Double royal!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Double royal!
Sylvie, est la femme d’un collègue est pour moi une sorte de confidente, mais pas que ça, elle est aussi ma maîtresse, lorsque parfois l’envie nous prend de faire l’amour ensemble.
Un soir que son mari est de permanence, elle m’invite à venir la rejoindre chez ses parents parti en vacance, pour un dîner en tête à tête. Elle m’a cocote un repas festif.
À la fin du repas, je pars un moment dans la cuisine et je lui annonce que je vais lui faire une surprise, que je reviens ensuite. Il m’a fallut une dizaine de minutes avant de refaire mon apparition. Sylvie n’a pas bougé de sa place. Je lui propose alors de couvrir ses yeux, avec un foulard, pour que l’effet soit plus réussi.
Il s’agissait de lui préparer un dessert. Après avoir ôté mon froc, et mon tee-shirt, je m’allonge sur le sol du salon. J’étale sur mon ventre des fraises découpées en petits dés, puis je verse une bonne couche de chantilly.
Ceci fait, j’invite Sylvie à venir me rejoindre en la guidant de la voix. Son visage est empreint de curiosité et d’étonnement.
-C’est ton désert ! Lui fais-je, tout en dirigeant sa tête vers mon ventre. D’abord hésitante, sa langue attrape un morceau de fruit.
La seconde bouchée fut plus généreuse. La langue entrant en contact avec mon ventre. Au fur et à mesure, la caresse se fait plus insistante. La chaleur de sa langue associée au froid de la chantilly, tout cela m’excite de plus en plus. Au bout d’un moment Sylvie se redresse pour reprendre son souffle et essuyer avec sa langue la crème qui coule de ses lèvres.
J’en profite pour en remettre une nouvelle couche. Alertée par le bruit du déclenchement de la bombe, Sylvie pas moins gourmande, comprend qu’une dose supplémentaire l’attend. Baissant à nouveau la tête, elle dévore goulûment le désert.
À l’aide de ses mains, elle prend ma verge en bouche et se met à lécher le reste de chantilly. Il me faut prendre sur moi pour retenir mon éjaculation car la vision de mon sexe allant et venant dans sa bouche sensuelle rempli de crème est un spectacle particulièrement érotique.
Lorsqu’il ne reste plus aucune fraise sur mon corps, je me relève pour préparer la seconde partie du programme. Et croyez-moi dans ces occasions je ne manque jamais d’imagination. Je demande alors à Sylvie de se foutre à poils, et cela, sans retirer son foulard sur les yeux. Aimant les sensations fortes, elle obéit sans discuter. Sans savoir si sa docilité est due à son amour pour moi ou à l’émoi qui l’envahit.
Elle pivote sur ses talons avant de creuser les reins. Son derrière tend sa jupe dont le bas est remonté presque en haut de ses cuisses. J’approuve d’une voix rauque. Elle ôte par la suite son chemisier et sa jupe. La vue de sa culotte trempée m’excite. Au moment où elle baisse son slip réduit à un chiffon mouillé, je m’approche d’elle. Son sexe est béant. Gluant de mouille. Son clitoris darde comme une crête à vif. Elle a un soupir bruyant en le caressant du bout des doigts.
Comme pour faire grimper ma libido à son plus haut point, elle se tourne et enfonce son index dans son anus. Le conduit moite se crispe par saccades, mais elle n’a guère de mal à y introduire son doigt. De sa main libre, elle touche son bouton. Je suis dans mon élément. Une fois à poils, sa bouche reprend son ballet sur mon sexe. De la main gauche, elle se met à me malaxer les fesses et les testicules tandis qu’avec l’autre, elle se frotte les seins et le clitoris. Et mon plaisir monte d’un cran lorsqu’elle commence à se masturber en se fourrant deux doigts dans la chatte.
Tout en admirant cette scène torride, je me rappel du concombre dans le frigo. Il était de bonne taille.
Après avoir soigneusement lavée, je pose le légume sur le sol, juste devant Sylvie. Elle tâtonne un petit moment, puis elle découvre cet objet fort utile. Après avoir joué avec quelques secondes, elle se l’enfonce d’un coup sec entre ses lèvres intimes. Complètement émoustillé par cette situation, je jouis violemment en éjaculant abondamment sur sa poitrine.
Sans doute un peu surprise, Sylvie marque un temps d’arrêt. Délaissant provisoirement le légume, elle recueillit mon sperme dans ses doigts et le porte à sa bouche. La façon qu’elle a de se délecter fait plaisir à voir.
Après avoir tout avalé, elle poursuit son exhibition. À quelques centimètres de mon visage, elle vient de se placer à quatre pattes, les fesses bien relevées et largement écartées. La vision de son sexe couvert de poils me fait rebander aussitôt. Pendant un moment, elle suce son majeur avant de se l’enfoncer dans le trou du cul. Qu’elle tourne un moment dans son fondement puis termine à nouveau sa course entre ses lèvres. Quel spectacle !
Par la suite, elle change de position. Elle s’allonge sur le dos, les jambes bien relevées, elle enfourne entièrement le concombre dans son rectum. Après quelques va-et-vient, elle se met à frémir très fort avant d’exploser violemment. Je lui ôte le foulard des yeux et attend qu’elle reprenne ses esprits.
Puis elle place son cul vers moi. Rond, ferme, tendre. Avec ses mains, elle écarte ses chairs intimes. Elle me présente, par la suite sa vulve. Me l’étale, béante, sous mes yeux, luisante et tranquillement me proposa :
- Bouffe-moi le !
Entendre des mots aussi crus sortir de la bouche d’une femme aussi respectable comme elle, me produit un choc pour moi. Déconnecté, je me place bien sous elle. Je me remplis les yeux du tableau qu’elle m’offre. Son trou du cul est mignon. Plus sombre au bord de la rondelle cannelée, comme elle pousse ses chairs vers moi. Il est un peu évasé. En attente. Tel un mollusque obscène. Elle halète. Ses mains caressent ses hanches, son ventre. Elle se donne une position violemment impudique. Son souffle s’accélère. J’approche ma bouche à la bonne hauteur.
- Qu’attends-tu ? Ça te dégoûte ? Non pas toi Alain…
Elle s’impatiente !
Puis ses mains se crispent au bord de son trou. Ses bouts de doigts, laqués de rose, sont humides de jus, je les vois brillé parmi ses poils. J’en avale ma salive.
J’empoigne ma queue. Je me mets à la balader le long de sa raie. Ça glisse bien. Elle ruissèle, je frotte ma verge à son bourgeon en tournant vicieusement.
- Tu aimes ?
- Oh ! Oh ! Que oui ! Fourre-moi la dans le trou !
Je l’enfile d’une avancée de cul rageuse. Elle couine. Je plante mes doigts dans ses hanches, mon ventre claque contre son cul. J’ahane.
Je la pine à fond. À grands coups rectilignes. Je ne sens pas monter la chaleur du plaisir. Mon sexe poussé par l’excitation, est dur comme une barre de fer. Je n’ai pas connu cela ses derniers temps ! Je me mets à limer mécaniquement. Comme un robot. Sylvie gémit, hoquète. Plaque son cul contre mon ventre, vient furieusement à la rencontre de mes coups de reins.
C’est alors que sa main exhume ma queue de sa chatte pour la guider à plus loin. Elle me caresse les couilles et comme je ne bouge pas, elle me les tord un peu.
- Aller putain ! Qu’est-ce que tu attends !
Nul besoin de pousser bien fort. Elle est mouillée comme une fontaine. Je la sodomise sans mal. Dedans c’est chaud et serré. Elle tortille du cul. Ses reins creusés font un toboggan devant moi. J’enregistre chaque détail tandis que je la pilonne. Elle gémit de plus belle. Je l’emmanche tant que ma queue me le permet. Ça dure, ça tient. Je baise en parfait robot. Enfin la chanson de l’orgasme finit par monter en moi. D’abord c’est une chaleur. Puis une brûlure.
Ça monte, ça grimpe et brusquement un ouragan me secoue. Sylvie râle. Je jouis en braillant. Elle tend le cul au maximum pour recevoir mon plaisir. Ce fut pour moi si puissant que j’eus un bref évanouissement.
Je me suis payé le luxe d’aller rendre une petite visite au cocu de permanence. Avec en main un double royal de luxe.
-Putain, tu ne peux pas savoir, fréro, le plaisir que tu m’offre là ! Me fait-il.
-Je te dois bien ça. Fais-je avec le gout de la chatte de sa femme dans la bouche…
Un soir que son mari est de permanence, elle m’invite à venir la rejoindre chez ses parents parti en vacance, pour un dîner en tête à tête. Elle m’a cocote un repas festif.
À la fin du repas, je pars un moment dans la cuisine et je lui annonce que je vais lui faire une surprise, que je reviens ensuite. Il m’a fallut une dizaine de minutes avant de refaire mon apparition. Sylvie n’a pas bougé de sa place. Je lui propose alors de couvrir ses yeux, avec un foulard, pour que l’effet soit plus réussi.
Il s’agissait de lui préparer un dessert. Après avoir ôté mon froc, et mon tee-shirt, je m’allonge sur le sol du salon. J’étale sur mon ventre des fraises découpées en petits dés, puis je verse une bonne couche de chantilly.
Ceci fait, j’invite Sylvie à venir me rejoindre en la guidant de la voix. Son visage est empreint de curiosité et d’étonnement.
-C’est ton désert ! Lui fais-je, tout en dirigeant sa tête vers mon ventre. D’abord hésitante, sa langue attrape un morceau de fruit.
La seconde bouchée fut plus généreuse. La langue entrant en contact avec mon ventre. Au fur et à mesure, la caresse se fait plus insistante. La chaleur de sa langue associée au froid de la chantilly, tout cela m’excite de plus en plus. Au bout d’un moment Sylvie se redresse pour reprendre son souffle et essuyer avec sa langue la crème qui coule de ses lèvres.
J’en profite pour en remettre une nouvelle couche. Alertée par le bruit du déclenchement de la bombe, Sylvie pas moins gourmande, comprend qu’une dose supplémentaire l’attend. Baissant à nouveau la tête, elle dévore goulûment le désert.
À l’aide de ses mains, elle prend ma verge en bouche et se met à lécher le reste de chantilly. Il me faut prendre sur moi pour retenir mon éjaculation car la vision de mon sexe allant et venant dans sa bouche sensuelle rempli de crème est un spectacle particulièrement érotique.
Lorsqu’il ne reste plus aucune fraise sur mon corps, je me relève pour préparer la seconde partie du programme. Et croyez-moi dans ces occasions je ne manque jamais d’imagination. Je demande alors à Sylvie de se foutre à poils, et cela, sans retirer son foulard sur les yeux. Aimant les sensations fortes, elle obéit sans discuter. Sans savoir si sa docilité est due à son amour pour moi ou à l’émoi qui l’envahit.
Elle pivote sur ses talons avant de creuser les reins. Son derrière tend sa jupe dont le bas est remonté presque en haut de ses cuisses. J’approuve d’une voix rauque. Elle ôte par la suite son chemisier et sa jupe. La vue de sa culotte trempée m’excite. Au moment où elle baisse son slip réduit à un chiffon mouillé, je m’approche d’elle. Son sexe est béant. Gluant de mouille. Son clitoris darde comme une crête à vif. Elle a un soupir bruyant en le caressant du bout des doigts.
Comme pour faire grimper ma libido à son plus haut point, elle se tourne et enfonce son index dans son anus. Le conduit moite se crispe par saccades, mais elle n’a guère de mal à y introduire son doigt. De sa main libre, elle touche son bouton. Je suis dans mon élément. Une fois à poils, sa bouche reprend son ballet sur mon sexe. De la main gauche, elle se met à me malaxer les fesses et les testicules tandis qu’avec l’autre, elle se frotte les seins et le clitoris. Et mon plaisir monte d’un cran lorsqu’elle commence à se masturber en se fourrant deux doigts dans la chatte.
Tout en admirant cette scène torride, je me rappel du concombre dans le frigo. Il était de bonne taille.
Après avoir soigneusement lavée, je pose le légume sur le sol, juste devant Sylvie. Elle tâtonne un petit moment, puis elle découvre cet objet fort utile. Après avoir joué avec quelques secondes, elle se l’enfonce d’un coup sec entre ses lèvres intimes. Complètement émoustillé par cette situation, je jouis violemment en éjaculant abondamment sur sa poitrine.
Sans doute un peu surprise, Sylvie marque un temps d’arrêt. Délaissant provisoirement le légume, elle recueillit mon sperme dans ses doigts et le porte à sa bouche. La façon qu’elle a de se délecter fait plaisir à voir.
Après avoir tout avalé, elle poursuit son exhibition. À quelques centimètres de mon visage, elle vient de se placer à quatre pattes, les fesses bien relevées et largement écartées. La vision de son sexe couvert de poils me fait rebander aussitôt. Pendant un moment, elle suce son majeur avant de se l’enfoncer dans le trou du cul. Qu’elle tourne un moment dans son fondement puis termine à nouveau sa course entre ses lèvres. Quel spectacle !
Par la suite, elle change de position. Elle s’allonge sur le dos, les jambes bien relevées, elle enfourne entièrement le concombre dans son rectum. Après quelques va-et-vient, elle se met à frémir très fort avant d’exploser violemment. Je lui ôte le foulard des yeux et attend qu’elle reprenne ses esprits.
Puis elle place son cul vers moi. Rond, ferme, tendre. Avec ses mains, elle écarte ses chairs intimes. Elle me présente, par la suite sa vulve. Me l’étale, béante, sous mes yeux, luisante et tranquillement me proposa :
- Bouffe-moi le !
Entendre des mots aussi crus sortir de la bouche d’une femme aussi respectable comme elle, me produit un choc pour moi. Déconnecté, je me place bien sous elle. Je me remplis les yeux du tableau qu’elle m’offre. Son trou du cul est mignon. Plus sombre au bord de la rondelle cannelée, comme elle pousse ses chairs vers moi. Il est un peu évasé. En attente. Tel un mollusque obscène. Elle halète. Ses mains caressent ses hanches, son ventre. Elle se donne une position violemment impudique. Son souffle s’accélère. J’approche ma bouche à la bonne hauteur.
- Qu’attends-tu ? Ça te dégoûte ? Non pas toi Alain…
Elle s’impatiente !
Puis ses mains se crispent au bord de son trou. Ses bouts de doigts, laqués de rose, sont humides de jus, je les vois brillé parmi ses poils. J’en avale ma salive.
J’empoigne ma queue. Je me mets à la balader le long de sa raie. Ça glisse bien. Elle ruissèle, je frotte ma verge à son bourgeon en tournant vicieusement.
- Tu aimes ?
- Oh ! Oh ! Que oui ! Fourre-moi la dans le trou !
Je l’enfile d’une avancée de cul rageuse. Elle couine. Je plante mes doigts dans ses hanches, mon ventre claque contre son cul. J’ahane.
Je la pine à fond. À grands coups rectilignes. Je ne sens pas monter la chaleur du plaisir. Mon sexe poussé par l’excitation, est dur comme une barre de fer. Je n’ai pas connu cela ses derniers temps ! Je me mets à limer mécaniquement. Comme un robot. Sylvie gémit, hoquète. Plaque son cul contre mon ventre, vient furieusement à la rencontre de mes coups de reins.
C’est alors que sa main exhume ma queue de sa chatte pour la guider à plus loin. Elle me caresse les couilles et comme je ne bouge pas, elle me les tord un peu.
- Aller putain ! Qu’est-ce que tu attends !
Nul besoin de pousser bien fort. Elle est mouillée comme une fontaine. Je la sodomise sans mal. Dedans c’est chaud et serré. Elle tortille du cul. Ses reins creusés font un toboggan devant moi. J’enregistre chaque détail tandis que je la pilonne. Elle gémit de plus belle. Je l’emmanche tant que ma queue me le permet. Ça dure, ça tient. Je baise en parfait robot. Enfin la chanson de l’orgasme finit par monter en moi. D’abord c’est une chaleur. Puis une brûlure.
Ça monte, ça grimpe et brusquement un ouragan me secoue. Sylvie râle. Je jouis en braillant. Elle tend le cul au maximum pour recevoir mon plaisir. Ce fut pour moi si puissant que j’eus un bref évanouissement.
Je me suis payé le luxe d’aller rendre une petite visite au cocu de permanence. Avec en main un double royal de luxe.
-Putain, tu ne peux pas savoir, fréro, le plaisir que tu m’offre là ! Me fait-il.
-Je te dois bien ça. Fais-je avec le gout de la chatte de sa femme dans la bouche…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Miam
Trés bien écrit et j'avoue que j'aime jouer avec des légumes c'est bon pour la Santé
Sî vous souhaitez on peut correspondre
Annie
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Annie