Des vacances, de délires. 1 - histoire érotique

Michel et sa femme, Lucette, sont très fusionnels avec leur nièce Marion, la jeunette d'une vingtaine d'années, passe plus de temps avec eux qu'avec ses parents.
C'est les vacances, le couple a loué un petit mas avec une piscine. Comme chaque année, la tante et l'oncle emmènent Marion avec eux. Une fois sur place, le trio fait le tour du propriétaire, Marion choisit sa chambre, et immédiatement enfile son deux pièces. Elle ne prend même pas le temps de ranger ses affaires, qu'elle est déjà dans la piscine.


Lucette range ses affaires et ceux de son mari, avant de dresser la table à l'ombre d'un olivier. Michel allume le barbecue, midi approche. En attendant que le charbon de bois prenne, il prend place sur un transat et avec Lucette, prend l'apéro. Les apéros se suivent, comme ce sont les vacances, le couple en abuse. Marion sort du bassin, son corps ruisselle de gouttelettes de rosée. Son maillot, vraiment mini, cache mal ses rondeurs. Lucette en sirotant son verre dit :

-Elle est magnifique notre petite princesse, tu ne crois pas mon chéri !

Michel, en poussant un gros soupir, répond :

-Oh oui, elle est très belle et quel corps !

Lucette sourit en répliquant :

-Maintenant, elle a les formes d'une femme, il faut admettre, qu'elle n'est plus une enfant la coquine !

En soufflant comme un bœuf, Michel ajoute :

-Je me la ferai bien, oh putain comme je la défoncerai, tu as vu le cul qu'elle a !

Les yeux ne quittent pas le corps de la jeune adulte, son maillot entre dans ses fesses en les séparant. Il ressemble plus à un string qu'à un maillot de bain. Michel grisé, par les apéros, tient des propos malsains :

-Elle est réellement baisable notre nièce, son cul ferait bander un mort !

Lucette éclate de rire et dit :

-Oh là mon chéri, calme-toi, c'est la fille de ton frère, un peu de respect !

Il ajoute en soupirant :

-Regarde ses seins, enveloppés par son soutien-gorge trop étroit, comme ils ont les bouts dressés, ils vont finir par percer le tissu les bougres !

Lucette ne peut que constater la réalité, elle sourit et dit :

-Elle est pleine de vie, qu'elle en profite !

Michel, toujours en extase devant sa nièce, souffle à l'oreille de sa femme :

-Elle doit être vachement bonne, tu ne crois pas ?

Lucette ravale sa salive, et en regardant le corps de sa nièce, bredouille :

-Michel, arrête de divaguer !

En souriant, il dit :

-Avoue qu'elle te fait envie, hein avoue !

Lucette, en se pinçant fortement les lèvres, répond :

-Michel, arrête, je t'en prie, arrête !

En souriant, il dit :

-Ah, ah, j'ai raison, tu en pinces pour elle petite salope !

En haussant les épaules, Lucette réplique :

-Comme toi pauvre type !

Marion sans s'essuyer :

S'allonge sur le transat en face. Elle ouvre les cuisses pour les offrir aux rayons du soleil. Son maillot de bain est inséré dans sa fente, en moulant parfaitement les fines lèvres bien dessinées. Lucette ne peut quitter du regard l'entrejambe, qu'elle imagine garnit d'une fine toison, ornée d'un clito qui ne demande qu'à être taquiné. Michel se lève et prépare le repas. Marion, regarde sa tante et lui dit :

-Tu devrais piquer une tête dans la piscine, elle est vachement bonne, aller viens, je t'accompagne, va mettre ton maillot !

Les deux femmes se lèvent et montent à l'étage. Marion suit sa tante dans sa chambre, Lucette sans complexe, ôte un à un ses vêtements. Elle dit en souriant :

-Nous sommes entre femmes hein !

Les yeux de Marion se posent sur le corps nu de sa tante, elle admire ses formes, elle ignorait que sa tante était si bien faite. Elle sursaute, en regardant la vulve bien rasée. Elle dit surprise :

-Oh tante, tu es rasée, moi, je n'ose pas, j'ai, peur de me couper !

En souriant, Lucette répond :

-J'aime que ma chatte soit bien lisse, ton oncle aussi l'aime comme ça !

Marion baisse son maillot, et montre sa jeune vulve garnit d'une très fine toison, elle regarde sa tante et lui demande :

-Tante, je veux être bien lisse comme toi, tu peux me raser !

En souriant, la tante accepte. Les deux se rendent à la salle de bain, Marion ôte son maillot, et s'assoit sur un tabouret, en écartant largement les jambes. Sa tante lui badigeonne la chatte de savon et commence doucement à raser sa vulve. Une fois finit, Marion ressent le feu du rasoir, sa chatte est rosée. Elle dit :

-Oh la vache ça brule !

La tante plonge deux doigts dans un pot de crème et dit :

-Avec ça m'a chérie, ça va passer !

Lentement, Lucette fait glisser ses doigts sur les grandes lèvres, en faisant de petits cercles. Marion soupire en disant :

-Oh, comme c'est bon !

Les yeux de Lucette brillent de mille feux, sans savoir pourquoi, elle devient plus audacieuse, ses doigts progressivement s'insèrent entre les lèvres, font quelques montées et descentes, pour enfin, se poser sur le clito. Marion se cabre sans repousser sa tante, qui avec dextérité triture la boule qui prend rapidement du volume. Faiblement, Lucette dit :

-Ce que ta perle est belle ma chérie, mon Dieu comme elle enfle vite, on dirait une noisette, oh, elle enfle encore, c'est magnifique !

Marion commence à geindre faiblement, sa tante sait comment la faire pâmer de bonheur. Lucette saisit doucement entre son pouce et son index la boule magique, et commence un doux branlage. Marion pousse des gémissements. De sa main libre, Lucette découvre les siens de sa nièce, elle saisit un mamelon et le roule entre ses doigts. Marion dit en soufflant comme un dragon :

-Oh tante, tu fais mieux que mon copain, continue, c'est merveilleux !

Encouragée, la tante accélère la masturbation du clito. Elle presse en même temps le mamelon. Marion grimace, et marmonne :

-Oui, oui, tante plus fort, mon Dieu, comme c'est bon, je vais jouir, oui, ça vient, ça vient !

Marion se cabre en poussant un gémissement terrible. Sa tante lui écrase le clito et le mamelon en même temps. Pendant qu'elle explose, une brulure intense lui traverse les entrailles, sa jouissance est exceptionnelle. Elle s'accroche à sa tante, car, elle manque de tomber du tabouret tellement c'est violent. Lucette, dans un état fébrile, se redresse et dit :

-je vais mettre mon maillot, aller, allons piquer une tête dans ma piscine !

Marion reste comme une comateuse haletante, elle a beaucoup de mal à reprendre ses esprits. Une fois prête, Lucette se lance dans le bain suivit de sa nièce. Michel, retire les aliments cuits, et regarde les deux femmes jouer comme des enfants dans l'eau, sans les interrompre. Lucette, un peu fatiguée, s'accroche au bord du bassin. Marion se colle à elle et lui dit à l'oreille :

-Ce que tu m'as fait tout à l'heure, tante était magnifique, j'ai joui plus avec tes doigts que ceux de mon petit copain, tu es merveilleuse, j'aimerais recommencer, c'était trop bon !

Lucette, très gênée, en ravalant sa salive, répond :

-C'était un moment d'égarement, et je le regrette amèrement !


La coquine insiste :

-Pendant que tu me masturbais, je suis certaine que tu mouillais, comme une fontaine !

Lucette, en poussant un gros soupir d'agacement, réplique :

-Tu es un monstre Marion, je ne répondrai pas, imagine ce que tu veux, je m'en moque !

En se cramponnant d'une main à sa tante, Marion plaque sa main sur l'entrejambe de sa tante et dit :

-Oh comme j'ai envie de te faire jouir, je te suis redevable. Laisse-moi te caresser !

Lucette sent les doigts s'agiter sur sa vulve que seule la culotte protège. Elle se cabre en ruant et en bafouillant répond :

-Mais tu es folle, Marion, j'ai mon mari pour cela !

En faisant un large sourire, Marion réplique :

-Mais on peut l'inviter, tu sais, je suis sûre qu'il ne dirait pas non !

Lucette réussit à faire volte face à sa nièce, elle la regarde intensément et dit :

-Mais qu'est-ce qui te prend, toi si posée, si sensée, tu délires complétement ma chérie !

Marion sans se démonter répond :

Je sais que tous les deux, vous me désirez, tout autant que moi, alors pourquoi se gêner !

En terminant sa phrase, elle appuie ses lèvres sur celles de sa tante, qui frémit fortement. D'un bond, elle est hors de l'eau et en courant dit :

-Tu ne m'attraperas pas !

Lucette sort à son tour du bassin, et se met à courir derrière sa nièce. Marion se laisse rattraper. Lucette l'enlace. Les deux tombent sur l'herbe brulée par le soleil, elles roulent l'une sur l'autre en riant comme des enfants. Pendant la petite lutte, le soutien-gorge de Lucette laisse échapper ses siens. Les deux lobes, charnus, s'affaissent sur le torse de la tante, qui n'ose plus faire un mouvement. Marion est sur elle. Rapidement, elle gobe un mamelon, et le suce voracement. Lucette se cabre, soupire de nombreuses fois sans repousser l'agresseur. Michel surprit, se dresse et observe la scène, sans intervenir.

Il tombe sur une chaise et ne quitte pas des yeux les deux femmes.