Camping dans les Landes partie 1
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Camping dans les Landes partie 1
A cette époque, nous étions très jeunes, insouciants, inconscients même parfois.
Le Sida était une maladie qui ne touchait que les homosexuels, paraît-il.
On commençait seulement à nous parler de mettre un préservatif systématiquement.
On arrivait sur la fin des générations sans capote, sans le savoir.
On n’avait pas de télé, on regardait ou écoutait très peu les infos, bref tout ça ne nous concernait pas.
Nous pratiquions déjà le candaulisme et le libertinage, sans appeler ça comme ça.
Insouciants et inconscients, mais qui heureusement n’a entraîné aucune conséquence.
Nathalie allait avoir vingt ans et moi vingt-trois.
Nous allions enfin passer nos premières vacances, que tous les deux.
Un mobile-home dans les Landes.
Nous avions trouvé une location pas trop chère dans un camping.
C’était en septembre, il n’y avait plus beaucoup de monde et au fur et à mesure de nos trois semaines de vacances, il ne restait plus un touriste, à part nous.
Nous, on s’en fichait, le principal était que le temps nous permette de passer nos journées à faire bronzette sur la plage et sur ce point la météo avait été de notre côté.
Le camping était dans son jus, perdu dans un champ, deux douches, deux toilettes, quelques mobile-homes seulement étaient raccordés en eau, certains n’avaient même pas l’électricité (comme celui que l’on avait loué), pas d’air de jeu pour les enfants, pas de petit commerce ou bar à l’entrée, juste une petite guérite où la propriétaire venait, lors des arrivées des nouveaux clients, pour donner les clés de leur logement.
Le mobile-home était comme le camping, mais propre.
Nous avions une chambre avec un lit de deux personnes, un petit canapé, une cuisine avec un évier (sans eau), une cuisinière à gaz alimentée par une bouteille à l’extérieur, et une autre petite chambre que nous utilisions pour ranger nos affaires.
Un confort sommaire mais qui nous convenait, à nous et à notre portefeuille.
À peine arrivés, nous avons passé une bonne après-midi à chercher une plage naturiste, on ne connaissait pas encore mais on voulait essayer.
Et puis un corps bronzé intégral, c’est tellement plus joli.
Nos recherches n’ont pas été vaines.
Au bout d’un chemin, le Graal, une très grande plage où les gens pouvaient se mettre nus.
Bon c’est vrai, on n’a pas trouvé tout seul, on s’est un peu renseigné.
Sur les dix personnes présentes sur la plage, six étaient en maillot.
En s’éloignant un peu, nous avons trouvé un endroit où nous poser et nous mettre à poil.
Petit déjeuner, plage, océan, bronzette, déjeuner sur le sable (succin : deux tomates, un brugnon), plage, océan, bronzette, retour au camping, douche, ravitaillement en ville pour le lendemain, dîner, puis quelques jeux de société et enfin dodo, tels étaient nos folles journées.
Bien sûr à tout cela s’ajoute nos séances de sexe qui devaient être de l’ordre de quatre à cinq fois par jour minimum, sur la plage, dans la voiture, dans les douches, dans le mobile-home, bref partout.
Nous avions petit à petit perdu la notion du temps et des jours.
Nous étions bien, heureux, épanouis, on passait de vraies vacances à ne rien faire d’autre que se faire plaisir.
Le camping était vide, désert, plus un touriste, sauf un mobile-home encore occupé.
C’était un homme seul, il semblait aller travailler car nous l’entendions parfois partir vers six heures du matin et revenir vers dix-huit ou dix-neuf heures, habillé en costume qu’il troquait contre un short à peine revenu.
Vendredi, nous étions vendredi.
C’est lui qui nous l’a dit, car au retour de la douche et alors que nous passions devant chez lui pour retourner à notre mobile-home, il a engagé la conversation en nous disant qu’il était heureux d’être arrivé à vendredi pour pouvoir se reposer de sa dure semaine et que pour fêter ça, il allait prendre l’apéro et que nous allions l’accompagner.
« De toute façon, vous n’avez pas le choix, on est seul dans le camping, donc plutôt que de rester chacun de son côté, autant boire un coup ensemble »
Nous avons accepté et après être passés nous changer, nous sommes revenus chez lui.
Nathalie n’avait que des tenues légères et sexy pour les vacances.
J’ai bien cru pendant un quart de seconde qu’il allait lâcher la bouteille de whisky de ses mains en apercevant ma femme.
Mini-jupe en toile légère et un peu transparente, et un haut moulant et très décolleté, mettant en valeur sa forte poitrine.
Cette fois-ci, elle avait tout de même mis un string.
« Alors les jeunes, vous buvez quoi ? J’ai whisky, whisky ou whisky »
« Bon bein un whisky alors, mais léger quand même car c’est fort et on n’a pas l’habitude d’en boire » lui dis-je.
C’était un vieux, au moins quarante-cinq ans, un mètre soixante-quinze, trapu, poilu, bien rasé, les cheveux châtains courts et avec un petit ventre.
Il parlait beaucoup, il devait être commercial pour parler autant.
D’ailleurs, il était commercial.
Il nous l’a dit presque tout de suite.
Il nous a aussi dit qu’il était divorcé depuis peu et qu’en attendant de se reloger, il vivait ici car il avait laissé la maison à sa femme et qu’il s’appelait Gilbert.
Bref, en dix minutes on connaissait presque toute sa vie.
Puis, au fur et à mesure de l’apéro, il parlait plus de choses grivoises, des femmes, un peu de sexe, de ses aventures.
En plus il était très tactile car ayant installé Nathalie à côté de lui, il n’arrêtait pas de poser sa main sur l’épaule, le bras, la cuisse, la main de ma femme, tout en parlant.
Au bout du troisième apéro, elle est partie aux toilettes vider sa vessie.
Se rapprochant de moi et toujours aussi tactile, en attrapant mon bras alors qu’il la regardait s’éloigner, il m’a dit :
« Dit donc, elle est canon ta p’tite nana, franchement si ce n’était pas ta copine, elle aurait fini sur le bout de mon gland » et il s’est mis à rire.
Alors que j’allais protester, il a coupé court en disant :
« Sans dec, mets-toi à ma place, un p’tit cul et une paire de seins comme ça, t’as de la chance de te la taper. »
Je souriais alors bêtement, ne sachant plus quoi dire.
Il en a remis une couche.
« Tu ne veux pas me la prêter pour un soir ? Tu seras un vrai pote, et elle n’a pas l’air très farouche. »
Nouveau moment de gêne.
Bien sûr que je mourrais d’envie de lui prêter, mais je n’allais quand même pas lui dire « Vas-y, c’est bon tu peux la baiser, j’adore ça quand elle se tape un autre mec. »
De plus, je n’étais pas seul à décider et j’avais une certaine dignité, ça me semblait dégradant de dire à un mec « Oui j’ai envie que tu la démontes. »
Je ne sais pas s’il a deviné mes pensées, mais quand j’ai relevé la tête pour le regarder, il avait un grand sourire.
Nathalie est revenue au bon moment, elle se sentait un peu fatiguée avec tous ces apéros et elle m’a demandé de rentrer au mobile-home.
Ouf, je ne savais plus comment gérer la conversation avec notre hôte.
Quand je l'ai vue recommencer à parler, j'ai cru qu'il allait nous harceler pour rester.
Mais non, en bonne intelligence, il nous a juste proposé de passer la journée ensemble le lendemain :
" Ça vous dit qu'on aille faire un tour au marché demain ? 10h30, ça va ? Et après, je vous invite au resto et si vous voulez, on ira faire un tour à la plage l'après-midi. " " Je vais demander à un pote s'il peut nous prêter son bateau dans le week-end, ce serait cool non ? "
C'est bon, il avait prévu son planning du week-end en donnant questions et réponses.
Nous avons accepté et sommes repartis vers notre couchage.
Nous nous sommes déshabillés pour nous coucher.
Nus, serrés dans les bras l'un de l'autre, j'ai expliqué à ma femme ce qu'il venait de me dire.
" Ça ne va pas non, il est beaucoup trop vieux, je n'ai pas envie de baiser avec un vieux. " Me dit-elle.
" Ne te fâche pas, je te raconte juste ce qu'il m'a dit, je ne vais pas te jeter dans ses bras si tu n'es pas d'accord. "
Puis nous nous sommes embrassés, caressés. Je suis descendu le long de son corps en lui léchant les seins, puis le ventre, et j'ai collé ma bouche contre son sexe pour y enfouir ma langue et la lécher avidement.
Les jambes bien écartées, elle se laissait dévorer le sexe.
Par deux fois je l'ai fait jouir avec ma bouche, j'adorais son goût, je la sentais mouiller abondamment.
" Viens me prendre " me dit-elle.
Je suis remonté en position missionnaire pour enfoncer ma queue dans son sexe brûlant de désir.
Je faisais de lents va-et-vient en regardant son visage exprimer énormément de plaisir.
Elle a joui une nouvelle fois en me serrant très fort contre elle.
Puis je l'ai entendue murmurer à mon oreille :
" Il a dit quoi sur moi ? "
Que tu étais bien gaulée, qu'il avait envie que tu finisses sur le bout de sa bite, que tu avais l'air bonne, qu'il aimerait te baiser "
" C'est dommage, il est vieux " me répondit-elle en haletant à chacun de mes coups de reins.
" Je pense que j'ai envie de jouer et de l'exciter. " " Mais c'est tout, rien d'autre ", continua-t-elle comme pour se justifier.
" Fait gaffe, ce n'est pas un gamin, si tu l'excite de trop, ça ne le gênera pas de te baiser devant moi sans te laisser le choix "
Elle se dandina un peu plus sur mon sexe tout en parlant, ce dernier étant tendu à l'extrême, elle me dit alors :
" En tout cas, toi, je suis sûr que ça te fera bander. "
Le fait de parler de ça nous a excités au plus haut point et nous avons explosé de plaisir ensemble.
Le lendemain matin, vers 10h30, nous étions devant chez lui pour partir au marché.
Nathalie avait enfilé un short en jean hyper court et moulant, un peu façon string.
De dos, on pouvait voir le début de ses fesses et devant, il épousait la forme de sa vulve.
Une chemisette en jeans nouée à la taille et ouverte jusqu'au-dessus du nombril en guise de haut, sans soutien-gorge, ce qui, avec sa poitrine opulente, était presque indécent.
Nous nous sommes installés dans sa voiture, une Ford XR3 décapotable.
La flambe pour l'époque.
Je suis monté devant et ma femme derrière.
Le marché était assez grand et alimenté de choses variées, fruits et légumes, viande, charcuterie, sacs à main, chaussures, vêtements divers, etc.
Gilbert, qui n'arrêtait pas de parler, était toujours aussi tactile, surtout avec ma femme.
À un moment, j'ai remarqué une tenue sur un étalage, une robe qui semblait très courte et dont le haut, presque transparent, était aussi ouvert que la chemisette de Nathalie et qui de plus était très échancrée sous les bras.
« Regarde » lui dis-je. " Elle a l'air sympa cette petite robe "
" Oui mais tu as vu le prix ? Ce n'est pas donné quand même ", répondit-elle.
" C'est vrai tu as raison, on ne peut pas se permettre de folie. "
Gilbert, qui avait continué son chemin, est revenu vers nous en nous voyant arrêté devant un stand de fringues.
Que se passe-t-il ? Vous voulez acheter un truc ? C'est quoi ? Je parie que c'est la robe là. "
En riant de ses questions-réponses, ma femme lui a répondu que non, on ne voulait pas acheter mais qu'on avait simplement trouvé cette robe jolie.
" Allez, je te l'achète, je suis sûr qu'elle te plaît. "
" Non, non, on regardait simplement. "
" Si, si, c'est trop tard j'ai décidé, je te l'achète, mais il faudra que tu me montre comment elle te va "
Une fois payé, il lui a donné.
Elle lui a fait un gros bisou sur la joue pour le remercier.
Au restaurant, il a commandé un plateau de fruits de mer, précédé d'un apéro et accompagné d'une bonne bouteille de blanc, puis d'une autre.
Nous étions un peu gais à la fin du repas et lorsqu'il nous a demandé où nous allions à la plage d'habitude, sans réfléchir, je lui ai donné l'endroit.
" Haaaaaa je connais, c'est chez les nudistes, c'est cool on va pouvoir se mettre à poil. " " Allez zouuu, en route on y va. "
Oups, j'avais peut-être parlé trop vite, Nathalie semblait moyennement contente.
Une fois arrivés sur la plage, nous avons marché un peu pour nous mettre à l'écart.
Il y avait un peu de monde au début, mais personne à moins de 100 mètres de là où nous nous sommes installés.
Nous avons étalé nos serviettes, puis commencé à ôter nos vêtements.
Gilbert ne manquait pas une miette du déshabillage de ma femme qui, une fois tous à poil, a été un peu surprise par la taille plus qu'honorable de son sexe.
" Allez, on va se baigner avant de faire bronzette " nous dit-il.
Nous sommes donc partis en courant comme des fous vers l'océan.
La marée était basse et il y avait quelques belles petites vagues.
Après une entrée difficile dans l'eau car elle était froide, nous avons chahuté, jouant à nous éclabousser et à nous jeter dans l'eau.
Bien souvent c'est Nathalie qu'on attrapait pour la balancer.
Gilbert en profitait pour placer ses mains aux endroits stratégiques du corps de son corps en l'attrapant.
Pendant près d'une demi-heure, nous sommes restés dans l'eau.
J'ai ensuite proposé de remonter, mais Gilbert a préféré rester et Nathalie en a fait de même.
Je les ai laissés batifoler encore un peu pendant que je regagnais nos serviettes.
Une fois assis, je les apercevais au loin et ils me semblaient assez proches l'un de l'autre.
Je me suis allongé et me suis endormi très vite.
J'étais à peine parti que Gilbert s'est collé derrière elle en lui prenant les seins à pleines mains.
En moins de deux secondes, telle une anguille, elle s'est faufilée hors de ses griffes en riant et en l'éclaboussant.
Revenant à la charge à plusieurs reprises, il réussit une nouvelle fois à l'emprisonner dans ses bras.
Ainsi, elle sentait bien son sexe tout raide contre ses fesses.
La tenant fermement par le bras, il l'a fait pivoter pour se retrouver face à elle.
Maintenant sa bite bien dure était collée à son ventre, il l'a plaquée contre lui en lui tenant les fesses.
Il a ensuite attrapé sa main pour qu'elle l'entoure sur sa queue.
" Tu sent l'effet que tu me fais petite salope, vas-y elle est pour toi ma bite. "
Une nouvelle fois, elle a réussi à se libérer.
Elle jouait avec lui et il était de plus en plus excité.
De nouveau, il l'a attrapé mais cette fois sous les fesses pour la coller contre lui.
Les seins à la hauteur de sa bouche et le sexe juste à l'entrée de sa vulve.
Il lui titillait les tétons de sa langue pendant que son gland frottait contre ses lèvres intimes.
Il l'a fait glisser sur son chibre pour la pénétrer.
Les yeux révulsés, elle a libéré un grand soupir de plaisir lorsqu'il a été complètement en elle.
Nathalie semblait vaincue, mais dans un sursaut, elle s'est extirpée de nouveau.
Elle a joué encore quelques minutes à l'aguicher avant qu'il ne l'attrape et la pénètre une nouvelle fois en la tenant bien fermement pour qu'elle ne s'échappe pas.
Elle a entouré ses jambes contre ses hanches, noué ses bras autour de son cou, puis s'est collée contre son oreille en lui susurrant :
" Oh putain c'est trop bon. "
Cette fois c'était sûr, elle se donnait à lui, empalée sur cette colonne de chair jusqu'à la garde, elle avait rendu les armes.
Elle se sentait remplie.
Alors quand il a commencé ses va-et-vient, elle s'est lâchée.
À chaque coup de rein, un râle de plus en plus fort sortait de sa bouche, jusqu'à ce qu'il devienne un cri de plaisir décuplé par l'orgasme qu'elle a atteint en très peu de temps.
Elle avait crié si fort qu’il n’a même pas essayé de la retenir lorsqu’elle s’est décollée de lui.
Un peu frustré sans doute, mais tellement fier de l’avoir ainsi fait jouir, il la regardait remonter vers nos serviettes alors qu’il allait attendre un peu que son sexe revienne à une taille normal avant de nous rejoindre.
Des gouttes d'eau fraîche sur mon corps tout chaud m'ont réveillé.
Nathalie était à genoux à côté de moi.
Les jambes bien écartées, elle a pris ma main qu'elle a essuyée pour enlever le sable et a plongé mes doigts dans son sexe.
Il semblait un peu dilaté, mais surtout était trempé, pas trempé par l'eau, non, trempé de cyprine, je reconnaissais bien ce liquide que j'avais si souvent senti couler sur mes doigts.
Voyant mon regard interrogatif, elle m’a dit :
Il m'a baisée, il n'a pas eu le temps de prendre son pied tellement j'ai joui vite, mais j'ai joui tellement fort que j'ai adoré ça, en plus il a une très belle queue. "
" Je croyais que tu ne voulais pas te faire sauter par un vieux. "
" Il m'a tellement chauffé avant de réussir à me baiser, qu'a un moment j'ai craquée. " " Tu es fâché ? "
J'ai pris sa main pour la poser sur mon sexe, qui à son tour était très dur.
" Regarde comment je suis fâché. " Lui dis-je.
Prenant ma bite dans sa main, elle m'a dit :
" Il est encore dans l'eau, si tu te dépêche, tu peux jouir dans ma bouche. "
Joignant le geste à la parole, elle a englouti ma queue entre ses lèvres pour me sucer.
Je l'imaginais se faisant prendre par Gilbert qui devait être tout fou de pouvoir la baiser, pendant qu'elle jouait de sa langue sur mon gland.
Sa bouche m'aspirait la bite, ses lèvres entourées mon gland et sa langue léchait tout le long de ma hampe.
Quand il a commencé à sortir de l'eau pour remonter vers nous, j'éjaculai dans la gorge de ma femme en lui disant que c'était quand même une belle salope.
" Je sais, mais je sais aussi que tu aimes ça et que je crois que le week-end n'est pas fini, prépare-toi mon amour, je pense que le petit vieux là-bas il a très faim, et il m'a ouvert l'appétit. "
A suivre…
Le Sida était une maladie qui ne touchait que les homosexuels, paraît-il.
On commençait seulement à nous parler de mettre un préservatif systématiquement.
On arrivait sur la fin des générations sans capote, sans le savoir.
On n’avait pas de télé, on regardait ou écoutait très peu les infos, bref tout ça ne nous concernait pas.
Nous pratiquions déjà le candaulisme et le libertinage, sans appeler ça comme ça.
Insouciants et inconscients, mais qui heureusement n’a entraîné aucune conséquence.
Nathalie allait avoir vingt ans et moi vingt-trois.
Nous allions enfin passer nos premières vacances, que tous les deux.
Un mobile-home dans les Landes.
Nous avions trouvé une location pas trop chère dans un camping.
C’était en septembre, il n’y avait plus beaucoup de monde et au fur et à mesure de nos trois semaines de vacances, il ne restait plus un touriste, à part nous.
Nous, on s’en fichait, le principal était que le temps nous permette de passer nos journées à faire bronzette sur la plage et sur ce point la météo avait été de notre côté.
Le camping était dans son jus, perdu dans un champ, deux douches, deux toilettes, quelques mobile-homes seulement étaient raccordés en eau, certains n’avaient même pas l’électricité (comme celui que l’on avait loué), pas d’air de jeu pour les enfants, pas de petit commerce ou bar à l’entrée, juste une petite guérite où la propriétaire venait, lors des arrivées des nouveaux clients, pour donner les clés de leur logement.
Le mobile-home était comme le camping, mais propre.
Nous avions une chambre avec un lit de deux personnes, un petit canapé, une cuisine avec un évier (sans eau), une cuisinière à gaz alimentée par une bouteille à l’extérieur, et une autre petite chambre que nous utilisions pour ranger nos affaires.
Un confort sommaire mais qui nous convenait, à nous et à notre portefeuille.
À peine arrivés, nous avons passé une bonne après-midi à chercher une plage naturiste, on ne connaissait pas encore mais on voulait essayer.
Et puis un corps bronzé intégral, c’est tellement plus joli.
Nos recherches n’ont pas été vaines.
Au bout d’un chemin, le Graal, une très grande plage où les gens pouvaient se mettre nus.
Bon c’est vrai, on n’a pas trouvé tout seul, on s’est un peu renseigné.
Sur les dix personnes présentes sur la plage, six étaient en maillot.
En s’éloignant un peu, nous avons trouvé un endroit où nous poser et nous mettre à poil.
Petit déjeuner, plage, océan, bronzette, déjeuner sur le sable (succin : deux tomates, un brugnon), plage, océan, bronzette, retour au camping, douche, ravitaillement en ville pour le lendemain, dîner, puis quelques jeux de société et enfin dodo, tels étaient nos folles journées.
Bien sûr à tout cela s’ajoute nos séances de sexe qui devaient être de l’ordre de quatre à cinq fois par jour minimum, sur la plage, dans la voiture, dans les douches, dans le mobile-home, bref partout.
Nous avions petit à petit perdu la notion du temps et des jours.
Nous étions bien, heureux, épanouis, on passait de vraies vacances à ne rien faire d’autre que se faire plaisir.
Le camping était vide, désert, plus un touriste, sauf un mobile-home encore occupé.
C’était un homme seul, il semblait aller travailler car nous l’entendions parfois partir vers six heures du matin et revenir vers dix-huit ou dix-neuf heures, habillé en costume qu’il troquait contre un short à peine revenu.
Vendredi, nous étions vendredi.
C’est lui qui nous l’a dit, car au retour de la douche et alors que nous passions devant chez lui pour retourner à notre mobile-home, il a engagé la conversation en nous disant qu’il était heureux d’être arrivé à vendredi pour pouvoir se reposer de sa dure semaine et que pour fêter ça, il allait prendre l’apéro et que nous allions l’accompagner.
« De toute façon, vous n’avez pas le choix, on est seul dans le camping, donc plutôt que de rester chacun de son côté, autant boire un coup ensemble »
Nous avons accepté et après être passés nous changer, nous sommes revenus chez lui.
Nathalie n’avait que des tenues légères et sexy pour les vacances.
J’ai bien cru pendant un quart de seconde qu’il allait lâcher la bouteille de whisky de ses mains en apercevant ma femme.
Mini-jupe en toile légère et un peu transparente, et un haut moulant et très décolleté, mettant en valeur sa forte poitrine.
Cette fois-ci, elle avait tout de même mis un string.
« Alors les jeunes, vous buvez quoi ? J’ai whisky, whisky ou whisky »
« Bon bein un whisky alors, mais léger quand même car c’est fort et on n’a pas l’habitude d’en boire » lui dis-je.
C’était un vieux, au moins quarante-cinq ans, un mètre soixante-quinze, trapu, poilu, bien rasé, les cheveux châtains courts et avec un petit ventre.
Il parlait beaucoup, il devait être commercial pour parler autant.
D’ailleurs, il était commercial.
Il nous l’a dit presque tout de suite.
Il nous a aussi dit qu’il était divorcé depuis peu et qu’en attendant de se reloger, il vivait ici car il avait laissé la maison à sa femme et qu’il s’appelait Gilbert.
Bref, en dix minutes on connaissait presque toute sa vie.
Puis, au fur et à mesure de l’apéro, il parlait plus de choses grivoises, des femmes, un peu de sexe, de ses aventures.
En plus il était très tactile car ayant installé Nathalie à côté de lui, il n’arrêtait pas de poser sa main sur l’épaule, le bras, la cuisse, la main de ma femme, tout en parlant.
Au bout du troisième apéro, elle est partie aux toilettes vider sa vessie.
Se rapprochant de moi et toujours aussi tactile, en attrapant mon bras alors qu’il la regardait s’éloigner, il m’a dit :
« Dit donc, elle est canon ta p’tite nana, franchement si ce n’était pas ta copine, elle aurait fini sur le bout de mon gland » et il s’est mis à rire.
Alors que j’allais protester, il a coupé court en disant :
« Sans dec, mets-toi à ma place, un p’tit cul et une paire de seins comme ça, t’as de la chance de te la taper. »
Je souriais alors bêtement, ne sachant plus quoi dire.
Il en a remis une couche.
« Tu ne veux pas me la prêter pour un soir ? Tu seras un vrai pote, et elle n’a pas l’air très farouche. »
Nouveau moment de gêne.
Bien sûr que je mourrais d’envie de lui prêter, mais je n’allais quand même pas lui dire « Vas-y, c’est bon tu peux la baiser, j’adore ça quand elle se tape un autre mec. »
De plus, je n’étais pas seul à décider et j’avais une certaine dignité, ça me semblait dégradant de dire à un mec « Oui j’ai envie que tu la démontes. »
Je ne sais pas s’il a deviné mes pensées, mais quand j’ai relevé la tête pour le regarder, il avait un grand sourire.
Nathalie est revenue au bon moment, elle se sentait un peu fatiguée avec tous ces apéros et elle m’a demandé de rentrer au mobile-home.
Ouf, je ne savais plus comment gérer la conversation avec notre hôte.
Quand je l'ai vue recommencer à parler, j'ai cru qu'il allait nous harceler pour rester.
Mais non, en bonne intelligence, il nous a juste proposé de passer la journée ensemble le lendemain :
" Ça vous dit qu'on aille faire un tour au marché demain ? 10h30, ça va ? Et après, je vous invite au resto et si vous voulez, on ira faire un tour à la plage l'après-midi. " " Je vais demander à un pote s'il peut nous prêter son bateau dans le week-end, ce serait cool non ? "
C'est bon, il avait prévu son planning du week-end en donnant questions et réponses.
Nous avons accepté et sommes repartis vers notre couchage.
Nous nous sommes déshabillés pour nous coucher.
Nus, serrés dans les bras l'un de l'autre, j'ai expliqué à ma femme ce qu'il venait de me dire.
" Ça ne va pas non, il est beaucoup trop vieux, je n'ai pas envie de baiser avec un vieux. " Me dit-elle.
" Ne te fâche pas, je te raconte juste ce qu'il m'a dit, je ne vais pas te jeter dans ses bras si tu n'es pas d'accord. "
Puis nous nous sommes embrassés, caressés. Je suis descendu le long de son corps en lui léchant les seins, puis le ventre, et j'ai collé ma bouche contre son sexe pour y enfouir ma langue et la lécher avidement.
Les jambes bien écartées, elle se laissait dévorer le sexe.
Par deux fois je l'ai fait jouir avec ma bouche, j'adorais son goût, je la sentais mouiller abondamment.
" Viens me prendre " me dit-elle.
Je suis remonté en position missionnaire pour enfoncer ma queue dans son sexe brûlant de désir.
Je faisais de lents va-et-vient en regardant son visage exprimer énormément de plaisir.
Elle a joui une nouvelle fois en me serrant très fort contre elle.
Puis je l'ai entendue murmurer à mon oreille :
" Il a dit quoi sur moi ? "
Que tu étais bien gaulée, qu'il avait envie que tu finisses sur le bout de sa bite, que tu avais l'air bonne, qu'il aimerait te baiser "
" C'est dommage, il est vieux " me répondit-elle en haletant à chacun de mes coups de reins.
" Je pense que j'ai envie de jouer et de l'exciter. " " Mais c'est tout, rien d'autre ", continua-t-elle comme pour se justifier.
" Fait gaffe, ce n'est pas un gamin, si tu l'excite de trop, ça ne le gênera pas de te baiser devant moi sans te laisser le choix "
Elle se dandina un peu plus sur mon sexe tout en parlant, ce dernier étant tendu à l'extrême, elle me dit alors :
" En tout cas, toi, je suis sûr que ça te fera bander. "
Le fait de parler de ça nous a excités au plus haut point et nous avons explosé de plaisir ensemble.
Le lendemain matin, vers 10h30, nous étions devant chez lui pour partir au marché.
Nathalie avait enfilé un short en jean hyper court et moulant, un peu façon string.
De dos, on pouvait voir le début de ses fesses et devant, il épousait la forme de sa vulve.
Une chemisette en jeans nouée à la taille et ouverte jusqu'au-dessus du nombril en guise de haut, sans soutien-gorge, ce qui, avec sa poitrine opulente, était presque indécent.
Nous nous sommes installés dans sa voiture, une Ford XR3 décapotable.
La flambe pour l'époque.
Je suis monté devant et ma femme derrière.
Le marché était assez grand et alimenté de choses variées, fruits et légumes, viande, charcuterie, sacs à main, chaussures, vêtements divers, etc.
Gilbert, qui n'arrêtait pas de parler, était toujours aussi tactile, surtout avec ma femme.
À un moment, j'ai remarqué une tenue sur un étalage, une robe qui semblait très courte et dont le haut, presque transparent, était aussi ouvert que la chemisette de Nathalie et qui de plus était très échancrée sous les bras.
« Regarde » lui dis-je. " Elle a l'air sympa cette petite robe "
" Oui mais tu as vu le prix ? Ce n'est pas donné quand même ", répondit-elle.
" C'est vrai tu as raison, on ne peut pas se permettre de folie. "
Gilbert, qui avait continué son chemin, est revenu vers nous en nous voyant arrêté devant un stand de fringues.
Que se passe-t-il ? Vous voulez acheter un truc ? C'est quoi ? Je parie que c'est la robe là. "
En riant de ses questions-réponses, ma femme lui a répondu que non, on ne voulait pas acheter mais qu'on avait simplement trouvé cette robe jolie.
" Allez, je te l'achète, je suis sûr qu'elle te plaît. "
" Non, non, on regardait simplement. "
" Si, si, c'est trop tard j'ai décidé, je te l'achète, mais il faudra que tu me montre comment elle te va "
Une fois payé, il lui a donné.
Elle lui a fait un gros bisou sur la joue pour le remercier.
Au restaurant, il a commandé un plateau de fruits de mer, précédé d'un apéro et accompagné d'une bonne bouteille de blanc, puis d'une autre.
Nous étions un peu gais à la fin du repas et lorsqu'il nous a demandé où nous allions à la plage d'habitude, sans réfléchir, je lui ai donné l'endroit.
" Haaaaaa je connais, c'est chez les nudistes, c'est cool on va pouvoir se mettre à poil. " " Allez zouuu, en route on y va. "
Oups, j'avais peut-être parlé trop vite, Nathalie semblait moyennement contente.
Une fois arrivés sur la plage, nous avons marché un peu pour nous mettre à l'écart.
Il y avait un peu de monde au début, mais personne à moins de 100 mètres de là où nous nous sommes installés.
Nous avons étalé nos serviettes, puis commencé à ôter nos vêtements.
Gilbert ne manquait pas une miette du déshabillage de ma femme qui, une fois tous à poil, a été un peu surprise par la taille plus qu'honorable de son sexe.
" Allez, on va se baigner avant de faire bronzette " nous dit-il.
Nous sommes donc partis en courant comme des fous vers l'océan.
La marée était basse et il y avait quelques belles petites vagues.
Après une entrée difficile dans l'eau car elle était froide, nous avons chahuté, jouant à nous éclabousser et à nous jeter dans l'eau.
Bien souvent c'est Nathalie qu'on attrapait pour la balancer.
Gilbert en profitait pour placer ses mains aux endroits stratégiques du corps de son corps en l'attrapant.
Pendant près d'une demi-heure, nous sommes restés dans l'eau.
J'ai ensuite proposé de remonter, mais Gilbert a préféré rester et Nathalie en a fait de même.
Je les ai laissés batifoler encore un peu pendant que je regagnais nos serviettes.
Une fois assis, je les apercevais au loin et ils me semblaient assez proches l'un de l'autre.
Je me suis allongé et me suis endormi très vite.
J'étais à peine parti que Gilbert s'est collé derrière elle en lui prenant les seins à pleines mains.
En moins de deux secondes, telle une anguille, elle s'est faufilée hors de ses griffes en riant et en l'éclaboussant.
Revenant à la charge à plusieurs reprises, il réussit une nouvelle fois à l'emprisonner dans ses bras.
Ainsi, elle sentait bien son sexe tout raide contre ses fesses.
La tenant fermement par le bras, il l'a fait pivoter pour se retrouver face à elle.
Maintenant sa bite bien dure était collée à son ventre, il l'a plaquée contre lui en lui tenant les fesses.
Il a ensuite attrapé sa main pour qu'elle l'entoure sur sa queue.
" Tu sent l'effet que tu me fais petite salope, vas-y elle est pour toi ma bite. "
Une nouvelle fois, elle a réussi à se libérer.
Elle jouait avec lui et il était de plus en plus excité.
De nouveau, il l'a attrapé mais cette fois sous les fesses pour la coller contre lui.
Les seins à la hauteur de sa bouche et le sexe juste à l'entrée de sa vulve.
Il lui titillait les tétons de sa langue pendant que son gland frottait contre ses lèvres intimes.
Il l'a fait glisser sur son chibre pour la pénétrer.
Les yeux révulsés, elle a libéré un grand soupir de plaisir lorsqu'il a été complètement en elle.
Nathalie semblait vaincue, mais dans un sursaut, elle s'est extirpée de nouveau.
Elle a joué encore quelques minutes à l'aguicher avant qu'il ne l'attrape et la pénètre une nouvelle fois en la tenant bien fermement pour qu'elle ne s'échappe pas.
Elle a entouré ses jambes contre ses hanches, noué ses bras autour de son cou, puis s'est collée contre son oreille en lui susurrant :
" Oh putain c'est trop bon. "
Cette fois c'était sûr, elle se donnait à lui, empalée sur cette colonne de chair jusqu'à la garde, elle avait rendu les armes.
Elle se sentait remplie.
Alors quand il a commencé ses va-et-vient, elle s'est lâchée.
À chaque coup de rein, un râle de plus en plus fort sortait de sa bouche, jusqu'à ce qu'il devienne un cri de plaisir décuplé par l'orgasme qu'elle a atteint en très peu de temps.
Elle avait crié si fort qu’il n’a même pas essayé de la retenir lorsqu’elle s’est décollée de lui.
Un peu frustré sans doute, mais tellement fier de l’avoir ainsi fait jouir, il la regardait remonter vers nos serviettes alors qu’il allait attendre un peu que son sexe revienne à une taille normal avant de nous rejoindre.
Des gouttes d'eau fraîche sur mon corps tout chaud m'ont réveillé.
Nathalie était à genoux à côté de moi.
Les jambes bien écartées, elle a pris ma main qu'elle a essuyée pour enlever le sable et a plongé mes doigts dans son sexe.
Il semblait un peu dilaté, mais surtout était trempé, pas trempé par l'eau, non, trempé de cyprine, je reconnaissais bien ce liquide que j'avais si souvent senti couler sur mes doigts.
Voyant mon regard interrogatif, elle m’a dit :
Il m'a baisée, il n'a pas eu le temps de prendre son pied tellement j'ai joui vite, mais j'ai joui tellement fort que j'ai adoré ça, en plus il a une très belle queue. "
" Je croyais que tu ne voulais pas te faire sauter par un vieux. "
" Il m'a tellement chauffé avant de réussir à me baiser, qu'a un moment j'ai craquée. " " Tu es fâché ? "
J'ai pris sa main pour la poser sur mon sexe, qui à son tour était très dur.
" Regarde comment je suis fâché. " Lui dis-je.
Prenant ma bite dans sa main, elle m'a dit :
" Il est encore dans l'eau, si tu te dépêche, tu peux jouir dans ma bouche. "
Joignant le geste à la parole, elle a englouti ma queue entre ses lèvres pour me sucer.
Je l'imaginais se faisant prendre par Gilbert qui devait être tout fou de pouvoir la baiser, pendant qu'elle jouait de sa langue sur mon gland.
Sa bouche m'aspirait la bite, ses lèvres entourées mon gland et sa langue léchait tout le long de ma hampe.
Quand il a commencé à sortir de l'eau pour remonter vers nous, j'éjaculai dans la gorge de ma femme en lui disant que c'était quand même une belle salope.
" Je sais, mais je sais aussi que tu aimes ça et que je crois que le week-end n'est pas fini, prépare-toi mon amour, je pense que le petit vieux là-bas il a très faim, et il m'a ouvert l'appétit. "
A suivre…
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