Devenue pute, pour son plaisir 1 - histoire érotique

Joëlle, femme mûre d'une cinquantaine d'années, divorcée deja deux fois, Cherche par tous les moyens à calmer ses pulsions sexuelles. Elle s'est masturbée une bonne partie de la nuit, mais cela ne lui suffit pas, ce qu'il lui faut, c'est une bonne bite. Il faut dire que Joëlle est une belle grande femme aux formes quasi parfaites. Souvent, elle arpente les allées ombragées du parc voisin en quête de sexe, homme ou femme, tout lui est bon pourvu, qu'elle y prenne du plaisir.


Mais aujourd'hui, c'est un jour néfaste, elle ne fait aucune rencontre. Elle decide de prendre le métro. Le wagon est bondé, les gens sont entassés les uns sur les autres. Elle entre avec difficultés et s'accroche à la barre verticale pour ne pas se faire entrainer par la cohue. À peine la rame repartie, qu'un homme se colle contre elle, volontairement ou pas. Le bassin de l'homme est contre son fessier. Vicieusement, Joëlle agite doucement du bassin. Elle sent sur sa nuque et son cou le souffle de l'homme. De temps en temps, Joëlle se cambre légèrement en appuyant ses fesses contre le bas-ventre de l'inconnu. Celui-ci pose une main sur la hanche de la provocatrice et tire doucement pour la plaquer encore plus contre lui. Les agitations discrètes de la croupe contre le bas-ventre de l'homme ne tardent pas à porter ses fruits.



L'homme commence à avoir une érection, il passe sa main sous la jupe de Joëlle qui ne le repousse pas, il lui caresse doucement les fesses, mais quelle n'est sa surprise, la coquine ne porte pas de culotte. Deux doigts glissent dans le large sillon, passe plusieurs fois sur l'œillet brun avant de faire quelques petites pressions sur l'anneau ridé. Joëlle frémit, une pression plus forte que les autres la fait cabrer, un doigt vient de pénétrer le temple de Sodome, et continu sa progression. Toutes les phalanges de l'intrus en disparues dans l'antre étroit. Joëlle se cambre davantage, sa respiration s'accélère. L'homme lui fouille la gaine anale avec art, le doigt ne reste pas seul longtemps, il est vite rejoint par un second. Joëlle, pour ne pas gémir, serre les dents. La rame s'arrête dans une station, des personnes en descendent, d'autres montent. Joëlle et l'inconnu, ne se sont pas séparés, dès que la rame repart, l'homme se remet à ramoner doucement le rectum de Joëlle qui agite sa croupe de plus en plus vite. L'homme, sûrement un habitué de ce genre de transport collé-serré, ramone de plus belle le rectum. Joëlle se cabre, elle se mord le poignet, pour ne pas gémir, elle jouit.



L'homme retire ses doigts du fondement et les glissent jusqu'à la chatte dégoulinante de Joëlle, qui instinctivement écarte doucement les jambes. Les doigts s'enfoncent profondément dans son vagin débordant de cyprine et le fouille sans le ménager.



L'homme lui murmure à l'oreille :

-Maintenant salope, je vais te baiser !



Joëlle, entre deux spasmes, répond :

-Ne discute pas tant, oui, oui, baise-moi !


L'homme retire ses doigts et ouvre sa braguette, sa bite est tendue, d'une main, il releve la jupe et présente sa bite devant le cratère en ébullition. Et l'enfonce le plus loin qu'il peut. Il s'accroche à ses hanches et commence un va-et-vient qui ne passe pas inaperçu. Plusieurs personnes assistent au pilonnage brutal de Joëlle sans dire un mot. Au contraire, il s'ecartent du mieux qu'ils peuvent pour mieux voir le spectacle. Les coups de reins de l'inconnu sont dévastateurs, Joëlle ne peut retenir ses gémissements, elle grimace et s'accrochant à la barre. Une femme qui regardait la scène dit fortement :


-Vas-y défonce cette pute à fond mon cochon, oh, mais la pouffiasse va jouir, regardez, vous autres, la salope prendre son pied !


Un tonnerre d'applaudissement se fait entendre, Joëlle n'entend pas les commentaires de la femme, encore moins les applaudissements, elle se cabre et explose en gémissant comme une agonisante. L'homme serre les dents et s'acharne à défoncer la chatte de la jouisseuse, il se raidit et en grognant comme un fauve, répond sa semence dans le ventre de Joëlle qui halète fortement. Enfin l'homme retire sa bite de la chatte, sort son mouchoir de sa poche et s'essuie la queue avec. La rame stoppe, l'inconnu descend sans un mot, laissant Joëlle avec la commentatrice. La femme lui dit en souriant :


-Il t'as bien dégommé le cochon hein avoue !



Joëlle ne peut que répondre :

-Oh oui quel pied que j'ai pris !


La femme souriante réplique :

-Si tu en veux encore, suis-moi, j'ai tout ce qu'il faut à la maison, je n'habite pas loin, tu seras là bien venue !


La femme, sans complexes, retrousse la jupe de Joëlle et regarde la chatte lâcher le surplus de semence, rapidement, elle passe sa main sur fente visqueuse et dit en regardant Joëlle dans les yeux :

-Tu as une chatte comme je les aimes, nous allons nous régaler toutes les deux ma salope, aller viens, tu auras aussi de la bite chez moi !