Des vacances coquines suite et fin

- Par l'auteur HDS Cplcandaudu60 -
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Récit libertin : Des vacances coquines suite et fin Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Des vacances coquines suite et fin
J’étais tellement excité par ce qu’elle m’avait raconté que même après avoir joui dans sa bouche, je n’arrivais pas à débander.
Son récit n’était pourtant qu’un résumé du week-end, elle ne m’avait pas encore donné tous les détails.
Nous avons passé une partie de l’après-midi au lit à faire l’amour.

Nous sommes allés ensuite boire un verre dans le pub où elle avait ramené le black, il n’y avait pas grand monde et l’ambiance était plus morose que celle de samedi.

Tout était plus calme en semaine, au moins on pouvait se reposer.

Elle avait quand même prévu de voir le serveur le lendemain dans le milieu de l’après-midi.

Je m’étais caché dans la deuxième chambre pour entendre leurs ébats.

Ils se sont retrouvés sur une place pas loin, puis sont directement venus à l’appartement.
J’avais laissé la porte de la chambre entre-ouverte pour mieux écouter et peut-être voir un peu.
Nathalie l’a directement emmenée dans l’autre chambre où ils se sont aussitôt embrassés.
Ils se sont mutuellement déshabillés, puis une fois à poil, se sont jetés sur le lit.
Damien (il lui a dit son prénom sur le trajet) était sur elle et l’embrassait de partout, il n’arrêtait pas de lui lécher et caresser ses seins, puis il est descendu vers son bas-ventre, en faisant courir sa langue sur son corps, tout le long de sa progression.
Il a ensuite bien écarté ses cuisses pour plonger sa tête et lui dévorer le minou, sa langue s’est d’abord attaquée au clito, puis aux lèvres, puis s’est enfoncée dans sa chatte, il s’est aidé de ses doigts pour la masturber pendant qu’il la suçait.
Elle a joui rapidement sans se retenir de crier.
Ils ont changé de position pour qu’à son tour elle engloutisse sa queue, son gland était déjà trempé d’excitation.
« Vas-y doucement s’il te plaît, je vais jouir trop vite sinon. »
Elle avalait complètement sa queue (elle était moins grosse que celle de ses deux derniers amants, mais elle était bien dure), en même temps elle lui massait les couilles.
Damien semblait faire un effort surhumain pour ne pas éjaculer et Nathalie prenait beaucoup de plaisir à le faire « souffrir » ainsi.
Finalement, il n’a pu se retenir et a envoyé quatre belles giclées de foutre, au fond de sa gorge, qu’elle a avalées goulûment.
« Whaaaaa, c’était trop bon, je n’ai pas pu me retenir, tu suces vraiment trop bien. »
« C’est parce que j’aime ça. »
Ils ont commencé à discuter et il voulait en savoir plus sur le fait qu’elle était mariée mais qu’elle couchait quand même avec d’autres hommes.
Nathalie ne s’est pas trop étalée sur notre vie privée et comme elle était restée dans la même position, elle lui léchait le gland de temps en temps car sa queue n’avait pas l’air de vouloir redescendre, alors elle lui a dit :
« Plutôt que de te parler de moi, j’ai envie que tu me baises, alors prends une capote et enfile-moi. »

Elle le chevauchait maintenant, accroupie sur lui, elle montait et descendait sur sa queue pendant qu’il lui caressait les seins, sentant le plaisir monter, elle a accéléré le mouvement.
Les mains de Damien ont quitté les seins de Nathalie pour l’agripper aux hanches et l’aider à s’empaler plus profondément.
Elle a joui une nouvelle fois puis s’est affalé sur lui pour l’embrasser, tout en gardant sa queue bien au fond de sa chatte et en bougeant bien son bassin pour le garder en forme.
« Viens me prendre par derrière et n’hésite pas, défonce-moi bien fort, claque-moi le cul si t’en as envie, traites-moi comme une chienne. »
Je sortais parfois discrètement de la chambre pour les regarder baiser, j’étais juste en caleçon et je bandais comme un âne à les regarder et les écouter.
A chaque fois que Nathalie prenait son pied, je frôlais l’éjaculation, j’adorais la voir se faire prendre par un autre.
Elle était à quatre pattes et lui était derrière elle à la prendre en levrette, il lui mettait des petites claques sur les fesses en la traitant timidement de salope.
Dans cette position, il lui a fait prendre trois fois du plaisir.
Quand il s’est senti prêt à jouir à son tour, il est sorti d’elle, a retiré sa capote puis s’est présenté devant sa bouche.
« J’ai envie de cracher encore dans ta bouche. »
A peine fini de le dire, qu’il lui envoyait déjà une nouvelle dose de sperme au fond de la gorge.
Elle l’a bien nettoyé en pressant sa verge pour faire sortir le reste de son jus qu’elle a aspiré.

Une fois parti, je suis sorti de ma cachette, le caleçon trempé de sécrétions et la bite toujours raide.
On s’est embrassé, elle avait le goût du sperme dans la bouche, ce qui m’a encore plus excité, puis je suis allé la lécher, sa chatte avait le gout de cyprine et de latex mélangé.
En quelques minutes, elle a eu un orgasme et est venue à son tour me sucer.
Sa bouche divine m’a fait craquer en très peu de temps, c’était maintenant mon jus qu’elle avalait goulûment.

Les deux jours qui ont suivi ont été relativement calmes, pas de nouvelles rencontres, il n’y avait vraiment pas grand monde en semaine.

Nous nous sommes suffi à nous-mêmes en baisant un peu partout.

Le vendredi au retour de la plage, nous sommes allés prendre une douche puis nous sommes retournés dans le bar boire un verre.
Il y avait quelques habitués semble-t-il et un mec un peu plus âgé que nous et dont la tête disait quelque chose à Nathalie, elle ne savait plus où elle l’avait vu, peut-être ici samedi dernier.
Il la regardait fréquemment, sans trop se soucier de ma présence.
Je lui ai chuchoté :
« Il t’a sauté ? »
« Non, je me rappelle encore des mecs qui m’ont baisé ce week-end et il n’en faisait pas parti, pourtant je suis sûr de l’avoir déjà vu. »
J’ai fait semblant d’avoir oublié mes sous à l’appart, pour laisser ma femme seule en m’attendant.
A peine sorti du bar, il s’est dirigé vers elle.
« Bonjour. »
« Bonjour. On se connaît ? » A-t-elle demandé.
« De vue seulement, vous étiez ici samedi dernier avec un autre homme, qui avait beaucoup trop bu, sacrilège que de boire autant alors qu’on a une aussi jolie femme en sa compagnie. »
« Merci. »
« Jean Noël m’a dit qu’il vous a aidé à le ramener chez vous. »
« Heu… oui, c’est exact. »
« J’étais là, moi aussi samedi, mais j’ai dû partir plus tôt, sinon j’aurais volontiers pris sa place, sur tous les points… »
Elle s’est sentie un peu mal à l’aise, le black avait certainement raconté sa fin de soirée.
« Je pense qu’il parle beaucoup trop votre ami. »
« Ce n’est pas mon ami, on se voit ici de temps en temps et on boit un coup ensemble. Mais j’ai bien aimé son récit. »
Puis d’un coup il est entré dans le vif du sujet :
« Samedi ce n’était pas votre mari ? C’est celui d’aujourd’hui le co.., le mari. »
« Oui. »
« Je suis sûr qu’il sait tout et qu’il aime ça en plus. »
« Heuuuu…, c’est très intime ça. »
« Je connais bien et j’adore les couples comme vous, c’est pourquoi je les repère de loin. Vous m’avez l’air très ouverte, je peux vous faire une proposition ? »
« Pourquoi pas, allez-y. »
« Ok mais d’abord, il faut être franche avec moi. »
« Ok. »
Il s’est mis à parler à voix basse :
« Je suis très dominateur, j‘aime les couples soumis, j’aime baiser la femme devant son cocu, on peut bien s’amuser dans ce genre de situation si tout le monde joue le jeu. Ça vous tente ? »
« Vous au moins vous êtes direct. »
« Il faudra faire tout ce que je vous demande, vous et lui, vous devrez m’obéir. À tout moment vous pourrez arrêter si ça ne vous convient plus. Alors, ça vous dit une nuit de débauche ? »
« Il faut que je lui en parle avant. »
Ok, je vous laisse, je crois qu’il arrive, faites-moi signe si c’est bon, on ira boire un verre dans un endroit où on ne me connaît pas. »

Je suis resté bouche bée, je ne m’attendais pas du tout à ça.
Que faire, la proposition était bien tentante, Nathalie semblait emballée alors j’ai dit oui.
Elle lui a fait un signe d’approbation et nous sommes sortis, il nous a rejoint quelques instants plus tard.
« Suivez-moi, on va prendre ma voiture, à partir de maintenant, c’est moi qui vous dirige. »
Puis arrivé à sa voiture il a dit :
« Toi le cocu tu montes derrière et toi MA salope tu vas devant. »
Une fois installés, il a de nouveau été directif, d’ailleurs lui seul devait parler.
« Écarte bien que je vois ta chatte, hummmm pas de culotte comme j’aime. »
Nathalie avait encore opté pour une tenue très sexy après la douche, elle portait une jupe très courte et juste une petite veste légère assez ouverte, sans rien dessous.
Il l’a tripoté un peu avant de démarrer puis lui a dit :
« Caresse ma queue pendant que je conduis. »
« Voilà, c’est bien, continue, tu es en train de me faire bander. »
Puis se tournant vers moi :
« Elle sait y faire ta salope, non pardon, ce soir c’est ma salope, ta femme m’appartient, elle n’est plus la tienne, jusqu’à demain matin. »
« Dommage, il fait encore jour, sinon tu m’aurais sucé, mais là en ville, ça craint un peu. »
Nous nous sommes arrêtés boire un verre à la terrasse d’un bar dans une autre ville.
Il tenait la main de Nathalie et moi je les suivais.
Une fois assis, il ne se privait pas pour lui caresser les cuisses et l’entre-cuisse, tout en lui roulant des pelles régulièrement.
Il voulait montrer que la belle salope assise à côté de lui était sienne.
« Allez, on va manger un morceau maintenant, il faut prendre des forces pour la nuit. »

Nous avons repris la voiture avec nos places et nos rôles attribués et avons roulé jusqu’à un Buffalo Grill.
Nous avons été installés à une table de quatre avec banquettes, lui et ma femme d’un côté et moi en face.
Comme précédemment, il l’a peloté et embrassé pendant une grande partie du repas.
Avant de partir il est allé téléphoner puis est revenu cinq minutes plus tard.
« Allez, on y va, je paye et on rentre. » A-t-il dit en plaquant bien la main sur les fesses de ma femme.
Nous avons roulé un peu, puis il nous a dit :
« Jean Noël va certainement nous rejoindre dans la nuit, je lui ai dit qu’on allait chez vous, il connaît l’adresse, n’est-ce pas ma petite pute. Comme ça, le cocu, tu pourras voir la grosse bite qui a défoncé ta femme samedi dernier. »
Nathalie, comme elle devait le faire, lui caressait la queue à travers son short.
« C’est bon il fait nuit, suce-moi jusqu’à chez toi. »
Elle a ouvert sa braguette, sorti sa queue de son caleçon puis s’est penchée pour le prendre en bouche.
« Putain tu suces bien, je comprends que Jean No a adoré te fourrer. »
Sa queue était épaisse et pas trop longue et il bandait bien dur, ce qui plaisait beaucoup à Nathalie, elle s’est donc bien appliquée à lui aspirer la bite pendant le trajet.

Quand nous sommes rentrés dans l’appartement, il lui a ordonné :
« Embrasse ton cocu pour lui faire sentir le goût de ma queue que tu as sucée pendant une demi-heure. »
Elle sentait le sexe et j’adorais ça.
Puis ma femme a émis une condition avant de continuer :
« Avant d’aller plus loin, je veux juste préciser une chose, personne ne prend mon cul ce soir, je ferais tout ce que vous voulez mais pas me faire enculer. »
« Ok, pas grave, je prendrais celui de ton mari. »
« Si tu veux. »
Je me suis senti soudain très mal à l’aise, surtout que ma femme avait donné son accord.
Me voyant ainsi il a surenchéri en ricanant :
« Ne t’inquiète pas le cocu, j’ai plein de bonnes surprises pour toi. »
« Allez, à poil tout le monde, même toi cocu. »
Il s’est installé sur le canapé, a appelé ma femme pour qu’elle vienne s’asseoir sur lui et m’a dit de rester debout à les regarder.
Elle était dos à lui, il l’embrassait dans le cou en lui caressant les seins, sa bite toute raide frottait contre son pubis, elle a mis sa main pour le branler et attraper ses couilles.
Elle ronronnait comme une chatte en chaleur en me regardant bien droit dans les yeux avec son air de salope qu’elle sait si bien faire.
Puis elle m’a dit :
« Tu aimes ça, voir ta salope dans les bras d’un autre, savoir qu’il va me baiser devant toi et me faire gémir de plaisir. »
Ma queue était maintenant toute raide, j’ai approché ma main de mon sexe pour me branler.
« Non, tu ne te branles pas, tu nous regardes c’est tout. Tu te branleras si je te l’ordonne, pas avant. » Il avait dit ça d’un ton très sec et directif.
Je suis donc resté ainsi debout devant eux à les mater.
Sa queue frottait de plus en plus contre le sexe de ma femme qui se lovait contre lui.
Elle aussi jouait bien le jeu, elle savait que la voir ainsi me procurer énormément de plaisir et avait pris le pari dans son for intérieur de me faire éjaculer sans que, ni moi ni personne ne me touche.
Elle débordait de sensualité, se collant bien à lui et remuant son bassin pour sentir encore mieux sur son clito le braquemart qui allait bientôt la baiser.
Le gros gland était à la limite de la pénétration, il était emprisonné par ses lèvres intimes.
Ils s’embrassaient à pleine bouche et en bavaient presque, juste à se frotter ainsi, elle sentait qu’elle allait jouir, elle haletait de plaisir.
Sa chatte était trempée, elle n’en pouvait plus.
« J’ai envie de la sentir en moi, j’en peux plus. »
Alors avant de continuer il lui a dit :
« J’ai fait un test la semaine dernière, je suis sain, ça te va. »
Elle m’a regardé et lui a répondu :
« Oh oui vas-y baise-moi, j’ai envie de sentir ta grosse queue me défoncer. »
Sitôt dit, sitôt fait, son chibre est rentré comme dans du beurre et ma femme a joui très fort presque instantanément.
Pendant plusieurs minutes, elle l’a gardé dans son ventre sans bouger, le temps de reprendre son souffle et ses esprits, lui attendait patiemment le dard toujours bien raide.
Ma bite bavait toute seule d’avoir vu ma femme prendre si rapidement son pied, je même cru que j’allais éjaculer sans me toucher.
Remise de ses émotions, elle m’a regardé en disant :
« Hummm tu bandes bien mon cocu, ta queue bavouille, tu aimes ça me voir prendre du plaisir avec mon amant, sa queue est bonne, bien plus grosse que la tienne, il m’a trop bien fait jouir. »
« C’est bien, tu parles comme il faut à ta lopette de mari, il est fait pour être cocu et toi pour baiser sous ses yeux en l’humiliant. Dis-lui de venir te lécher. »
« Écoute mon amant et viens me nettoyer la chatte, viens sentir le goût de sa bite et lèche-le aussi en même temps que moi. »
Je me suis agenouillé devant eux pour venir mettre ma langue comme me l’avait demandé ma femme, je lui nettoyais les lèvres mais ne pouvais pas aller plus loin, une grosse bite obstruait le passage.
« Lèche-nous et bouffe-lui les couilles. »
Ma femme devenait directive avec moi et moi j’obéissais.
Elle a sorti le gourdin qui était en elle, puis a tendu son bassin vers moi.
« Maintenant, nettoie-moi en profondeur. »
Puis elle s’est relevée en prenant ma tête pour la diriger vers la queue de son amant.
« Suce le bien. »
« Tu apprends vite dis donc, et lui aussi, en plus il suce bien, je ne dois pas être sa première queue. N’est-ce pas cocu. »
J’ai hoché la tête en signe d’acquiescement tout en continuant à le pomper.
Il me tenait par les cheveux pour me diriger.
Puis m’a écarté en me disant :
« Arrête-toi, je ne veux pas éjaculer tout de suite dans ta bouche, j’ai ma salope à baiser d’abord. »
Quand il m’a dit de me relever, du liquide séminal coulait le long de ma verge jusqu’à mes couilles.

Nous sommes allés dans la chambre, il s’est allongé sur le lit et a dit à Nathalie de venir s’empaler sur sa grosse queue, quant à moi, je devais toujours rester debout sans rien faire, juste regarder le plaisir qu’il lui donnait.
Sans hésiter, elle l’a chevauché.
Accroupi au-dessus de lui, elle montait et descendait sur son pieu bien raide, il la tenait sous les fesses pour l’aider.
Elle se sentait bien remplie et gémissait à chaque mouvement, lui grognait de plaisir en lui disant qu’elle était une bonne pute.
D’où j’étais je voyais bien le sexe de ma femme l’engloutir, à ses mouvements de bassin je savais qu’elle prenait plaisir à se faire baiser et qu’elle ne tarderait pas à jouir encore.
« Putain elle est bonne ta queue. »
« Tu aimes quand je te baise petite salope. »
« Oui j’adore, c’est trop bon. »
« Je te baise bien avec ma grosse queue, mieux que ton cocu ? »
« Oh ouiiiiiii, tu me baises mieux que lui, continue, je vais jouir, oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiii vas-yyyyyyyyy c’est bonnnnnnnnnnnnnnnn, ahhhhhhhhhhhhhhhhh. »
« Tu as entendu cocu, je la baise mieux que toi, c’est pour ça qu’elle m’appartient. »
« Allez, viens nous sucer encore et applique-toi. »
Nathalie s’était mise sur le côté et je suis venu entre leurs cuisses pour les lécher à tour de rôle.
Je prenais un certain plaisir à être ainsi soumis, j’aimais prendre sa queue dans ma bouche et j’espérais presque qu’il éjacule, pour que j’avale sa semence.
Il a dû s’en rendre compte et m’a dit :
« Tu as l’air impatient de goûter mon jus, dis-moi que tu en as envie. »
« Oui j’adorerais ça. »
Puis se tournant vers ma femme :
« Tu as vu ta lopette est comme toi, vous m’appartenez tous les deux. »

Il l’a ensuite prise en levrette, la tenant fortement par les hanches et en lui claquant les fesses de temps en temps.
Il n’avait pas encore joui et il était fortement excité, il la défonçait puissamment en la traitant et en me disant de bien regarder comment il la démontait.
Après qu’elle a pris son pied plusieurs fois, il s’est lâché et vidé au fond de son ventre en poussant un grognement presque inhumain.
Il s’est allongé sur le dos, a dit à Nathalie de faire pareil et m’a fait signe de venir.
« Nettoie-moi la queue et qu’elle soit bien propre »
De nouveau entre ses cuisses je savourais sa bite qui avait le goût de cyprine et de sperme.
Je l’ai bien léché partout pour enlever toute trace de jouissance comme il me l’a ordonné.
Ensuite il m’a poussé :
« Allonge-toi sur le dos, toi la pute, viens poser ta chatte sur sa bouche pour qu’il te nettoie aussi. »
J’ai aussitôt enfoncé ma langue dans son sexe et une grosse quantité de sperme est tombée dans ma bouche, je l’ai avalée et ai continué le nettoyage de sa chatte.
Je connaissais bien le goût sucré de ma femme, par contre le jus de son amant était très fort et salé.
Je n’ai pas réussi à me contrôler et j’ai éjaculé, sans me toucher, sur mon ventre.
Mon sexe faisait des soubresauts à chaque giclée que j’évacuais.
« Putain qu’elle fiotte ton mari, il a craché en bouffant nos jus. »
Je suis parti dans la salle de bain et leur ai ramené une bière chacun.
Nathalie avait sa tête collée à sa bite et la caressait doucement.

Quelques instants plus tard, on frappait à la porte.
« Va ouvrir, le cocu, ça doit être Jean No et présente-toi en lui disant que tu es le cocu de la pute qu’il a baisée samedi soir. »

Je suis allé ouvrir en exécutant ses ordres.
« Enchanté le cocu, ta femme est une sacrée salope, je suis impatient de la baiser à nouveau. »
Nous avons appris seulement à ce moment que celui avec qui nous étions depuis le début de la soirée s’appelait Serge, mais il voulait qu’on l’appelle Sergueï.

Jean No a demandé à ma femme de venir le sucer tout de suite.
Elle allait le faire quand Sergueï lui a dit :
« Attends, commence par le cocu, tu verras il suce très bien aussi. »
Après qu’il m’a fait un signe de la main, je suis venu m’agenouiller devant lui pour lui ôter son pantalon et son caleçon et le prendre dans ma bouche.
« Putain elle est énorme. » Me suis-je dit.
Plus elle grossissait, plus j’avais de mal à la sucer, mais c’était fort excitant d’avoir une bite aussi grosse à s’occuper.
Avec Nathalie nous avions chacun un braquemart en main, elle s’affairait à faire reprendre vigueur à son amant et moi celui de Jean No.
Ils ont très vite été au top.
Le black m’a poussé, puis a attrapé une capote qu’il a enfilé avant de se mettre contre les fesses de ma femme qui était à quatre pattes, la bouche toujours remplie par la queue de Sergueï.
Ils l’ont prise ainsi chacun leur tour, la faisant jouir maintes fois.
Parfois ils m’oubliaient, parfois ils m’humiliaient en lui disant de me rabaisser.
« Regarde mon cocu comment ils me défoncent bien mes deux amants, leurs queues sont trop bonnes, meilleures que la tienne, ils me baisent mieux que toi, j’aime trop ça. »

Ils l’ont possédée une grande partie de la nuit, j’ai dû nettoyer leurs bites et la chatte de ma femme plusieurs fois, ils ont joui chacun une fois dans ma bouche et j’ai dû avaler leur foutre.

Jean No est parti vers cinq heures du matin, Sergueï a dormi avec ma femme et moi par terre à côté du lit.
Il l’a baisée encore une fois dans la nuit et m’a réveillé pour que je les nettoie.

Vers onze heures, elle l’a de nouveau sucé avant de se lever.
Pour ma part, j’ai éjaculé trois fois sans me toucher au cours de la nuit, dont une fois quand le black s’est déversé dans ma bouche.

Nous sommes rentrés chez nous le lendemain, les vacances étaient finies.

Il ne restait plus à Nathalie qu’à aller rendre les clés à son ancien collègue.

Elle y est allée en après-midi, vêtue de hauts talons, d’une mini-jupe et d’un corsage transparent.
Quand il lui a ouvert, il ne lui a pas laissé le choix en la prenant par la taille et la collant à lui pour lui rouler une pelle.
« J’attendais ce moment avec impatience. » Lui a-t-il dit.
Sans attendre plus longtemps, il l’a emmenée dans sa chambre pour la coucher sur le lit et la déshabiller complètement en l’embrassant partout.
Il s’est installé entre ses cuisses pour lui bouffer la chatte.
Elle s’est très vite laissé aller et n’a pas tardé à prendre du plaisir avec sa langue.
Il a continué jusqu’à un deuxième orgasme.
Ensuite c’est elle qui est venue lui donner du plaisir avec sa bouche.
Elle l’a sucé goulûment en prenant soin de le lécher partout du gland jusqu’aux couilles, elle a même titillé son anus avec un doigt et comme il semblait bien apprécier, elle a poussé l’exploration plus en profondeur, ce qui a fait qu’il n’a pas pu se retenir longtemps avant d’éjaculer au fond de sa gorge.

Ils ont bu un verre pour se remettre, tout en discutant, puis comme il bandait à nouveau, il est allé chercher des capotes.

Couché sur elle il l’a pénétrée tout en l’embrassant, elle a bien écarté les jambes pour les enrouler ensuite autour de sa taille et le sentir mieux enfoncé en elle.
Il la pilonnait bien fort en lui disant qu’elle était bonne.
Elle a encore joui deux fois avant qu’ils ne changent de position.
Cette fois-ci en levrette.
Collé contre ses fesses il la défonçait bien fort en titillant son anus à son tour.
Dès qu’elle jouissait il enfonçait ses doigts un peu plus dans son fondement en prenant soin de bien les lubrifier avant.
« Ton cul me tente trop, il faut que je le prenne. »
Alors il a présenté sa queue trempée de cyprine devant son anus et doucement s’est enfoncé entre ses fesses.
Les vas-et-viens étaient plus doux, moins violents, en plus d’une main, il lui caressait le clito pendant qu’il l’enculait.
Quelques instants plus tard, il se déversait dans ses entrailles pendant qu’elle aussi avait un nouvelle orgasme.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
La coquine est devenue une sacrée dévergondée... Le cocu ne devrait pas se laisser rabaisser...
Et oui, la protection....
Lolo

Non, ce n’est pas la soumise qui est poufiasse, mais l’auteur qui minimalise les effets secondaires d’une éventuelle contamination qui peut conduire jusqu’à la mort.
Moi j’appel un trou du cul.

Histoire Libertine
1 système cuckold ou le mari sans couilles dort par terre alors qu’il y avait 1 chambre sans oublier l’absence de capotes.
1 maître est sensé protéger sa soumise et non pour jouer à la roulette avec elle.
Quelle sacré poufiasse.



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