Devouée à la cause
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 280 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de linsee ont reçu un total de 1 379 075 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 810 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Devouée à la cause
Maureen travaille dans l'humanitaire, cela fait, des mois et des mois qu'elle donne des soins dans un dispensaire au fin fond de l'Afrique. Elle ne compte pas ses heures. Les malades l'adorent, à part quelques éternels envieux jaloux, qui la prennent pour un objet appartenant au dispensaire. Un jour, un de ces râleurs invétérés, l'interpelle, il est tard, la grande salle n'est éclairée que par des veilleuses. L'homme se plaint de maux de ventre. Maureen, très professionnelle, s'approche du plaignant. Elle baisse le drap qui recouvre le corps de l'homme, et commence une petite friction sur le ventre soi-disant douloureux. Sa main douce fait de nombreux petits cercles sur la partie douloureuse. L'homme s'apaise lentement, les mains douces frôlent de nombreuses fois le membre de l'homme qui soupire profondément en fermant les yeux. Mais comme par miracle, sa verge, dénudée, commence à relever la tête. Doucement le bougre se cambre, il ouvre les yeux et regarde Maureen, ses yeux brillent, il ne dit pas un mot, mais ronronne comme un chat. Sa verge est dressée. Fièrement sur son bas-ventre.
Maureen comprend que l'homme joue la comédie, elle cesse les rotations sur le ventre du simulateur et veut retirer sa main. Mais le bougre lui saisit et la place sur le mat dressé. Ses yeux semblent implorer Maureen. Elle soupire et enserre le membre avec ses doigts. Elle fait quelques pressions sur le manche de chair vivant, qu'elle sent battre dans sa main. Sans savoir pour quelle raison, Maureen commence à faire quelques montées et descentes de son poignet en se cramponnant au membre tendu.
L'homme se cabre en soufflant fortement. Maureen regarde le mandrin de couleur, en écarquillant les yeux, l'engin semble hors gabarit, Maureen, continue de le masturber, en donnant de la vitesse au branlage. Elle s'enhardie, de sa main libre, elle saisit les couilles velues et les triture sans les ménager. L'homme grogne comme un animal, il agite son bassin pour enfin se cabrer en gémissant. Un flot abondant de sperme gicle de la verge et retombe sur les mains de Maureen qui lâche l'engin. Le mandrin est agité par de nombreux soubresauts, qui laissent Maureen coite.
Enfin, avec un mouchoir jetable, elle essuie la bête cracheuse, et ses doigts, elle remonte le drap et s'éclipse, honteuse de ce qu'elle vient de faire. Comme elle est de grade, elle rejoint sa petite chambre qu'elle occupe pour être présente la nuit. Elle retire sa blousse blanche et les vêtements qu'elle porte dessous, elle passe sa main sur sa chatte humide et enfile à nouveau sa blousse avant de s'étendre sur son lit. Elle est troublée, et regrette son acte, bien qu'humanitaire, elle le regrette. Elle passe sa main sous sa blousse, et caresse doucement sa vulve, les grandes lèvres, enflent de plus en plus. Ses doigts agiles s'activent dans le sillon et montent jusqu'à la perle magique, qui comme par enchantement a doublé de volume. Elle la saisit entre son pouce et son index et commence à la triturer, les pressions qu'elle fait dessus, la font grimacer. Son vagin se met à lâcher son jus et qui humidifie le drap. Soudain une petite lampe se met à clignoter, un malade a besoin de ses services. Elle rabat sa blousse et saute hors du lit, elle s'avance dans la pièce mal éclairée. C'est le même homme qui a activé l'appel. Elle s'approche du lit, l'homme repousse le drap, sa verge est raide comme un bout de bois. Maureen regarde l'engin en déglutissant bruyamment. L'homme sans scrupules, passe d'un geste rapide sa main sous la blousse de Maureen et la plaque contre son sexe humide. Maureen reste clouée sur place, elle ne repousse pas la main qui l'agresse. Mécaniquement, sans le vouloir, elle ecarte doucement les jambes. L'homme sourit et commence à caresser la vulve trempée. Maureen serre les dents, elle grimace, lorsque deux doigts s'enfoncent dans son temple.
L'homme ne la quitte pas des yeux, il fait faire aux intrus un va-et-vient qui rapidement porte ses fruits. La chatte visitée rejette un flot de cyprine que Maureen ne peut contrôler. Pendant qu'il lui fouille le ventre, il lui prend la main et la pose sur son membre bondé au maximum. Maureen l'enserre, le décalotte et se penche. Elle gobe le gland marbré, et le suce avec la volonté de la faire gicler à nouveau. Mais les doigts qui lui labourent le ventre la font changer d'avis, elle est au bord de l'explosion. Sans chercher midi à quatorze heures, elle monte sur le lit et enjambe le corps du soi-disant malade, saisit sa queue et s'empale en grimaçant. La verge, colossale, lui distend la vulve, mais Maureen est tellement excitée qu'elle la veut en elle jusqu'à la garde. Elle s'agite comme une forcenée, sur le morceau de chair qui lui remplit la chatte. À chaque montée de son corps sur le pieu, l'homme tire sur ses hanches pour la re-empaler entièrement.
Maureen et au summum du bonheur, malgré la grosseur de l'engin qui lui dilate la chatte, elle s'agite comme un hystérique, qui cherche à jouir. L'homme donne de grands coups de reins en poussant un han de bucheron à chaque coup qu'il porte. Maureen croit qu'elle va mourir, que sa chatte va s'ouvrir tellement que la verge et colossale. Mais au fil des minutes, son corps s'adapte au diamètre et a la longueur du mandrin. Elle gémit sans se soucier des autres malades. Elle s'accroche à son amant en grognant comme une bête. Soudain, deux mains la plaquent sur le torse de son amant. Elle sent contre son anus un gland qui semble redoutable. Le nouveau venu s'agrippe à ses hanches et pousse fortement. Maureen pousse un grognement terrible, la verge monstrueuse s'enfonce dans son rectum de plus en plus loin. Elle croit s'ouvrir en deux tellement la pénétration et redoutable.
Les deux engins qui sont en elle commencent à voyager dans son corps, elle souffle comme un dragon, mais cela est si bon, qu'elle est prête à subir les pires douleurs pour jouir. Les deux hommes ne ménagent pas leurs efforts, ils lui pilonnent le cul et la chatte avec rage. Les râles rauques que poussent Maureen les encouragent, ils la démontent comme des soudards. Maureen se cabre en poussant un cri, elle jouit comme une damnée, mais elle en veut encore, elle s'agite comme une malade pour enfin jouir une seconde fois. Les deux hommes déversent, à tour de rôle, leurs semences en grognant comme des agonisants. Mais cela n'en est pas terminé pour autant. Les hommes changes de place plusieurs fois, les jouissances de Maureen sont nombreuses, les hommes à chacun leur tour, lui dévorent la chatte et les seins jusqu'à ce que Maureen re-jouisse. C'est épuisée qu'elle rejoint sa chambrette, ses orifices endoloris, laissent échapper le surplus de sperme.
Maureen comprend que l'homme joue la comédie, elle cesse les rotations sur le ventre du simulateur et veut retirer sa main. Mais le bougre lui saisit et la place sur le mat dressé. Ses yeux semblent implorer Maureen. Elle soupire et enserre le membre avec ses doigts. Elle fait quelques pressions sur le manche de chair vivant, qu'elle sent battre dans sa main. Sans savoir pour quelle raison, Maureen commence à faire quelques montées et descentes de son poignet en se cramponnant au membre tendu.
L'homme se cabre en soufflant fortement. Maureen regarde le mandrin de couleur, en écarquillant les yeux, l'engin semble hors gabarit, Maureen, continue de le masturber, en donnant de la vitesse au branlage. Elle s'enhardie, de sa main libre, elle saisit les couilles velues et les triture sans les ménager. L'homme grogne comme un animal, il agite son bassin pour enfin se cabrer en gémissant. Un flot abondant de sperme gicle de la verge et retombe sur les mains de Maureen qui lâche l'engin. Le mandrin est agité par de nombreux soubresauts, qui laissent Maureen coite.
Enfin, avec un mouchoir jetable, elle essuie la bête cracheuse, et ses doigts, elle remonte le drap et s'éclipse, honteuse de ce qu'elle vient de faire. Comme elle est de grade, elle rejoint sa petite chambre qu'elle occupe pour être présente la nuit. Elle retire sa blousse blanche et les vêtements qu'elle porte dessous, elle passe sa main sur sa chatte humide et enfile à nouveau sa blousse avant de s'étendre sur son lit. Elle est troublée, et regrette son acte, bien qu'humanitaire, elle le regrette. Elle passe sa main sous sa blousse, et caresse doucement sa vulve, les grandes lèvres, enflent de plus en plus. Ses doigts agiles s'activent dans le sillon et montent jusqu'à la perle magique, qui comme par enchantement a doublé de volume. Elle la saisit entre son pouce et son index et commence à la triturer, les pressions qu'elle fait dessus, la font grimacer. Son vagin se met à lâcher son jus et qui humidifie le drap. Soudain une petite lampe se met à clignoter, un malade a besoin de ses services. Elle rabat sa blousse et saute hors du lit, elle s'avance dans la pièce mal éclairée. C'est le même homme qui a activé l'appel. Elle s'approche du lit, l'homme repousse le drap, sa verge est raide comme un bout de bois. Maureen regarde l'engin en déglutissant bruyamment. L'homme sans scrupules, passe d'un geste rapide sa main sous la blousse de Maureen et la plaque contre son sexe humide. Maureen reste clouée sur place, elle ne repousse pas la main qui l'agresse. Mécaniquement, sans le vouloir, elle ecarte doucement les jambes. L'homme sourit et commence à caresser la vulve trempée. Maureen serre les dents, elle grimace, lorsque deux doigts s'enfoncent dans son temple.
L'homme ne la quitte pas des yeux, il fait faire aux intrus un va-et-vient qui rapidement porte ses fruits. La chatte visitée rejette un flot de cyprine que Maureen ne peut contrôler. Pendant qu'il lui fouille le ventre, il lui prend la main et la pose sur son membre bondé au maximum. Maureen l'enserre, le décalotte et se penche. Elle gobe le gland marbré, et le suce avec la volonté de la faire gicler à nouveau. Mais les doigts qui lui labourent le ventre la font changer d'avis, elle est au bord de l'explosion. Sans chercher midi à quatorze heures, elle monte sur le lit et enjambe le corps du soi-disant malade, saisit sa queue et s'empale en grimaçant. La verge, colossale, lui distend la vulve, mais Maureen est tellement excitée qu'elle la veut en elle jusqu'à la garde. Elle s'agite comme une forcenée, sur le morceau de chair qui lui remplit la chatte. À chaque montée de son corps sur le pieu, l'homme tire sur ses hanches pour la re-empaler entièrement.
Maureen et au summum du bonheur, malgré la grosseur de l'engin qui lui dilate la chatte, elle s'agite comme un hystérique, qui cherche à jouir. L'homme donne de grands coups de reins en poussant un han de bucheron à chaque coup qu'il porte. Maureen croit qu'elle va mourir, que sa chatte va s'ouvrir tellement que la verge et colossale. Mais au fil des minutes, son corps s'adapte au diamètre et a la longueur du mandrin. Elle gémit sans se soucier des autres malades. Elle s'accroche à son amant en grognant comme une bête. Soudain, deux mains la plaquent sur le torse de son amant. Elle sent contre son anus un gland qui semble redoutable. Le nouveau venu s'agrippe à ses hanches et pousse fortement. Maureen pousse un grognement terrible, la verge monstrueuse s'enfonce dans son rectum de plus en plus loin. Elle croit s'ouvrir en deux tellement la pénétration et redoutable.
Les deux engins qui sont en elle commencent à voyager dans son corps, elle souffle comme un dragon, mais cela est si bon, qu'elle est prête à subir les pires douleurs pour jouir. Les deux hommes ne ménagent pas leurs efforts, ils lui pilonnent le cul et la chatte avec rage. Les râles rauques que poussent Maureen les encouragent, ils la démontent comme des soudards. Maureen se cabre en poussant un cri, elle jouit comme une damnée, mais elle en veut encore, elle s'agite comme une malade pour enfin jouir une seconde fois. Les deux hommes déversent, à tour de rôle, leurs semences en grognant comme des agonisants. Mais cela n'en est pas terminé pour autant. Les hommes changes de place plusieurs fois, les jouissances de Maureen sont nombreuses, les hommes à chacun leur tour, lui dévorent la chatte et les seins jusqu'à ce que Maureen re-jouisse. C'est épuisée qu'elle rejoint sa chambrette, ses orifices endoloris, laissent échapper le surplus de sperme.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par linsee
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...