Du parking, au cinéma porno.

Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Du parking, au cinéma porno.
A force de fréquenter les lieux de baises entre hommes, j'ai accumulé les rencontres, et par conséquent, les amants éphémères qui ne l'étaient pas tant que ça, puisque j'avais leur préférence à chaque fois qu'on se croisaient.
En quatre ans, j'en ai déjà connu des centaines, dont une bonne quarantaine qui sont des "réguliers" ponctuels.
Mais ce jour là, je n'étais pas en lieu chaud, tout simplement dans un supermarché, pour faire mes courses.
J'avoue que mes phantasmes homosexuels recommencent à me titiller.
Je croise alors le regard d'un homme qui m'est familier, d'où est-ce qu'on se connait ?
L'évidence me saute ensuite aux yeux ! Putain ! C'est un des types qui me baisent !
Ca me confirme encore, que ma double vie, me rattrape dans la vie de tous les jours.
Il me sourit, et vient vers moi.
"Salut ! C'est bien toi ? Tu vas souvent au petit bois du Mourillon ! Pas vrai ?".
"Ou... Oui ! C'est moi ! Bonjour !".
"Tu fais quoi ici ?".
"Ben, ça se voit ! Non ?"
"Oui, désolé ! Mais... A mon avis, tu vas devoir reposer le surgelé ! Parce que j'aimerai bien m'occuper de toi ! Le fait de te voir m'a donné une grosse envie de baiser !".
"Chhhhht, Monsieur ! Soyez plus discret !".
"Tu veux ? Ou pas ?".
Je dois vite réfléchir ! Où ? Quand ? Comment ? S'il trouve une solution, je dirai bien oui !
"Euh... Ok, mais c'est impossible ici !".
"T'inquiètes pas ! Je vais trouver ! On paye, et on se suit ! OK?".
"OK !".
Il m'entraine vers un parking souterrain, non attenant au supermarché.
Il me fait déposer nos courses dans son coffre de voiture, puis regarde aux alentours.
L'endroit est sombre, et peu fréquenté.
Il voit deux fourgons collés l'un à l'autre.
"Viens ! On va se mettre là-bas !".
"Quoi ? Mais c'est risqué !".
"Viens, j'te dis ! Tu verras ! Ca va être excitant ! Allez ! Tu m'as dit oui, ne changes pas d'avis ! Penses à ma bite !".
Il a trouvé l'argument imparable, je le suis sans discuter.
A peine cachés derrière un des deux fourgons, il me sort sa belle verge.
"Putain, ça m'excite ! Vite, prends la dans ta bouche !".
Je pense à la situation, à mon envie, je crois que moi aussi, ça m'excite !
Me voilà à ses pieds, entrain de lui pomper la bite, comme une salope gourmande.
Je compte sur lui pour gérer les venues éventuelles de personnes.
A chaque bruit suspect, il jette un œil vers le milieu du parking.
"Orhhh ! Non, c'est bon ! Il est rentré dans sa caisse ! Continues de me sucer !".
Je me régale de sa bite, en lui faisant confiance, me concentrant à fond sur mon plaisir buccal.
Plusieurs usagers vont donc passer tout près de nous, pour sortir du parking.
Puis, il me relève, pour me prendre la bouche, avec la sienne.
Ses mains me dénudent les fesses.
"J'veux ton cul !"
"T'es sur qu'on peut ?".
"Laisses toi faire ! On perd du temps ! Ca sert à rien de discuter !".
Il me pivote contre le capot avant du fourgon.
Je crache sur mes doigts pour m'enduire l'anus de salive.
La pression de son gros gland ferme se fait sentir.
Il me connait bien. En quelques poussées, il m'écartèle les parois anales, en s'enfonçant profondément jusqu'aux couilles.
"Alors ? On est pas mieux comme ça ?".
"Orghhhhhhhhhh ! Ouiii ! C'est bon ! Continues ! Encules moi !".
Mon corps juvénile est alors secoué contre la tôle froide du fourgon.
Il me lime sans se précipiter, mon plaisir anal monte inexorablement.
Je remonte mon avant bras pour jouir sans bruits.
Mon orgasme l'excite.
Il est pris d'un besoin de jouir trop puissant.
Son rythme s'accélère pour devenir presque bestial.
"Putain, c'est trop bon de t'enculer, ici ! Orhhhh ! J'vais cracher mon jus ! Arghhhhhhhhhhhh ! Tiens ! Prends tout, salope ! Arghhhhhhhhhhh !...".
Il m'insère sa semence, au moment où mon deuxième orgasme retombe, ce qui me permet de mieux ressentir sa jouissance explosive.
Je cambre mes fesses pour lui offrir plus d'aisance.
"Orghhhhhhh ! Ouiii ! Putain ! C'est trop bon de te baiser ! Jeune !".
A partir de là, il prend son temps dans ma chatte, jusqu'à une nouvelle venue dans le parking.
Il retire sa verge:
"Bon, on va pas rester trop longtemps ! Merci petit ! Ca m'a fait du bien ! Je te dépose chez toi ?".
"Je veux bien, merci !".
Je remonte mon jeans sur mon cul, en serrant les fesses.
Dans la voiture, il pose sa main sur ma cuisse.
"Hummm ! C'était bien bon ! Et toi t'as aimé ?".
"Oui, c'était excitant ! J'ai beaucoup aimé !".
"T'y retournes quand, au petit bois du Mourillon ?".
"Bientôt, mes envies me reprennent ! Surement, ce Week End !".
"Super ! On se reverra là-bas alors, tu me dis, où je dois te déposer ?".
C'était l'époque, où je vivais encore seul, donc pas de souci pour me vider l'orifice anal ensuite.
Mais c'était trop furtif pour moi ! J'ai opté pour une sortie au cinéma porno pour me soulager.
J'ai eu le plaisir (entre autres) de faire éjaculer deux hommes collés l'un à l'autre, sur leur sièges.
Je vis quelques rencontres buccales sympas, ensuite.
Puis, quand un magrébin inconnu m'a enfoncé sa verge dans la chatte, j'ai su que j'avais fait le bon choix.
En effet, le type n'était pas vraiment attirant, très âgé et mal baillé.
Mais il était très entreprenant, et à réussi à s'imposer.
J'ai presque joui instantanément, quand il m'a enfoncé sa grosse bite.
Il prend alors son temps, en me labourant profondément.
Je sais déjà qu'il va me démonter avec endurance.
Il me parle vulgairement, avec un fort accent arabe, mais je m'en moque, tant qu'il m'encule comme ça !
Je lui lubrifie la bite abondamment, il me dit que mon cul est comme un vagin féminin.
"T'y mouilles comme la femme ! C'est bon ! T'y as une bonne chatte ! T'y l'aimes ma bite ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Oui, je l'aime ! Putain, tu me défonces trop bien ! Je vais encore jouir ! Continues !...".
Cet enfoiré me fait couler du cul, mais pas seulement ! J'éjacule sur mon slip et mon jeans, baissés au niveau de mes chaussures.
Il m'entraine ensuite, dans les chiottes, et me demande de m'empaler sur lui, en lui tournant le dos.
"Hummmm ! T'y as un beau cul de salope ! Jeune ! C'est bon ? T'y te régales ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Oui ! Putain ! Elle est bonne ta queue ! Je prend mon pied ! Orghhhhhhhhhh ! Tu vas pas jouir ?".
"Si, petit ! Bientot ! Allez baises-moi encore la bite ! Ca va venir !".
"Arghhhhhhhhhh ! Je jouis encoooorrrrrrre !".
"Hummmm ! Toi, t'y es une bonne fatma ! J'aime bien ta chatte de femelle !".
J'ai pas encore l'habitude de ce genre de langage magrébin, mais j'y porte pas attention, il me baise trop bien, ce vieil arabe !
Il me soulève, pour me baisser au dessus de la cuvette.
Il me remplit l'orifice anal d'une traite, putain, il est gros le bougre !
Ma vessie devient incontrôlable, il me baise depuis trop longtemps.
Je me mets à pisser dans le WC sous moi, tout en jouissant du cul.
Ca ne l'étonne même pas ! Il me laboure la chatte sans relâche.
Je me fais encore démonter pendant 5 bonnes minutes, avant qu'il daigne m'insérer tout son jus chaud et gluant.
Il m'impose de lui lécher la verge ensuite.
Je le fais sans rechigner, malgré un épuisement de plaisir évident.
Je serre mon sphincter comme je peux, ce salaud m'a mis la chatte dans état de béance extrême.
J'avale tout ce qu'il contient encore de sperme, dans le méat.
Il s'amuse à m'humilier en me tapotant le visage avec sa grosse queue.
Me dit que je suis "une bonne petite salope française".
"Si j't'y revois, j't'y baise encore la chatte pour t'faire pisser !".
Il l'a fait de nombreuses fois, mais toujours dans ce cinéma porno, jamais ailleurs , il ne fréquentait que cet endroit !
Quand à moi, ça m'a suffit, je suis rentré comblé de plaisir, mais avec le slip dans un état lamentable !
En quatre ans, j'en ai déjà connu des centaines, dont une bonne quarantaine qui sont des "réguliers" ponctuels.
Mais ce jour là, je n'étais pas en lieu chaud, tout simplement dans un supermarché, pour faire mes courses.
J'avoue que mes phantasmes homosexuels recommencent à me titiller.
Je croise alors le regard d'un homme qui m'est familier, d'où est-ce qu'on se connait ?
L'évidence me saute ensuite aux yeux ! Putain ! C'est un des types qui me baisent !
Ca me confirme encore, que ma double vie, me rattrape dans la vie de tous les jours.
Il me sourit, et vient vers moi.
"Salut ! C'est bien toi ? Tu vas souvent au petit bois du Mourillon ! Pas vrai ?".
"Ou... Oui ! C'est moi ! Bonjour !".
"Tu fais quoi ici ?".
"Ben, ça se voit ! Non ?"
"Oui, désolé ! Mais... A mon avis, tu vas devoir reposer le surgelé ! Parce que j'aimerai bien m'occuper de toi ! Le fait de te voir m'a donné une grosse envie de baiser !".
"Chhhhht, Monsieur ! Soyez plus discret !".
"Tu veux ? Ou pas ?".
Je dois vite réfléchir ! Où ? Quand ? Comment ? S'il trouve une solution, je dirai bien oui !
"Euh... Ok, mais c'est impossible ici !".
"T'inquiètes pas ! Je vais trouver ! On paye, et on se suit ! OK?".
"OK !".
Il m'entraine vers un parking souterrain, non attenant au supermarché.
Il me fait déposer nos courses dans son coffre de voiture, puis regarde aux alentours.
L'endroit est sombre, et peu fréquenté.
Il voit deux fourgons collés l'un à l'autre.
"Viens ! On va se mettre là-bas !".
"Quoi ? Mais c'est risqué !".
"Viens, j'te dis ! Tu verras ! Ca va être excitant ! Allez ! Tu m'as dit oui, ne changes pas d'avis ! Penses à ma bite !".
Il a trouvé l'argument imparable, je le suis sans discuter.
A peine cachés derrière un des deux fourgons, il me sort sa belle verge.
"Putain, ça m'excite ! Vite, prends la dans ta bouche !".
Je pense à la situation, à mon envie, je crois que moi aussi, ça m'excite !
Me voilà à ses pieds, entrain de lui pomper la bite, comme une salope gourmande.
Je compte sur lui pour gérer les venues éventuelles de personnes.
A chaque bruit suspect, il jette un œil vers le milieu du parking.
"Orhhh ! Non, c'est bon ! Il est rentré dans sa caisse ! Continues de me sucer !".
Je me régale de sa bite, en lui faisant confiance, me concentrant à fond sur mon plaisir buccal.
Plusieurs usagers vont donc passer tout près de nous, pour sortir du parking.
Puis, il me relève, pour me prendre la bouche, avec la sienne.
Ses mains me dénudent les fesses.
"J'veux ton cul !"
"T'es sur qu'on peut ?".
"Laisses toi faire ! On perd du temps ! Ca sert à rien de discuter !".
Il me pivote contre le capot avant du fourgon.
Je crache sur mes doigts pour m'enduire l'anus de salive.
La pression de son gros gland ferme se fait sentir.
Il me connait bien. En quelques poussées, il m'écartèle les parois anales, en s'enfonçant profondément jusqu'aux couilles.
"Alors ? On est pas mieux comme ça ?".
"Orghhhhhhhhhh ! Ouiii ! C'est bon ! Continues ! Encules moi !".
Mon corps juvénile est alors secoué contre la tôle froide du fourgon.
Il me lime sans se précipiter, mon plaisir anal monte inexorablement.
Je remonte mon avant bras pour jouir sans bruits.
Mon orgasme l'excite.
Il est pris d'un besoin de jouir trop puissant.
Son rythme s'accélère pour devenir presque bestial.
"Putain, c'est trop bon de t'enculer, ici ! Orhhhh ! J'vais cracher mon jus ! Arghhhhhhhhhhhh ! Tiens ! Prends tout, salope ! Arghhhhhhhhhhh !...".
Il m'insère sa semence, au moment où mon deuxième orgasme retombe, ce qui me permet de mieux ressentir sa jouissance explosive.
Je cambre mes fesses pour lui offrir plus d'aisance.
"Orghhhhhhh ! Ouiii ! Putain ! C'est trop bon de te baiser ! Jeune !".
A partir de là, il prend son temps dans ma chatte, jusqu'à une nouvelle venue dans le parking.
Il retire sa verge:
"Bon, on va pas rester trop longtemps ! Merci petit ! Ca m'a fait du bien ! Je te dépose chez toi ?".
"Je veux bien, merci !".
Je remonte mon jeans sur mon cul, en serrant les fesses.
Dans la voiture, il pose sa main sur ma cuisse.
"Hummm ! C'était bien bon ! Et toi t'as aimé ?".
"Oui, c'était excitant ! J'ai beaucoup aimé !".
"T'y retournes quand, au petit bois du Mourillon ?".
"Bientôt, mes envies me reprennent ! Surement, ce Week End !".
"Super ! On se reverra là-bas alors, tu me dis, où je dois te déposer ?".
C'était l'époque, où je vivais encore seul, donc pas de souci pour me vider l'orifice anal ensuite.
Mais c'était trop furtif pour moi ! J'ai opté pour une sortie au cinéma porno pour me soulager.
J'ai eu le plaisir (entre autres) de faire éjaculer deux hommes collés l'un à l'autre, sur leur sièges.
Je vis quelques rencontres buccales sympas, ensuite.
Puis, quand un magrébin inconnu m'a enfoncé sa verge dans la chatte, j'ai su que j'avais fait le bon choix.
En effet, le type n'était pas vraiment attirant, très âgé et mal baillé.
Mais il était très entreprenant, et à réussi à s'imposer.
J'ai presque joui instantanément, quand il m'a enfoncé sa grosse bite.
Il prend alors son temps, en me labourant profondément.
Je sais déjà qu'il va me démonter avec endurance.
Il me parle vulgairement, avec un fort accent arabe, mais je m'en moque, tant qu'il m'encule comme ça !
Je lui lubrifie la bite abondamment, il me dit que mon cul est comme un vagin féminin.
"T'y mouilles comme la femme ! C'est bon ! T'y as une bonne chatte ! T'y l'aimes ma bite ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Oui, je l'aime ! Putain, tu me défonces trop bien ! Je vais encore jouir ! Continues !...".
Cet enfoiré me fait couler du cul, mais pas seulement ! J'éjacule sur mon slip et mon jeans, baissés au niveau de mes chaussures.
Il m'entraine ensuite, dans les chiottes, et me demande de m'empaler sur lui, en lui tournant le dos.
"Hummmm ! T'y as un beau cul de salope ! Jeune ! C'est bon ? T'y te régales ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Oui ! Putain ! Elle est bonne ta queue ! Je prend mon pied ! Orghhhhhhhhhh ! Tu vas pas jouir ?".
"Si, petit ! Bientot ! Allez baises-moi encore la bite ! Ca va venir !".
"Arghhhhhhhhhh ! Je jouis encoooorrrrrrre !".
"Hummmm ! Toi, t'y es une bonne fatma ! J'aime bien ta chatte de femelle !".
J'ai pas encore l'habitude de ce genre de langage magrébin, mais j'y porte pas attention, il me baise trop bien, ce vieil arabe !
Il me soulève, pour me baisser au dessus de la cuvette.
Il me remplit l'orifice anal d'une traite, putain, il est gros le bougre !
Ma vessie devient incontrôlable, il me baise depuis trop longtemps.
Je me mets à pisser dans le WC sous moi, tout en jouissant du cul.
Ca ne l'étonne même pas ! Il me laboure la chatte sans relâche.
Je me fais encore démonter pendant 5 bonnes minutes, avant qu'il daigne m'insérer tout son jus chaud et gluant.
Il m'impose de lui lécher la verge ensuite.
Je le fais sans rechigner, malgré un épuisement de plaisir évident.
Je serre mon sphincter comme je peux, ce salaud m'a mis la chatte dans état de béance extrême.
J'avale tout ce qu'il contient encore de sperme, dans le méat.
Il s'amuse à m'humilier en me tapotant le visage avec sa grosse queue.
Me dit que je suis "une bonne petite salope française".
"Si j't'y revois, j't'y baise encore la chatte pour t'faire pisser !".
Il l'a fait de nombreuses fois, mais toujours dans ce cinéma porno, jamais ailleurs , il ne fréquentait que cet endroit !
Quand à moi, ça m'a suffit, je suis rentré comblé de plaisir, mais avec le slip dans un état lamentable !
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