Un week-end au ski

- Par l'auteur HDS Cplcandaudu60 -
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Récit libertin : Un week-end au ski Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un week-end au ski
Cette histoire s’est passée alors que nous avions une petite vingtaine d’années.
Nous vivions ensemble depuis trois ans dans un petit appartement de la banlieue parisienne.
Très vite nous avions découvert le libertinage, principalement des trios avec des hommes et j’ai aussi très vite découvert mon candaulisme sans savoir que cela s’appelait comme ça.
J’avais donc poussé tout doucement Nathalie à rencontrer seule d’autres hommes, tout en continuant à faire des rencontres ensemble.
Un peu réticente au début, elle y a assez vite pris goût.
A cette époque les seuls moyens de rencontrer d’autres libertins étaient, soit par petites annonces dans certains magazines adultes, soit par Minitel (hé oui, ça date), soit en club spécialisé.
Notre fréquence de rencontre était donc minime.
Nathalie pouvait plus facilement trouver d’autres partenaires quand elle sortait en boîte, alors que j’étais en déplacement, ou par des rencontres fortuites dans la rue, dans les piano-bars ou dans les magasins.

Nous allions de temps en temps passer un week-end au ski dans le Jura, seuls, avec des copains ou avec des amis.
La location d’un appartement pour deux nuits n’était pas très chère si on logeait à quelques kilomètres des stations.
Il fallait réserver un peu à l’avance suivant le nombre de personnes que nous étions.
Cette fois-ci nous ne devions y aller que tous les deux car aucun de nos amis n’était disponible.
Nous avions donc retenu un appartement pour deux, une chambre, une cuisine salon avec un petit canapé, un WC et une salle de bain.

Le week-end d’avant nous sommes allés chez des copains pour un apéro, nous étions une petite dizaine et nous nous connaissions tous plus ou moins.
Dans le lot il y avait deux anciens flirts de Nathalie qu’elle avait eus avant de me connaître.
En parlant de notre prochain week-end au ski, ils nous ont dit que c’était dommage de ne pas leur en avoir parlé plus tôt car ils auraient bien aimé venir avec nous.
Les frais étaient moindres lorsque nous partions à plusieurs car divisé par le nombre de participants, d’autant plus que la différence de prix entre un appartement pour deux ou pour quatre était minime.
Nous avons donc décidé de voir si on pouvait avoir un appartement plus grand et avons convenu de nous revoir mardi soir devant un apéro pour en discuter.

Malheureusement tout était déjà loué.

Le mardi soir, Laurent, grand, brun, vingt-deux ans, un peu maigre, est arrivé en premier.
Quelques minutes après, David, vingt-trois ans, taille moyenne, châtain clair et un peu plus trapu, nous a rejoint.
A table, devant un apéro, nous leur avons annoncé la nouvelle.
Ils étaient déçus de ne pas pouvoir venir.
Nous devions passer deux nuits sur place, le vendredi et le samedi soir.
Nathalie leur dit alors :
« On peut toujours essayer de se débrouiller sur place pour dormir, il y a déjà le canapé ou l’un de vous peut dormir et au pire le deuxième dort avec nous dans le lit »
« Oui, tu as raison on pourra toujours trouver une solution sur place, si ça ne vous dérange pas bien sûr » répondit Laurent.
Tout le monde étant tombé d’accord, nous avons pris rendez-vous chez nous le vendredi en fin d’après-midi pour partir ensemble.
Nous avions, lors d’une soirée antérieure, parlé de libertinage, sans évoquer que nous étions adeptes de cette pratique, et aussi bien l’un que l’autre n’était enthousiasmé voire au contraire un peu dégoûté par le fait qu’il fallait embrasser une femme juste après qu’elle ait sucé ou embrassé un autre mec et que les mecs obligatoirement pendant l’acte devaient se toucher, etc.
Nous n’avions donc pas insisté sur le sujet et passé à un autre.


Dix-huit heures, nous étions tous fin prêts.
Nathalie s’est installée à l’arrière avec Laurent, David est monté côté passager et moi au volant.
En cours du trajet, nous nous sommes arrêtés pour manger un sandwich que nous avions préparé avant le départ, puis avons repris la route pour notre destination du week-end.

Vers minuit, nous sommes arrivés.
Nous avons récupéré les clés à l’endroit indiqué par le propriétaire, avons descendu nos affaires et regardé comment nous allions nous organiser pour dormir.
C’est vrai que c’était petit, il y en avait un qui pouvait dormir sur le canapé et la seule solution pour le deuxième était qu’il partage notre lit.
David nous dit :
« Je prends le canapé, je suis moins grand que toi Laurent, tu seras plus à l’aise dans le lit. »
« Brrrr, il fait froid » nous dit Nathalie « ils auraient pu mettre le chauffage plus fort »
Nous avons augmenté le thermostat des radiateurs et nous sommes préparés pour aller dormir.
Nathalie avait enfilé un grand tee-shirt ample et avait juste gardé un string en dessous.
Laurent et moi étions en slip.
« Je suis frigorifiée » nous dit-elle.
« Tu veux dormir au milieu ? Tu te réchaufferas peut-être plus vite », lui dis-je.
« Oui, je veux bien, tu as raison »
Nous voilà donc tous les trois installés dans le lit, nous étions un peu serrés mais ce n’était que pour deux nuits.
J’avais pris le côté mur contre lequel le lit était collé, Nathalie au milieu et Laurent de l’autre côté.

Laurent s’est réveillé en premier, il s’est levé en exhibant aux yeux de Nathalie une belle érection qui tendait son slip, avant de s’habiller.
J’étais face contre le mur et n’ai donc pas vu la scène.
« Je vais chercher les croissants » nous dit-il.
Il est sorti de la chambre et est parti à pied jusqu’à la boulangerie.
« Il a dormi presque toute la nuit, la bite en érection collée à mes fesses » m’a murmuré Nathalie
« J’ai même senti ses mains se balader un peu sur mes fesses et mes cuisses »
« Et tu n’as rien dit ? »
« Non, j’étais trop crevé pour apprécier ou repousser ses mains »
« Donc si tu n’avais pas été fatigué, tu te serais laissé tripoter »
« Peut-être, je ne sais pas »
Je me suis tourné vers elle et cette fois c’est moi qui avais une belle érection.
« Hummmm ça t’excite mon salaud »
Elle est descendue à la hauteur de mon sexe, a viré mon slip et m’a englouti dans sa bouche.
Sa langue se baladait partout sur mon sexe et sur mon gland, je le voyais disparaître complètement entre ses lèvres puis ressortir avec sa langue enroulée autour.
Je n’ai pas tenu longtemps à ce rythme-là, d’autant plus que je voulais jouir avant que Laurent ne revienne.
Quelques minutes plus tard j’explosais au fond de sa gorge.
Environ une demi-heure après être sorti, Laurent est revenu avec les croissants.
Nous nous sommes tous levés pour prendre le petit déjeuner.

Il faisait froid mais il y avait un beau soleil, un temps plus qu’agréable pour faire du ski.
Nous nous sommes éclatés toute la journée sur les pistes, en faisant parfois quelques pauses pour boire un verre et déjeuner.
Nous sommes retournés à l’appartement en début de soirée après avoir traîné un peu dans un bar et fait quelques courses pour dîner le soir.
Nous sommes allés chacun notre tour à la douche pour pouvoir nous habiller un peu plus décontractés, d’autant plus que l’appartement s’était bien réchauffé avec les radiateurs au maximum.

Nous avons passé une bonne soirée à rire des chutes des uns et des autres, à plaisanter et à boire quelques digestifs.
Vers minuit, nous avons décidé d’aller nous coucher pour être en forme le lendemain.
Chacun a repris sa place de la veille pour dormir.
Une fois allongés tous les trois dans le lit, je repensais à ce que ma femme m’avait dit le matin à propos de Laurent.
Je suis sûr qu’il va recommencer, me suis-je dit.
Je décidai donc de me tourner vers le mur et de faire semblant de m’endormir.
Pendant vingt bonnes minutes, rien ne s’est passé, puis tout doucement j’ai senti quelques mouvements dans le lit.

Nathalie était allongée sur le dos, bien calée entre Laurent et moi.
Il a progressivement posé sa main sur la cuisse de Nathalie, en remontant petit à petit vers son string.
Voyant qu’elle ne disait rien, il s’est tourné doucement sur le côté vers elle pour pouvoir mieux la caresser.
Se relevant légèrement de temps en temps pour surveiller que je dormais toujours, il a continué son exploration du corps de ma femme.
D’abord sur le ventre, puis les seins, il est ensuite revenu à l’assaut du string en insinuant ses doigts sous le fin tissu en dentelle.
La respiration de ma femme devenait saccadée et plus forte.
Les doigts de Laurent avaient maintenant investi l’intérieur de son sexe.
Il allait et venait en elle, jouant tantôt avec son clito, tantôt avec ses lèvres avant de retourner la fouiller.
La sentant au bord de l’orgasme, il lui a plaqué la bouche contre la sienne en mélangeant leur langue pour qu’elle ne fasse pas de bruit et surtout qu’elle ne me réveille pas.
Quand elle a joui, elle a attrapé la main qui la fouillait pour la plaquer encore plus contre son pubis et qu’il continue de la doigter.
Après avoir repris ses esprits, elle a avancé sa main vers le sexe de Laurent qui débordait de son slip tellement il bandait.
Elle l’a caressé et a commencé à le branler.
A son tour, il s’est remis sur le dos pour mieux apprécier la main qui agitait sa queue.
Ma femme est descendue doucement jusqu’à ce qu’elle puisse engloutir cette bite bien raide avec sa bouche.
Elle était longue et fine, mais agréable à sucer.
Elle lui a alors prodigué une fellation en jouant bien avec ses lèvres pulpeuses et sa langue agile.
J’avais bien senti que ma femme n’était plus collée à moi et les légers bruits de succion ne laissaient que peu de doute sur ce qu’elle faisait à Laurent.
Au bout d’environ dix minutes de ce traitement, il lui a bloqué la tête sur son sexe pour éjaculer plusieurs grosses giclées de sperme au fond de sa gorge.
Une fois tout avalé, elle lui a bien nettoyé la bite pour éviter de laisser des traces sur les draps, puis s’est retournée pour se coller contre moi.
Sa bouche contre mon cou, je sentais une odeur de sperme lorsqu’elle respirait.
Je n’avais plus de doute, il s’était vidé dans sa bouche.
Afin de vérifier si ça m’avait excité, elle a doucement glissé sa main vers mon sexe qui était tendu à rompre.
Laurent et Nathalie se sont endormis très vite alors que moi j’étais sur la béquille.
Je n’ai pas tardé non plus à les rejoindre dans les bras de Morphée.

Le lendemain matin, quand j’ai ouvert les yeux, ma femme dormait encore et je pense que Laurent faisait semblant.
Il venait juste de se tourner, étant ainsi dos à dos avec Nathalie.
Je me suis levé et habillé pour aller à mon tour chercher les croissants.
En traversant le salon, David, réveillé lui aussi, me voyant prêt à sortir, m’a demandé de l’attendre.
Nous sommes partis tous les deux à pied jusqu’à la boulangerie.

La porte à peine refermée, Laurent s’est retourné pour enlacer et caresser ma femme.
« Toute la nuit j’ai eu envie de te baiser » lui dit-il.
« Si tu as ce qu’il faut, on a une petite demi-heure devant nous » lui répondit-elle en descendant pour retourner le sucer.
Alors qu’elle faisait des merveilles avec sa langue sur sa bite, Laurent a réussi à attraper un préservatif dans la poche de son pantalon.
Il l’a vite enfilé sur son chibre qui était au maximum de son érection, pendant que ma femme s’était déshabillée et mise à quatre pattes pour qu’il la prenne en levrette.
Il s’est bien calé derrière elle pour lui enfoncer son dard au plus loin.
Il a alors entamé de grands va-et-vient allant de plus en plus profondément en elle.
Excité par la vue des fesses qu’il avait sous ses yeux, il l’a défoncée sauvagement pendant un bon moment, procurant à Nathalie plusieurs orgasmes.
Il voyait bien sa bite entrer et sortir de la vulve de ma femme pendant qu’elle criait sa jouissance.
Cette vision a fini par lui procurer une éjaculation.
Dans un dernier grand coup de rein, il s’est vidé en elle à travers le préservatif en poussant un grognement de plaisir.
Il était toujours en érection plantée en elle quand la porte s’est ouverte, heureusement la vue depuis l’entrée ne donnait pas sur la chambre.
Ils ont juste eu le temps d’enfiler un vêtement avant de venir nous rejoindre dans la cuisine.
Laurent essayait de cacher son érection et je faisais semblant de ne rien voir, me doutant qu’après ce qu’il s’était passé cette nuit et se sachant seuls dans l’appartement, ils avaient dû en profiter.
David, lui, s’est rendu compte de l’état de Laurent car il lui a fait un clin d’œil et un grand sourire.
Je pense que dès qu’ils ont pu se retrouver tous les deux, ils en ont parlé.

La journée s’est passée comme celle d’hier avec un grand soleil, de belles descentes à ski et quelques chutes aussi.

Vers dix-sept heures trente, après avoir rendu nos chaussures et nos skis loués la veille, nous sommes rentrés à l’appartement pour prendre une douche, nous changer et ranger nos affaires.
Nous sommes ensuite allés manger dans un petit restaurant avant de reprendre la route.
Cette fois-ci, Laurent était monté devant et David et Nathalie à l’arrière.
La nuit était noire et profonde, la route était presque déserte, peu de monde circulait en ce dimanche soir de mars.
Laurent s’occupait à chercher une station de radio au fur et à mesure de notre avancée, puis s’est endormi.
Je n’entendais pas ma femme ni David parler.
Je ne voyais pas non plus la tête de Nathalie.
Pensant qu’elle s’était endormie sur l’épaule de David qui avait les yeux grands ouverts.
Ayant l’habitude de rouler beaucoup et seul, j’étais bien, je pouvais me concentrer sur la conduite sans que personne ne me perturbe et ne me parle.
J’avalais les kilomètres au rythme de la musique.
Ce que je ne savais pas encore, c’est que ma femme, elle, avalait autre chose que des kilomètres.

Quelques kilomètres après notre départ, David avait carrément posé sa main sur les cuisses de ma femme.
Laurent lui avait sans doute raconté ses exploits avec Nathalie.
Elle l’a laissé faire et même encouragée en écartant un peu plus les cuisses.
Elle avait une mini-jupe et un chemisier assez ample.
Ils se sont caressés mutuellement et discrètement pendant un long moment.
Plus d’une heure après notre départ, Laurent dormait et David n’en pouvait plus.
Coincé dans son Jeans, sa bite en érection lui faisait mal.
Il a alors doucement, sans faire trop de bruit, détaché et ouvert son pantalon pour faire jaillir son sexe bien bandé.
Il était moins long que celui de Laurent mais beaucoup plus gros.
Il a doucement posé sa main sur la tête de ma femme pour la diriger vers son braquemart.
Elle l’a d’abord titillé du bout de la langue avant de l’avaler complètement.
Elle s’est mise à le lécher goulûment en passant une main sous ses couilles et en le branlant avec l’autre.
Les bruits de succion étaient couverts par la musique, elle pouvait donc s’adonner à bien le sucer.
Elle a joué avec son membre pendant une bonne demi-heure, s’arrêtant plusieurs fois alors qu’il était au bord de l’explosion pour reprendre de plus belle son jeu de langue.
Soudain, alors qu’elle avait sa bite complètement dans sa bouche, il lui a bloqué la tête et lui a envoyer plusieurs giclées de sperme au fond de sa gorge.
Il avait déchargé le paquet car elle a dû s’y reprendre en plusieurs fois pour tout avaler.
Elle lui a bien nettoyé le dard des dernières gouttes de sperme qui sortaient de son gland puis a posé sa tête sur son sexe et s’est endormie.
Environ une heure après, elle s’est réveillée.
Elle avait la joue collée sur la bite de David qui était toujours en érection.
C’était trop tentant pour qu’elle ne le reprenne pas en bouche.
De nouveau, sa langue faisait merveille sur le barreau de son ancien flirt.
Elle le léchait, le titillait, l’aspirait, le branlait avec fougue et passion.
Comme la première fois, elle jouait avec ses sens, stoppant dès qu’elle le sentait prêt à jouir.
Elle l’a fait durer encore une bonne demi-heure avant de le laisser se vider à nouveau dans sa bouche.

Il était prévu que Laurent et David dorment à la maison cette nuit-là et qu’ils ne rentrent chez eux que le lendemain.
Ils avaient pris une journée de congé pour se remettre de leur week-end, Nathalie en avait fait de même.
J’étais donc le seul à aller bosser le lundi matin.
Nos deux copains allaient dormir dans le canapé du salon et Nathalie et moi dans notre chambre à l’étage.

Quand je suis parti au travail vers six heures trente, tout le monde dormait.
La journée allait être longue car j’avais peu dormi.

Vers dix heures, Nathalie s’est levée.
Elle a enfilé un petit peignoir ultra court laissant voir la moitié de ses fesses et qui cachait à peine sa poitrine, puis est descendue prendre un café et est allée directement à la salle de bain.
Laurent était réveillé alors que David semblait encore dormir.
La vision qu’il avait eue de ma femme en micro-peignoir, quand elle est passée devant lui, l’avait apparemment émoustillé.
Il s’est levé pour aller se servir un café à son tour.
Quand il est entré dans la salle de bain, Nathalie était sous la douche.
Il s’est brossé les dents en attendant de pouvoir prendre sa place quand elle sortirait.
Elle a été un peu surprise de le voir là quand elle a ouvert le rideau de douche.
« Ça va, bien dormi ? » Lui demande-t-elle.
« Très bien, surtout avec une vision de rêve au réveil »
Elle sourit, puis ils ont échangé leur place.

Nue devant le lavabo, les fesses bien cambrées et légèrement en arrière, voilà la vue qu’elle lui offre quand il sort de la douche.
Il attrape une serviette pour s’essuyer, puis vient se coller contre elle, le sexe déjà complètement en érection.
Il plaque ses mains sur ses seins pour bien les malaxer en l’embrassant dans le cou.
Elle frotte alors bien son cul contre la bite bien raide qui la colle.
Se disant que si elle continue comme ça, il va la pénétrer, elle se retourne pour l’embrasser et mélanger leur langue.
Ses mains lui caressaient les fesses et les seins, alors que leurs bouches étaient soudées.
La bite de Laurent était maintenant plaquée contre son ventre, elle la sentait bien dure et bien raide.
Ma femme s’est accroupie pour aller le sucer.
Sa langue se baladait partout sur ce sexe qu’elle avait dégorgé plusieurs fois dans le week-end.
Sa main courrait le long de sa hampe et ses doigts roulaient sur son gland entre deux coups de langue.
Elle s’est relevée pour attraper une capote dans un meuble et la tendre à son ex-petit copain.
Il l’a déroulé sur son sexe et Nathalie s’est retournée vers le lavabo en posant ses mains dessus et en écartant bien les jambes pour le laisser l’investir.
Le reflet de la glace lui permettait de bien voir les expressions du visage de Nathalie alors qu’il la prenait sauvagement.
Des petits cris de plaisir sortaient de sa bouche à chaque coup de boutoir qu’il lui assenait.
Elle sentait cette bite bien loin en elle la défoncer avec vigueur.
Une dizaine de minutes ont suffi à lui provoquer un orgasme qui lui a fait échapper un grand râle de plaisir.
Excité par le visage de ma femme exprimant sa jouissance, il est sorti d’elle, a enlevé le préservatif et lui a demandé de le finir avec sa bouche, il voulait la voir avaler son sperme.
A genoux devant lui, sa bite de nouveau dans sa bouche, elle le branlait vigoureusement tout en jouant avec sa langue sur sa hampe et son gland.
Quand il a éjaculé, Nathalie a ouvert grand la bouche pour qu’il voie bien son sperme s’écraser sur sa langue avant qu’elle ne l’avale goulûment.

David était dans la cuisine quand ils sont sortis de la salle de bain, Nathalie avait remis son mini-peignoir et ils ont pris un café ensemble avant qu’il n’aille à son tour sous la douche et que Laurent ne récupère toutes ses affaires pour rentrer chez lui.
Une fois partie, elle est retournée dans la salle de bain alors que David était toujours sous la douche.
Elle fait alors tomber son peignoir à ses pieds, puis est entrée nue se coller contre son deuxième ex-petit copain.
Le premier l’avait un peu laissé sur sa faim.
Surpris mais heureux, il lui dévore aussitôt la bouche, cherchant sa langue pour l’aspirer.
Ils se sont embrassés, caressés, léchés, savonnés pendant un long moment.
« J’ai envie de toi » lui dit-il.
« Moi aussi, viens, suis-moi »
Ils sont sortis de la douche, se sont séchés un peu avec une serviette, puis elle l’a attrapé par la main en se dirigeant vers la chambre.
« Ça ne te dérange pas de faire ça dans le lit conjugal ?»
Elle lui sourit en se disant qu’il n’était de toute façon pas le premier qui allait la baiser dans ce lit et qu’il ne serait certainement pas le dernier.
Elle l’a poussé sur le lit pour aller aussitôt engloutir son sexe bien bandé avec sa bouche.
Ses lèvres et sa langue se promenaient partout sur cette grosse bite bien large, allant même lui lécher et gober les couilles.
Sa main branlant sa hampe, sa langue titillant le bout et ses lèvres aspirant le gland, elle lui prodiguait une fellation qui l’a fait éjaculer au fond de sa gorge en un rien de temps.
« Tu es trop forte toi, jamais je n’ai joui aussi vite avec une bouche » lui dit-il « A ton tour maintenant, allonges-toi je vais m’occuper de ta petite chatte »
Il s’est ensuite glissé entre les cuisses de ma femme pour venir la fouiller avec sa langue.
Elle était trempée d’excitation et lorsqu’elle a senti cette langue commencer à la pénétrer et jouer avec ses lèvres et son clito, elle s’est laissé aller sentant rapidement des picotements dans son ventre.
Un premier orgasme l’a submergé très vite.
David n’arrêtant pas la fouille en règle du sexe de Nathalie, lui en a procuré un deuxième assez rapidement.
Il est remonté doucement vers sa bouche en embrassant et léchant toutes les parties de son corps se trouvant sur son chemin.
En montant avec lui dans la chambre, ma femme avait emporté la boîte de capotes sachant qu’ils en auraient certainement besoin.
Elle lui en a tendu une en lui disant :
« Baise-moi, j’ai trop envie de ta queue »
Le préservatif en place, il s’est allongé sur elle, la pénétrant sans effort malgré la largeur de son gourdin.
Ils s’embrassaient passionnément pendant qu’il allait et venait en elle.
La sensation de se sentir rempli par ce gros membre lui a provoqué un nouvel orgasme.
Alors qu’elle criait son plaisir contre son oreille, elle l’a enlacé très fort de ses bras et de ses jambes pour mieux le sentir profondément ancré dans sa chatte.
Leur sexe et leur bouche soudés, ils ont changé de position, lui allongé sur le dos et elle sur lui, le chevauchant et bien empalée sur sa queue, il continuait ses coups de rein en lui tenant les hanches pour l’amener à sa rencontre.
Les orgasmes de Nathalie s’enchaînaient, la laissant presque en transe à chaque fois.
Après un long moment l’un sur l’autre, elle s’est détachée de lui pour se mettre à quatre pattes.
Il est venu s’encastrer en elle, le pubis collé à ses fesses, puis a commencé à la pilonner à un rythme intense.
Il la défonçait profondément, lui arrachant des cris de bonheur et de jouissance.
« Je vais jouir » lui dit-il tout en continuant de la démonter.
« Tu veux que je te finisse avec ma bouche ? »
Il est aussitôt sorti d’elle en enlevant sa capote et lui présentant son gourdin sous le nez.
A peine l’avait-elle pris en bouche qu’il éjaculait en la plaquant contre son pubis.
Décidément, à chaque fois, il lui envoyait une dose de sperme qu’elle devait avaler en plusieurs fois.

Ils sont descendus se désaltérer et sont restés à poil à discuter dans le salon pendant une vingtaine de minutes.
La bite de David avait assez vite repris une forme olympique.
Ils sont aussitôt repartis vers la chambre pour une nouvelle séance de baise intense.
Il a démonté ma femme une grande partie de l’après-midi en prenant de temps à autre une petite pause pour remettre ça de plus belle.
Vers dix-sept heures trente, il est parti chez lui heureux mais complètement vidé.
Je suis rentré une dizaine de minutes plus tard, Nathalie était encore nue, les cheveux ébouriffés. Quand elle m’a embrassé, elle avait un fort goût de sperme et son visage sentait la bite.
« David vient de partir, il m’a baisée une grande partie de la journée, va vite prendre ta douche j’ai plein de choses à te raconter » me dit-elle avec un large sourire coquin.

Nous avons revu Laurent et David lors de quelques soirées sans qu’il ne se passe quoi que ce soit, puis petit à petit nous nous sommes perdus de vue.
Deux ou trois ans plus tard, un jour où Nathalie flânait dans une grande galerie marchande près de chez nous, elle croisa David.
Ils ont discuté un petit moment, puis il lui dit qu’il allait voir un film au cinéma du centre commercial et que si ça lui disait, elle pouvait l’accompagner.
La séance allait bientôt commencer, donc ils y sont allés.
C’était un après-midi de semaine et il n’y avait pas grand monde dans la salle.
Il l’a emmené vers les sièges les plus hauts « pour être plus au calme », lui a-t-il dit.
Il avait déjà probablement une petite idée derrière la tête.
Nathalie était habillée avec une mini-jupe qui est remontée très haut lorsqu’elle s’est assise dans le fauteuil, après tout, dans le noir et avec personne à côté hormis David, ce n’était pas grave.
Les lumières s’éteignent, le film commence et la main de David se pose directement sur la cuisse de ma femme.
« Qu’est-ce que je fais, je lui retire la main ou je le laisse faire ? » Se demande-t-elle alors.
Après quelques secondes de réflexion, elle a choisi d’écarter un peu plus ses cuisses pour le laisser vagabonder à sa guise.
Il est très vite remonté jusqu’à la lisière de son string pour la caresser.
Nathalie n’étant pas en reste et avait posé sa main sur le sexe de David par-dessus son jeans, sexe qui était déjà bien gonflé.
Il a détaché son pantalon pour libérer son membre bien bandé, a passé sa main derrière la nuque de Nathalie pour diriger sa tête vers sa bite en érection.
Elle l’a alors englouti pour commencer à le sucer goulûment.
Pendant près d’un quart d’heure, elle a pompé cette belle queue jusqu’à ce qu’il lui envoie tout son foutre, toujours aussi abondant, au fond de la gorge.
En sortant du cinéma, ils sont allés boire un verre et discuter un peu.
Laurent allait se marier bientôt et habitait dans le sud, lui, après quelques essais en couple infructueux, avait décidé de partir d’ici peu, aussi dans le sud, pour rejoindre son pote et peut-être avoir plus de chance de rencontrer l’âme sœur.
« J’ai envie de te baiser une dernière fois, là maintenant, je suis encore tout dur » lui dit-il soudain.
« Ça va être compliqué ici, il y a un peu de monde » répondit-elle en riant.
« Tu as envie ? » Et ne lui laissant pas le temps de répondre, il la prend par la main et l’emmène.
Direction les toilettes de la galerie marchande.
Bon c’est vrai, il y a plus glamour, mais quand on a envie de baiser, il faut vite trouver un endroit discret, en l’occurrence, les toilettes.
Ils se sont enfermés dans une cabine, il a descendu son pantalon jusqu’à ses chevilles puis enfilé une capote sur sa bite et il a collé Nathalie face contre le mur pour lui soulever la jupe et écarter son string afin de pouvoir la pénétrer.
Il était tout excité et a très vite commencé de grands va-et-vient dans le sexe de ma femme.
Il la pilonnait bien fort en lui tenant fermement les hanches.
Nathalie tendait bien ses fesses en arrière pour le sentir encore plus profond en elle.
Les grands coups de boutoir de David lui ont permis d’avoir deux orgasmes pendant lesquels elle a laissé échapper de grands râles de plaisir.
Lui, à un moment, a accéléré le mouvement en la pilonnant encore plus fort jusqu’à ce qu’il jouisse en elle dans un ultime et violent coup de rein.
Peu après ils se sont quittés et elle ne l’a jamais revu.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Belle histoire, merci



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