Éducation Sociable

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Éducation Sociable Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Éducation Sociable
Nina Novelle arpentait les allées de sa classe d'histoire. Alors qu'elle expliquait les événements qui ont précédé la Guerre Mondiale, en commentant la manière inefficace de gérer les circonstances par les dirigeants du monde, elle savait que tous les garçons de la classe s’intéressaient davantage à ses jambes galbées de nylon beige, et à ses talons qui claquaient sur le sol, qu'aux évènements qui avaient précédé la guerre.

En parcourant les allées, elle pouvait deviner les yeux des garçons suivant la courbe de ses hanches. Derrière elle, les garçons avaient les yeux rivés sur ses fesses qui tanguaient, partiellement cachées par sa jupette vaporeuse. Devant, ses tétons essayaient de traverser son chemisier blanc largement décolleté. Son chirurgien plasticien avait fait un excellent travail, à en juger par le regard des garçons fixé sur ses énormes globes.

Nina aimait claquer ses talons sur le sol, cela faisait vibrer la chair de ses fesses et balancer ses gros nichons. Sa haute stature de femme s’entretenant régulièrement dans une salle de gym, ses tenues sexy, sa sensualité exacerbée, ses attitudes, rendaient ses cours extrêmement captivants pour les ados boutonneux.

Nina Novelle était habillée sexy, parfaitement consciente du trouble qui s’emparait des garçons de sa classe. La plupart tentaient de dissimuler une érection gênante. Les garçons blancs, gênés, aux regards honteux, mataient ses gros nichons par-dessous. Les garçons noirs scrutaient franchement en écartant les jambes, pour qu'elle puisse bien voir à quel point ils étaient tendus.

S'arrêtant brusquement devant Jason, la forte tête de la classe, elle vit le regard du garçon qui essayait de scanner à travers ses vêtements. En écartant les pieds dans une position ouvertement provocante, elle posa sa main droite sur sa hanche en saillie et dit :
«Jason, tu rêvasses et tu n'écoutes pas un seul mot. Pas étonnant si tu es le cancre de cette classe !»
Sachant qu'il avait été surpris en train de mater les seins de la prof, Jason ne fit rien pour dissimuler son intérêt pour ce corps parfait. Il a juste répondu, en gardant les yeux braqués sur le sillon qui sépare les seins :
«Je vous écoute, Madame. Vraiment. J'essayais juste de mémoriser tout ce que vous dites si bien.»
«Tu mémorisais les choses importantes ? C'est ça, Jason?»
«Ouais ... euh, enfin, les points importants ... j'essayais ... enfin ...»
Nina se pencha ... en s’appuyant d’une main sur le bureau, elle promenait son décolleté plongeant sous les yeux du garçon. Les seins gonflés de silicone, pressés par le soutien-gorge balconnet, se balançaient doucement au gré des mouvements de la prof. Parfaitement consciente de l’effet qu’elle produisait sur le jeune black, elle s’amusait à mesurer son degré d’émotion. En agitant encore un peu sa lourde poitrine, Nina demanda :
«Si vous écoutiez ce que j'ai dit, M. Jason, expliquez-moi quelle était le rôle de la ligne Maginot ?»
Incapable de lever les yeux, Jason crevait de chaud et son pantalon baggy était devenu subitement trop étroit. Les seins de Mme Novelle occupaient tout son espace visuel. Elle se penchait, et le poids de sa lourde poitrine tendait le fin tissu. L’entrebâillement du décolleté s’élargissait, et Jason attendait avec joie et avec impatience que ces lourdes loches lui tombent dessus. Mon dieu … si elle se penchait encore un peu … un peu plus … sa bite durcie palpitait à l’étroit.

Mais la salope s’est redressée et le toisait d’un œil furibard :
«Et bien, Jason. La Ligne Maginot, ça t’inspire quoi ? Ou préfères-tu rester comme un idiot avec la bouche ouverte ?»
Les filles de la classe ricanaient, se foutaient du bellâtre qui les snobait en les traitant de gamines. 
«Heu, ouais ... La Ligne Maginot, c’était une ligne de défense qui entourait Paris» chuchota Jason. 
Les rires des filles se sont agrémentés de commentaires désagréables. Jason ne s'en souciait plus. Mme Novelle s'était penchée encore plus bas et lui laissait entrevoir l’aréole de son mamelon.

«Vraiment … une ligne de défense … Peux-tu me dire ce qu'était le phosgène, hum ?»
«Euh … ouais ... ouais ... le phosgène, c’était le truc qu'ils mettaient dans la nourriture pour donner du courage aux soldats, pour qu’ils soient braves au combat !»
«Bien, très bien, enfin ... intéressant ... pour tout le monde, une feuille de papier, un stylo, interro surprise. Je veux que vous m’écriviez ce qu’était la ligne Maginot et le phosgène ... vous avez 15 minutes ... à partir de maintenant !»
Pendant que les élèves soupiraient en obéissant, Mme Nina Novelle s’est assise sur son bureau. Ainsi perchée, elle avait une vue dégagée de l’ensemble des élèves, pour surveiller les tricheurs pendant les examens. Et les garçons des premières rangées avaient une vue imprenable sur les belles jambes de la prof.

Penchée en avant, les mains à plat sur le bureau, Nina offrait aux garçons une vue panoramique sur son décolleté plongeant. Les filles et les garçons qui n’étaient pas proches du bureau de la prof rédigeaient leurs commentaires. Inutile de vous dire que les trois premières rangées ne pouvaient pas écrire et mater en même temps.

Cinq minutes après le début de l'exercice, Nina a ouvert son livre et l'a posé sur ses genoux. Elle ne pouvait pas résister. À vrai dire, elle n’a même pas essayé de résister. Lentement, elle a ouvert ses genoux pour que la vision de l’intérieur de ses cuisses s’améliore. Les garçons avaient des difficultés croissantes pour écrire.

Dix minutes après le début de l’exercice, Nina avait les jambes suffisamment ouvertes pour que les garçons puissent distinguer la tache claire de sa culotte.

Aucun des garçons des premiers rangs ne tentait d'écrire quoi que ce soit. Jason, comme les autres garçons, fouillait du regard l’entrecuisse de la prof, et de la main l’entrejambe de son pantalon.

Nina avait les jambes suffisamment ouvertes pour que les garçons puissent voir sa culotte. Mais étaient-ils capables de distinguer la tache d’humidité qui grandissait sur son fond de culotte, ou de deviner sa chatte à travers le fin tissu. Peu importe, ils étaient tendus et à l’étroit dans leur baggy.

Plus que deux minutes, Nina a posé son bouquin sur le bureau, avant de se retourner pour faire face à la classe. Dans le mouvement, ses jambes se sont largement écartées. Puis elle a agité ses jambes dans le vide sans refermer ses jambes, comme une gamine qui ignore qu’elle montre sa culotte. Quand les 15 minutes se sont écoulées, elle s’est levée. Certains garçons des premiers rangs avaient envie de gémir.

«Le temps est écoulé. Rendez vos copies. Maintenant» Les copies des garçons des premiers rangs étaient quasiment vierges.

La journée était terminée, les élèves se dirigeaient vers la sortie, quelques garçons s'attardaient dans l'espoir d'en voir plus. Nina a récompensé leur patience en se penchant par-dessus le bureau. Elle savait que le tissu de la jupette moulait parfaitement le galbe de ses fesses, en découvrant ses cuisses exposées. Jason fut le dernier à partir.

Rapidement, Nina s’est précipitée vers les toilettes des dames. Une fois verrouillée à l'intérieur d'une cabine, elle a troussé sa jupette autour de sa taille et glissé sa culotte jusqu’aux genoux. Penchée au-dessus des toilettes avec le couvercle fermé, elle a plongé ses doigts dans sa chatte excitée.

Dents serrées pour ne pas gémir en frottant son clitoris brûlant, Nina imaginait Jason entre ses cuisses, sa bite sortie. Il l'alignait sur l’orifice en attente. Son bassin a poussé en avant, enfouissant sa bite dans le vagin trempé. Il la baisait fort et vite ... giflant le cul de Nina avec son pubis. 
Rapidement, Nina a connu un orgasme convulsif. Des jus coulaient de sa chatte volcanique tandis que ses hanches oscillaient d'avant en arrière dans des mouvements incontrôlés. Elle imaginait la bite noire de Jason projeter son sperme dans son vagin fertile.

Problèmes médicaux :
Après 20 ans d’armée, son mari, Max, a pris sa retraite pour commencer une carrière civile dans le bâtiment. C'était un bon choix, mais un peu tardif. Toutes les horreurs qu'il avait vues sur les théâtres d’opérations avaient imprégnées son esprit de manière irréversible. Ses cauchemars nocturnes ont atteint un tel niveau, qu’ils l’empêchaient d’obtenir des érections. Peu de temps après, Max est devenu impuissant.

Au début, il essayait de câliner Nina avec le sexe oral et avec ses doigts, mais sa libido l’a finalement abandonné. Depuis, elle se masturbe ... elle chauffe les gars, et s’imagine être violée. Tout est bon pour exciter son imagination. Une fois, sa fille Charlène est entrée dans sa chambre, et l'a surprise en train de se soulager avec son vibreur. Nina l'a vue, mais elle était trop proche de l'extase pour s'arrêter. Charlène l’a regardée avec curiosité. Lorsque son orgasme a explosé, Nina s’imaginait avec la main de Charlène entre ses cuisses trempées.

L'impuissance de son mari n'était évidemment pas une bonne situation, mais Nina était si proche de la ménopause, qu’elle a pensé que cela réglerait le problème. Sa libido n'avait jamais été importante et, avec le début de la ménopause, elle a supposé qu'elle diminuerait, peut-être même jusqu’à disparaître. 
Cependant, cela n’a pas fonctionné de cette façon. Au lieu de diminuer, sa libido a augmenté ... beaucoup trop ! De plus en plus souvent, Nina pensait au sexe, aux hommes, et à leurs bites dressées.

Nina se masturbait comme une collégienne, avec des fantasmes de plus en plus sauvages, dans des situations scabreuses. Rien ne la calmait. Les doigts ou les jouets vibrants sont de très mauvais ersatz. Rien ne remplace un homme couché sur soi et poussant furieusement sa bite dans votre chatte.

Formation Permanente :
Après des mois de frustration causé par l'impuissance de Max, et un nombre incalculable d'orgasmes masturbatoires, une formation de deux jours était organisée par l’éducation nationale, pour les enseignants, sous forme de conférences. Dans mon lycée, je n'avais pas remarqué avant que plus de la moitié des enseignants, et la plupart des administrateurs, étaient des hommes. Mais maintenant que je suis sevrée de sexe, j'ai remarqué immédiatement la forte proportion d'hommes présents à cette convention.

Alors que je m’apprêtais dans ma chambre d'hôtel pour la soirée, j'étais tellement excitée que tout mon corps tremblait. Après tous ces mois de sevrage, il me fallait un mâle viril en moi. J’allais en choisir un, issu de mon milieu, un que je ne reverrais pas de sitôt. Ce n’était pas difficile de convaincre un homme de me satisfaire, loin de leurs femmes, ils sont tous les mêmes, de vrais chiens en chaleur, la difficulté c’était d’en trouver un bon.

La grande salle était bondée avec une majorité d’hommes. Beaucoup dévisageaient les rares femmes présentes qui se groupaient comme pour se protéger. J’étais seule et donc exposée au regards concupiscents de ces messieurs. Beaucoup détournaient leur regard quand mes yeux rencontraient les leurs. Rares étaient ceux qui osaient soutenir mon regard en souriant. Ceux-là m’intéressaient, et j’essayais de deviner lequel pourrait me tenir compagnie cette nuit.

Occupée à choisir le mâle idéal, j'ai remarqué un homme séduisant et viril, dans la quarantaine, qui me regardait sans sourire. Quand je lui ai rendu son regard, il a pressé sa bite pour me montrer la taille de son désir. Le souffle court, je ne pouvais plus détourner mon regard. Soudain, il m’a fait signe avec ses mains d’écarter mes jambes.

Subjuguée, sans prêter attention à l’entourage, je me suis assise sur le bord d'une table, et j’ai levé ma jambe pour poser mon pied sur une chaise. Ma jupe fendue s’ouvrit jusqu’en haut de mes cuisses, presque jusqu’à ma culotte.

Ce macho n’avait pas besoin d’autre acceptation. Je frissonnais d'anticipation en le voyant s’approcher. Je gardais ma position. Il s’est avancé presque à me toucher. Sa voix était basse et grave :
«Salut, je m’appelle Ralph. Tu as l'air délicieuse. Tu sais que je vais te croquer, n'est-ce pas ?»
«Je ... je ne suis pas sûre ... je suis ... mariée» bégayais-je.

«Les femmes mariées sont les meilleures. Montre-moi tes seins»
«Pas ici. Il y a trop de monde. Je ne peux pas faire ça ici » protestais-je.

«Montre-moi tes seins . Maintenant. Ouvre ton chemisier et sors-les. Tu veux que je les voie. Tes tétons sont durs»
« ... »
«Réponds. Tes tétons bandent déjà, n'est-ce pas ?»
«Oui ...» ma voix était à peine audible.

«Montre-moi tes seins. Je ne le répéterai plus !»
J'ai ouvert deux boutons de mon chemisier, et j’ai sorti mes nichons des bonnets du balconnet. Mes tétons bandaient»
Ses doigts se sont refermés sur mes mamelons … il les a pressés … j'ai haleté … il les a tordu ... j’ai gémi. Il a tiré sur mes nichons maintenant lancinants pour me forcer à me lever. Mes gémissements sont devenus assez forts pour que plusieurs hommes à proximité se retournent. Il a demandé :
«Ta chambre ou la mienne ?»
«M'en fiche ! Emmène-moi où tu veux et baise-moi ... s'il te plaît !»
Ralph m'a entraînée vers l’ascenseur. J’ai essayé de ranger mes seins dans mon balconnet, il a giflé mes mains :
«Laisse tes seins sortis. Remonte ta jupe plus haut !»
Je n'ai pas relevé ma jupe, des gens circulaient autour de nous et regardaient mes seins nus. 
«S'il te plaît ... tout le monde regarde mes seins !»
«Remonte ta jupe plus haut sur tes cuisses !»
J’ai obéi. Remontant ma jupe à mi-cuisses. Il a grogné : «Plus haut ... en haut des cuisses !»
J'ai troussé ma jupe plus haut, jusqu'à la limite de la décence, qu'elle dissimule au moins ma culotte. Il m’a poussée devant lui, en direction de l’ascenseur, sa main sur mes reins. Les hommes que je croisais mataient mes jambes et mes seins.

Une fois dans l'ascenseur, Ralph m'a ordonné : «Trousse ta jupe à la taille !»
«Mais quelqu'un pourrait entrer ?»
«Jupe à la taille. Sinon tu vas devoir ôter ta culotte, en plus !»
Instantanément, j'ai obéi. Lorsque les portes de l'ascenseur se sont ouvertes, sa main était sur mon cul, à l'intérieur de ma culotte. C'est comme ça qu’il m’a cornaquée dans le couloir, mes seins se balançaient librement, ma jupe troussée, et sa main sur mon cul. Une porte s'est ouverte et un couple d'âge moyen est apparu dans le couloir.

La femme m'a vu la première : «Regarde, chéri. Regarde cette salope. C'est une pute, n'est-ce pas ?»
«Mais non, chérie. C'est sa femme. Regarde ses bagues» dit son mari.

La femme nous barrait le passage : «Ce n'est pas votre femme, n'est-ce pas ?»
«Non. Elle est mariée, mais pas avec moi.»
«Et vous allez la baiser, n'est-ce pas ?»
«Bien sûr, plusieurs fois et longtemps !»
«Est-elle bonne au lit ?»
«Je ne sais pas encore. Je viens de la ramasser en bas !»
«Oh ... comme c'est excitant ! Tu ne trouves pas, chéri ?»
«Oh merde, oui ! Il vient de la lever, et il a déjà les doigts dans son cul !»
«Tu lui baises le cul, ici, dans le couloir ?» Il a demandé.

Avant que Ralph ne puisse répondre, la brune a ajouté :
«Bien sûr, il la doigte. Tu ne vois comme elle se cambre sur sa main ?»
Elle s'est baissée devant moi et, d'un seul mouvement, elle a glissé ma culotte sur mes cuisses. J'ai écarté mes jambes pour que le couple puisse voir les doigts agiles pomper dans ma chatte dégoulinante de luxure.

«Vas-y, Chéri. Tripote-la. Tu en meurs d’envie. Je ne serai pas jalouse. Tu peux caresser cette salope sexy !»
Le mari a attrapé mon sein d’une main et mon clitoris de l’autre. La femme a serré mon sein libre et m’a pincé le téton.
Je me penchais en arrière contre Ralph et poussais mon bassin en avant. Haletante, je sentais venir mon plaisir.

Presque synchrones, les doigts sur mes seins, mon clitoris et dans ma chatte œuvraient pour m’exciter. Sensuellement, j’ai glissé une main derrière moi pour masser de haut en bas son arbre palpitant. Pantelante, jambes écartées, mes gémissements encourageaient mes bourreaux à ignorer mes plaintes et mes dénégations. Les deux hommes ont joints leurs doigts dans ma chatte. Je suis venue instantanément de manière impétueuse.

Lorsque je me suis calmée, la femme a éloigné son mari : 
«Laisse-la, chéri. Ce monsieur va baiser cette salope maintenant.» Elle tâtait l’entrejambe de son mari.

«Tu ne vas pas pouvoir marcher avec ça dans ton pantalon, chéri. Reviens dans la chambre, je vais t’arranger ça.»
Elle se tourna vers Ralph : «Ça ne vous dérange pas si mon mari utilise la bouche de cette salope ?»
«Mais bien volontiers. Vas-y. suce-le ... fais-le jouir !»
Sa femme a sorti sa bite, et je me suis accroupie pour prendre sa bite palpitante dans ma bouche. Il était énorme … dur ... gonflé de désir ... mon dieu ... comme j’en avais envie !

J'ai pompé sa bite aussi profond que je pouvais. La partie que je ne pouvais pas mettre dans ma bouche, je l'ai branlée. Je lui ai massé les bourses pendant que je le suçais. Du coin de l'œil, j'ai vu que Ralph avait sa main sous les jupes de la femme. Jambes écartées, ses hanches oscillaient pendant qu'elle me regardait sucer son mari.

Je n’ai pas eu besoin de le sucer longtemps. Il s’est retiré :
«Garde la bouche ouverte !» Il a juté dans ma bouche ouverte en grognant. J'ai essayé d'avaler, mais il en avait trop, trop vite. Une grande partie a coulé sur mon chemisier. Quand il eut fini de se vider, la femme ramena son mari dans leur chambre pendant que Ralph me poussait dans la mienne.

«Sur le lit, écarte les jambes … mieux que ça !»
«Je peux pas. Ma culotte m’entrave !»
«Tu veux que je t’autorise à enlever ta culotte, n'est-ce pas ?»
«Oh, mon dieu, oui, s’il te plaît !»
«Pourquoi ? Pourquoi le veux-tu ?»
J’étais à bout d’impatience et de désir. Je voulais qu’il me couvre, qu’il me prenne, qu’il me baise ...

«Pour que tu baises ma chatte de salope mariée et infidèle ... oh, s'il te plaît ... ne me fais plus attendre ! Je n'ai pas été baisée depuis des mois ... viens, s’il te plaît !»
Ralph a lentement tiré ma culotte le long de mes jambes tremblantes de désir. Dès que j’ai pu, j'avais les jambes grandes ouvertes, et je levais mon bassin, m’offrant à la saillie. Avec mes doigts, j’ai ouvert ma chatte pour que Ralph puisse voir l'intérieur.

Ralph a ôté ses vêtements et il a traîné son sexe rigide le long de ma cuisse recouverte de nylon, me rendant folle de convoitise :
«Oh ... ne me fais plus attendre ... mets-moi la … baise-moi !»
«Tais-toi ! Tu l’auras quand je le déciderai !» Ma chatte a suinté encore plus fort quand j'ai entendu ça.

Lentement, la tête de Ralph descendit ... sa bouche se posa sur mon ventre, ses lèvres déposèrent de petits baisers sonores, puis sur mon pubis tandis que mes hanches se soulevaient, mes jambes s'écartaient encore plus, pour offrir ma chatte à ses baisers. Mais ses lèvres contournèrent habilement l’obstacle, il embrassait et mordillait l’intérieur de mes cuisses au-dessus des nylons, tandis que je gémissais de rage contenue.

Quand ses lèvres se sont posées sur mon clitoris, que sa bouche l’a sucé, que sa langue l'a fouetté, j’ai failli jouir à cause de la trop longue attente. Il lécha longuement ma chatte fendue, écartant mes lèvres pour me pénétrer avec la pointe de sa langue, ma vulve s’est ouverte pour expulser mes jus. Lorsque ses lèvres se sont emparées de mon clitoris, pour le faire danser et palpiter dans sa bouche, j’ai été secouée par un long spasme de bonheur.

Ma chatte était un flot de ferveur palpitante lorsque je sentais sa lance prête à me pourfendre. Ralph a rapidement profité de mes hanches surélevées pour pousser un oreiller sous mes fesses. Avec mon bassin calé sur l'oreiller, mon cul et ma chatte étaient disponibles pour permettre à Ralph d'utiliser l’un ou l’autre, au gré de ses envies.

«Allez, viens maintenant, je suis prête ! Baise-moi ! S'il te plaît. Baise-moi !»
Le bâtard a ignoré ma supplique. Avec son doigt, il sondait ma chatte, me faisant gémir de famine. Puis, de nouveau, avec sa langue, il agaçait mon clitoris exacerbé, mes cuisses se sont pincées convulsivement autour de sa tête alors que mon deuxième orgasme éclatait.

Je retins mon souffle en le sentant aligner sa bite sur mon ouverture. Puis le gland boursouflé se pressa contre ma chatte, écartant les chairs, pour pénétrer au fond de mon vagin. L’émotion était trop forte, j’ai un un troisième frisson instantanément :
«Bon sang ! Tu ne mentais pas, Nina. Tu étais vraiment en manque. Je n'avais jamais vu une chatte jouir comme ça dès la première pénétration !»
«Oh, tais-toi ! S'il te plaît, ne parle pas et baise-moi ! Allez … Baise-moi !»
Ralph a fait glisser son pieu de chair dans mon puits d’amour, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Des bruits de baise emplissaient la chambre, je geignais, et mes plaintes entrecoupées de cris et de halètements le motivaient. J'ai crié encore plus fort quand j'ai senti deux doigts s’enfoncer dans mon cul, tandis que sa bite me fouillait la chatte.

J'ai perdu la notion du temps, et du nombre de fois, où la bite de Ralph m’a fait crier de bonheur. Finalement, il s’est effondré sur moi, en se vidant les testicules au fond de ma vulve. Il s'est reposé pendant un moment sur moi, mais mon cul et mes hanches n'ont pas cessé de se convulser, et je n'ai jamais cessé de le supplier de me baiser encore.

Finalement, il a roulé sur le côté, m'a attiré sur lui et m’a dit : «Suce-moi, si tu en veux encore !»
Je l'ai sucé ... oh bon sang, je n’avais jamais sucé ainsi ... fort ... profond ... tout le long ... essayant désespérément de le remettre en forme, pour qu'il continue de me baiser, encore et encore. Cela n'a pas pris bien longtemps pour que sa bite soit raide de désir, et palpitante dans ma bouche. Je l’ai senti se tendre, ses bourses se gonfler, il était prêt à éjaculer.

Immédiatement, je l'ai lâché et je me suis mise en position sur le lit, à côté de lui, à quatre pattes, pour qu’il me prenne en levrette. En voyant Ralph se positionner derrière moi, j'ai crié : «Viens, viens là, vite !»
Posant ses mains sur mes hanches surélevées, il a présenté sa bite contre mon puits d’amour. Sa bite est entrée en moi, impérieuse, puissante, m'étirant et chassant l’air dans un grand bruit de flatulence qui m’a fait honte. Il grogna de plaisir en heurtant mon col au fond de ma vulve. J'étais déjà prête à jouir.

Il me baisait rudement, allant et venant à grands coups puissants, lorsque brusquement, il s’est retiré entièrement, me faisant gémir et pleurer : «Non, reste, reviens, tu n’as pas fini, allez !»
«Je n'ai pas encore eu ton cul, Nina. Ouvre-moi tes fesses !»
Même si j'étais certaine d’avoir mal, car il était très épais, j'ai quand même mis mes mains sur mes fesses pour m’ouvrir. Avec précaution, il m’a doigtée, utilisant les jus qui suintaient de ma chatte pour lubrifier mon anus. Sa bite était déjà graissée de nos jus combinés. Quand je l’ai senti pousser contre mon sphincter, j’ai essayé de me détendre pour avoir moins mal. J’avais déjà connu des hommes qui pratiquaient l’anal, et je savais me comporter. Dès que le gland est entré, il s'est arrêté un instant, pour voir ma réaction, puis m’a enculée profondément, dressé au-dessus de moi, poussant jusqu’à ce que ses boules heurtent mon cul.

J’ai lâché mon cul pour poser ma main sur ma chatte, mes doigts frottant furieusement mon clitoris palpitant pendant que Ralph me baisait le cul avec détermination. À chaque poussée, ses couilles heurtaient ma chatte. Ralph me martelait âprement. Il me baisait de plus en plus fort, de plus en plus vite … J'ai hurlé quand ma chatte a giclé.

Je me suis réveillée tard, vers 10 heures le lendemain matin. Ralph était parti juste après m'avoir baisé le cul. J'étais trop épuisée pour l'embrasser ou le remercier. Au réveil, j'ai passé une demi-heure à tremper dans la baignoire, et une autre demi-heure à me pomponner, pour masquer les ravages de la veille.

En déjeunant, je me suis aperçue que, malgré le sexe intense de la veille, ou peut-être à cause de ça, j’observais toujours les hommes. Chaque homme séduisant et sexy que je voyais, j’estimais la taille et l'épaisseur de sa bite, et comment il pouvait se comporter au lit. Bientôt, ma chatte était humide et prête pour plus de sexe.

Le conférencier :
Lorsque les conférences de l'après-midi ont commencé, je suis arrivée tôt et j'ai pris place au premier rang. Pendant la première heure, j'ai écouté des discours ennuyeux. Aucun des intervenants insipides qui se sont succédé à la tribu n’a prêté attention à mon physique. Ni mes jambes croisées haut, avec ma courte jupe, ni mon décolleté bien garni, ils n’ont pas marqué le moindre intérêt. J'étais sur le point de partir lorsqu'un jeune professeur noir, dans la trentaine, est monté sur l’estrade pour faire une présentation.

Alors qu'il installait son ordinateur portable, ses yeux allaient et venaient entre son matériel et mes cuisses. Presque instantanément, j’ai ressenti une émotion. Avec des bruissements de papillon dans le ventre, j'ai exalté son intérêt en troussant ma jupe un peu plus haut. Comme si nous étions seuls au monde, un dialogue muet s’installait entre ses yeux et mes cuisses.

Lorsque sa présentation a commencé, j'avais ma jupe à mi-cuisses. Il arpentait la scène, en essayant de distinguer entre mes jambes hermétiquement croisées. Alors progressivement, lentement, j’ai remonté un peu ma jupe en croisant et décroisant mes jambes. Bientôt, il se réfugia derrière le pupitre pour dissimuler son érection grandissante.

Pour augmenter son inconfort, j’écartais progressivement mes jambes ... un peu plus ... jusqu'à ce qu'il s’éponge le front en sueur. Alors, je me suis penchée en avant, lui donnant une superbe vue sur mes seins. Son regard devenait fou, et ses commentaires aléatoires.

J'avais des envies mélangées ... mon côté garce voulait l’exciter pour qu’il jouisse dans son pantalon ... mon côté chienne redoutait qu'il gaspille sa marchandise.

Quand on est passé aux questions, après sa conférence, j'ai levé la main pour attirer l’attention de l’orateur. 
«Oui, Mademoiselle ?» demanda-t-il en dévisageant directement mon fond de culotte.

«Je suis Mme Nina Novelle, professeure d’histoire. J’aimerais éclaircir certains points avec vous ... serait-ce possible d’avoir un entretien privé avec vous ?»
«Absolument ! Je me tiendrai à votre disposition après mon intervention.»
«Je vous en remercie, professeur. Merci.» J'ouvris un peu plus mes jambes, afin qu'il ne persiste aucun doute dans son esprit sur l’aide que j’espérais de lui.

Quelques minutes plus tard, dans un salon privé, le professeur noir cherchait comment il pouvait m’aider :
«Bien, Mme Novelle, c'est un plaisir de vous rencontrer. Comment puis-je vous aider ?»
«Vous pouvez m’accompagner dans ma chambre, ou dans la votre, et passer le reste de l'après-midi à me baiser.»
«Bien. Voilà une attaque directe. Êtes-vous toujours aussi directe ?»
«Nous n'avons qu'un après-midi et je ne veux pas perdre mon temps en mondanités. Êtes-vous d’accord ?»
«Entièrement d’accord avec vous, Mme Novell.»
«Nina, mon chéri. Tu vas me baiser, alors tu peux me tutoyer et utiliser mon prénom, OK ?»
«OK. Mon prénom est Georges. Enchanté de faire ta connaissance.»
«Écoute. Si nous restons assis ici à discuter, tu n’es pas près de me baiser. J’ai la chambre 905. Tu me suis ?»
«Tu devrais y aller seule. Je te rejoindrais dans quelques minutes.»
«Hum, bien. Es-tu en forme ?» J’ai mis la main sur son érection. «Waouh ! Bel objet !»
«C'est de ta faute !» murmura-t-il. C'était maintenant son tour. Sa main explora sous ma robe, j'écartais les jambes pour lui : «Ta culotte est trempée !»
«C'est de ta faute !»
«J’ai envie de te doigter ici, dans ce salon, qu’en penses-tu ?»
«Je dirais … Ne te gêne pas» Ses doigts écartèrent ma culotte pour glisser jusqu'à ma chatte. Il les a fait coulisser de haut en bas dans ma fente humide. Je savourais sa dextérité.

«Hum ... Ne t'arrête pas !»
Ses doigts ont exploré minutieusement ma chatte. J'avais de la chance ... C'était un expert qui aimait prendre son temps pour satisfaire les femmes. Je tremblais de passion lorsqu'il maniait mon clitoris. Ses doigts savants et habiles l'avaient capturé, et mon clitoris tressautait et palpitait d’émotion.

«Mais ... Tu as … jouis !»
«C’était un apéritif bien agréable. Merci. Je vais à la chambre 905. Ne me fais pas attendre ...»
Georges était incroyablement bien équipé pour plaire aux dames, long et épais. J'ai dû étirer ma bouche suceuse le plus largement possible pour le prendre. Ma main avait du mal à en faire le tour.

«Oh ... tellement bon ! Je suis sur le point de jouir ! Penche-toi sur le dossier du canapé. Maintenant !»
Je découvrais que j'aimais être dominée par un mâle viril. Quand un ordre me fustigeait, il se produisait un remue-ménage au fond de ma chatte. Je me suis penchée en un éclair. L’instant suivant, la bite de Georges m’assaillait. J'ai crié de plaisir lorsque son pieu de chair m’a ouverte en deux en me pénétrant.

Il a été surpris de sentir ma vulve se contracter et emprisonner sa bite. Bien que sa jouissance soit imminente, il avait supposé que je finirais la première. Faux ! J'étais volcanique, mais après quelques coups de bite, son éjaculation a fait crépiter ma chatte. Il m’a entraîné dans son extase, dans un concert de cris et de grognements, avant de s’abattre sur moi, vaincu et repus.

«Désolé. Je ne t’ai même pas demandé si j'avais besoin de porter un préservatif.»
«Tout va bien. Je suis saine et protégée. Viens, bébé, allonge-toi sur le lit, que je m’occupe de cette belle bite. J’en veux encore.»
J’ai profité de sa détumescence partielle pour le faire pénétrer en partie dans ma gorge. Je ne pouvais pas l’enfoncer profondément, mais cela augmentait ma capacité.

«J’adore voir ton cou se gonfler à chaque fois que tu gobes ma bite !»
Quand il était redevenu tendu, je l'ai enfourché. J’ai posé ma chatte sur sa bite dure, et je l’ai frottée tout le long de ma fente en agitant mes hanches. Pendant quelques instants délicieux, j'ai brossé mon ouverture contre son pieu d’amour. Puis, lentement, je me suis laissée couler le long de sa tige jusqu'à être complètement empalée.

Je l'ai baisé. Fort et vite, en heurtant mon pubis sur le sien. Comme une cavalière déchaînée qui monte un pur-sang de concours. Puis je m’immobilisais, le retenais en moi, contractant mes muscles vaginaux, mon périnée, jusqu'à ce qu'il me supplie de le baiser. 
Je recommençais ma chevauchée fantastique, jusqu’à ce qu’il recommence à grogner, soulevant ses hanches pour m’empaler. De nouveau, je me suis arrêtée. Pour qu’il me supplie. J’ai recommencé ce processus plusieurs fois, jouant avec sa patience. Je me sentais puissante en dominant ce bel étalon noir.

Pendant longtemps, j'ai maintenu Georges au bord du jaillissement. Mon impudeur, mon cynisme, le rendait fou de désir. À la fin, n’y tenant plus, il m’a basculée sur le dos pour me baiser comme un hussard.

Après cette session de l'après-midi, Georges devait rentrer chez lui, retrouver sa petite femme qui l'attendait. Je passais une dernière soirée à l'hôtel, mais la plupart des participants étant partis, je n'avais pas grand espoir de trouver un camarade de jeu pour la nuit.

J'étais en train de m’apprêter pour le dîner, lorsque le téléphone sonna. J’espérais que ce soit Max, mon mari, pour prendre de mes nouvelles, mais j'ai reconnu la voix de Ralph :
«Tu retournes chez toi ce soir, ou demain matin ?»
«Demain matin»
«Bien. Mets ta tenue la plus sexy, je t’emmène dans un endroit amusant. Pas de culotte. Retrouve-moi dans le hall, dans trente minutes.» Et il a raccroché.

J'ai retrouvé Ralph dans le hall, qui s’est incliné pour un baise-main : «Tu es très en beauté !»
La main au creux de mes reins, il m'a entraînée jusqu’à sa voiture, m’a galamment tenu la porte ouverte et, pour le remercier, je lui ai offert le spectacle de cuisses nues, au-dessus des nylons, en me glissant sur le siège passager. En s’installant au volant, il m'a regardée :
«Remonte ta jupe à la taille !»
Jusqu'au restaurant, il a conduit avec la main entre mes cuisses, en doigtant ma chatte. Il a arrêté sa voiture devant un relais routier. J’étais un peu dépitée. J’avais imaginé mieux.

Il m’a conduite à l’intérieur du restaurant avec sa main sur mes reins. Ma jupe était si courte que je craignais de montrer à l’assistance une partie importante de mon anatomie. Quelques types traînaient près de la porte d’entrée. En passant devant eux, Ralph a saisi l’ourlet de ma jupe et l’a remonté à ma taille, découvrant mon cul nu aux regards. Il y a eu des quolibets et des sifflets :
«Hé, mec. Fais-nous voir la chatte de ta pute !»
«T’as entendu, Nina. Les désirs de ces messieurs sont des ordres !»
Je me suis retournée, souriante, j’ai troussé ma jupe jusqu'à la taille pour leur montrer ma chatte épilée, en leur faisant un doigt d’honneur.

Le menu était simple, hamburger-frites-bière. Visiblement, Ralph ne m’avait pas emmenée dans cette gargote dans un but gastronomique. Pendant que nous mangions, les tables voisines se remplissaient d’hommes. Ils semblaient tous avoir un grand intérêt pour mes jambes, espérant peut-être ...

«Tous ces hommes me regardent» ai-je chuchoté à Ralph.

«Ils veulent revoir ta chatte !»
«Peut-être que nous ferions mieux de partir avant qu'ils ne me violent» ai-je suggéré.

«Tu ne crains rien ici, Nina. Beaucoup de femmes viennent ici pour se faire baiser, c’est un endroit réputé. Mais aucune ne s’est faite violer. Jamais. Regarde les deux gros malabars à côté du bar ... ce sont des videurs. Si tu n’est pas consentante, personne ne te touchera. OK ?» 
«Ouais, bon. Je suppose que je suis en sécurité.»
Ralph m'a emmenée sur la piste de danse où il m’a fait virevolter, ce qui faisait voler ma jupe jusqu'à mes fesses. Les hommes se sont déplacés, bière en main, pour s’installer aux tables entourant la minuscule piste de danse.

«Ralph ! Tout ces hommes qui me regardent ! Ma chatte est un vrai marécage !»
«Un type se dirige vers toi, Nina. Un noir. Il veut probablement t’inviter à danser. Voudras-tu ou pas ?»
«Si tu me le demandes, Ralph !»
«OK, danse avec lui. Laisse-le t’aguicher, emmène-le dans la voiture sur le parking, et baise-le !»
«Je ne veux pas être baisé ici. Par aucun de ces hommes. C’est toi que je veux !»
«OK. Pas de problème. Tu lui diras que tu ne baises pas ... c’est juste nul. Quand il t’emmènera au parking, suce-le. Ensuite, je te raccompagnerai à l'hôtel...»
J'ai conduit Ibrahim à travers le parking sombre jusqu'à notre voiture. Il avait sorti mes seins de mes bonnets quand nous dansions, et ils se balançaient librement. Il maintenait ma robe troussée avec ses deux épais doigts noirs enfouis dans ma chatte. Ses doigts qui me baisaient lentement, presque distraitement, nonchalamment. J’avais du mal à marcher. Je voulais juste m'allonger, et écarter les jambes pour ce putain de taureau noir.

«La voiture est juste là. Dépêche-toi !»
«Baiser une poulette sur le siège arrière d'une voiture, c’est bon pour les gamins. J’ai une chambre au motel, là derrière. Suis-moi, poupée !»
Avec ses doigts agrippés dans ma chatte, je n'avais pas d'autre choix que de le suivre.

Dans la chambre, il s’est déculotté et m’a tendu sa bite : «Suce-moi, pétasse ... Grouille-toi !» 
J'ai été stupéfaite par la taille de son engin. Peut-être plus gros que Georges… et un peu plus grand !

Agenouillée, j'ai pris son énorme braquemart dans ma main et j'ai commencé à le branler. Ibrahim n'a pas du tout aimé cela : «Ne me branle pas, salope ... suce-moi !» Ma chatte s'est durement convulsée à l'idée d’être traitée comme une putain bon marché.

Ouvrant ma bouche aussi largement que je pouvais, j'ai gobé plusieurs centimètres de bite. Même pas le quart de la longueur et déjà le gland appuyait contre ma glotte. Ibrahim a posé ses mains derrière ma tête, et il a tranquillement poussé sa queue dans ma gorge. Je me suis étouffée et j’ai tenté de m'éloigner, mais il a maintenu ma tête en place. Au moins, il a arrêté d’augmenter la pénétration jusqu'à ce que mes nausées se calment.

Les hommes étaient agglutinés à la fenêtre de la chambre. Ralph était en première ligne. Tous regardaient l’énorme pieu de chair noire disparaître dans ma bouche. Étonnamment, je n’avais plus de nausées. Lentement, Ibrahim l'a ressorti presque entièrement, puis il est entré à nouveau. Plus loin, encore plus profond. Mes yeux s’écarquillaient. Ma gorge se gonflait sous l’énorme pression. Ibrahim a maintenu ma tête en place pour me baiser dans la gorge.

«Bien, très bien, petite. Maintenant montre-moi comment tu sais sucer une grosse bite !»
Ma gorge semblait élastique en allant et venant sur la grosse bite noire. Plus de nausées. Ibrahim a commencé à grogner en sentant sa bite palpiter dans ma gorge.

«Oh merde! Quelle pompe suceuse ! Sale pute ! Salope ! Ah, prends tout, putain ! Suce, bébé, suce-moi !»
J'ai continué de le sucer après que sa crème soit descendue dans mon ventre. Pour le remettre en forme, et parce que je ne voulais pas qu’il me baise avec sa grosse bite. Mais Ibrahim avait une autre idée en tête.

«Je vais te baiser, bébé.» Il a sortit sa bite de ma bouche et me poussa sur le lit.

«Ralph t'a dit que je ne baise pas, je ne fais que sucer !» je protestais, mais il écartait mes jambes en poussant mes genoux contre mes seins.

«Ouais, c’est ce qu’il a dit !» Mais il s’est allongé sur moi.

Quand j'ai senti la grosse bite pousser contre mon ouverture, j'ai bandé mes muscles en essayant de m'éloigner, mais c'était peine perdue. Il m'avait épinglée sur le lit, les jambes en l’air. Il poussa fort et la grosse bite entra. J’ai hurlé en le sentant m’ouvrir en deux. J’étais sûre qu’il m’avait déchirée. Définitivement estropiée.

Ibrahim a fait une pause, le temps que je m’habitue. Il me parlait à voix basse, m’embrassait pour que je me calme. Doucement, insensiblement, il rentrait plus profond. Il m’ouvrait, et ma chatte mielleuse coulait de plaisir
Ibrahim a commencé à me baiser avec des coups lents et profonds. J'ai frissonné de plaisir. 
Longtemps, sans changer de rythme, patiemment, il m’a amenée où il voulait. Maintenant, c’est moi qui gémissait, le suppliait de me baiser plus fort, plus vite. Insensible à mes suppliques, même pendant ma jouissance, il a conservé le même tempo. Je suis venue plusieurs fois avant qu’il ne se soulage au fond de ma vulve. Mais, là encore, sans changer son mouvement, toujours tranquille.

Ralph m’a ramenée à notre hôtel. Toujours troussée, cuisses ouvertes, il m’a bricolée tout le long du chemin. Quand nous sommes entrés dans l'ascenseur, il m'a ordonné de me pencher et d'attraper mes chevilles sans plier mes jambes. Il m’a prise en levrette, debout dans l’ascenseur. Il a arrêté l’ascenseur entre deux étages, et il m’a baisée. Son sperme, mélangé à celui d’Ibrahim, coulait de mon vagin ruisselant.

Ces deux jours passés loin de mon mari impuissant, à me faire baiser par des étalons bien équipés, m’avaient appris une chose. Je préférais quand le partenaire prenait le contrôle. Il pouvait être brutal, autoritaire, pervers, cela m’excitait et j’étais heureuse d’obéir. Je savais maintenant que je devais rechercher ce type de partenaire.

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