Destins croisés (12)
Récit érotique écrit par Sylvainerotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 152 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Destins croisés (12)
Comme d’habitude, n’hésitez pas à me contacter si vous aimez ce récit, ou si vous souhaitez des photos des personnages (sylvainerotic@yahoo.com)
==
Le lendemain, au réveil, je sens le corps chaud de Jules contre le mien. Je touche doucement la peau nue. Je l’aime. Je le veux. Je n’arrive pas à ne pas le désirer. Il vient se serrer contre moi, animé par le même désir.
Un baiser en guise de bonjour. Des caresses pour se réveiller
- Tu as quelque chose de prévu aujourd’hui ?
On est samedi
- Rien
- Alors, on va rester à poil toute la journée et faire l’amour
Il colle ses lèvres contre le mienne et les maintient ainsi, pour montrer son désir. Et il se met à me sucer. Je ferme les yeux. La journée commence bien. Je me détends et laisse Jules me donner du plaisir avec sa bouche.
- On va sous la douche ?
On se tient par la main et marche nus vers la salle de bains. Les baisers et les caresses reprennent sous le jet chaud. Puis on se lave. Un moment érotique et sensuelle. Caresser la peau avec le savon. Masser les cheveux. Une fois la toilette faite, je descends à genoux et suce mon chéri. Je le regarde, nu, superbe, avec l’eau qui ruisselle sur son corps parfait. Mon doigt rentre doucement dans son cul et je le suce tout en explorant ses entrailles. Mon doigt trouve le point sensible. Je le travaille tout en douceur, et il finit par éjaculer dans ma bouche. Je savoure le sperme doucement, avalant par petites gorgées pour laisser le gout acre et salé s’éterniser dans ma bouche. L’orgasme ne ralentit pas les ardeurs de Jules
- Encule-moi, baise-moi ici sous la douche
Il se retourne, cambré, avec l’eau qui s’écoule doucement le long de son dos. J’écarte les fesses et le lèche. Son corps est chaud et moite sous mes caresses. J’aime faire l’amour dans cet environnement. Je me redresse, dépose un peu de gel douche sur mon sexe et l’introduit entre les fesses de Jules. On baise debout comme ça, sous la douche. Le jet atterrissant alternativement sur lui ou moi en fonction de nos mouvements. Je me penche pour embrasser mon amoureux sur les épaules. Passer ma main sur son torse et son sexe.
- Je vais bientôt jouir !
Jule se détache et tombe à genoux langue pendue. Il reçoit ma première éjac de la journée directement sur la langue, et les suivantes autour des lèvres. Il me prend ensuite en bouche et me suce doucement avec beaucoup de sensualité.
On sort de la douche et on se sèche l’un l’autre. Toujours assez pudique en dehors du sexe, Jules enfile un boxer, tandis que je reste nu. Je lui fais enfin visiter la maison. Ca me rappelle la première fois où je lui avais fait visiter mon appartement à Paris. Et cette fois encore, Jules apprécie les lieux, notamment la piscine…
On prend le petit déj ensemble, moi à poil, lui en boxer. C’est bon de reconstruire ces moments intimes, de se dire que les choses vont heureusement reprendre là où on les avait laissées.
Inutile de dire qu’après le petit déjeuner, c’est dans la chambre que la matinée se passe. Notre deuxième fois est lente, très patiente. Une exploration. Comme pour explorer un corps qui a manqué. Retrouver les sensations. Remarquer un grain de beauté qu’on avait oublié. Se sucer, se lécher dans toutes les positions. Pareil pour nos pénétrations bien sûr.
Quand c’est le tour de Jules d’être de nouveau passif, il est empalé sur moi, ses jambes sont enroulées contre mon bassin. Je me suis redressé. On se sert l’un contre l’autre. Nos langues se caressent et je bouge mon bassin.
- Je t’aime mon chéri… je t’aime… oh je t’aime
- Je t’aime mon amour…
Dans un énième cri d’amour, nous éjaculons en même temps…
Après nous être brulé la peau et vidé les couilles, nous passons le reste de la journée à discuter. A parler sérieusement de notre réconciliation, à fixer des règles. On ne souhaite pas presser les choses, n’y s’installer ensemble. A 24 ans, Jules a encore besoin de sa liberté et je comprends. Je suis prêt à la lui donner, à lui faire confiance aussi. Cela veut dire que notre relation sera « ouverte ». Libre à lui de coucher avec d’autres mecs, et à satisfaire ses envies et ses fantasmes. Quelque part, je vois ça comme une compensation logique. Si le sexe avec lui est si bon, c’est parce qu’il est passionné et adore vraiment ça. Et je ne veux pas le freiner dans ses expériences sexuelles. D’ailleurs Jules n’a pas l’attention de quitter Aix en Provence où il a ses amis. Mettre une certaine distance géographique entre nous n’est pas une mauvaise idée. Cela nous laisse la plupart des week-ends pour nous retrouver, chez lui ou chez moi, et la semaine, chacun garde son espace de liberté.
Une autre raison derrière cet arrangement est plus immédiate : nous allons devenir collègue. Jules est enthousiasmé par mon projet professionnel et me rejoint dans mon cabinet. Cela nous donnera encore plus de temps ensemble… et pour éviter d’être ensemble en permanence, cette distance géographique, et liberté sexuelle est une bonne chose.
Les premiers mois nous avons un peu de mal à trouver notre équilibre. Travailler ensemble. Nous retrouver les week-ends, apprendre à laisser un peu de liberté à l’autre. Puis les choses se mettent progressivement en place, naturellement. Je suis heureux. Jules aussi. Ça a l’air de marcher.
Comme prévu, il se montre un collègue brillant. Bien plus jeune, et beaucoup moins expérimenté bien sûr. Mais c’est une recrue en or. Et il apporte énormément de valeur sur les dossiers.
Sexuellement, les choses sont vraiment bien aussi. On s’aime souvent. La fréquence et l’intensité de nos baises ne diminuent même si je sais que Jules est sur Grindr et qu’il s’amuse entre nos rencontres. Mais ça ne se fait jamais à mon détriment. Et ce qu’il me donne me suffit.
Et d’ailleurs, je m’épanouis sexuellement à ses cotés. Avec l’arrivée des beaux jours, quand Jules me rend visite les week-ends, il profite allègrement de la piscine. Avec moi. Pour ma part, je ne porte pas de maillot. C’est ma nouvelle façon de vivre. Depuis que je suis dans le sud, je profite à fond de la vie et du soleil. Je rattrape le temps perdu, et me moque des conventions. Jules, lui, est plus timide, porte toujours son maillot.
Un samedi, alors qu’il fait bien chaud, et que je n’ai pas vu Jules depuis un moment, la vue de son corps beau, presque nu, bronzé, au bord de cette piscine me fait bouillir. Bien sûr on a fait l’amour la veille, mais je ne suis pas repu. Je plonge nu et le rejoins dans l’eau. Je suis entreprenant, je le touche et l’embrasse. Je ne fais pas mystère de mes intentions. Il aime ça. On joue dans l’eau, s’éclabousse. Puis mes mains trouvent son maillot pour le lui enlever. Il se débat en riant. Mais c’est moi le plus malin, le plus rapide, et je balance le maillot dans la pelouse, laissant ainsi Jules à poil avec moi, dans l’eau. Il est un peu gêné d’être nu comme ça, même si le jardin est bien isolé, et qu’il n’y a pas de voisin à proximité.
Les jeux et les caresses continuent dans l’eau, faisant grandir la tension érotique. Les caresses sont vite remplacées par des baisers. Et c’est Jules qui me prend par la main pour me faire sortir du bassin. Mais alors que, nus et ruisselants, on approche de la maison, je retiens Jules, l’embrasse sur la bouche et lui plaque les mains sur les fesses. Je murmure dans son oreille :
- Je vais te baiser ici
Je sens le corps de Julien se raidir, et ses yeux s’agiter de gauche à droite, comme pour vérifier que personne ne le regarde.
- Chut…
Je continue mes murmures érotiques dans ses oreilles, tout en le caressant. Pour le détendre, et le convaincre d’accepter ce plan. Il a toujours été en avance sexuellement par rapport à moi, bien sûr, et plus entreprenant aussi. Mais cette fois, c’est moi le plus audacieux. Celui qui l’emmène vers un nouveau défi sexuel. Baiser au soleil.
Je le fais assoir sur la chaise longue. Il est gêné. Il ne bande pas. C’est pour moi étonnant de le savoir si dévergondé sexuellement, mais si timide dès qu’il est nu dans un endroit nouveau. Ma langue caresse le sexe débandé. L’embrasse. Je le prends en bouche, espérant le faire grossir en le suçant. Jules se caresse, notamment les seins, il se stimule. Le sexe finit par grossir dans ma bouche. Et je commence à sucer, tout en caressant les belles cuisses musclées de mon chéri. Jules s’abandonne, finissant par oublier le contexte. Il ferme les yeux. Puis se prend au jeu à son tour.
- Je vais te sucer aussi
Je me redresse et il vient se mettre à genoux face à moi. Le moment où je sens ses lèvres sur ma bite est absolument magique. Je ressens une forme de plénitude, un plaisir complet. Le soleil me caresse la peau. Ses lèvres me donnent du plaisir. Je me sens bien, libre. Je me caresse la fesse d’une main. L’autre vient doucement glisser dans les cheveux blonds de Jules, lumineux au soleil, pour bien accompagner les mouvements de sa tête. Mon regard se pose sur lui, et j’admire tout ce qu’il fait pour moi : sa main serrée contre mon sexe qui glisse dans sa bouche, puis sa langue qui parcourt le chibre avant de glisser sur mes couilles. Je masse ses épaules, et pose mes yeux sur son dos, et la courbure de se fesses. Mes mains glissent plus bas dans son dos, et s’approche de ses fesses que je convoite.
- Mets-toi à quatre pattes sur la chaise longue
Docile, souriant, complètement dans le trip, il s’exécute. Comme toujours quand il s’offre à moi dans cette position, je prends une minute à le caresser, à apprécier cette posture soumise, à faire glisser mes mains sur son dos, ses hanches et ses fesses. Je lèche ensuite doucement la raie et l’anus, tout en tenant sa bite dans la main pour la ramener vers moi.
Je continue à lécher doucement et consciencieusement, avec de longs coups de langues qui parcourent l’anus et la bite aussi. Je n’épargne pas non plus les fesses avec ma langue et mes lèvres. Elles sont trop blanches à mes yeux, contrairement aux miennes. Il y a encore du chemin à faire de se côté-là.
- Je vais chercher du gel
Quand je reviens, tout excité, avec le gel, Jules m’attend dans la même position, souriant. Je rentre facilement en lui et l’encule en douceur, en levrette. Je sens le soleil sur mon dos et mes fesses. Je garde un rythme plutôt lent. Je suis dans un trip, doux, histoire de profiter des éléments et de la situation. Bien calé sur la chaise, Jules parvient à rester ainsi longtemps sans se fatiguer et je le sodomise à mon rythme. Mais son regard, ses yeux bleus finissent par me manquer. Je m’allonge sur le dos, toujours sur la chaise longue, et Jules vient s’empaler sur moi. A son tour de bouger son corps au soleil. Il est beau, je l’adore. Je le caresse, glisse mes doigts dans sa bouche, alors qu’il baise ma queue en se déhanchant et en la serrant avec son anus. Ses cheveux et ses poils ont blondi au soleil. Il est superbe. Jeune, tonique, beau, nu. Je réalise à quel point j’ai de la chance de l’avoir.
- On va baiser sur la table
Je le conduis contre la table du jardin et le penche. Voir ses fesses comme ça, je ne peux résister et plonge encore mon visage dans sa raie. Je lèche et je mordille les fesses avant de l’enculer. C’est tellement bon, je ne me lasse pas, je prends tout mon temps. Jules relève un genou et vient le poser sur la table. Il est ainsi plus ouvert et je le baise mieux. Je descends pour embrasser ses épaules
- C’est trop bon, continue Gauthier.
J’accélère un peu. Ça lui plait
- Allonge-toi sur le dos
Il m’offre son corps, jambes écartées. Et je le baise, debout au bord de la table. Je suis à la bonne hauteur. Je saisis les chevilles et écarte bien. Jules est tout à son plaisir, le sexe bandé et mouille. Il est temps de jouir et d’exploser de plaisir. J’accélère et je pose alternativement mes yeux entre le visage de Jules et son sexe de plus en bandé et mouillé. Soudain son corps se tend, je sens la chair de poule apparaitre sur sa peau et de longs jets de sperme blanc, magnifiques, s’échappent de sa bite. Le spectacle est trop beau et j’éjacule au plus profond de lui…
C’était probablement une de nos meilleures baises. On plonge dans l’eau tous les deux…
A suivre…
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Le lendemain, au réveil, je sens le corps chaud de Jules contre le mien. Je touche doucement la peau nue. Je l’aime. Je le veux. Je n’arrive pas à ne pas le désirer. Il vient se serrer contre moi, animé par le même désir.
Un baiser en guise de bonjour. Des caresses pour se réveiller
- Tu as quelque chose de prévu aujourd’hui ?
On est samedi
- Rien
- Alors, on va rester à poil toute la journée et faire l’amour
Il colle ses lèvres contre le mienne et les maintient ainsi, pour montrer son désir. Et il se met à me sucer. Je ferme les yeux. La journée commence bien. Je me détends et laisse Jules me donner du plaisir avec sa bouche.
- On va sous la douche ?
On se tient par la main et marche nus vers la salle de bains. Les baisers et les caresses reprennent sous le jet chaud. Puis on se lave. Un moment érotique et sensuelle. Caresser la peau avec le savon. Masser les cheveux. Une fois la toilette faite, je descends à genoux et suce mon chéri. Je le regarde, nu, superbe, avec l’eau qui ruisselle sur son corps parfait. Mon doigt rentre doucement dans son cul et je le suce tout en explorant ses entrailles. Mon doigt trouve le point sensible. Je le travaille tout en douceur, et il finit par éjaculer dans ma bouche. Je savoure le sperme doucement, avalant par petites gorgées pour laisser le gout acre et salé s’éterniser dans ma bouche. L’orgasme ne ralentit pas les ardeurs de Jules
- Encule-moi, baise-moi ici sous la douche
Il se retourne, cambré, avec l’eau qui s’écoule doucement le long de son dos. J’écarte les fesses et le lèche. Son corps est chaud et moite sous mes caresses. J’aime faire l’amour dans cet environnement. Je me redresse, dépose un peu de gel douche sur mon sexe et l’introduit entre les fesses de Jules. On baise debout comme ça, sous la douche. Le jet atterrissant alternativement sur lui ou moi en fonction de nos mouvements. Je me penche pour embrasser mon amoureux sur les épaules. Passer ma main sur son torse et son sexe.
- Je vais bientôt jouir !
Jule se détache et tombe à genoux langue pendue. Il reçoit ma première éjac de la journée directement sur la langue, et les suivantes autour des lèvres. Il me prend ensuite en bouche et me suce doucement avec beaucoup de sensualité.
On sort de la douche et on se sèche l’un l’autre. Toujours assez pudique en dehors du sexe, Jules enfile un boxer, tandis que je reste nu. Je lui fais enfin visiter la maison. Ca me rappelle la première fois où je lui avais fait visiter mon appartement à Paris. Et cette fois encore, Jules apprécie les lieux, notamment la piscine…
On prend le petit déj ensemble, moi à poil, lui en boxer. C’est bon de reconstruire ces moments intimes, de se dire que les choses vont heureusement reprendre là où on les avait laissées.
Inutile de dire qu’après le petit déjeuner, c’est dans la chambre que la matinée se passe. Notre deuxième fois est lente, très patiente. Une exploration. Comme pour explorer un corps qui a manqué. Retrouver les sensations. Remarquer un grain de beauté qu’on avait oublié. Se sucer, se lécher dans toutes les positions. Pareil pour nos pénétrations bien sûr.
Quand c’est le tour de Jules d’être de nouveau passif, il est empalé sur moi, ses jambes sont enroulées contre mon bassin. Je me suis redressé. On se sert l’un contre l’autre. Nos langues se caressent et je bouge mon bassin.
- Je t’aime mon chéri… je t’aime… oh je t’aime
- Je t’aime mon amour…
Dans un énième cri d’amour, nous éjaculons en même temps…
Après nous être brulé la peau et vidé les couilles, nous passons le reste de la journée à discuter. A parler sérieusement de notre réconciliation, à fixer des règles. On ne souhaite pas presser les choses, n’y s’installer ensemble. A 24 ans, Jules a encore besoin de sa liberté et je comprends. Je suis prêt à la lui donner, à lui faire confiance aussi. Cela veut dire que notre relation sera « ouverte ». Libre à lui de coucher avec d’autres mecs, et à satisfaire ses envies et ses fantasmes. Quelque part, je vois ça comme une compensation logique. Si le sexe avec lui est si bon, c’est parce qu’il est passionné et adore vraiment ça. Et je ne veux pas le freiner dans ses expériences sexuelles. D’ailleurs Jules n’a pas l’attention de quitter Aix en Provence où il a ses amis. Mettre une certaine distance géographique entre nous n’est pas une mauvaise idée. Cela nous laisse la plupart des week-ends pour nous retrouver, chez lui ou chez moi, et la semaine, chacun garde son espace de liberté.
Une autre raison derrière cet arrangement est plus immédiate : nous allons devenir collègue. Jules est enthousiasmé par mon projet professionnel et me rejoint dans mon cabinet. Cela nous donnera encore plus de temps ensemble… et pour éviter d’être ensemble en permanence, cette distance géographique, et liberté sexuelle est une bonne chose.
Les premiers mois nous avons un peu de mal à trouver notre équilibre. Travailler ensemble. Nous retrouver les week-ends, apprendre à laisser un peu de liberté à l’autre. Puis les choses se mettent progressivement en place, naturellement. Je suis heureux. Jules aussi. Ça a l’air de marcher.
Comme prévu, il se montre un collègue brillant. Bien plus jeune, et beaucoup moins expérimenté bien sûr. Mais c’est une recrue en or. Et il apporte énormément de valeur sur les dossiers.
Sexuellement, les choses sont vraiment bien aussi. On s’aime souvent. La fréquence et l’intensité de nos baises ne diminuent même si je sais que Jules est sur Grindr et qu’il s’amuse entre nos rencontres. Mais ça ne se fait jamais à mon détriment. Et ce qu’il me donne me suffit.
Et d’ailleurs, je m’épanouis sexuellement à ses cotés. Avec l’arrivée des beaux jours, quand Jules me rend visite les week-ends, il profite allègrement de la piscine. Avec moi. Pour ma part, je ne porte pas de maillot. C’est ma nouvelle façon de vivre. Depuis que je suis dans le sud, je profite à fond de la vie et du soleil. Je rattrape le temps perdu, et me moque des conventions. Jules, lui, est plus timide, porte toujours son maillot.
Un samedi, alors qu’il fait bien chaud, et que je n’ai pas vu Jules depuis un moment, la vue de son corps beau, presque nu, bronzé, au bord de cette piscine me fait bouillir. Bien sûr on a fait l’amour la veille, mais je ne suis pas repu. Je plonge nu et le rejoins dans l’eau. Je suis entreprenant, je le touche et l’embrasse. Je ne fais pas mystère de mes intentions. Il aime ça. On joue dans l’eau, s’éclabousse. Puis mes mains trouvent son maillot pour le lui enlever. Il se débat en riant. Mais c’est moi le plus malin, le plus rapide, et je balance le maillot dans la pelouse, laissant ainsi Jules à poil avec moi, dans l’eau. Il est un peu gêné d’être nu comme ça, même si le jardin est bien isolé, et qu’il n’y a pas de voisin à proximité.
Les jeux et les caresses continuent dans l’eau, faisant grandir la tension érotique. Les caresses sont vite remplacées par des baisers. Et c’est Jules qui me prend par la main pour me faire sortir du bassin. Mais alors que, nus et ruisselants, on approche de la maison, je retiens Jules, l’embrasse sur la bouche et lui plaque les mains sur les fesses. Je murmure dans son oreille :
- Je vais te baiser ici
Je sens le corps de Julien se raidir, et ses yeux s’agiter de gauche à droite, comme pour vérifier que personne ne le regarde.
- Chut…
Je continue mes murmures érotiques dans ses oreilles, tout en le caressant. Pour le détendre, et le convaincre d’accepter ce plan. Il a toujours été en avance sexuellement par rapport à moi, bien sûr, et plus entreprenant aussi. Mais cette fois, c’est moi le plus audacieux. Celui qui l’emmène vers un nouveau défi sexuel. Baiser au soleil.
Je le fais assoir sur la chaise longue. Il est gêné. Il ne bande pas. C’est pour moi étonnant de le savoir si dévergondé sexuellement, mais si timide dès qu’il est nu dans un endroit nouveau. Ma langue caresse le sexe débandé. L’embrasse. Je le prends en bouche, espérant le faire grossir en le suçant. Jules se caresse, notamment les seins, il se stimule. Le sexe finit par grossir dans ma bouche. Et je commence à sucer, tout en caressant les belles cuisses musclées de mon chéri. Jules s’abandonne, finissant par oublier le contexte. Il ferme les yeux. Puis se prend au jeu à son tour.
- Je vais te sucer aussi
Je me redresse et il vient se mettre à genoux face à moi. Le moment où je sens ses lèvres sur ma bite est absolument magique. Je ressens une forme de plénitude, un plaisir complet. Le soleil me caresse la peau. Ses lèvres me donnent du plaisir. Je me sens bien, libre. Je me caresse la fesse d’une main. L’autre vient doucement glisser dans les cheveux blonds de Jules, lumineux au soleil, pour bien accompagner les mouvements de sa tête. Mon regard se pose sur lui, et j’admire tout ce qu’il fait pour moi : sa main serrée contre mon sexe qui glisse dans sa bouche, puis sa langue qui parcourt le chibre avant de glisser sur mes couilles. Je masse ses épaules, et pose mes yeux sur son dos, et la courbure de se fesses. Mes mains glissent plus bas dans son dos, et s’approche de ses fesses que je convoite.
- Mets-toi à quatre pattes sur la chaise longue
Docile, souriant, complètement dans le trip, il s’exécute. Comme toujours quand il s’offre à moi dans cette position, je prends une minute à le caresser, à apprécier cette posture soumise, à faire glisser mes mains sur son dos, ses hanches et ses fesses. Je lèche ensuite doucement la raie et l’anus, tout en tenant sa bite dans la main pour la ramener vers moi.
Je continue à lécher doucement et consciencieusement, avec de longs coups de langues qui parcourent l’anus et la bite aussi. Je n’épargne pas non plus les fesses avec ma langue et mes lèvres. Elles sont trop blanches à mes yeux, contrairement aux miennes. Il y a encore du chemin à faire de se côté-là.
- Je vais chercher du gel
Quand je reviens, tout excité, avec le gel, Jules m’attend dans la même position, souriant. Je rentre facilement en lui et l’encule en douceur, en levrette. Je sens le soleil sur mon dos et mes fesses. Je garde un rythme plutôt lent. Je suis dans un trip, doux, histoire de profiter des éléments et de la situation. Bien calé sur la chaise, Jules parvient à rester ainsi longtemps sans se fatiguer et je le sodomise à mon rythme. Mais son regard, ses yeux bleus finissent par me manquer. Je m’allonge sur le dos, toujours sur la chaise longue, et Jules vient s’empaler sur moi. A son tour de bouger son corps au soleil. Il est beau, je l’adore. Je le caresse, glisse mes doigts dans sa bouche, alors qu’il baise ma queue en se déhanchant et en la serrant avec son anus. Ses cheveux et ses poils ont blondi au soleil. Il est superbe. Jeune, tonique, beau, nu. Je réalise à quel point j’ai de la chance de l’avoir.
- On va baiser sur la table
Je le conduis contre la table du jardin et le penche. Voir ses fesses comme ça, je ne peux résister et plonge encore mon visage dans sa raie. Je lèche et je mordille les fesses avant de l’enculer. C’est tellement bon, je ne me lasse pas, je prends tout mon temps. Jules relève un genou et vient le poser sur la table. Il est ainsi plus ouvert et je le baise mieux. Je descends pour embrasser ses épaules
- C’est trop bon, continue Gauthier.
J’accélère un peu. Ça lui plait
- Allonge-toi sur le dos
Il m’offre son corps, jambes écartées. Et je le baise, debout au bord de la table. Je suis à la bonne hauteur. Je saisis les chevilles et écarte bien. Jules est tout à son plaisir, le sexe bandé et mouille. Il est temps de jouir et d’exploser de plaisir. J’accélère et je pose alternativement mes yeux entre le visage de Jules et son sexe de plus en bandé et mouillé. Soudain son corps se tend, je sens la chair de poule apparaitre sur sa peau et de longs jets de sperme blanc, magnifiques, s’échappent de sa bite. Le spectacle est trop beau et j’éjacule au plus profond de lui…
C’était probablement une de nos meilleures baises. On plonge dans l’eau tous les deux…
A suivre…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je sais, 'quand on est à Rome, il faut se comporter en Romain', et c'est histoires-de-sexe.net, c'est dans la ligne, mais j'ai p-ê trop lu d'histoires plus... érotiques ailleurs, pour espérer un contexte, et ce chapitre de baises à répétition (toutes réussies, et Priape sait que...) m'a mis une certaine nostalgie des premiers, voilà. Mais ce n'est pas une critique, juste un avis.