Douceur feminine 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Douceur feminine 2
Les mains moites de Valériane parcourent, le corps fébrile d'Isabelle. Ses mains agiles s'approchent des lobes charnus, elle les enserent et les pressent doucement comme pour en connaitre la texture. Les gestes précis sur ses seins font déjà geindre Isabelle. Ses doigts fins s'enfoncent dans la chair tendre des seins en faisant cabrer Isabelle. Valériane roule entre ses doigts les mamelons, les étire à la limite de la douleur, les presse fortement. Elle observe les bouts qui ne cessent de prendre du volume. Elle se penche et gobe l'un d'eux, elle le sucotte au début puis avec plus de voracité. Isabelle se cabre, elle gemit comme une bête blessée. La bouche vorace change de mamelons et lui fait subir le même traitement. La respiration d'Isabelle s'accélère, elle ferme les yeux. Les succions sur ses bouts tenus comma jamais la font geindre fortement, les bougres doubles de volume.
Valériane délaisse les mamelons, sa bouche descend sur le torse, s'attarde sur le ventre, lui fouille le nombril. Jamais Isabelle n'a connue un tel plaisir, elle se cambre en offrant son ventre à son amante. Les baisers que donne Valériane sur le ventre plat sont très bruyants, il s'approchent dangereusement de la vulve qui est deja en ébullition. Isabelle mouille comme une fontaine, elle agite son bassin en couinant de plaisir. Soudain, elle se tend comme un arc, la bouche de Valériane vient de se poser sur sa chatte en feu. La langue rapeuse s'enfonce au plus profond de son vagin et le fouille énergiquement. Isabelle fond, elle delire :
-Oh oui, oui, oh, c'est trop bon, tu vas me faire mourir mon amour !
Valériane lui dévore l'abricot comme une affamée. C'en est trop pour Isabelle qui se cabre et jouit en grimaçant. Valériane avale le jus que lui offre Valériane à grandes lampées. La langue maintenant s'active sur le clito, elle le malmène. Le bougre est méconnaissable, les succions et les aspirations ont vite raison d'Isabelle qui jouit une seconde font en grognant.
Valériane suçote les grandes lèvres, elle se gave du jus que la vulve rejette.
Isabelle, en plain délire, bascule son amour et se place tête bêche sur elle. Les bouches sont si près des fruits qui suintent abondamment, que mécaniquement, elles se plaquent dessus. Les deux femmes se dévorent mutuellement la chatte. Dans la chambre, ce n'est que gémissement et râles. Le clito d'Isabelle est plus volumineux que celui de Valériane, la coquine s'acharne dessus pour le faire gonfler, elle s'y prend bien, la boule de chair est devenue grosse comme une belle noisette. Isabelle se lâche totalement, elle devore la chatte de Valériane sans la ménager.
Isabelle se redresse, caresse du bout des doigts la perle magique, Valériane se cabre au touché d'experte de sa chérie. Soudainement, elle enfonce trois dans la chatte baveuse, elle la ramone avec amour. Les longs doigts qui la fouillent la font gémir comme une bête malade. Valériane, au bout d'un instant, se cambre fortement et jouit terriblement. Les clitos sont devenus des objets de jeux, les deux femmes les martyrisent, les agacent jusqu'à ce que les deux amoureuses explosent de jouissance. Isabelle dit en grinçant les dents :
-Valériane, tu as fait de moi une lesbienne, mon Dieu, c'est merveilleux ce qui m'arrive !
Les ébats durent de longues heures, c'est épuisée par les nombreuses jouissances que les deux femmes s'endorment enlacées, jusqu'au petit matin. Le lendemain matin, c'est isabelle la première debout, en peignoir, elle prépare le petit déjeuner. Valériane se réveille, ne trouve pas son amour à ses côtés, elle repousse les draps et saute hors du lit, nue, elle descend l'escalier. Elle s'accroche à Isabelle qui terminait de préparer le petit déjeuner. Elle la serre très fort dans ses bras en agitant son bassin contre ses fesses. Elle lui donne de nombreux baisers sur la nuque et sur le cou. Isabelle frémit, mais reste sans bouger, elle soupire de bonheur, La tension monte dans les corps. Valériane fait tomber le peignoir et tombe à genoux derrière son amour. Elle lui embrasse les fesses, les caresses longuement avant de les écarter avec ses doigts.
Isabelle pousse un gémissement terrible, Valériane vient de poser sa bouche sur son anus, et l'aspire le plus fort possible. La sensation que ressent Isabelle est terrible, elle se cabre en gémissant comme un fauve. La langue habile après maints efforts parvient à pénétrer le temple retissant de Sodome. Pour Isabelle, c'est une nouveauté, elle gemit comme jamais, elle ne l'a fait. La langue lui fouille la gaine étroite en s'enfonçant de plus en plus. Isabelle commence à trembler, son corps est secoué de spasmes violents. Ce qu'elle ressent est phénoménale, son corps s'agite, elle ne peut le contrôler. Elle se tend comme un pont en pleine tempête et jouit du cul pour la première fois de sa vie. Elle se retourne, relève son amante et avant de l'embrasser, lui dit en haletant :
-Mon Dieu, tu en connais de trucs toi ma chérie !
Valériane délaisse les mamelons, sa bouche descend sur le torse, s'attarde sur le ventre, lui fouille le nombril. Jamais Isabelle n'a connue un tel plaisir, elle se cambre en offrant son ventre à son amante. Les baisers que donne Valériane sur le ventre plat sont très bruyants, il s'approchent dangereusement de la vulve qui est deja en ébullition. Isabelle mouille comme une fontaine, elle agite son bassin en couinant de plaisir. Soudain, elle se tend comme un arc, la bouche de Valériane vient de se poser sur sa chatte en feu. La langue rapeuse s'enfonce au plus profond de son vagin et le fouille énergiquement. Isabelle fond, elle delire :
-Oh oui, oui, oh, c'est trop bon, tu vas me faire mourir mon amour !
Valériane lui dévore l'abricot comme une affamée. C'en est trop pour Isabelle qui se cabre et jouit en grimaçant. Valériane avale le jus que lui offre Valériane à grandes lampées. La langue maintenant s'active sur le clito, elle le malmène. Le bougre est méconnaissable, les succions et les aspirations ont vite raison d'Isabelle qui jouit une seconde font en grognant.
Valériane suçote les grandes lèvres, elle se gave du jus que la vulve rejette.
Isabelle, en plain délire, bascule son amour et se place tête bêche sur elle. Les bouches sont si près des fruits qui suintent abondamment, que mécaniquement, elles se plaquent dessus. Les deux femmes se dévorent mutuellement la chatte. Dans la chambre, ce n'est que gémissement et râles. Le clito d'Isabelle est plus volumineux que celui de Valériane, la coquine s'acharne dessus pour le faire gonfler, elle s'y prend bien, la boule de chair est devenue grosse comme une belle noisette. Isabelle se lâche totalement, elle devore la chatte de Valériane sans la ménager.
Isabelle se redresse, caresse du bout des doigts la perle magique, Valériane se cabre au touché d'experte de sa chérie. Soudainement, elle enfonce trois dans la chatte baveuse, elle la ramone avec amour. Les longs doigts qui la fouillent la font gémir comme une bête malade. Valériane, au bout d'un instant, se cambre fortement et jouit terriblement. Les clitos sont devenus des objets de jeux, les deux femmes les martyrisent, les agacent jusqu'à ce que les deux amoureuses explosent de jouissance. Isabelle dit en grinçant les dents :
-Valériane, tu as fait de moi une lesbienne, mon Dieu, c'est merveilleux ce qui m'arrive !
Les ébats durent de longues heures, c'est épuisée par les nombreuses jouissances que les deux femmes s'endorment enlacées, jusqu'au petit matin. Le lendemain matin, c'est isabelle la première debout, en peignoir, elle prépare le petit déjeuner. Valériane se réveille, ne trouve pas son amour à ses côtés, elle repousse les draps et saute hors du lit, nue, elle descend l'escalier. Elle s'accroche à Isabelle qui terminait de préparer le petit déjeuner. Elle la serre très fort dans ses bras en agitant son bassin contre ses fesses. Elle lui donne de nombreux baisers sur la nuque et sur le cou. Isabelle frémit, mais reste sans bouger, elle soupire de bonheur, La tension monte dans les corps. Valériane fait tomber le peignoir et tombe à genoux derrière son amour. Elle lui embrasse les fesses, les caresses longuement avant de les écarter avec ses doigts.
Isabelle pousse un gémissement terrible, Valériane vient de poser sa bouche sur son anus, et l'aspire le plus fort possible. La sensation que ressent Isabelle est terrible, elle se cabre en gémissant comme un fauve. La langue habile après maints efforts parvient à pénétrer le temple retissant de Sodome. Pour Isabelle, c'est une nouveauté, elle gemit comme jamais, elle ne l'a fait. La langue lui fouille la gaine étroite en s'enfonçant de plus en plus. Isabelle commence à trembler, son corps est secoué de spasmes violents. Ce qu'elle ressent est phénoménale, son corps s'agite, elle ne peut le contrôler. Elle se tend comme un pont en pleine tempête et jouit du cul pour la première fois de sa vie. Elle se retourne, relève son amante et avant de l'embrasser, lui dit en haletant :
-Mon Dieu, tu en connais de trucs toi ma chérie !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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On sent que c'est du vécu! Merci pour ce magnifique texte saphique