Education d'une novice à faire 1 - histoire érotique

Education d'une novice à faire 1


La matinée est belle, les doux rayons du soleil chauffent la rosée du matin. Maude ouvre les volets de sa chambre, s'étire comme un félin, elle a le sourire. Les cigales chantent dans les oliviers. Elle descend l'escalier, en ondulant du bassin comme une danseuse orientale. Son mari Ludovic, a déjà préparé le petit déjeuner. les deux se sourient.

Ludovic, dévore du regard le corps bien sculpté de sa femme. Très amoureux comme au premier jour, les deux amants, ont fait l'amour une grosse partie de la nuit. Maude porte encore des traces de l'ébat. Les cernes qui soulignent ses grands yeux noirs, la rendent encore plus désirable.
Elle avance en souriant à son mari. La transparence de sa nuisette voile à peine ses formes. Les yeux de Ludovic la déshabillent. En voyant la toison qu'il a longuement caressé cette nuit. Son imagination fertile, lui fait soupçonner, que les poils pubiens, sont encore rêches à cause du sperme séché, et cela le fait saliver.

les deux échangent un long baiser d'amour. Ludovic, pendant le baiser, ne peut s'empêcher de caresser le fessier, et le dos de sa femme. Maude frémit, le baiser devient plus fougueux. Et pour se donner raison, sa main s'égare sous la nuisette et se plaque contre la vulve au poils qui sont vraiment rêches.
Après le petit déjeuner, et une douche. Elle enfile une jupe aérée, qui dévoile une partie de ses cuisses. Et un corsage très échancré, qui laisse voir le début d'un large sillon, qui sépare les seins.


Maude, malgré son âge, est toujours coquette, elle ne fait pas ses cinquante huit ans, elle pétille de bonheur. Elle aime la provocation, et abuse de son charme. Cela amuse Ludovic, qui la pousse même à être plus provocante.
Lui, il passe sur son torse, un t-shirt, et un short. Les eux. Ils se rendent dans les rues piétonnières, et pendant qu'ils errent. Ludovic propose un défit à sa femme, c'est de draguer. Maude, bien que surprise par cette proposition, accepte, cela l'amuse même. Elle demande en faisant le plus beau de ses sourires :

-je peux y aller jusqu'ou mon chéri ?

En souriant Ludovic répond :

-Je te laisse seule juge mon amour !

les deux arpentent les rues font du lèchent vitrines, et décide de prendre un verre à la terrasse d'un café bien ombragée. Ludovic passe commande, et les deux papotent de tout et de rien. Un couple, prend place à la table juste en face. C'est un jeune couple d'une vingtaine d'années, guère plus. Les quatre se saluent, ils échangent souvent des regards. Maude murmure :

-Je commence le défit mon chéri, ne sois pas jaloux, je vais tenter de les allumer !

Elle cherche le regard du jeune homme. Ils s'accrochent, les sourires ravageurs de Maude portent leurs fruits. le jeune très intimidé, baisse les yeux, et saisit la main de sa compagne en la serrant très fort. Maude pratique la même méthode pour séduire la femme. La jeunette, semble plus timide, mais elle répond aux sourires ravageurs de Maude. Ludovic souffle quelques mots à Maude, qui se lève et s'approche du couple. Elle dit :

-Mon mari et moi, serions ravis si vous acceptiez de prendre un verre avec nous ?

Les deux jeunes se regardent, puis en se pinçant les lèvres la femme répond :

-Pourquoi pas, nous venons juste d'arriver dans ce cadre magnifique, pour passer quelques vacances !

Les quatre, s'installent à la même table et commandent une boisson. Les langues se délient. La jeune femme se prénomme Julia, et son compagnon Frédérique. Ils parlent des environs, de ce qu'il y a, à visiter, l'heure tourne. Frédérique demande, s'il y à un hôtel, car ils se sont décidés ce matin de partir dans cette région sans avoir fait de réservation. Ludovic se gratte la tête et en faisant une moue, répond :

-En cette période, malheureusement, tout est complet !

Le couple semble déçu, mais Maude intervient :

- Comme vous êtes sympathique, et que nous avons un grand mas, nous vous invitons à le partager pour quelques jours !

Les deux jeunes se regardent et acceptent. Après avoir terminé leur verre, les quatre se rendent au mas. Ils sont émerveillés par la piscine, et les oliviers qui cernent la maison. Maude leur montre leur chambre, et aide les jeunes à ranger leurs affaires dans une armoire, avant de faire le tour du propriétaire.

Ludovic, demande si un barbecue le con vient. Frédérique propose de mettre la main à la pate. Les deux femmes dressent la table et, d'un commun accord, montent enfiler un maillot de bain. Les yeux de Frédérique, se pose sur les formes de Maude, il ravale sa salive tellement il est surprit pas la courbe de ses formes. Il se dit intérieurement oh putain quel cul. Les seins de Maude débordent volontairement de son soutient gorge. La coquine, continue le défit que lui a imposé son mari.

Frédérique ne sait ou poser son regard. Julia est magnifique, elle balance ses fesses bien rondes à chacun de ses pas, ses petits seins emprisonnés dans le carcan de tissu, ne demandent qu'a être caressé est sucé.

Les deux femmes prennent place sur un transat, et bavardent en sirotant une boisson fraiche. Pendant que Frédérique tourne la viande, Ludovic va en cuisine préparer quelques légumes, et entrées. Il revient avec une bouteille de pastis. Les verres se suivent, les femmes elles aussi s'y mettent, elle trinquent en cognant fortement leur verre. Elle ne cessent de se sourire, quelques fois volontairement, les mains se frôlent. Avant de passer à table, elles décident de plonger dans la piscine. les deux s'ébattent, jouent et rient comme des enfants.

Un peu épuisée par les ébats, Julia s'accroche au bord du bassin, elle est vite rejoint pas Maude, qui s'agrippe à elle. Elle se plaque contre elle et l'enlace. Son bassin ondule sur le fessier de Julia. La jeune femme sent contre son dos la poitrine généreuse de Maude. Elle frémit. Puis habilement réussit à faire face à Maude. Elles se regardent longuement, un trouble s'installe. les visages sont très près l'un de l'autre, les souffles chauds se mêlent. Julia est comme prise de panique, elle dit en béguant :

-Je ne sais pas ce qui m'arrive Maude, je crois que j'ai trop bu !

Maude ressent la même tension, elle éprouve une attirance insoupçonnée vers cette jeune femme. Julia est dans la même situation elle regarde Maude avec des yeux de chien battu. leurs lèvres se frôlent, Julia tremble comme une feuille. Elle sont sorties de leur délire, par la voix de centaure de Ludovic qui cri :

Mesdames, le repas est prêt !

les deux femmes sortent du bain, la culotte et insérée entre les grandes lèvres de la vulve de Maude. Frédérique ravale sa salive et dit :

-Ludovic tu as une femme magnifique !

En souriant, il répond :

-La tienne, n'est pas mal n'en plus tu sais, elle donne envie de la déguster, et si elle le veut je me dévoue !

Frédérique sourit et dit :

-Cela m'étonnerait, elle est trop coincée et trop prude !

Ludovic répond avec un gros sourire et avec beaucoup d'humour :

-Dommage, elle ne sait pas ce qu'elle perd !

Frédérique enfonce le clou :

-Et la tienne, elle oserait avec un autre ?

Ludovic le regarde et ajoute toujours avec humour :

-Ca cela, c'est à elle qu'il faut poser la question, pour l'instant, elle est très sage !

Les deux femmes, se tenant par la main s'approchent, et se laissent tomber sur une chaise, l'une à côte de l'autre. Elles se regardent, se sourient, Maude serre un verre, que Julia, avale d'un trait. les deux hommes, remarquent que les femmes sont dans un état euphoriques, et que l'alcool fait effet. Les deux complices, éclatent de rire pour un oui pour un non. Pendant le repas, pour mettre plus d'ambiance, les hommes racontent des blagues, de plus en plus portées sur le sexe.

Ludovic sent que la tension monte, propose un jeu. chaque couple s'engagent à raconter un acte sexuel en entrant dans les détails. Julia se pince les lèvres. C'est Maude qui entame les festivités. Elle souffle un bon coup et commence :

-A peine au lit, Ludovic, à remonter ma nuisette, et il m'a bouffé les nichons, à m'en faire gémir. Mais lorsque sa bouche, c'est posée sur ma chatte, là, ce fut l'apothéose, il m'a sucé, tété le clito comme un affamée, le coquin ma fait exploser de jouissance. Après il m'a achevé avec sa grosse queue. Ce salaud m'a démonté comme si j'étais une pute. Il m'insultait, m'écrasait le mamelons les mordillait, pendant que sa queue me forait le ventre. Je dois avouer que j'ai joui comme une bête !

Julia, en entendant la narration de Maude sur l'acte de cet nuit, semble se dégriser. Elle écoute attentivement, boit chaque parole. Ses entrailles se nouent, sa vulve se met à suinter, elle serre les cuisses.


Lorsque c'est au tour de Julia, pour se défiler, elle dit :

-Moi, je n'ai connue qu'un homme, c'est Frédérique, donc question sexe, j'ai honte de dire que je suis trop prude, je stresse beaucoup, j'ai peur du sexe !

Frédérique prend la parole :

- Je peux tout dire ma chérie ?

Julia, en devenant rouge pivoine acquiesce de la tête.

Frédérique qui a le feu vert commence :

-Pour être précis, il est vrai, qu'entre Julia et moi, le sexe ce n'est pas la panacée, je dois m'y prendre mal, ou je ne l'inspire pas, car entre nous pas d'extra, pas de fellation, ni de cunnilingus, nous faisons que le minimum. Malheureusement, elle est bien trop coincée !

Après ces révélations, un grand silence s'installe, Juste le chant de cigale le trouble. Maude et son mari restent sans voix.
Honteuse, Julia va s'étendre sur l'herbe jaunit pas le soleil, ses yeux sont pleins de larmes. Maude la rejoint, elle s'agenouille à côté d'elle et en lui caressant doucement le dos lui murmure.

-Tu sais Julia, l'acte d'amour, s'il est bien fait c'est merveilleux, il suffit d'y mettre du sien, de balayer les tabous, de ne rien se refuser, et surtout, réaliser ses fantasmes même les plus fous. Si tu veux, je peux t'aider !

Pour toute réponse, Julia renifle fortement. Pour Maude ce n'est un refus, ses mains glissent doucement sur la peau chauffée par le soleil. Ses mains douces fait de petits cercles, massent doucement le bas des reins, avant de remonter sur le dos. La corps de Julia est parcouru de frissons. les deux hommes regardent avec intérêt les deux femmes. Frédérique semble désolé, il dit avant de vider son verre :


-Oh si seulement vous pouvez me la décoincer, je l'aime tant, et pour cela, je suis disposé qu'elle me soit infidèle !

Julia respire plus bruyamment, les mains de Maude, passent plusieurs fois sur ses fesses. Deux doigts s'insèrent dans le large sillon en entrainant le tissu. Quelques petites pressions sur l'anneau ridé, font cabrer Julia, qui en ravalant sa salive, se met sur le ventre. Ses yeux humides, ne quittent pas ceux de Maude, qui sans dire un mot, elle lui caresse le creux de l'estomac. Avec douceur, les mains montent, tournent autour des lobes mammaires. Puis sans brusquerie, se posent dessus. Lentement les doigts enserrent les lobes, s'enfoncent légèrement dans la chair souple, avant de les malaxer avec art. Julia se contracte, et commence à trembler. Maude avec délicatesse, lui masse les seins, que seul le tissu du soutien- gorge protège.

Maude passe ses mains sous le tissu. Julia a un geste de défense, elle attrape les mains de Maude, les serre fortement, puis étrangement, relâche son étau. Replace ses main le long de son corps. Maude habilement, libère les seins du carcan de tissu qui les emprisonnait. Les seins pas très gros, sont dotés de gros bouts, les bougres trônent au centre d'aréoles fortement grenelées. Ludovic salive fortement, Frédérique, est émerveillé de voir sa femme se laisser mener.

Les doigts habiles s'emparent de mamelons, les roulent, les étirent, les pressent pour les stimuler. Julia souffle bruyamment, elle ne refuse pas les attouchements qui deviennent de plus en plus osés. la bouche de Maude se pose dessus et les aspire à tour de rôle, elle suce et tète les mats en faisant geindre doucement Julia. En bonne amante, la bouche de Maude se fait plus agressive.
Elle tète férocement les bouts qui ne cessent de rendre du volume. Julia se cambre en geignant.

Son mari n'en croit pas ses yeux, sa verge entre en érection. la bouche vorace, délaisse les mamelons, et embrasse les seins, lécher la peau laiteuse qui n'a pas encore brunit sous les rayons du soleil.

Maude bien décidée, enfin pose ses lèvres sur celles de Julia. Choquée, Julia est tentée de la repousser, mais une voix intérieure l'en dissuade. Machinalement, elle entrouvre la bouche, est accepte la langue de Maude. Très expérimentée, avec douceur, Maude lui aspire la langue et suce un instant. Julia n'a jamais connue se genre de baiser, mais elle ne trouve cela pas désagréable. Les douces succions la font frémir. Maude lui offre à son tour sa langue, Julia ose la sucer.


Enfin les langues s'enroulent comme deux reptiles qui cherchent à s'accoupler. Les souffles sont courts, les respirations bruyantes. le baiser dure un bon moment Julia semble l'apprécier. Elle est surprise lorsqu'un flot de salive, se déverse dans sa bouche. Elle la garde un instant dans la bouche avant d'oser m'avaler. Le baiser cesse enfin.

Frédérique reste scotché, il déglutit plusieurs fois, son cœur bat la chamade. Sa femme de vient plus audacieuse, elle prend la bouche de Maude, et lui rend le baiser avec plus d'ardeur. Ludovic dit en regardant Frédérique :

-Je crois que c'est en bonne voie !

Les deux femmes, roulent sur l'herbe jaunit par le soleil. Les cigales accompagnent de leur chant, les deux amantes. Maude roule sur Julia, habilement, elle lui dégrafe le soutient gorge. La bouche descend sur le corps fébrile de Julia, embrasse tout se qui se présente à elle, de longues léchettes sur le nombril, font geindre la novice.

Une main s'enfonce dans le maillot et se plaque sur la vulve bouillante. Julia se cabre, sa fente suinte abondamment, les doigts de Maude glissent entre els grande lèvres. Montent jusqu'à la boule magique comme par enchantement est déjà extrêmement gonflée. les doigts frottent le clito en pesant fortement dessus. Julia défaille, elle resserre les cuisses, en emprisonnant l'intruse. Maude pour faire diversion, lui écrase avec les lèvres, avec les siennes sans y mettre la langue, et au même moment, enfonce un doigt dans le conduit brulant.

Bien que gênée par le maillot, elle fouille profondément la gaine humide. Julia serre les dents, tourne la tête sur le côté pour ne pas croiser le regard des deux hommes voyeurs. La tension monte dans son corps. Maude retire sa main de la culotte. Julia se recroqueville en chien de fusil, en plaçant ses mains sur sa vulve en feu.

Les deux femmes se regardent intensément. Maude en bon professeure, dit tendrement :

-Détends toi ma chérie, laisse moi te faire découvrir les plaisirs du sexe !

Julia reste un instant recroquevillée. Puis lentement, se met sur le dos en étendant ses jambes. Ses mains tremblent Maude avec des gestes très lents, baisse peu à peu le maillot. Julia se pince les lèvres, ravale plusieurs fois sa salive. Maude dévoile peu à peu la vulve aux fines lèvres bien dessinées. La toison est humide, la cyprine s'échappe doucement de la fente. Julia ferme les yeux, offrir à la vue de tous son intimité, se sent humiliée, un grand malaise s'installe en elle.

Doucement Maude tente d'ouvrir les jambes de Julia, Julia rouge comme une pivoine oppose une résistance. Maude en maman poule la rassure :

-Laisse-toi conduire ma chérie, tu vas connaitre enfin le plaisir que tu t'es toujours refusée !

Julia quoi que réticente, en tremblant ouvre doucement ses jambes. Maude Admire le fruit trop mûr rejeter son jus. Les deux hommes s'approchent. Maude invite Frédérique, à jouer avec les mamelons de sa femme. dans un état d'excitation, Frédérique avance ses mains sur les lobes. Et sous les conseils de Ludovic, ses doigts tournent sur les auréoles brunes en effleurant les mamelons. Julia frémit, Maude insère deux doigts entre les grandes lèvres vaginales, et caresse le sillon avec douceur, en s'approchant dangereusement du clitoris. Dès que les intrus entrent en contacte avec la boule magique, Julia pousse un gros soupir. Les doigts habiles de Maude caressent délicatement la boule qui est déjà gonflée.

Doucement, elle la prend entre son pouce et son index et entame un très doux branlage. Julia se cambre fortement, elle commence à geindre. la masturbation du clitoris devient plus rapide, Julia geint de plus en plus fort. Son mari toujours conseillé par Ludo, roule entre ses doigts maladroits les mâts de chair. Il ose les étirer le plus possible, les écraser à la limite du supportable. Le branlage augmente, il devient rude, Maude en experte, alterne douceur et violence. Julia qui n'a jamais connue une telle manipulation de son clito, gémit en ondulant du bassin.

Soudain, elle se cabre, et en poussant un hurlement explose de jouissance. Maude lui écrase le clito, pendant que Frédérique euphorique, fait exactement pareil avec les mamelons de sa femme. la jouissance de Julia est doublée. Elle grogne comme un animal blessé.