
Pendant une bonne dizaine de minutes, elle lui a prodigué ce supplice.
Puis, d’un coup, le sentant se raidir, elle a enfermé la moitié de ce braquemart dans sa bouche pour le laisser décharger dedans.
De copieuses giclées de sperme lui ont rempli la bouche.
Elle a difficilement avalé et a été obligée de s’y reprendre à plusieurs fois pour déglutir toute la sauce qu’il lui avait envoyée.
Elle a entrepris alors de bien lui nettoyer la queue et de faire sortir les dernières gouttes qui subsistaient dans ce chibre.
Il ne débandait pas et était toujours aussi dur.
Elle a continué de le sucer et voyant qu’après plusieurs minutes il ne faiblissait toujours pas, elle s’est relevée, a vidé sa canette de soda avant de lui rouler une grosse pelle et de lui dire :
« Viens maintenant, j’ai envie que tu me baises »
Il l’a suivi jusqu’à notre chambre où Nathalie, en entrant, a attrapé dans son vanity quelques préservatifs, puis s’est allongée sur le lit après avoir ôté son string.
Les jambes bien écartées, elle lui a tendu une capote en disant :
« Enfile ça »
Il semblait habitué car il a enroulé le préservatif sur son sexe sans hésitation.
Il s’est couché sur elle et l’a pénétrée en douceur.
Sa bite bien dure a glissé doucement dans le fourreau chaud et humide de ma femme qui soupirait de plaisir au fur et à mesure qu’il l’enfilait.
Une fois calé bien au fond, il a commencé des va-et-vient, d’abord assez lent, puis de plus en plus rapide.
Nathalie l’a entouré de ses bras et de ses jambes pour mieux sentir sa queue la pénétrer.
Plus il allait et venait en elle, et plus ma femme haletait et gémissait.
Il avait une belle queue et la remplissait bien.
Elle eut très vite un premier orgasme qui eut pour effet d’augmenter la cadence des coups de reins de Kevin.
Voir et entendre Nathalie prendre du plaisir le stimulait encore plus et lorsqu’elle eut une deuxième jouissance peu de temps après la première, il n’a pu s’empêcher, à son tour, d’exploser en elle.
Le souffle court, ils continuaient de s’embrasser le temps de reprendre leurs esprits.
La bite de Kevin était toujours bien enfoncée dans la chatte de ma femme, il n’avait pas débandé.
« Prends-moi par derrière » lui dit-elle.
Il s’est relevé, a changé de capote pendant qu’elle se retournait pour lui présenter son cul d’une façon indécente.
Très vite, il est venu se caler contre ses fesses et l’a de nouveau enfilé mais cette fois-ci, bien plus sauvagement.
A peine rentré, il l’a agrippée par les hanches pour mieux la défoncer.
Il était tellement excité qu’il en poussait des grognements à chaque coup de reins.
Ses va-et-vient étaient rapides et puissants, faisant multiplier les orgasmes de ma femme.
Elle semblait ne jamais s’arrêter de jouir et en redemandait encore et encore.
Il l’a baisée ainsi pendant un long moment, variant les positions et accumulant les jouissances réciproques.
« J’ai encore envie de jouir dans ta bouche » lui dit-il.
Alors, il s’est retiré de sa chatte rapidement, a ôté la capote et lui a présenté sa queue à la hauteur du visage.
A peine l’avait-elle embouché qu’il s’est vidé sur sa langue.
Les giclées n’étaient pas aussi copieuses que la première fois, mais malgré ses multiples éjaculations, il réussit à lui faire avaler encore quelques gouttes de sperme.
Pendant le reste du séjour Kevin a réussi à lui voler quelques caresses et quelques baiser discrets mais ils n’avaient pas eu l’occasion de se retrouver seul à nouveau.
Nous étions le mercredi de la dernière semaine, Pascal et Annie avaient prévu de partir le vendredi matin et Philippe et Sandrine dans l’après-midi.
Avec Nathalie, nous avions décidé de ne rentrer que le samedi matin.
Le jeudi soir, nous avons tous mangé ensemble sur la terrasse et nous nous sommes un peu lâchés sur les bouteilles.
Pascal s’est pris une soufflante par sa femme et s’est fait sommer d’aller se coucher à peine le repas terminé car il avait trop bu.
Sandrine a tenté de faire la même chose mais Philippe ne s’est pas laissé faire et ils se sont disputés.
Finalement, il ne restait plus que Nathalie, Philippe et moi à table.
Avec Philippe, nous avons continué à boire quelques digestifs en refaisant le monde, pendant que Nathalie était occupée à jouer sur son ordinateur portable.
Aux alentours d’une heure du matin, Philippe et moi nous étions écroulés sur la table.
Ma femme s’était dit qu’elle finissait sa partie, puis me réveillerait pour que nous allions nous coucher.
C’est à ce moment que Kevin est revenu de chez ses copains.
Nathalie était assise sur un banc et il s’est assis à cheval sur ce banc tout près d’elle.
Voyant la situation, il dit :
« Oh, Papa et Maman ont dû s’engueuler et elle est partie se coucher »
« Exact » lui répondit Nathalie.
« Et il n’y a pas qu’eux qui se sont disputés, Pascal ce soir doit dormir à l’hôtel du cul tourné » dit-elle en riant.
Nous montrant du doigt Kevin dit :
« Ils sont fracassés, les deux-là »
« Oui, je crois qu’ils ont un peu abusé »
« Hummm cool, on va pouvoir en profiter un peu » dit-il en passant directement sa main sur la cuisse de Nathalie et en remontant jusqu’à son sexe.
Elle a bien écarté les jambes pour laisser ses doigts l’investir.
Comme souvent, elle était en mini-jupe sans culotte.
Très vite, la fouillant d’une main, il lui a attrapé la tête pour l’embrasser.
« Non pas ici, » dit-elle, « On pourrait nous voir »
« Pfff tu parles, dans l’état qu’ils sont, même s’ils se réveillaient, ils ne s’apercevraient de rien » répondit-il en lui prenant la bouche pour y enfoncer sa langue.
Un baiser bien baveux, des mains qui la caressaient partout, il ne fallut que peu de temps pour qu’elle se laisse aller.
Déboutonnant son short, il lui dit :
« Regarde dans quel état tu me mets »
Son sexe était déjà tout raide et il a pris la main de ma femme pour qu’elle le caresse.
Elle l’a branlé un peu, puis il a passé une jambe par-dessus le banc pour s’asseoir correctement afin qu’elle puisse venir s’agenouiller face à lui.
Elle a englouti aussitôt le chibre bien dressé qui se trouvait devant elle et l’a sucé goulument.
Sa langue virevoltait tout le long de sa bite qu’elle aspirait ou qu’elle frottait contre son visage tout en la branlant.
Elle malaxait ses couilles pendant qu’elle le léchait.
Elle jouait avec son gland en le léchant, l’aspirant et le mordillant.
Un liquide presque transparent s’échappait un peu de son méat, signifiant qu’il n’allait pas tarder à jouir.
Elle l’a gardé dans sa bouche jusqu’à ce qu’il l’inonde abondamment.
Elle a avalé tout puis lui a bien nettoyé la bite en aspirant bien les dernières gouttes.
Il faisait nuit et la terrasse était mal éclairée, mais en se relevant, elle a cru voir les yeux de Philippe s’ouvrir et se refermer.
Il semblait pourtant bien dormir.
« Il te reste des capotes » demanda Kevin.
« Oui, dans ma chambre »
« Viens, on les prend et on va dans la mienne » lui dit-il.
Côte à côte, ils sont partis vers la chambre, la main de Kevin se promenant sur les fesses de ma femme.
Nathalie s’est installée à quatre pattes sur le lit, la jupe relevée et les fesses bien tendues.
Kevin, une fois le sexe enveloppé d’un préservatif, s’est collé derrière elle et l’a enfilé sans préliminaire.
Sa queue s’est enfoncée sans résistance jusqu’à la garde.
Nathalie a poussé un grand soupir de plaisir en le sentant entrer dans sa chatte.
Il ne fallait pas faire de bruit car les chambres se touchaient.
La tête enfouie dans l’oreiller, elle se faisait démonter à grands coups de rein de Kevin.
Bien qu’essayant de ne pas crier, elle n’a pu retenir quelques gémissements de plaisir lorsqu’elle a joui.
Kevin s’en donnait à cœur joie, comme s’il voulait la faire jouir encore plus fort.
Il la pistonnait violemment et rapidement, la faisant atteindre l’orgasme trois fois de suite.
A son tour, il s’est vidé en elle en lui serrant très fort les hanches et en essayant de la pénétrer le plus loin possible.
Ils se sont affalés sur le lit pour reprendre leur souffle et écouter s’ils n’avaient réveillé personne.
Quelqu’un est sorti d’une chambre pour aller aux toilettes, puis est retourné se coucher quelques minutes plus tard.
« Je crois qu’il faut qu’on s’arrête là, on risque de se faire griller » dit Nathalie.
Dépité, il lui répondit :
« Snifff, je t’aurais bien baisé toute la nuit » « On part demain, j’espère qu’on aura l’occasion de faire ça à nouveau »
« Moi aussi » répondit-elle.
Un baiser mouillé sur la bouche, puis elle est sortie discrètement de sa chambre pour revenir me chercher.
Philippe était réveillé quand elle est arrivée sur la terrasse.
Avant qu’elle n’ait le temps de me secouer pour que je me lève, il lui dit :
« Alors c’était bon ? »
« Hein ? De quoi ? »
« Ne fais pas l’innocente, je t’ai vu faire une pipe à mon fils ici et après vous êtes monté baiser dans sa chambre, je t’ai entendu couiner du couloir »
Un peu abasourdie, elle ne savait quoi répondre.
« Tu es quand même une sacrée salope pour te taper un gamin » renchérit-il.
« Il est majeur, c’est plus un gamin » répondit-elle en essayant de se défendre.
Philippe avait certainement encore des restes d’alcool car il parlait crûment et fort, contrairement à son habitude :
« Ouais t’as pas envie que les autres sachent que tu t’es fait défoncer la chatte par mon gamin »
« Chut, tais-toi, tu vas réveiller tout le monde » répondit-elle.
Puis, il dit encore :
« Moi aussi je veux me faire pomper la queue par une salope »
Il s’est approché d’elle pour lui tripoter les fesses et les seins.
Voulant calmer le jeu et après l’avoir repoussé gentiment Nathalie lui dit :
« Viens, on va discuter dans le salon »
Prenant ça pour un accord de ma femme il l’a suivi jusqu’au salon, s’est mis complètement à poil et s’est assis sur un fauteuil les jambes bien tendues en avant en disant, cette fois plus discrètement :
« Vas-y, suce-moi salope »
C’était un beau mec, bien bâti d’un bon gabarit, poilu mais pas touffu, ses poils étaient raides et comme peignés.
Sa queue aussi était raide.
Il commençait à de nouveau parler plus fort.
Elle se dit que ça faisait longtemps qu’elle voulait se le faire mais qu’elle n’avait jamais osé.
C’était peut-être l’occasion, bien qu’elle aurait préféré qu’il soit plus sobre ce jour-là.
« Qu’est-ce que tu attends, fou toi à poil et viens me sucer la bite »
Elle s’est exécutée et s’est installée à genoux entre ses cuisses.
Le père était aussi bien monté que le fils.
Une belle queue de bonne taille, bien dure et bien raide.
Elle a englouti sa bite entre ses lèvres pour le sucer passionnément.
L’alcool avait désinhibé Philippe :
« Oh putain sale pute, tu suces trop bien. » « Vas-y, passe bien ta langue partout sur ma queue »
Nathalie a œuvré pour lui faire la meilleure pipe de sa vie et elle y mettait du cœur car elle n’était pas mécontente de s’être tapé le fils et le mari de Sandrine.
En attendant, Philippe semblait être aux anges, il avait l’air d’apprécier la bouche qui s’occupait de sa bite.
Tenant la tête de ma femme entre ses mains, il lui a chuchoté :
« Putain je vais jouir salope, vas-y avale tout » « Oh putain c’est bon, ouiiiiii ouiiiiiiiii ahhhhhhh »
Il n’a ressorti sa queue qu’après qu’elle ait dégluti tout son sperme.
Il semblait maintenant un peu gêné.
« Pardonne-moi, mais j’ai certainement trop bu et ça fait longtemps que j’ai envie de toi. »
« Maintenant que tu as commencé, tu vas aller jusqu’au bout et tu vas me baiser » lui dit-elle.
« Au point où on en est, autant se faire vraiment plaisir. » Répondit-il tout enjoué.
Il est allé jusqu’à l’entrée de la maison où se trouvait sa veste, puis sortit des préservatifs de son portefeuille.
« C’est le seul endroit qu’elle ne fouille pas » dit-il en souriant.
Pendant ce temps, Nathalie s’est mise à quatre pattes, une jambe sur chaque accoudoir et face au dossier du fauteuil en tendant bien son cul en arrière.
Il n’en fallait pas autant pour que Philippe enfile rapidement une capote et présente sa bite bien dure devant le sexe encore humide de ma femme.
Il s’est enfoncé en elle jusqu’à la garde et a commencé à la pilonner copieusement.
De grands va-et-vient puissant et profond.
Il l’a attrapé par les hanches pour mieux la pistonner.
D’elle-même, elle tendait bien son cul vers lui pour le recevoir encore plus loin.
L’accouplement des deux était bestial et sauvage, ils se retenaient de ne pas faire de bruit mais mouraient d’envie d’extérioriser ce plaisir qu’ils avaient.
Nathalie a mordu le fauteuil plusieurs fois pour ne pas crier à chaque fois qu’elle jouissait.
Ils chuchotaient quand même leur ressenti :
« Putain, elle est bonne ta queue, elle me remplit bien, vas-y salaud, baise-moi bien »
« T’aimes ça hein, sale pute, tu l’aimes ma queue, putain t’es bonne »
Ils ont fini par jouir ensemble en s’exprimant par des grognements étouffés.
« Viens me nettoyer la queue, salope » lui dit-il.
Il s’est retiré d’elle et elle est venue s’accroupir face à lui, et après avoir retiré la capote, elle l’a embouchée pour bien lui nettoyer la bite.
Le lendemain soir, une fois que tout le monde était parti, elle m’a raconté toute cette histoire, qui, j’avoue, m’a grandement excité et peu étonné de Nathalie.
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