Des vacances de délires fin

Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Des vacances de délires fin
Des vacances, qui commencent bien chapitre 2
la bouche vorace de Marion, change constamment de mamelons. L'affamée de nièce, a l'art de les faire gonfler, rapidement, les bouts très sollicités, deviennent monstrueux et douloureux.
Les succions à répétitions, qu'elle pratique dessus, font geindre la tante, qui fini par accepter, ce genre d'attouchements, que la morale réprouve, entre personnes de la même famille.
Marion embrasse chaque parcelle de peau. Sa langue habile, fouille le nombril de la tante, qui se cabre en geignant plus fort.
Michel ressent sur son bas-ventre, une érection naissante. Son short se garnit d'une bosse. Il serre les cuisses, pour atténuer vainement, le flux sanguin qui lui gonfle la hampe. Il presse sa verge plusieurs en grimaçant, mais sa verge continue de prendre du volume. Elle devient si douloureuse, qu'il l'extirpe se son short, et la caresse doucement, sans quitter des yeux le spectacle que donnent les deux femmes.
Avec habileté, Marion baisse le maillot de bain de sa tante, à mi-cuisses. Elle découvre sa chatte rasée, et hume fortement les effluves odorantes qu'elle rejette. Elle se met à lécher les grandes lèvres, déjà très humides. Lucette se cambre fortement, en poussant des gémissements, qu'elle étouffe en se mordant la main jusqu'au sang. Bien que Lucette ait les cuisses serrées, Marion lui gobe le clito.
En poussant un long râle, Lucette se cambre encore plus. Son corps se met à frémir, la bouche avide de sa nièce, lui dévore la boule qui enfle de plus en plus. Lucette ne retient plus ses gémissements, elle semble avoir oubliée son mari, qui bande férocement en regardant les deux amantes. la langue voyage entre les grandes lèvres, en agaçant le clito qui est devenu énorme. Soudain, elle s'enfonce profondément dans le conduit brulant, le fouille rageusement. Marion, emploie tous les moyens, pour amener sa tante à l'orgasme. Et cela se produit rapidement. Lucette se tend comme un arc et en poussant un hurlement, explose, sa jouissance et fabuleuse, elle appuie sur la tête de sa nièce, et en haletant elle marmonne :
-Oh, ma chérie, c'est magique !
Lucette bascule sa nièce, d'un geste brusque, elle lui arrache le soutien-gorge, et le slip de bain. Marion est nue devant sa tante, qui elle aussi arrache son maillot. Lucette regarde les seins en forme d'œufs sur le plat de Marion, elle est étonnée par les bouts très larges et épais, qui son plantés au centre d'aréoles brunes. Elle caresse les petits seins, délicatement, avant de saisit les bouts monstrueux. Elle les roule, les étire, pour enfin les presser fortement. Marion grimace, c'est étrange, elle semble apprécier ce mélange de douceur et de brutalité. La tante le remarque, et réitère plusieurs fois, de fortes pressions sur les bouts, qui miraculeusement enflent encore.
Michel ne loupe pas une image, il se masturbe rageusement en serrant les dents. Il voudrai en voir d'avantage avant d'intervenir. La bouche de sa femme se pose sur un mamelon, et l'aspire brusquement. La nièce se cabre en poussant un gémissement de bête blessée. Lucette dévore le mat de chair avec rage, avant de passer sur l'autre. A force de succions répétées et violentes, les mamelons deviennent douloureux. Marion grimace, mais ne repousse pas sa tante qui s'acharne sur ses mamelons. Enfin, l'affamée, délaisse les bouts gonflés et commence à malaxer les seins, rapidement, les petits lobes deviennent fermes. Lucette enfonce ses doigts dans les chairs, en fixant droit dans les yeux sa nièce, pour la voir grimacer et l'entendre geindre.
Enfin, la bouche avide de Lucette parcourt le corps fébrile de Marion, qui souffle comme un dragon. Elle s'attarde sur le nombril, avant de descendre sur la fente humide. Elle aspire les grandes lèvres, les suce, en marmonnant des paroles inaudibles. La langue habile, s'insère dans le sillon, pour partir à la recherche de la boule magique. Avec la pointe de sa langue, Lucette agace le clito qui est déjà très gonflé.
La chatte de la jeunette, est trempée. Lucette plaque sa bouche sur l'abricot, qui suinte comme un fruit trop mûr. La tante aspire le jus férocement, pour s'en gaver. Marion geint comme une agonisante, la bouche de sa tante la rend folle. Elle agite son bassin, se cambre fortement, pour enfin jouir. Sa jouissance est grandiose, elle halète comme un sprinteur en fin de course. Lucette n'en a pas finit avec elle, elle la retourne sur le ventre, et lui écarte fortement les fesses. Elle observe un moment la pastille ridée, et dit :
-Mon Dieu ce qu'elle est belle ta petite fleur ma chérie, tata va bien s'en occuper !
Lucette plaque sa bouche sur l'anus en grognant. Elle le lèche, et l'aspire fortement comme pour le faire sortir de son logement. Le muscle rectal enfle sous la formidable aspiration. Lucette, tant bien que mal, parvient à le sucer et le téter. Marion croit mourir de plaisir. Cet attouchement inconnu d'elle jusqu'à présent, la fait geindre comme une bête malade. la langue de la tante, s'enfonce dans son anus de quelques centimètres. Marion se cambre en poussant un :
-Mon Dieu, tante, tante !
la langue fouille comme elle peut la gaine anale. Lucette ressort sa langue du conduit, aspire fortement de nouveau l'anus, pour le faire ressortir d'avantage, puis replonge sa langue le plus loin possible dans le rectum pour le fouiller. Marion délire :
-Oh tante, tante, tu es diabolique, encore, encore !
Marion reçoit sa première jouissance anale. Elle se cambre comme un pont en poussant un hurlement terrible, qui fait sursauter son oncle. Michel salive fortement, il ignorait ce talon caché de sa femme, il pense sérieusement à se faire dévorer l'anus , par cette experte en lèches, qui n'est autre que sa femme aimée.
Marion hyper excitée, roule sur sa tante, elle se place tête bêche. Elle lui plaque sa bouche sur la chatte en feu, qui ne cesse de rejeter son jus. Lucette réagit vivement, elle saisit fermement le bas des reins de sa nièce, et elle aussi, se met à lui dévorer la chatte. Les deux amantes se broutent mutuellement les orifices, car Marion veut rendre à sa tante la jouissance qu'elle lui a donnée, elle pratique sur son anus le même travail, mais avec plus d'aisance car l'anus de Lucette et très boursouflé, à cause des nombreuses pénétrations anales, (bien venues), que lui inflige son mari.
Marion fore de sa langue le rectum, le fouille, en faisant couiner sa tante de plaisir, qui hurle :
-Vas-plus loin , vas-plus, loin, oh putain, que c'est bon, Marion, oui, oui !
Une puissante giclée, est expulsée de la chatte en fusion de Lucette, Marion la reçoit en plein visage. Elle se redresse en souriant, et s'essuie, d'un revers de la main. Elle contemple l'anus qu'elle vient de dévorer, l'anneau ne cesse de s'ouvrir et de se refermer, comme prit de convulsions.
Lucette est haletante, sa respiration est rapide, son cœur bat à se rompre dans sa poitrine.
Michel, pousse un grognement, sa verge envoie dans les airs sa semence, qui retombe sur ses doigts, son ventre, sans omettre son short. Il grimace en regardant les dégâts causés. Il se lève, retire son short souillé, et avance vers le couple, la verge toujours dressée comme un mat. Marion regarde le manche gluant planté sur le bas-ventre de son oncle. Elle constate qu'il est bien monté le bougre, c'est autre chose que son petit copain. Michel dit, en arborant un large sourire :
-alors, on joue sans inviter Michel, c'est pas bien ça !
Il approche de la bouche de sa femme son engin tendu, le frotte un instant sur ses lèvres charnues; et dit en souriant :
-Suce ma chérie, fais voir à notre nièce chérie, comment tu sais te servir de ta bouche !
Lucette prend ça pour un honneur, elle saisit le manche gluant, ouvre la bouche, et enfourne le gland qu'elle vient de décalotter. Elle suce et tète en faisant des bruits de succions terribles, la coquine savoure la queue, comme si c'était la première fois. Sa bouche fait des merveilles, Michel geint comme une bête malade.
Soudain , il lui saisit les cheveux et enfonce sa bite jusqu'aux coquilles dans la bouche de sa femme.
Il entreprend un va-et-vient terrible, un filet de bave s'échappe à la commissure des lèvres de sa femme, ses yeux se remplissent de larmes, bien qu'elle soit souvent soumise aux gorges profondes, elle a des hauts le cœur, elle grimace.
Enfin Michel libère sa semence, elle remplit la gorge de sa femme, qui le repousse brutalement car elle manque d'étouffer. Marion reste baba, devant le spectacle. Lucette avale en regardant son mari, elle attrape d'une main le membre, et le reprend en bouche. Elle suce et tète comme une vorace, Michel est au bord de la syncope, tellement sa femme s'acharne qsur sa queue, il bredouille :
-Oh ma chérie, ce que tu es bonne, je vais encore décharger, oui, oui ça vient !
Mais Lucette au lieu de l'achever, lâche le gland et dit ;
-Marion à toi ma chérie, suce tonton !
Marion ravale sa salive, et gobe le gland, elle cherche à faire aussi bien que sa tante. Sa langue tourne sur le gland, l'aspire. Michel est étonné par la fellation que pratique sa nièce sur sa queue. Malgré son jeune âge, elle suce aussi bien que sa femme, (comme une professionnelle du sexe). le bougre gémit, râle en s'agrippant aux cheveux de sa nièce. Il se cabre, une jouissance terrible le fait hurler. La bouche de Marion, reçoit un flot de sperme. la coquine avale la crème onctueuse, sans faire de chichi. Lucette en hyper excitation dit :
-Baise-là Michel, baise-là, éclate-là !
Michel souriant, relève avec deux doigts le menton de sa nièce et lui donne un baiser bruyant sur les lèvres. Il la bascule sur l'herbe brûlée, et prend place entre ses cuisses. Il place contre la chatte dégoulinante son gland visqueux, et pousse. En grimaçant, Marion reçoit dans son ventre la queue puissante de son oncle. l'engin important du tonton, lui dilate le conduit fortement. Lucette, regarde émerveillée, le pieu coulisser dans la gaine distendue de sa nièce. Elle dit :
-Oh mon chéri comme tu l'ouvres bien, vas a fond, oui bien à fond, frappe avec tes couilles sa petite chatte gourmande, oh la vache, elle te prend bien la petite salope, bourre-là, fais-là gueuler de plaisir, elle le mérite bien notre chérie !
Michel commence un aller et retour, de plus en plus rapide. Marion grogne de plus en plus fort, elle agite son bassin comme une hystérique. Elle s'accroche à son oncle comme un rapace sur sa proie. Elle donne elle aussi de violents coups de reins, à chaque enfoncement du pal en elle, elle grimace, et en délirant, répète :
-Oh putain, tonton comme tu m'éclates, vas-y, vas-y ouvre-moi en deux avec ta grosse queue, fais-moi gueuler !
La bite voyage dans la gaine, en faisant geindre de plaisir la jeune soumise. Elle est sur un nuage, c'est la première fois qu'une aussi grosse bite, lui laboure le ventre. Elle serre tes fort son oncle, en geignant comme un animal malade. les coups qu'il donne sont dévastateurs. Il prend plaisir, à violenter férocement sa nièce, qui ne cesse de gémir de plaisir.
Marion au bord de l'explosion, se cabre et, en poussant un long râle, jouit. Sa jouissance est monstrueuse, jamais elle n'a subit un tel accouplement, elle est au bord de la syncope. Entre deux respirations, elle parvient à prononcer :
-Tonton, tonton, c'est merveilleux, tu es une bête !
Michel continue de lui pilonner les entrailles. Il veut lui aussi avoir une jouissance. Sa verge gonflée, et si enserrée dans la gaine vaginale très étroite, qu'elle lui donne l'impression, qu'elle lui fait une fellation, et cela décuple son plaisir. C'est en poussant un grognement de fauve qu'il remplit le ventre de sa nièce avec sa semence visqueuse. Il donne encore qu'elle estocade, avant de se retirer du corps si accueillant. Lucette regarde l'engin qui est secoué de soubresauts, elle dit avec dans la voix une certaine excitation :
-Prends-moi, mon chéri, prends-moi, pendant que ta queue est encore dure !
Rapidement, Michel prend place entre les cuisses de sa femme, et lui enfonce ce qu'elle demande dans le ventre. Le bougre lui travaille la chatte comme un expert, Lucette sait qu'avec son mari, elle aura une jouissance fabuleuse. le coquin, la démonte comme un sauvage. Lucette geint terriblement, elle s'agite sur la queue puissante de son mari en geignant comme une bête malade. Soudain il retire sa queue du vagin, lui prend les jambes et les pose sur ses épaules. Lucette connait cette position, elle dit :
-Oui, oui, mon chéri !
Il place sa bite contre l'anus boursouflé, et pousse. l'engin semble aspiré par le muscle rectal, il disparait entièrement dans le rectum jusqu'aux couilles. Lucette souffle comme un animal, bien qu'elle affectionne la sodomie, la pénétration est toujours douloureuse. Lucette grimace pendant les premiers coups de pilon. mais le plaisir s'installe rapidement. Maintenant à chaque enfoncement de la queue de Michel dans son fondement, elle pousse des gémissements de bonheur, elle l'encourage même :
-Oui, oui, mon chéri, éclate-moi le cul comme tu sais si bien le faire, tape, tape, fort !
Michel défonce sa femme comme elle aime, ses coups de reins sont redoutables et violents. Marion regarde la scène en écarquillant les yeux. Elle voit la verge énorme, voyager dans le rectum bien dilaté de sa tante haletant de plaisir.
Sa chatte se met en ébullition, elle plaque sa main sur son clito, et le saisit brutalement. Marion se masturbe comme jamais elle ne l'avait fait. Elle grimace en se faisant violence, elle serre les dents, en écrasant son clito fortement. Soudain, elle se cambre, une violente jouissance lui secoue les entrailles. Elle explose en même temps que sa tante, qui halète sous les coups de boutoir de son mari et amant. Michel veut que sa femme jouisse encore du cul, il la démonte comme un soudard.
Sa bite, fait des allers et retours rapides, dans le conduit dilaté. Lucette gémit en implorant presque son mari de la finir. Michel s'acharne sur elle, comme un lion sur sa proie.
Lucette se cabre en poussant un long râle. Une violente brulure, lui traverse le ventre, elle produit dans son corps une phénoménale jouissance. C'est si intense que Lucette se cabre en hurlant :
-Assez, assez mon chéri, mon Dieu tu me tues !
Michel retire du cul de sa femme, son mamba qui n'a pas encore craché son venin. Ses yeux brillent, il regarde sa nièce. Elle a les yeux exorbités, en voyant le trou béant de sa tante, qu'elle caresse en grimaçant, pour en apaiser la brulure. Michel dit :
-Viens t'empaler sur la queue ma chérie, tu en meurs d'envie, aller viens !
Il s'allonge sur le dos et attend, le bon vouloir de sa nièce, qui ne se fait pas prier longtemps. Elle enjambe son oncle, il dirige sa queue vers la petite entrée. Marion descend doucement son corps avec appréhension, elle pose son anus sur le gland gonflé comme jamais. Elle prend une grande aspiration, et commence en grimaçant à s'empaler le cul sur le pieu puissant. Elle serre les dents, la bite de son oncle est large et épaisse, c'est autre chose que celle de son petit copain.
Lentement le gland s'engage dans sa gaine étroite, en la dilatante fortement. Lucette les yeux embués, se lève difficilement, et pose ses mains sur les épaules de sa nièce. Elle appuie fortement, Marion pousse un cri de douleur, le membre s'enfonce dans son rectum jusqu'aux couilles. Elle prend appuie sur le torse de son oncle, le visage déformé par une moue affreuse.
Lucette, semble en surexcitation, elle dit :
-Agite, toi, agite, ton cul, profite de cette belle bite qui te fore le cul, aller, aller salope, encule-toi à fond, fais-toi jouir du cul !
Toujours en grimaçant, Marion commence à faire monter et descendre son corps sur le manche, qui lui dilate le cul. A chaque descente, Michel tire fortement sur les hanches de sa nièce, pour la pénétrer totalement. Au fur et à mesure du ramonage, Marion prend du plaisir. Maintenant, elle ne retient plus ses gémissements, ni ses râles. Une extraordinaire jouissance anale, la fait hurler.
L'oncle continue de lui pilonner le cul. Il pousse un rugissement de fauve, et dit en éjaculant :
-Tiens ma chérie, c'est pour toi ma semence !
Après avoir vidé ses couilles, Michel libère sa nièce, qui tombe dans les bras de sa tante en disant :
-Oh c'est merveilleux, oh comme je vous aime, vous êtes mes amours. On recommencera mes chéris, dites oui, je vous en supplie !
Les vacances, furent dotées de terribles jouissances, de pénétrations torrides et variées. Pour Marion ce fut les meilleurs de sa vie.
la bouche vorace de Marion, change constamment de mamelons. L'affamée de nièce, a l'art de les faire gonfler, rapidement, les bouts très sollicités, deviennent monstrueux et douloureux.
Les succions à répétitions, qu'elle pratique dessus, font geindre la tante, qui fini par accepter, ce genre d'attouchements, que la morale réprouve, entre personnes de la même famille.
Marion embrasse chaque parcelle de peau. Sa langue habile, fouille le nombril de la tante, qui se cabre en geignant plus fort.
Michel ressent sur son bas-ventre, une érection naissante. Son short se garnit d'une bosse. Il serre les cuisses, pour atténuer vainement, le flux sanguin qui lui gonfle la hampe. Il presse sa verge plusieurs en grimaçant, mais sa verge continue de prendre du volume. Elle devient si douloureuse, qu'il l'extirpe se son short, et la caresse doucement, sans quitter des yeux le spectacle que donnent les deux femmes.
Avec habileté, Marion baisse le maillot de bain de sa tante, à mi-cuisses. Elle découvre sa chatte rasée, et hume fortement les effluves odorantes qu'elle rejette. Elle se met à lécher les grandes lèvres, déjà très humides. Lucette se cambre fortement, en poussant des gémissements, qu'elle étouffe en se mordant la main jusqu'au sang. Bien que Lucette ait les cuisses serrées, Marion lui gobe le clito.
En poussant un long râle, Lucette se cambre encore plus. Son corps se met à frémir, la bouche avide de sa nièce, lui dévore la boule qui enfle de plus en plus. Lucette ne retient plus ses gémissements, elle semble avoir oubliée son mari, qui bande férocement en regardant les deux amantes. la langue voyage entre les grandes lèvres, en agaçant le clito qui est devenu énorme. Soudain, elle s'enfonce profondément dans le conduit brulant, le fouille rageusement. Marion, emploie tous les moyens, pour amener sa tante à l'orgasme. Et cela se produit rapidement. Lucette se tend comme un arc et en poussant un hurlement, explose, sa jouissance et fabuleuse, elle appuie sur la tête de sa nièce, et en haletant elle marmonne :
-Oh, ma chérie, c'est magique !
Lucette bascule sa nièce, d'un geste brusque, elle lui arrache le soutien-gorge, et le slip de bain. Marion est nue devant sa tante, qui elle aussi arrache son maillot. Lucette regarde les seins en forme d'œufs sur le plat de Marion, elle est étonnée par les bouts très larges et épais, qui son plantés au centre d'aréoles brunes. Elle caresse les petits seins, délicatement, avant de saisit les bouts monstrueux. Elle les roule, les étire, pour enfin les presser fortement. Marion grimace, c'est étrange, elle semble apprécier ce mélange de douceur et de brutalité. La tante le remarque, et réitère plusieurs fois, de fortes pressions sur les bouts, qui miraculeusement enflent encore.
Michel ne loupe pas une image, il se masturbe rageusement en serrant les dents. Il voudrai en voir d'avantage avant d'intervenir. La bouche de sa femme se pose sur un mamelon, et l'aspire brusquement. La nièce se cabre en poussant un gémissement de bête blessée. Lucette dévore le mat de chair avec rage, avant de passer sur l'autre. A force de succions répétées et violentes, les mamelons deviennent douloureux. Marion grimace, mais ne repousse pas sa tante qui s'acharne sur ses mamelons. Enfin, l'affamée, délaisse les bouts gonflés et commence à malaxer les seins, rapidement, les petits lobes deviennent fermes. Lucette enfonce ses doigts dans les chairs, en fixant droit dans les yeux sa nièce, pour la voir grimacer et l'entendre geindre.
Enfin, la bouche avide de Lucette parcourt le corps fébrile de Marion, qui souffle comme un dragon. Elle s'attarde sur le nombril, avant de descendre sur la fente humide. Elle aspire les grandes lèvres, les suce, en marmonnant des paroles inaudibles. La langue habile, s'insère dans le sillon, pour partir à la recherche de la boule magique. Avec la pointe de sa langue, Lucette agace le clito qui est déjà très gonflé.
La chatte de la jeunette, est trempée. Lucette plaque sa bouche sur l'abricot, qui suinte comme un fruit trop mûr. La tante aspire le jus férocement, pour s'en gaver. Marion geint comme une agonisante, la bouche de sa tante la rend folle. Elle agite son bassin, se cambre fortement, pour enfin jouir. Sa jouissance est grandiose, elle halète comme un sprinteur en fin de course. Lucette n'en a pas finit avec elle, elle la retourne sur le ventre, et lui écarte fortement les fesses. Elle observe un moment la pastille ridée, et dit :
-Mon Dieu ce qu'elle est belle ta petite fleur ma chérie, tata va bien s'en occuper !
Lucette plaque sa bouche sur l'anus en grognant. Elle le lèche, et l'aspire fortement comme pour le faire sortir de son logement. Le muscle rectal enfle sous la formidable aspiration. Lucette, tant bien que mal, parvient à le sucer et le téter. Marion croit mourir de plaisir. Cet attouchement inconnu d'elle jusqu'à présent, la fait geindre comme une bête malade. la langue de la tante, s'enfonce dans son anus de quelques centimètres. Marion se cambre en poussant un :
-Mon Dieu, tante, tante !
la langue fouille comme elle peut la gaine anale. Lucette ressort sa langue du conduit, aspire fortement de nouveau l'anus, pour le faire ressortir d'avantage, puis replonge sa langue le plus loin possible dans le rectum pour le fouiller. Marion délire :
-Oh tante, tante, tu es diabolique, encore, encore !
Marion reçoit sa première jouissance anale. Elle se cambre comme un pont en poussant un hurlement terrible, qui fait sursauter son oncle. Michel salive fortement, il ignorait ce talon caché de sa femme, il pense sérieusement à se faire dévorer l'anus , par cette experte en lèches, qui n'est autre que sa femme aimée.
Marion hyper excitée, roule sur sa tante, elle se place tête bêche. Elle lui plaque sa bouche sur la chatte en feu, qui ne cesse de rejeter son jus. Lucette réagit vivement, elle saisit fermement le bas des reins de sa nièce, et elle aussi, se met à lui dévorer la chatte. Les deux amantes se broutent mutuellement les orifices, car Marion veut rendre à sa tante la jouissance qu'elle lui a donnée, elle pratique sur son anus le même travail, mais avec plus d'aisance car l'anus de Lucette et très boursouflé, à cause des nombreuses pénétrations anales, (bien venues), que lui inflige son mari.
Marion fore de sa langue le rectum, le fouille, en faisant couiner sa tante de plaisir, qui hurle :
-Vas-plus loin , vas-plus, loin, oh putain, que c'est bon, Marion, oui, oui !
Une puissante giclée, est expulsée de la chatte en fusion de Lucette, Marion la reçoit en plein visage. Elle se redresse en souriant, et s'essuie, d'un revers de la main. Elle contemple l'anus qu'elle vient de dévorer, l'anneau ne cesse de s'ouvrir et de se refermer, comme prit de convulsions.
Lucette est haletante, sa respiration est rapide, son cœur bat à se rompre dans sa poitrine.
Michel, pousse un grognement, sa verge envoie dans les airs sa semence, qui retombe sur ses doigts, son ventre, sans omettre son short. Il grimace en regardant les dégâts causés. Il se lève, retire son short souillé, et avance vers le couple, la verge toujours dressée comme un mat. Marion regarde le manche gluant planté sur le bas-ventre de son oncle. Elle constate qu'il est bien monté le bougre, c'est autre chose que son petit copain. Michel dit, en arborant un large sourire :
-alors, on joue sans inviter Michel, c'est pas bien ça !
Il approche de la bouche de sa femme son engin tendu, le frotte un instant sur ses lèvres charnues; et dit en souriant :
-Suce ma chérie, fais voir à notre nièce chérie, comment tu sais te servir de ta bouche !
Lucette prend ça pour un honneur, elle saisit le manche gluant, ouvre la bouche, et enfourne le gland qu'elle vient de décalotter. Elle suce et tète en faisant des bruits de succions terribles, la coquine savoure la queue, comme si c'était la première fois. Sa bouche fait des merveilles, Michel geint comme une bête malade.
Soudain , il lui saisit les cheveux et enfonce sa bite jusqu'aux coquilles dans la bouche de sa femme.
Il entreprend un va-et-vient terrible, un filet de bave s'échappe à la commissure des lèvres de sa femme, ses yeux se remplissent de larmes, bien qu'elle soit souvent soumise aux gorges profondes, elle a des hauts le cœur, elle grimace.
Enfin Michel libère sa semence, elle remplit la gorge de sa femme, qui le repousse brutalement car elle manque d'étouffer. Marion reste baba, devant le spectacle. Lucette avale en regardant son mari, elle attrape d'une main le membre, et le reprend en bouche. Elle suce et tète comme une vorace, Michel est au bord de la syncope, tellement sa femme s'acharne qsur sa queue, il bredouille :
-Oh ma chérie, ce que tu es bonne, je vais encore décharger, oui, oui ça vient !
Mais Lucette au lieu de l'achever, lâche le gland et dit ;
-Marion à toi ma chérie, suce tonton !
Marion ravale sa salive, et gobe le gland, elle cherche à faire aussi bien que sa tante. Sa langue tourne sur le gland, l'aspire. Michel est étonné par la fellation que pratique sa nièce sur sa queue. Malgré son jeune âge, elle suce aussi bien que sa femme, (comme une professionnelle du sexe). le bougre gémit, râle en s'agrippant aux cheveux de sa nièce. Il se cabre, une jouissance terrible le fait hurler. La bouche de Marion, reçoit un flot de sperme. la coquine avale la crème onctueuse, sans faire de chichi. Lucette en hyper excitation dit :
-Baise-là Michel, baise-là, éclate-là !
Michel souriant, relève avec deux doigts le menton de sa nièce et lui donne un baiser bruyant sur les lèvres. Il la bascule sur l'herbe brûlée, et prend place entre ses cuisses. Il place contre la chatte dégoulinante son gland visqueux, et pousse. En grimaçant, Marion reçoit dans son ventre la queue puissante de son oncle. l'engin important du tonton, lui dilate le conduit fortement. Lucette, regarde émerveillée, le pieu coulisser dans la gaine distendue de sa nièce. Elle dit :
-Oh mon chéri comme tu l'ouvres bien, vas a fond, oui bien à fond, frappe avec tes couilles sa petite chatte gourmande, oh la vache, elle te prend bien la petite salope, bourre-là, fais-là gueuler de plaisir, elle le mérite bien notre chérie !
Michel commence un aller et retour, de plus en plus rapide. Marion grogne de plus en plus fort, elle agite son bassin comme une hystérique. Elle s'accroche à son oncle comme un rapace sur sa proie. Elle donne elle aussi de violents coups de reins, à chaque enfoncement du pal en elle, elle grimace, et en délirant, répète :
-Oh putain, tonton comme tu m'éclates, vas-y, vas-y ouvre-moi en deux avec ta grosse queue, fais-moi gueuler !
La bite voyage dans la gaine, en faisant geindre de plaisir la jeune soumise. Elle est sur un nuage, c'est la première fois qu'une aussi grosse bite, lui laboure le ventre. Elle serre tes fort son oncle, en geignant comme un animal malade. les coups qu'il donne sont dévastateurs. Il prend plaisir, à violenter férocement sa nièce, qui ne cesse de gémir de plaisir.
Marion au bord de l'explosion, se cabre et, en poussant un long râle, jouit. Sa jouissance est monstrueuse, jamais elle n'a subit un tel accouplement, elle est au bord de la syncope. Entre deux respirations, elle parvient à prononcer :
-Tonton, tonton, c'est merveilleux, tu es une bête !
Michel continue de lui pilonner les entrailles. Il veut lui aussi avoir une jouissance. Sa verge gonflée, et si enserrée dans la gaine vaginale très étroite, qu'elle lui donne l'impression, qu'elle lui fait une fellation, et cela décuple son plaisir. C'est en poussant un grognement de fauve qu'il remplit le ventre de sa nièce avec sa semence visqueuse. Il donne encore qu'elle estocade, avant de se retirer du corps si accueillant. Lucette regarde l'engin qui est secoué de soubresauts, elle dit avec dans la voix une certaine excitation :
-Prends-moi, mon chéri, prends-moi, pendant que ta queue est encore dure !
Rapidement, Michel prend place entre les cuisses de sa femme, et lui enfonce ce qu'elle demande dans le ventre. Le bougre lui travaille la chatte comme un expert, Lucette sait qu'avec son mari, elle aura une jouissance fabuleuse. le coquin, la démonte comme un sauvage. Lucette geint terriblement, elle s'agite sur la queue puissante de son mari en geignant comme une bête malade. Soudain il retire sa queue du vagin, lui prend les jambes et les pose sur ses épaules. Lucette connait cette position, elle dit :
-Oui, oui, mon chéri !
Il place sa bite contre l'anus boursouflé, et pousse. l'engin semble aspiré par le muscle rectal, il disparait entièrement dans le rectum jusqu'aux couilles. Lucette souffle comme un animal, bien qu'elle affectionne la sodomie, la pénétration est toujours douloureuse. Lucette grimace pendant les premiers coups de pilon. mais le plaisir s'installe rapidement. Maintenant à chaque enfoncement de la queue de Michel dans son fondement, elle pousse des gémissements de bonheur, elle l'encourage même :
-Oui, oui, mon chéri, éclate-moi le cul comme tu sais si bien le faire, tape, tape, fort !
Michel défonce sa femme comme elle aime, ses coups de reins sont redoutables et violents. Marion regarde la scène en écarquillant les yeux. Elle voit la verge énorme, voyager dans le rectum bien dilaté de sa tante haletant de plaisir.
Sa chatte se met en ébullition, elle plaque sa main sur son clito, et le saisit brutalement. Marion se masturbe comme jamais elle ne l'avait fait. Elle grimace en se faisant violence, elle serre les dents, en écrasant son clito fortement. Soudain, elle se cambre, une violente jouissance lui secoue les entrailles. Elle explose en même temps que sa tante, qui halète sous les coups de boutoir de son mari et amant. Michel veut que sa femme jouisse encore du cul, il la démonte comme un soudard.
Sa bite, fait des allers et retours rapides, dans le conduit dilaté. Lucette gémit en implorant presque son mari de la finir. Michel s'acharne sur elle, comme un lion sur sa proie.
Lucette se cabre en poussant un long râle. Une violente brulure, lui traverse le ventre, elle produit dans son corps une phénoménale jouissance. C'est si intense que Lucette se cabre en hurlant :
-Assez, assez mon chéri, mon Dieu tu me tues !
Michel retire du cul de sa femme, son mamba qui n'a pas encore craché son venin. Ses yeux brillent, il regarde sa nièce. Elle a les yeux exorbités, en voyant le trou béant de sa tante, qu'elle caresse en grimaçant, pour en apaiser la brulure. Michel dit :
-Viens t'empaler sur la queue ma chérie, tu en meurs d'envie, aller viens !
Il s'allonge sur le dos et attend, le bon vouloir de sa nièce, qui ne se fait pas prier longtemps. Elle enjambe son oncle, il dirige sa queue vers la petite entrée. Marion descend doucement son corps avec appréhension, elle pose son anus sur le gland gonflé comme jamais. Elle prend une grande aspiration, et commence en grimaçant à s'empaler le cul sur le pieu puissant. Elle serre les dents, la bite de son oncle est large et épaisse, c'est autre chose que celle de son petit copain.
Lentement le gland s'engage dans sa gaine étroite, en la dilatante fortement. Lucette les yeux embués, se lève difficilement, et pose ses mains sur les épaules de sa nièce. Elle appuie fortement, Marion pousse un cri de douleur, le membre s'enfonce dans son rectum jusqu'aux couilles. Elle prend appuie sur le torse de son oncle, le visage déformé par une moue affreuse.
Lucette, semble en surexcitation, elle dit :
-Agite, toi, agite, ton cul, profite de cette belle bite qui te fore le cul, aller, aller salope, encule-toi à fond, fais-toi jouir du cul !
Toujours en grimaçant, Marion commence à faire monter et descendre son corps sur le manche, qui lui dilate le cul. A chaque descente, Michel tire fortement sur les hanches de sa nièce, pour la pénétrer totalement. Au fur et à mesure du ramonage, Marion prend du plaisir. Maintenant, elle ne retient plus ses gémissements, ni ses râles. Une extraordinaire jouissance anale, la fait hurler.
L'oncle continue de lui pilonner le cul. Il pousse un rugissement de fauve, et dit en éjaculant :
-Tiens ma chérie, c'est pour toi ma semence !
Après avoir vidé ses couilles, Michel libère sa nièce, qui tombe dans les bras de sa tante en disant :
-Oh c'est merveilleux, oh comme je vous aime, vous êtes mes amours. On recommencera mes chéris, dites oui, je vous en supplie !
Les vacances, furent dotées de terribles jouissances, de pénétrations torrides et variées. Pour Marion ce fut les meilleurs de sa vie.
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